Le lendemain matin

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le lendemain matin Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le lendemain matin
J’étais au bureau et je n’avais pas grand-chose à faire, on se préparait à fermer le chantier pour l’été. Vers 10,00 heures, je me décidais à appeler Stéphanie, histoire de la tenir en forme, au chaud. Elle décrocha presque instantanément Moi : « Tu es seule, … »Stéphanie : « Oui, … j’espérais ton coup de téléphone, …je m’ennuie de toi, … j’aime entendre ta voix, … dis-moi de gentilles choses, … »Moi : « J’aime tes seins quand tu me les donnes avec les tétons bien durs, … j’aime les sucer, … les téter, …et t’entendre dire encore, … »Stéphanie : « Non, … ce n’est pas vrai, … à t’entendre, … ils deviennent durs, … tu as l’art de m’exciter, … j’aime t’entendre, … continues, … »Moi : « Je suis sûr que tu as envie, … d’augmenter ton décolleté, … de libérer tes seins, …ouvres un bouton, … »Stéphanie : « Tu es fou, … je ne peux pas faire ça, … et si quelqu’un rentrait, … tu sais qu’ils ont l’œil, … »Moi : « T’as ta petite veste courte, … tu l’as met, … et avec elle tu peux ouvrir largement ton décolleté, … si quelqu’un rentre, … d’abord il frappe, … ça te donne le temps de fermer ta veste, … je suis sûr que tu en as envie, … allez exécution, … »Stéphanie : « Non, … ce n’est pas possible, … »Moi : « Ne me dis que ce n’est pas possible, … je suis certain que tu as envie d’aller chercher ta petite veste, … mais comme tu as remonté ta mini au-dessus des bas, … et peut-être plus haut, … tu te demandes comment aller la chercher, … »Stéphanie : « Tu es un monstre, … j’ai rabaissé ma jupe et je suis allé chercher ma petite veste … pour voir, … tu es vraiment horrible, … je devrais raccrocher, … »Moi : « Mais tu n’as pas envie de raccrocher, …tu as envie que je te dise quoi faire, … »Stéphanie : « Jean, arrêtes, … tu me rends folle, … »Moi : « Bien, … je raccroche, … on se voit tout à l’heure, … j’espère que tu seras toute chaude, … » et je raccrochais. Avant midi, j’étais chez moi à guetter son arrivée et me demandant comment elle avait réagi. Elle arriva quelques minutes après, la veste en bataille, son sac en bandoulière et une pizza à la main. Elle n’eut pas le temps de sonner, que je lui ouvrais la porte. A peine entrée, le sac à terre, la pizza sur la petite table et elle était contre moi, les bras autour du cou : « Monstre embrasses moi, … » J’avais juste eu le temps de remarquer que si la veste était ouverte, c’était pour dissimuler que le corsage était lui aussi ouvert, ne cachant plus ses seins libres de toute entrave. C’était le moment d’en profiter, alors que sa bouche, contrairement à l’habitude s’offrait ouverte et gourmande. Son bassin était collé non, roulé contre le mien avec le résultat que vous pouvez imaginer. Alors tout en lui caressant dos, fesses, … je lui glissais : « J’ai gouté à tes douces lèvres du haut, … je veux gouter celles du bas, … »Stéphanie : « Oui, … j’attendais ça, … viens, … je ne pense qu’à ça depuis ton coup de téléphone, … » et on se dirigea vers la table de la salle de séjour, et pendant ce trajet elle réussit à transformer sa jupe en ceinture. Arrivé à la table, sans hésiter, elle s’assit dessus et se laissa aller sur le dos, les cuisses largement ouvertes : « C’est ça que tu voulais, … c’est ça que j’attendais, … viens, … goutes moi, … lèches moi, … dis-moi si je sens bon, …comme tu aimes, … » et je plongeais entre ses cuisses vers sa fourrure et le nez dedans à humer son odeur de femelle chaude : « J’aime ton odeur, … je vais te bouffer la chatte, … » et je sentis et m’aperçus qu’elle avait sa fourrure très humide, même bien mouillée et je lui dis : « Ta fourrure est trempée, … c’est pas possible, … tu t’es caressé et même plus avant de venir, … »Stéphanie : « Ça ne te regardes pas, … c’est mon intimité, … », alors que je m’attaquais à sa chatte : « J’aime ton intimité, … j’aime bouffer ton intimité, … cela n’empêche, … je m’aperçois que tu aimes te faire plaisir, … »Stéphanie : « Au lieu de poser des questions indiscrètes, … occupes toi de ce qui t’es offert, … mais ce matin avec ton coup de téléphone, … tu m’as excité, … et tu n’étais pas là pour me calmer, … content de toi, … oui, … continues, … j’aime que tu mes lèches, … prends moi avec ta langue, … tes doigts, … oui, … » et là, langue et doigts en action, il fallait, chaude et ouverte comme elle était que je la fasse grimper aux rideaux elle n’en serait que plus amoureuse. Je me mis à la masturber avec énergie « Oui, … comme ça, … plus fort, … oui, … j’aime ce que tu me fais, … j’aime quand tu me prends, … je sais que tu vas me donner du plaisir, … me faire jouir, … continues, … ne t’arrêtes pas, … OOOHHH, … OUIII, … OUIIII, … », elle fut saisie d’un gentil spasme, qui lui fit se cambrer, puis refermer ses cuisses sur ma tête, mais langue et doigts ont continués à la travailler, ce qui entraina un nouveau spasme avec : « Arrêtes, … c’est bon … j’ai joui, … je ne peux plus, … arrêtes, … » Je réussis à me dégager alors qu’elle se redressait sur la table en disant : « Brute, … tu es content de toi, … j’aime ce que tu me fais, … tu m’épuise, … mais j’aime, … donnes-moi ta main, … » et elle prit mes doigts qui étaient mouillés de son plaisir et les portant à sa bouche : « J’aime me gouter, … surtout quand c’est toi, … qui m’a prise, … » et se laissant glisser de la table, elle vint se coller contre moi elle s’aperçut alors que j’avais une belle trique et posant la main dessus, : « Je vais m’occuper de ça, … » et moi de lui dire en abaissant pantalon et caleçon : « C’est toi que je veux, … tournes toi, … » ce qu’elle fit sans hésiter, et une main glissa entre ses cuisses qui s’écartèrent pour prendre ma bite et la guider dans son fourreau bien chaud, trempé de son plaisir, que je pénétrais d’un bon coup de rein, m’enfonçant au plus profond de sa chatte et qui fut accueilli par : « Brute, … t’aimes me brutaliser, … j’aime ça, … tu sais que je fais ce que tu veux, … j’aime t’obéir, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … » je la ramonais avec énergie et me souvenant de son gout pour une petite fessée, je lui claquais les fesses, ce qui la fit se cabrer avec : « Oh, …oui, … continues, … tu es le seul à me faire ça, … j’aime, … oui, … » alors qu’elle bandait son joli cul : « Regardes, …prends moi bien, … bien profond, … remplis moi, de toi, … OOHHH, … ne t’arrêtes, … OUIII, … OUIIII, … OOOHHH, … OUIII, … » elle fut saisie d’un spasme brutal, suivi de plusieurs petites répliques qui la secouèrent, … mais moi et ayant usé de la chose la nuit dernière, , je bandais toujours autant, j’avais le plaisir dans les reins, mais rien ne voulait sortir, dans de tels cas, j’étais devenu une machine à baiser et cramponné à ses hanches, je ne pouvais pas m’arrêter, elle avait beau dire : « Arrêtes, … je n’en peux plus, … tu m’épuises, … arrêtes, … » Puis tout à coup alors que je continuais de la ramoner toujours avec énergie : « … Oh, … non continues, … tu es fou, … j’aime, … encore , … plus fort, …» fort de son consentement, je continuais à la ramoner et plus ça allait, plus elle ronronnait de plaisir : « Oui, … plus ça va, plus c’est bon, … je sens que je coule de plaisir, … j’aime que tu me prennes comme ça, … j’aime que tu me montes dessus, … » du coup, une nouvelle claque sur ses belles fesses : « Oh sauvage, … c’est bon … continues à me baiser, … oui baises moi fort, … je suis à toi, … dis-moi que je suis ta femelle… OOOOHHH, … OUIII, … », elle était partie, quant à moi, ça c’était débloqué et bien accroché à ses hanches et bien enfoncé dans sa chatte, je me vidais, heureux et avec un plaisir certain, pour me laisser tomber sur elle, le souffle court, …On se refit une espèce de beauté et direction la cuisine pour faire un sort à la pizza.
Stéphanie : « Tu sais que tu es un monstre, … me faire ce que tu m’as fait aujourd’hui, … ça ne m’est jamais arrivée, … »Moi : « Surtout apprès ce que tu as fait ce matin avant de venir, …Stéphanie : « Je t’ai dit, mais c’est de ta faute, …Moi : « A bon, … tiens, … c’est de ma faute si tu te fais des gâteries avant de venir me voir, … »Stéphanie : « Non, ce n’est pas ça, … depuis que je te connais tu m’as toute chamboulée, … »Moi : « Oh, … expliques moi, … »Stéphanie : « Avant, je te l’ai déjà dit le samedi soir on faisait l’amour, … »Moi : « Non, … Monsieur sautait Madame, … prenait son plaisir et bonne nuit, … et Madame restait en chemin à attendre, … elle ne savait pas quoi, … »Stéphanie : « Bon, si tu veux, … oui, … puis tu es arrivé, …et tu as tout bousculé, … »Moi : « Je suis arrivé ? … disons plus tôt, … je me suis fait attraper, … »Stéphanie : « Oui, … si tu veux, disons que j’ai voulu voir comment c’était ailleurs, …tu étais là, …»Moi : « OK, j’ai eu la chance d’être là, … n’est-ce-pas, … »Stéphanie : « Oui, …c’est ça, … et tout c’est enchainé, … »Moi : « Oui, là, je veux bien te croire, … Madame s’est aperçue qu’elle avait un sexe, qu’elle aimait qu’on s’en occupa, quelle aimait ça et qu’elle s’apercevait que ça pouvait lui donner beaucoup de plaisir et que plus ça allait plus elle aimait ça, … »Stéphanie : « Oui, … c’est un peu ça, … non, c’est plus que ça, … je vais te dire, …je vais me livrer à toi comme je ne l’ai jamais fait, … j’ai l’impression de me déshabiller, … non, … j’ai envie de me mettre nue devant toi, … c’est fou, … quand je sais que tu vas me téléphoner, ... j’attends ton coup de téléphone, j’ai le corps qui semble se tétaniser, … je devrais me taire, … j’ai l’impression que mes seins durcissent, mon sexe s’ouvre et se met à mouiller, … j’ai honte de ce que je dis, mais, … si je sais que tu dois m’appeler ou que je dois t’appeler, … je ne mets pas de petite culotte, … des fois que tu veuilles que, … enfin, tu vois ce que je veux dire, …ce matin quand tu m’as appelé, ce que tu as raconté m’a excitée, au possible, … tu as raccroché, … je ne pensais plus qu’à ça, … j’ai remonté ma jupe et je me suis caressée en pensant à toi, … en imaginant notre rendez-vous, …voilà, … tu es content de toi, … oui, tu m’as fait aimer le sexe, … ce qu’on fait, … ce qu’on a fait, … ce que tu me demandes, …j’aime t’obéir, … je me suis offerte à toi, … je me soumets à toi, …j’aime le faire, … »Moi : « Wouah, … tu es formidable, … je vais m’occuper au mieux de toi, … Bon sang, Il faut qu’on reparte au boulot, … rappelles moi quand tu as un moment, … » et rapidement on se sépara, chacun vers ses obligations.
o Dernière semaine de juilletAvant la fête nationale j’appelai Stéphanie, elle m’appela mais nous étions débordés, à cause des vacances d’Août qui arrivaient. En fait ce fut la dernière semaine de juillet qui nous permit d’avoir un contact téléphonique, pour organiser une dernière rencontre avant le départ en vacances. Ce fut assez compliqué et la seule solution qui nous restait si l’on voulait un petit moment d’intimité, et c’était qu’elle qui m’appelant me proposa de venir au bureau après la débauche. Mes bureaux étant indépendants de ceux de l’agence.
Pour m’amuser un peu et après ce qu’elle m’avait dit la pousser un peu : « Comment seras-tu habillée demain, … »Stéphanie : « J’attendais ta question, … d’ailleurs pensant que tu demanderais comment j’étais habillée maintenant, … mais comme tu ne poses pas la question, … »Moi : « Ma chatte adorée est en train de râler, car je ne lui ai pas demander si sa jupe était bien relevée, et si son minou prenait l’air, … »Stéphanie : « Quand je pense que je reste à t’écouter, … tu es vraiment un monstre, … je sais que tu aimes que je sois ainsi, quand je te téléphone, … et comme je suis une femme soumise, ... oui, … je suis comme tu aimes, … et en plus, sans honte, j’aime être comme ça, … »Moi : « Tu es adorable, … et alors pour demain, … fais-moi rêver, … comment seras-tu, … »Stéphanie : « C’est à toi de me dire ce que tu veux, … »Moi : « Habituellement, quand on fait un cadeau, on choisit l’emballage, … »Stéphanie : « T’as réponse à tout, … je pense que l’imper devrait satisfaire mon amant, … »Moi : « Mais c’est parfait je t’adore en imper, … et encore plus sans, … et ça dans mon bureau, … ça va me donner des idées, … je voulais te dire, … »Stéphanie, brutalement : « Non, … tu ne veux rien me dire, … je résiste, …Fais de beaux rêves à demain, … tâches d’être performant, … » la garce elle avait raccroché.

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