Dernière semaine de juin

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dernière semaine de juin Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dernière semaine de juin
Ça faisait 5 jours que je n’avais pas de nouvelles de Stéphanie, et, façon de parler, il m’amusait de la tenir au chaud, et savoir si elle arriverait à réaliser son rêve et je dois dire, maintenant, le mien, passer une nuit entière avec elle, ce pouvait être intéressant de savoir jusqu’où elle avait envie, rêver d’aller, j’étais gourmand de le savoir. D’autre part, j’adorais sa façon de se donner, sa façon de petite bourgeoise (dire cela n’est pas méchant) de se rendre compte, étonnée, qu’elle aimait le sexe, qu’elle en était gourmande et qu’elle se rendait compte qu’elle en avait été privée pendant des années, alors, elle ayant trouvé un type qui lui fait faire des bêtises, des folies, qui lui fait tourner la tête, qui la prend par en levrette, la sodomise ça la dépasse, ça l’affole, un peu mentalement, mais surtout physiquement. Je décidais de l’appeler après le coup de feu du matin. Vers 10,00 h le téléphone sonne, Stéphanie décroche :
Moi : « Bonjour ma belle, … »
Stéphanie : « Bonjour Jean, … » -
Moi : « Tu vas bien, … « -
Stéphanie : « Oui pourquoi, … » -
Moi : « Ça cinq jours que tu ne m’as pas donné signe de vie, … tu veux qu’on arrête là, …, si c’est le cas, tu le dis, … »
Stéphanie : « Non, … Jean, … arrêtes, … ne soit pas méchant, … j’ai eu beaucoup de travail, … »
Moi : « Oui, je connais, … je suis débordé, … »
Stéphanie : « Jean, … s’il te plait pardonnes moi, … soit gentil, … ce soir après la débauche, … dis-moi oui, … » -
Moi : (moi, avec un ton un peu réticent) « Bon, … et que proposes tu, … »
Stéphanie : « Je mets que mon imperméable, … ça te plairait, … je serais nue pour toi, … comme tu aimes, … dis oui, … je ferais ce que tu veux, … »
Moi : « Bon, … d’accord, … tu seras gentille, … »
Stéphanie : « Oui, … j’ai envie de toi, … à ce soir, … je t’embrasse, … non je te lèche, … ».
J’étais un horrible bonhomme de faire ça, mais honnêtement, l’entendre gentille, et consentante m’avait fait bander en pensant à elle et sa venue en imper, cette tenue l’avait marquée, et je pensais que plus tard, bien plus tard quand elle mettrait un imper, les souvenirs lui reviendraient à la tête et peut -être plus bas.
J’étais à la fenêtre quand elle arriva, et elle avait son imperméable et portait un sac qui devait contenir ses habits pour le après. Le temps de monter, ça sonne, j’ouvre la porte Stéphanie est sur le palier, son sac parterre à coté d’elle et elle tient son imper ouvert, montrant qu’elle est entièrement nue.
Stéphanie : « Ça te plait, … »
Moi : « Rentres vite, … tu es folle, … »
Stéphanie : « Oui, … de toi, … bien que tu sois méchant avec moi, … » Le temps de fermer la porte, l’imper était parterre et entièrement nue elle me dit avec un petit sourire : « Tu vois, je suis obéissante, … j’ai mis des bas et des escarpins, … ça fait plus habillée, … pour aller voir son méchant amant, … » Alors qu’elle finissait sa phrase, je l’attirais vers moi et les bras autour de mon cou son corps se colla à moi, se frottant à moi pendant que je prenais sa bouche, suivant le rite habituel. Pénétration d’une bouche aux lèvres serrées, qui s’ouvrent doucement puis nos langues se caressent, pour qu’ensuite accaparent ma langue, elle l’aspire et la pompe. Une façon de faire l’amour par procuration. Mais cela semblait lui plaire et je pense l’excitée. Pendant ce jeu de langue je lui caressais, le dos les épaules, les reins les fesses, enfin, alors que je descendais dans son cou elle me dit : « Jean tu m’as fait de la peine, … j’en aurais pleurée, … »
Moi « Pourquoi, … »
Stéphanie : « Le jour où tu voudras que je te quitte, … ou que tu voudras me quitter, … dis le moi, … je partirais tranquillement, … je partirais avec regret mais tranquillement, … tu auras été un beau passage dans ma vie, … mais je partirais, … »
Moi « Tu as fini, de dire des conneries, … adorable jeune femme, … tu es belle, … tu sais que j’aime ta façon de te donner, … j’adore ton esprit jeune et enthousiasme, … j’adore ton corps, … tu le sais et tu en profites, … »
Stéphanie : « C’est gentil … dis-moi que tu as envie de moi, … aujourd’hui c’est moi qui vais m’occuper de toi, … peut-être pour me faire pardonner de ne pas t’avoir appelé, … (en riant) canapé ou table, … »
Moi « Si c’est pour faire ce à quoi je pense, … ce devrait être la canapé, … »
Stéphanie : « Je pense que c’est le bon choix, … Viens suis moi, … » et nous voilà parti l’un derrière l’autre, je pouvais admirer son dos, ses fesses qui se remuaient à la cadence de ses pas, ce qui n’était sans un certain effet sur mon anatomie et d’un coup j’eus envie de la toucher, de la caresser de la prendre dans mes bras de la collee à moi. Je me rapprochais et la saisissais un bras à la hauteur des seins, dont un que je prenais à pleine main, l’autre à hauteur de sa taille, et qui glissa jusqu’à sa fourrure :
Stéphanie : « Jean qu’est-ce que tu fais, … »
Moi « Te voir marcher devant moi, comme tu es, j’ai eu envie de te toucher, de te caresser, de te serrer contre moi … » lors de ce court échange, nous nous étions arrêtés et ses mains s’étaient posées sur les miennes et alors que je posais mes lèvres dans son cou, elle me dit : « Soit gentil, … tu sais que nous n’avons pas beaucoup de temps, … et je te sens contre mes fesses, … laisses moi faire, … » Et nous sommes repartis. Arrivés au canapé, elle se retourna, je la saisi et il y eut une belle partie de lèche museau. Alors que je voulais me déshabiller, Stéphanie : me dit : « Non, … c’est moi qui doit m’occuper de ça, … », la chemise fut éjectée et pendant qu’elle défaisait la ceinture de mon pantalon ses lèvres s’occupèrent de m’embrasser poitrine se concentrant sur mes tétons, les léchant, les suçant. Enfin s’accroupissant elle descendit pantalon et caleçon, libérant ainsi « popol » qui se redressa fier et en pleine forme. :
Stéphanie : « Tu ne vas pas rester debout, … assieds-toi, … » et elle me bouscula gentiment et comme quelques jours avant elle se glissa entre mes cuisses et prenant mon sexe doucement entre ses doigts me dit : « J’aime quand tu es comme ça, … dur, … je sens qu’il vibre, … maintenant je veux te gouter, … » et elle se pencha et commença à me lécher les couilles doucement du bout de la langue, après quelques minutes de ce traitement elle en prit une en bouche pour la sucer, comme elle aurait fait d’un gros bonbon, puis l’abandonnant elle posa ses lèvres sur le gland, le titillant du bout de la langue, pour enfin le prendre en bouche, comme elle savait le faire et depuis la première fois où elle m’avait sucé, elle avait fait de sérieux progrès et elle était capable de me faire bander très rapidement, et là j’avais la bite qui, continuant comme cela allait exploser. Je l’arrachais de mon sexe, sa réaction fut rapide : « Tu n’aimes pas, … »
Moi : « Si j’adore, mais c’est toi que je veux, … je veux ta chatte, … depuis le temps, … je veux te baiser, … » elle s’arrêta et sans hésiter se mis en levrette sur les tapis : « C’est ça que tu veux, … viens, … prends moi, … comme tu veux, … oui, … montes moi dessus, … » et sa main me guidant je la plantais d’un bon coup de rein : : « Oh oui, … j’aime, … baises moi fort, … donnes moi du plaisir, … tu sais que tu me rends folle, … (je lui claquais une fesse) … OUI, …ENCORE, … » Je remettais une autre claque sur l’autre fesse : « Oh, … OUI, … dis-moi que t’aimes me prendre, … que je me donne à toi, … OUI, … dis-moi que je suis ta femelle, … »
Moi : « Tu sais que t’as un joli cul, … je pense, … »
Stéphanie : « Oui, … ce que tu veux, … c’est à toi, … je me prépares toujours pour toi, … oui, ... prends moi, … encules moi, … tu m’as fait aimer ça, … » Ayant eu son accord, je me retirais de sa chatte et alors que je tâtais de la souplesse de sa jolie rosette, elle posa ses deux sur ses fesses pour les écarter et me faciliter le passage, l’affaire semblait bien se présenter, la rosette était souple et se laissa pénétrer sans grande résistance : « Oui, … forces un peu, … j’aime te sentir rentrer, … »
M’ayant entièrement avalé, je commençais à ramoner son joli cul qui au fur et à mesure s‘ouvrait : Moi : « Tu ne veux pas caresser ta chatte, … »
Stéphanie : « Oh oui, … j’aime me caresser quand tu prends, …prise des deux côtés c’est bon, … continues, … » alors je lui claquais, ce qui l’a fit se cabrer, puis se fut l’autre fesse, nouveau cabrage : « J’aime, … continues, … ne ralentis pas, … je sens que ça vient, … je mouille, … ne t’arrêtes pas, … OOOHHH, … OUIII, …OUIIII, … » elle lâcha sa chatte et fut saisi d’un joli spasme, qui fit bander son cul et il fut suivi de plusieurs contractions pendant que je me vidais dans son joli cul, pour enfin s’affaler par terre et de se fait m’arracher de sa rosette. Elle mit quelques minutes à retrouver son souffle et venir sur moi.
Stéphanie : « Embrasses moi, …tu vois je suis complètement à toi, …tu m’a prise partout, … je suis heureuse, … » On fit un petit câlin, puis regardant l’heure, « Bon, … on a encore un peu de temps, … je vais me refaire, … » et pendant qu’elle se refaisait une beauté : « Au fait as-tu reçu ma photo, … » Moi : « Oh oui, désolée, elle est, ici, bien en vue sur mon bureau, … «
Stéphanie : « C’est pas vrai, … tu es fou, … »
Moi : « Non, … je n’ai pas de photos de toi, … ce qui serait imprudent, … et ainsi ça me permet de penser à toi. … »
Stéphanie : « A part ça, … qu’est-ce que tu as inventé, … »
Moi : « Je commence à te connaître, tu es bien épilée partout, … mais autour de ta chatte je pense que tu épiles la bande maillot, … et qu’apprès tu tailles très court ta jolie fourrure tu dois améliorer cet endroit »
Stéphanie : « Ne me dis pas que tu veux que je m’épile complètement, … comme les actrices porno, … c’est déjà une idée qui trotte dans la tête d’André, … »
Moi : « Non, … absolument pas, … pour les actrices pormo, … il faut qu’elles soient épilées complètement, … pour permettre de bien filmer la pénétration du sexe de la femme par le type, … il y aurait une forte toison, les spectateurs n’y verraient rien, ce qui n’est pas le but, … donc elles doivent être entièrement épilées, … »
Stéphanie : « Alors, où veux-tu en venir, … »
Moi : « Pour toi, le problème n’est pas le même, … Tu dois augmenter la largeur de la bande maillot et obtenir un joli triangle au-dessus de ton minou, … un joli triangle bien visible, … tu laisses pousser ta toison, … qu’elle soit bien fournie, … tu ne la tailles pas, … c’est nettement plus agréable et excitant pour celui qui va s’occuper de ta chatte, … »
Stéphanie : « Je ne vois pas l’intérêt, … la majorité des filles taillent leurs poils, … le plus ras possible, … »
Moi : « Peut-être parce que les mecs n’y connaissent rien, et les filles suivent bêtement une mode idiote, … Rends toi compte, … ta fourrure garde ton odeur personnelle, … ton odeur de femme, … le gars qui va s’intéresser à toi, … à ta chatte qu’est-ce qu’il attend, … »
Stéphanie : « Que je lui cède, … » -
Moi : « Si tu lui cède facilement, … OK, … il va tirer un coup, … et bonsoir madame, … je ne parle pas de ce genre de rigolo, … qui ne t’apporte rien, … je parle du gars qui aurait quelques sentiments pour toi et qui aimerait une relation plus ou moins durable, … au même titre que tu le suceras, il aimera gouter à ta chatte, … »
Stéphanie : « Il me préférera avec une touffe bien courte ou épilée, … »
Moi : « Là est l’erreur, … épilée ta chatte n’a pas ou peu d’odeur, … la touffe bien taillée, … c’est mieux, … mais ça ne monte pas à la tête de ton amant et par conséquent ce n’est pas très excitant, … mais une belle fourrure ça sent bon, ça sent la femme, … Imagines après une journée de travail tu rentres chez toi tu prends une douche, tu te savonnes, … ta chatte va sentir le savon, ... c’est pas excitant, autant bouffer du savon, … le nuit se passe ainsi que la journée, … ta chatte a été enfermée dans ta petite culotte, ta fourrure va prendre l’odeur de ta chatte, … et si pour une raison quelconque, ton amant a appelé et t’a dit des choses excitantes, si tu es un peu excitée, … je dirais si tu as mouillé, … c’est extraordinaire à sentir, … à humer,… cette odeur chaude, … un peu acre, … c’est bandant … »
Stéphanie : « Bon, … après cet excellent cours sur ma fourrure, il faut que m’en aille, … tu peux me rappeler, …» une bise et elle était partie.

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