Trois ans après – Janvier 1990 - Matilde

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Trois ans après – Janvier 1990 - Matilde Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trois ans après – Janvier 1990 - Matilde
o Trois ans après – Janvier 1990 - MatildePendant l’année qui suivit, on essaya à plusieurs reprises de se retrouver à mi-chemin de Lille et Nancy, mais il y eut toujours une bonne raison qui fit que se fut impossible. Avec le temps tout ça s’estompa, j’avais pas mal de boulot et j’avais aussi, je dirais grossièrement, Stéphanie, qui était souvent disponible, sans prise de tête.
A la société, il avait une coutume qui voulait que tous les ans les cadres étaient réunis à Paris. En principe, on arrivait le lundi, le mardi matin, le PDG présentait les résultats, les objectifs, puis déjeuner, où on retrouver des collègues et l’après-midi était présenté des chantiers un peu particuliers. Puis chacun était libre pour la soirée.
Ce janvier, le PDG avait, comme d’habitude, invité les cadres, mais pour le diner du mardi soir les épouses avaient été également conviées. Et demi surprise, pendant et surtout après le diner il y avait eu de la musique et il y avait eu possibilité de danser. Donc entre les plats certains s’étaient lancés pour cet exercice. Pour ma part, si le matin j’avais retrouvé Paul, il m’avait indiqué que Matilde avait pu l’accompagner et qu’ils seraient contents de me revoir. Donc le diner terminé après plusieurs séries de danses, je me lançais à inviter Matilde. Premier pas de danse, très bon chic bon genre, mais nous avions glissé loin de leur table. Et là, on se colla l’un à l’autre et elle me dit : « Je craignais que tu ne viennes pas, … serres moi fort, … » Moi : « Tu es toujours aussi belle, …toujours aussi désirable, … » Matilde : « Pas plus, … je suis déçue, … j’ai donc tant vieillie, … »Moi : « Non, … et tu le sais, … tu es toujours aussi baisable, … toujours aussi gourmande, …bon, … que proposes tu, … » Alors qu’elle se frottait avec sensualité contre moi, ce qui fit que « popol » commençait à avoir des idées précises, Matilde me dit : « L’avantage des jupes en tissu léger, on sent plus facilement les choses, …. Et je sens que tu deviens dur, … et j’aime ça, …. ça me fait rêver, … » et se serrant un peu plus : « Tu veux tout savoir, … Ça me fait mouiller, … t’es content, … »Moi : « Et alors que proposes-tu, … »Matilde : « Oh, … d’habitude, tu proposes, … et j‘obéis, … mais, si je te dis que j’ai un soutien-gorge quart de bonnet, … et que j’ai les seins qui ont besoin que tu t’occupes d’eux, … »Moi : « Tu sais me prendre pas les sentiments, … »Matilde : « De plus, … pensant à toi, j’ai mis un porte-jarretelles, je sais que tu aimes ça, … »Moi : « C’est vrai, … surtout quand ça entoure un joli minou nu, … »Matilde : « Tu es vraiment un monstre, … comment pouvais-je venir sans une petite culotte, … j’en ai une, … mais vraiment petite, … très petite, … » Moi : « Oh, … une série de tangos, … je te garde, … »Matilde : « Mais, … qu’est ce que tu fais, … »Ce que je faisais c’était dès les premiers pas de tango, de glisser une jambe entre les siennes et de la serrer contre moi. Au bout de trois passes, son entrejambe vint se frotter contre ma jambe. Ça avait marché et à chaque changement de ligne, elle se frottait. Les premiers changements de ligne le frottement était rapide, mais avec le temps les frottements augmentaient en temps et surtout les cuisses se resserraient et chose importante, le rythme respiratoire augmentait rapidement. Tant et si bien qu’avant la fin de la série de trois tangos ne fut terminée, Matilde, se bloqua sur ma cuisse et serrée contre moi me glissa dans l’oreille : « Serres moi, fort, … je ne tiens plus, … » Je la sentis vibrer, elle eut un léger spasme et mit quelques secondes à retrouver son souffle : « C’est malin ce que tu as fait, … »Moi : « Tu n’as pas aimé, …mais je vois que tu es en pleine forme, … tu sens dans quel état tu m’as mis, … j’espère que tu as mouillée, … »Matilde : « Oui, j’ai aimé, … oui, j’ai envie de toi, … et on fait quoi, … »Moi : « Je te raccompagne à ta table, … tu trouves une excuse pour t’absenter un petit moment, … et tu vas dans ma chambre, … » et je glissais dans son corsage la carte d’ouverture de la porte.
Matilde : « Tu es fou, … je ne peux pas faire ça, … »Moi : « Mais si, … arrivé dans la chambre, tu enlèves ton joli ensemble, … et tu te couches, … prête à recevoir mes hommage, … à te donner à moi, …car tu en as envie, … tu mouilles d’envie, … », nous étions arrivés à sa table. Je saluais tout le monde et me rendais à ma table. Deux danses passées, Matilde se leva et quitta la salle, par une autre entrée je faisais de même et je me rendais dans ma chambre. J’y entrais, me demandant ce qu’aurait fait Matilde. Elle était allongée sur le lit, ne portant que ses dessous. « J’aime te voir ainsi, … tu es toujours aussi désirable, … » et je m’approchais de sa petite culotte qui, c’était vrai, était petite, même très petite. « Quand je pense que ton minou est enfermé dans ce tissu depuis ce matin, … il doit sentir bon, … je te l’enlève, pour pouvoir la sentir, … et voir, si tu es mouillée, …hum, … HUM , … elle sent bon, … je vais gouter à ta chatte, … » Pendant que je te goutte, caresses tes seins, ils s’ennuient, et preuve qu’elle en avait envie, sans hésiter elle glissa ses bretelles et ainsi lâcha ses seins toujours aussi pleins, et durs, et commença à les caresser à pleins mains, puis mouillant pouces et indexes, elle prit ses tétons et commença à la rouler entre ses doigts. Alors le nez dans sa touffe odorante, je me mis à lui titiller la chatte du bout de langue, aussitôt il eut la réaction que j’espérais : « Oui, … c’est bon, … continues, … j’aime, … » Elle était prête, elle était chaude, excitée, j’oserais dire en chaleur, mais je voulais l’affoler encore plus et me redressant : « Qu’est-ce que tu fais, … tu ne me laisses pas comme ça, … »Moi : « Non, … tu vas caresser ta chatte, … doucement, … je suis certain que ta chatte attend tes caresses, … » - « Non, … je ne peux pas faire ça, … » - « Mais si, … tu en as envie, … et tu vas le faire, … tu vas t’ouvrir largement, … allez, … vas-y, … » - « Tu me rends folle, … » et ayant posé deux doigts sur sa chatte, elle commença à caresser doucement ses grosses lèvres, alors que ses jambes se repliaient en s’ouvrant : « Tu vois que tu y arrives, … dis moi que tu aimes te caresser devant moi, …je suis sûr que ça t’excite, … » - « Tu es un monstre, … et je fais tout ce que tu veux, …dis-moi que tu aimes me voir comme ça, … » - « Tu es belle, … désirable, … rentre et mouilles tes doigts, … je veux les gouter, … » et docilement elle se pénétra et doucement se mit à se masturber, et naturellement elle commençait à y trouver son plaisir, … Elle était en train de m’échapper. Avec tout ça j’avais réussi à me déshabiller et le spectacle était tel que je bandais dur. Je me rapprochais du lit et prenant sa main : « Donnes moi tes doigts, … que je te goutte, … » et avant qu’elle ne réagisse ou qu’elle refuse j’avais saisi sa main et suçait ses doigts avec plaisir, et en continuant, profitant de sa position, je me laissais aller entre ses cuisses et m’empressais de gouter au fruit défendu, qu’à peine mes lèvres posées sur les siennes : « Enfin, … je désespérais, … oui, j’aime que tu me fasses ça, … » - « Oui, je vais de bouffer la chatte, … » et j’entrepris de la lécher et de la pénétrer à coups de langues, le temps qu’elle s’ouvre encore et deux doigts partirent à l’exploration de sa grotte d’amour. Cette pénétration fut accueillie avec un soupir de satisfaction : « Oh oui, … c’est bon, … oui, … prends moi, … j’attendais ça, … continues, … ne t’arrêtes pas, …OUI, … continues, … plus vite, OOOOHHHH, …. OUIIII, … » et elle fut secoué par un spasme brutal qui la fit se contracter, m’enserrant la tête entre ses cuisses, après cette brutale contraction elle s’ouvrit : « Oh, fou que tu es, … tu m’as fait jouir, … embrasses moi, … c’était bon, … » et elle se colla contre moi. Elle s’aperçut alors que mon engin se dressait fièrement contre elle : « OH, … je vais m’en occuper, … » et avant que j’ai dit quoique ce soit, elle avait pris « popol » en main, le caressant, puis après quelques coups de langue sur la longueur, elle prit le gland en bouche et le suça du bout des lèvres, alors qu’elle le titillait du bout de la langue. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour que je sente que si elle continuait à ce petit jeu de langue, j’allais me vider dans sa bouche alors que je voulais prendre sa chatte : « Arrêtes, …c’est à toi que je veux faire l’amour, … c’est ta chatte que je veux, … » - « Dommage, j’aurais bien aimé te finir, … » et sans discussion elle se retourna et une main glissa entre ses cuisses venant me chercher pour me guider dans son fourreau chaud et accueillant. Un bon coup de rein et j’étais en place bien au chaud dans sa chatte ruisselante et sans perdre de temps j’entrepris de la ramoner avec énergie, de la baiser avec force, de façon à la faire jouir rapidement car je risquais fort de ne pas tenir la longueur. Quant à elle c’était : « Oui, … prends moi, … t’as tout fait pour m’exciter, … dis-moi que t’aimes me monter, … comme une salope, … dis-moi que je suis ta salope, … j’aime que tu me montes dessus, … » Je lui claquais les fesses, car elle aimait ça, et sa réaction fut rapide, : « Oh oui, … j’aime, … je suis ta femelle, … baises moi fort, …oui, … éclates moi la chatte, … » et une nouvelle claque et l’animal se cabrait : « Tu sais que j’aime t’obéir, … continues, … ne t’arrêtes pas, … fais-moi jouir, … toi tu sais me faire jouir, … » et cramponné à ses hanches, je la besognais avec ardeur, sentant que le moment était proche ou je la remplirais de mon plaisir en espérant qu’elle jouisse au bon moment : « Oui, … continues, … ne t’arrêtes, … oui, plus vite, … OOOHHH, … OUIIII, … je JOUIS , … OUIII,… » elle se mit à jouir, et fut secouée d’un joli spasme, alors que je me vidais dans sa chatte. Puis se laissant aller, je m’affalais à coté d’elle. Elle réagit rapidement : « Il faut que j’y aille, … Paul va se demander où je suis, … et ce que je fais, … » se réajustant, se refaisant une beauté, elle était partie.
o Janvier 1990 – le lendemain matin – MatildeIl était aux environs de 8,00 h et je revenais du petit déjeuner, quand le téléphone sonna : « Bonjour Jean, bien dormi, … » - « Bonjour, Matilde, … oui, … et toi, … mais d’où me téléphones-tu, … » - « De ma chambre, … pourquoi, … » - « Mais où est Paul, … » - « C’est pour ça que je t’appelle, … Paul est en réunion avec le responsable du matériel, … il m’a dit en avoir au moins pour deux heures, … et je pensais me souvenir que tu devais partir vers midi, … » - « Exact, … et tu te demandes ce que tu peux faire en attendant onze heures, … » - « Ce que je veux faire, … cela dépend de toi, … je me demandais, si tu apprécierais que je vienne, … » - « Tu sais très bien que j’ai toujours apprécié ta présence, … » - « C’est ce que j’espérais, … et je me préparais pour toi, … » - « Hum, … et que fais tu … comment es-tu habillée, … que je t’imagine, … » - « Habillée, … simplement, un joli corsage, largement ouvert, et une jupe droite, …courte, … très courte, … » - « Et en dessous, … » - « Comme tu aimes, … je suis tellement obéissante, … et même soumise à tes désires, … que je n’ai rien en dessous, … c’est ce que tu aimes, … non, … » - « Tu as l’intention de venir me rendre visite, … » - « Oui, … si tel est ton désir, … je me suis préparée à ton intention, … » - « Dis moi comment tu t’es préparée, … » - « Tu le sais très bien, ... » - « Peut-être, … mais j’aime t’imaginer, … ça me donne des idées, … et ça me prépare à t’honorer à ton arrivée, … » - « Devines, … je te dirais si c’est bien, … » - « Bon, … ton corsage est largement ouvert, … tu aimes avoir tes seins en toute liberté, … après quelques caresses, … tu as remonté ta jupe, … très très haut, …et tes cuisses sont largement ouvertes, … » - « Oui, … je vois que tu me connais bien, ou que tu m’as bien dressée, … oui, … » - « Dis moi que tu es bien mouillée, … » - « T’es vraiment un monstre, … je le sais, … mais ça m’excite, … oui, … dis-moi que t’as envie de moi, … que tu me veux, … » - « Oui, … viens, … je sens que je vais t’honorer, … viens je bande pour toi, … » - « J’arrive, … »Quelques minutes après un léger grattage à ma porte, je l’ouvre, et Matilde rentre, je suis juste derrière elle, je glisse mes bras sous les siens et posant mes mains sur ses seins, je l’attire à moi. Chose aisée, car elle se laisse faire et à peine collée à moi, ses mains se posent sur les miennes et son joli cul se frotte à ma bite, qui commence à vouloir honorer, cette belle femelle.
Puis nous commençons une partie de lèche museau, que je continue en m’intéressant à son cou, puis naturellement elle me donne ses seins, bien gonflés et dont les tétons bandent sérieusement, et ne demandent qu’à être sucés, tétés et surtout mordillés, : « Oui, … encore, … j’aime que tu me mordes les seins, … et surtout que tu me têtes, … ça me trouble, … j’aime ça, … » et nous sommes arrivés au niveau du bureau. J’essaye vainement de remonter sa jupe droite, mais elle est tellement collante que c’est mission impossible : « Laisses moi faire, … et puis tu m’as toujours dit que tu aimais quand je remontais ma jupe, … c’était comme au théâtre, … le lever de rideau sur la scène, … non sur le sexe, … et tu aimes que je roule des hanches pour la remonter, … regardes, … tu aimes, … » La jupe ne formait plus qu’une large ceinture au-dessus des hanches, il ne me restait plus qu’à glisser une main entre ses cuisses qui ne demandaient qu’à s’écarter et alors que j’avais deux doigts qui se promenaient entre ses belles et grosses lèvres, d’un mouvement de hanches elle réussit à s’empaler sur mes doigts : « Oui, … c’est ça que je voulais … prends moi, … » je la masturbais un peu, mais plus je la masturbais plus elle en voulait. Mais ce n’était pas ce que j’avais envisagé. Je la repoussais vers et contre le bureau. Elle comprit et s’installa sur le bureau se laissant aller sur le dos, les jambes repliées mais les cuisses largement ouvertes, et posant ses doigts sur ses grosses lèvres bien ourlées, les écarta, : « Viens, … embrasses moi, là, … lèches moi, … prends moi c’est à toi, … » Je n’avais pas besoin de ses encouragements, elle était toute chaude et généreusement mouillée. Elle avait dû sacrément se chauffer avant de venir, c’était vraiment une gourmande. Après avoir humé son odeur enivrante et gouté à sa chatte que je titillais à coups de langue. Elle s’excitait, s’ouvrait, c’était le moment de reprendre et de lui enfoncer deux doigts dans la chatte, elle était prête à toutes les folies, et c’est ce que je fis : « Oui, … j’aime te sentir là, …je sais que tu vas me donner du plaisir, … oui, prends-moi, … » et je la masturbais avec énergie, sachant qu’elle aimait cela, l’ayant bien chauffée, je décidais de lui tâter la rosette, voir sa souplesse, sa disponibilité, en abandonnant son minou, il y eut un moment de surprise, puis : « Oh, ne t’arrêtes pas, … OH, …si tu veux par-là, … je me suis préparée pour toi, … tu le sais, … » Cependant, ayant appris qu’elle était disposée à tout, je revenais à sa chatte que je réinvestissais avec ardeur et où j’étais de nouveau accueilli avec plaisir : « Oui, … tu as décidé de me rendre folle, …Oui, continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, …plus vite, … OOOHHH, … OUIIII, … OUIII, … » et elle fut parcouru par un puissant frisson qui la fit se contracter brutalement. Enfin, reprenant ses esprits, elle se laissa glisser du bureau, et se collant contre moi : « C’était bon, … j’aime quand tu me prends avec tes doigts, …ça me prépare à te recevoir, … mais je veux te gouter, … » et se laissa glisser au sol, en descendant pantalon et caleçon et elle me poussa sur la chaise de bureau et entrepris de me caresser la tige, doucement, puis la parcourut à petits coups de langue, ce qui avait pour conséquence de me faire bander dur, enfin ses lèvres prirent possession du gland pour le sucer. J’avais « popol » prêt à exploser, je la relevais, elle se laissa faire, mais à peine debout elle écarta les jambes et vint se mettre à califourchon sur mes jambes, en prenant ma tige et la guidant dans sa grotte d’amour. Et elle s’empala d’un seul coup dessus : « OH, … ça c’est bon, … j’aime quand tu rentres comme ça, … ça me remplit, … laisses moi faire, … je vais te donner du plaisir, … » Alors que je la tenais par les hanches, elle commença à monter, descendre sur ma bite. Au début s’empalant doucement et profondément pour avec le temps accélérer le mouvement. J’étais son sex-toy : « Oui, …j’aime que tu me prennes comme ça, …ça me fera des souvenirs, …oui, … continues, … » et subitement le mouvement s’accéléra, puis elle se déchaina : « OUI, … ne t’arrêtes pas, … je sens que je vais jouir, … plus vite, … » et ayant relevé les jambes, elle s’empala brutalement sur ma bite avec un cri de gorge : « OOOOOHHH, … OUIIII, …. OUIIII, … » ce qui fit que, moi aussi, je me mis à jouir et je me vidais au plus profond de sa chatte. Elle resta quelques secondes ainsi empalées sur ma bite, pour enfin se laisser aller contre moi, le souffle court, enfin se redressant : « J’ai aimé, … j’aime quand tu me fais l’amour comme ça, … » Puis se dégageant de mes jambes, elle se releva, rabattit sa jupe, par d’agréables mouvements des hanches. Alors que je me réajustais, elle vint contre moi : « Je dois partir, … je te passerais un coup de fil, … pour te dire adieu, … » et elle partit.
o Janvier 1990 – Un peu plus tard – MatildeJe n’étais pas pressé, car je restais sur place pour quelques jours de vacances afin de voir de la famille et me préparais mollement à me rendre à ma voiture. Vers 10,30 h le téléphone sonna. C’était Matilde : « Bonjour mon amant chéri, … Paul vient de me prévenir qu’il en a encore pour une bonne heure, …je dois libérer la chambre, … je te retrouve à ta voiture, … elle est bien placée, … je serais avec une jupe large, … tu pourras finir ce qu’on n’a pas pu terminer, … je t’attends, … » Que faire, je bouclais ma valise et me rendais à ma voiture. C’est alors que je vis Matilde qui arrivait, toute pimpante. A peine arrivée, elle était dans mes bras : « T’es garé au bon endroit, … je veux profiter de cette dernière heure, … caresses moi, …» Je n’avais qu’à obéir et c’est ce que je fis, après avoir remonté sa jupe dont, elle accrochât un pan à sa ceinture : « Tu vois … j’ai pensé à toi, … caresses moi, … j’ai envie de sentir me prendre, … prépares moi, … tu sais le faire, … après je m’occuperais de toi, … et quand tu seras bien dur, … tu me prendras par derrière, … on n’a pas eu le temps, … j’en ai envie, … » En fait c’était ça, Elle avait mis une jupe, large, c’était plus pratique, et plus discret là, où l’on était. A peine le pan de la jupe accroché, je n’avais qu’à glisser une main entre ses cuisses bien écartées et à remonter, vers et sur sa chatte. Elle était là, bien au chaud et légèrement humide : « Rentres, … ne me fais pas attendre, … caresses moi, … » Il n’y avait pas à discuter et suivant ses ordres deux doigts s’enfoncèrent dans sa grotte d’amour : « Oui, … c’est ça, … j’aime ce que tu me fais, … je suis excitée au possible, … ». Elle en voulait, je la masturbais avec énergie, mais elle était tellement chaude qu’elle ne mit pas longtemps à couler : « Oui, … continues, … fais-moi jouir, … tu sais bien le faire, … après je serais entièrement à toi, … » Plus j’accélérais le rythme, plus elle soufflait et plus elle tendait son bassin vers mes doigts et brutalement : « OOOHHH, … OUIII, … OUIII, … » et pendant que sa chatte inondait ma main, qu’elle s’accrochait à mon cou, ses cuisses se refermèrent sur ma main. Elle reprit rapidement son souffle et alors qu’elle s’accroupissait, pantalon et caleçon furent descendu, « popol » sorti : « Hum, … il faut que je m’en occupe un peu, … je veux te sentir vibrer dans ma bouche, … je te veux dur, … que tu me prennes fort, … » et elle après quelques préparations elle me prit en bouche et elle ne fut pas longue à me faire bander dur même très dur comme elle disait. Et semblant satisfaite du résultat, elle se releva, se collant contre moi, tut en frottant son ventre contre ma bite elle me murmura : « Prends-moi, … comme j’aime, … encules moi, … j’en ai tellement envie, … » puis se retournant et se penchant, après avoir relevé sa jupe, elle posa ses mains sur ses feses et les écarta pour m’ouvrir le chemin de sa jolie et tentante rosette. Il n’ay avait plus qu’à se mettre en place, et par une approche aussi douce que ferme, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle se décontracte et que je la pénètre : « OH, … oui, … j’aime te sentir me prendre, … j’en avais en vie, … et je savais que ce serait bon, … depuis le temps, … prends moi fort, … » - « Tu ne t’occupes pas de ton minou, … » - « Oui, … j’attends que tu me le dises, … j’aime me caresser quand tu me prends par derrière, … oui, … continues, … » Malgré les « exercices de la nuit et du matin, et avoir sous les yeux cette belle croupe, j’avais la forme et bandais dur. Cramponné à ses hanches, je la sodomisais avec application et plaisir, quand à elle, elle appréciait ce qui se passait, quand tout à coup, elle se plia : « Ne t’arrêtes pas, … continues, … je sens que je vais jouir, … OOOOHHHH, … OUIIII, … OOOHHH, … OUIII, … », brutalement elle s’était contractés et vibrait de tout son corps, mais là, les excès précédents faisaient que je n’avais pas joui, que je bandais toujours aussi dur et que je ne pouvais pas m’arrêter, je continuais donc à la sodomiser avec ardeur. Heureusement tout se débloqua rapidement et cramponné à ses hanches et bien enfoncé en elle je me vidais dans son joli cul, ce qui la fit se cabrer de nouveau : « Monstre, … tu vas me tuer, … » et elle se releva, se retourna : « Tu abuses, … profiteur, … j’ai aimé, … » et elle m’embrassa avant de me dire : « Adieu, … monstre, … tu m’as fait plein de souvenirs, … je t’adore, … » et elle partit sans se retourner. Honnêtement je regrettais cette femme, cette femelle gourmande. Enfin c’était la vie.

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