Le lendemain vers midi - Fin Juillet

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le lendemain vers midi - Fin Juillet Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le lendemain vers midi - Fin Juillet
J’arrivais au bureau de Stéphanie, enfin au bureau de l’entreprise, volontairement, juste avant midi de façon, à croiser tout naturellement André. Échange de politesse et il m’accompagne au bureau de Stéphanie en lui disant : « M. Jean voulait me voir, mais j’ai un camion en panne, tu peux t’en occuper »Stéphanie : « Pas de problème, … Bonjour M. Jean, … (son mari étant parti) qu’est-ce que tu fais ici, on devait se voir après 5 heures, … »Moi : « Tu me manquais, …Stéphanie : « Menteur, … qu’est-ce que tu es en train de mijoter, … »Moi : « J’ai envie de toi, … »Stéphanie : « Tu es complétement fou, … »Moi : « Mais, non, … d’abord tu vas ouvrir un peu plus ton décolleté, que je me régale à la vue de tes jolis seins, … et tu vas remonter ta jupe, … »Stéphanie : « Tu es fou à lier, … »Moi : « Mais non, il n’y a plus personne et tu aimes que je m’occupe de ta jolie poitrine, … » et me levant je me plaçais derrière sa chaise et posais mes mains sur ses seins. Aussitôt, ses mains vinrent se poser sur les miennes avec : « Arrêtes, … tu es fou, … »Moi toujours lui caressant les seins, à travers son corsage, ses mains sur les miennes accompagnant mes mouvements : « Fou, … oui de tes seins, de ton corps, … ça fait longtemps que je ne t’ai pas caressé, que je n’ai senti tes seins dans mes mains, … ouvres un peu plus ton corsage, que je sente bien tes seins, … »Stéphanie moins exigeante : « Sois gentil, …tu sais bien qu’on ne peut pas continuer, … »Moi : « Mais je sens tes tétons qui devienent durs, … c’est que tu aimes, … et je suis sûr que veux que je continue, … et après tes seins, je veux sentir ta touffe, … d’ailleurs en regardant bien, je vois, à travers ton corsage, que tes tétons sont en train de pointer, … comme j’aime, … »Stéphanie mettant ses mains sur ses seins : « Tu dis des bêtises, …tu ne peux rien voir, … »Moi : « La position de tes mains montrent que j’ai raison, … tes tétons deviennent durs, … très durs, … enlèves tes mains, j’ai envie de caresser tes seins, … on est seul, … je suis sûr que tu en as envie, que je le fasse … »Stéphanie : « Arrêtes, … (enlevant ses mains) bon regardes, … après tu ne me tarabustes plus, … »Moi : « Augmente ton décolleté, on est seul, … je te fais juste une petite caresse, … juste pour te mettre en forme, … on a un peu de temps à nous, … et après on s’occupe de ta chatte, … elle n’attends que ça, … remontes bien ta jupe, … »Stéphanie, les mains sur sa jupe qui était remontée à mi-cuisse : « Arrêtes, … tu ne veux pas, … »Moi : « Gouter à ta chatte, … mais si, … je veux que tu me fasses sentir ta douce odeur, … tu remontes ta jupe que je vois que ta chatte est bien nue, … et après je te dirais, … »Stéphanie : « Non, … tu me rends folle, … je ne peux pas, … »Moi : « Mais si, … tu dis toujours non au début et après tu le fais, car tu sais que tu vas avoir du plaisir à le faire, … tu aimes m’obéir, … sois donc la gentille femme obéissante, … je dirais même soumise, … car tu aimes, …» Je m’étais installé en face d’elle et je la regardais avec gourmandise.
Stéphanie : « J’ai agrandi mon décolleté, … j’ai remonté ma jupe, … tu as vu que je n’ai rien sous ma jupe, …tu sais que pour te faire plaisir je n’en porte plus au travail, …qu’est-ce que tu veux de plus, … »Moi : « Je veux sentir ton odeur, … Poses ta main sur ta chatte, … doucement, … et caresses la, … »Stéphanie : « Tu veux que je me caresse devant toi, … c’est fou, … mais c’est intime, … »Moi : « Mais entre nous il n’y a plus d’intime, on se fait plaisir, … on se donne du plaisir, … caresses ta chatte, … tu fermes les yeux, … je ne suis pas là, … et moi te voir te caresser, … ça me fais bander, … et ça me rend dur, … et tu aimes quand je sois bien dur quand tu me suces, … »Stéphanie : « Non, je suis folle, … (alors qu’elle s’était légèrement enfoncée dans sa chaise et avait ouvert largement ses cuisses), …non je ne pourrais pas, … » mais c’était presque gagné, sa main caressait doucement sa chatte.
Moi : « Oui, caresses toi doucement, … là, oui, … comme ça, … laisses ton majeur s’enfoncer entre tes lèvres humides, … il se mouille, … dis-moi que tu aimes, … » Elle avait fermé les yeux se caressant doucement la chatte, son majeur pénétrant petit à petit entre ses grosses lèvres, suivi d’ailleurs par son annulaire. Et elle commença à se masturber, de plus en plus fort et surtout de plus en plus profondément. Visiblement je n’étais plus là, elle non plus, la tête concentrée sur ce qu’elle faisait, plus elle accélérait, plus elle s’enfonçait dans sa chaise en écartant généreusement ses cuisses. Pour ma part l’effet était certain et je bandais dur, me demandant comment cela allait finir, quand tout à coup, elle eut un cri rauque de gorge, alors que sa main s’enfonçait profondément dans sa chatte. Elle jouissait fortement et elle fut saisie d’un spasme assez brutal, qui la fit se recroqueviller sur elle-même et fut encore secouée de plusieurs contractions.
Stéphanie semblant se réveiller, mi-souriante mi-fâchée : « Tu es content de toi, … j’ai fait ce que tu voulais, … je ne sais si je dois être honteuse ou contente de ce que tu m’as fait faire, … »Moi : « Donnes-moi ta main que je te goutte, … » alors que je gouttais à ses doigts trempés de son plaisir, je lui dis : « T’as aimé ce que t’as fait, … »Stéphanie brutalement : « OUI, … »Moi : « Tu as aimé que je te regarde, … »Stéphanie brutalement : « OUI, … »Moi : « Tu as aimé jouir, …Stéphanie brutalement : « OUI, … et arrêtes de poser des questions idiotes, prends-moi dans tes bras, … serres moi fort, … fais-moi faire un câlin, … » et elle fut dans mes bras, collée à moi et se frottant c’est alors qu’elle sentit que je bandais dur et glissant sa main entre nous deux : « Mais dis donc, … c’est quoi ça, … il faut s’en occuper, … »Moi : « J’attends tes suggestions, … » Stéphanie : « Tu ne penses pas que tu vas me prendre ici, … »Moi : « Non, … il ne faut pas rêver, … mais tu vas me sucer, … j’ai une grande envie, de prendre ta bouche, de sentir tes lèvres sur mon sexe, … » Je m’attendais à des protestations, mais non, docilement, elle se laissa glisser vers le bas, abaissant pantalon et caleçon et après quelques secondes où elle sembla regarder la chose, enfin jouant de ses doigts câlins et agressifs, de sa langue douce, pointue et enrobante, enfin utilisant le velours de ses lèvres pour parcourir ma bite et enfin m’avalée. Il ne lui fallut par longtemps pour me rendre compte qu’à ce rythme, j’étais au bord de l’explosion et que je ne tiendrais pas longtemps, je lui signalais la chose. La réponse fut : « Hum, … » Rien n’y fit, elle se mit à me pomper avec encore plus d’énergie et elle avait fait de gros progrès quant à cette pratique et n’y tenant plus je me vidais brutalement en deux fois dans sa bouche accueillante. Le tout disparut alors qu’elle se relevait et venait se frotter à moi : « Caresses moi, … j’ai envie de toi, … fais quelque chose, …je sens ta place en moi, … » J’avais sorti son corsage de l’emprise de sa jupe et caressant son dos je dégrafais son corsage libérant ainsi sa belle poitrine. Prenant ses seins elle me les offrait à tour de rôle pour que je les goutte, les suce, …Pendant cette partie de lèche nénés, j’avais vainement tenté de passer une main sous sa jupe, peine perdue, il y avait trop de tissu. Changeant de tactique, je la poussais vers son bureau et je pense qu’elle comprit rapidement où je voulais en venir et peut-être elle aussi. En effet à peine assise sur son bureau, alors que je la poussais pour qu’elle s’étende, elle-même elle remonta sa jupe, montrant et mettant à disposition sa fourrure et bien sur sa chatte. Alors que je me penchais vers et sur sa chatte elle posa sa main sur ma tête m’indiquant réellement ce qu’elle voulait et que je voulais aussi. Le nez dans sa fourrure à l’odeur à vous saouler, j’entreprenais de gouter à sa chatte à petits coups de langue : « Oui, … continues, … » et j’allais la fouiller avec ma langue et enfin, deux doigts s’enfoncèrent en douceur dans sa grotte d’amour, alors qu’elle se cambrait pour faciliter la pénétration de sa chatte trempée de son excitation : « Oh, … Oh, … c’est bon, … j’aime ça, … j’aime te sentir me prendre, … » c’était le moment de la masturber avec énergie, étant ouverte et chaude à point. Et tout en lui titillant la chatte avec la langue, je tentais une approche de sa rosette, voir si elle était accueillante, mais la réaction fut pratiquement instantanée : « « Non … pas là, … ce soir si tu veux, … ce sera à toi, … » je revenais rapidement à sa chatte puisque tel était son désir et surtout qu’elle était chauffée en attente d’être terminée : « Oui, … ne t’arrêtes pas, … vas plus fort, … prends moi plus fort, … je te sens, … continues, … je vais, … OOOOHHHH, … OUIII, … » elle s’était cabrée en ayant encore ouvert le compas de se cuisses s’était mise à jouir et à ruisseler de plaisir avant d’être secouée par un fort spasme, qui la fit se lettre en boule. Pour ma part j’avais été pratiquement éjectée et même repoussé. Alors qu’elle reprenait son souffle et revenait sur « terre ». Elle se laissa glisser à terre et vint contre moi : « Tu me rends folle, … t’es fou de me faire ça, … tu sais que je ne peux rien te refuser, … et tu abuses, …tu te rends compte si quelqu’un était venu, … »Moi : « Pas de soucis, … personne n’est venu, …et tu en avais tellement envie, … je t’attends à la débauche, …en pleine forme, … prête à toutes les folies, … » Une partie de lèche museau et un semblant de corps à corps et j’étais parti.
o Après la débaucheStéphanie arriva juste après la débauche. Elle arriva tout sourire, et à peine entrée il y eut un : « Bonjour Jean, … » accompagné d’une ouverture complète de l’imper et : « On ne sera pas dérangé, … » l’imper était sur le dos d’un fauteuil et elle était nue dans mes bras : « Mon entrée en scène t’a plu, … tu remarques, j’ai mis des bas et des escarpins, … tu m’as dit que ça faisait plus habillée, …»Moi : « Tu es complètement folle, … remets ton imper on ne sait jamais, … »Stéphanie : « Ne t’inquiètes pas. A l’accueil personne, c’était l’heure de la débauche et elle était en train de partir. Les autres aussi … »Moi : « Tu vas me rendre fou, … attends je vais aller fermer la porte, … »Stéphanie : « Oui, … mais mon amour, … c’est moi qui suis folle de toi, … ça m’excite d’être nue dans ton bureau, … c’est toi qui m’a fait connaitre le plaisir d’être nue, … moi qui n’aimais pas me déshabiller même dans le vestiaire des femmes à la piscine, … tu m’as fait aimer mon corps, …maintenant ça ne me gêne plus, … j’y trouve même un certain plaisir, … et devant toi, encore plus, … car je sais que tu deviens dur, … et quand tu es dur, quand tu bandes, … je sais que tu vas me prendre, … tu vas me donner du plaisir, … beaucoup de plaisir, … maintenant ça fait longtemps que je n’ai pas été à toi, … viens, … » et elle s’assit sur la table de conférence, les cuisses largement ouvertes : « Regardes, je vais m’offrir à toi, … avant de t’occuper de ma chatte, je voudrais que tu me caresses, … que tu t’occupes de mes seins, … j’aime quand tu les suces, les lèches, … simplement d’y penser, ils deviennent durs, … embrasses moi partout, partout… après tu verras je serais toute chaude, … à ta disposition, tu feras de moi ce que tu voudras, … je suis venu pour ça, … puis, tu t’occuperas de ma chatte, … » Ainsi présenté, je ne pouvais que me soumettre à ses désirs, d’autant qu’ainsi assise sur la table, j’avais son cou, ses seins à disposition et elle pourrait ensuite se basculer sur le dos, pour que je la prenne, que je me fasse plaisir. J’enlevais ma chemise et me glissant entre ses cuisses largement ouvertes, je passais de ses lèvres à ses seins, mordillant ses tétons, qui étaient durs et j’en profitais pour lui faire un suçon sur le côté du sein gauche. Elle s’en rendit compte : « Brute, … tu l’as fait exprès, …ça me fera penser à toi … » et je continuais, par son ventre, mais avec ma main droite posée sur sa chatte que je caressais doucement et c’est elle qui réagit : « Arrêtes, tu m’excites, … occupes toi de ma chatte, … c’est là que je te veux, et … dis- moi, si tu aimes mon odeur, … j’ai fait comme tu m’as dit, … dis-moi si je sens bon, … regardes c’est à toi, … viens t’occuper de ma chatte, … », ainsi offerte avec : « Viens, … je m’offre à toi, … et c’est la dernière fois que l’on se voit avant les vacances, … fais toi plaisir, … et donnes moi du plaisir, … je suis venue pour ça, …je me suis préparée pour ça, … fais-moi des souvenirs, …»Comment refuser ce que cette jeune femme, non cette jeune femelle, m’offrait si gracieusement, d’autant qu’après notre échange où elle s’était dévoilée au propre comme au figuré, si je voulais la garder, car pour l’instant elle n’était pas exigeante, mais quand elle s’apercevrait de son pouvoir, ce serait un autre sport et je serais certainement distancé par des mâles plus jeunes. Je m’installais dans l’espace ainsi ouvert et me mis à m’occuper sérieusement de sa chatte, elle m’avait provoqué, je voulais la faire jouir et voulait qu’elle demandât grâce. Il était vrai que sa fourrure était agréable et excitante à sentir, elle avait dû la conserver enfermée depuis mon départ et dégagée juste avant d’arrivée. Ses grosses lèvres étaient chaudes et légèrement humides, l’ensemble était excitant au possible. Elle me faisait bander, sans pour l’instant n’avoir rien fait, il me fallait agir, … après mettre saoulé de son odeur de femelle, je commençais à lui titiller la chatte à petits coups de langue pointue, puis parcourant la raie de ses grosses lèvres, celai sembla l’énerver : « As-tu fini, de t’amuser, … de me faire attendre, … rentres, … » Elle ouvrait encore plus le compas de ses cuisses et là, ma langue s’enfonça dans sa chatte et en même temps deux doigts la pénétrèrent gentiment, doucement, ce qui entraîna : « 0h, ça c’est bon, … continues, … j’aime te sentir me prendre, … » c’était le moment de déclencher les hostilités et de la masturber avec énergie, ce que je fis : « Oh, … j’attendais ça, … il faut toujours que je demande, …j’aime ça, … continues, … plus fort, …et puis arrêtes, … non, … prends moi, … c’est toi que je veux sentir me prendre, … prends moi par derrière, … oui, je me suis préparé pour toi, … pas tes doigts, … ton sexe, … je t’attends, …» Elle se laissa glisser et se retourna pour enfin s’appuyer sur la table et mettant ses deux mains sur ses belles fesses t les écartant : « Regardes, … oui j’aime t’offrir ça, … oui, … encules moi, … il est à toi, … » Voyant ce joli cul si joliment offert je n’avais plus qu’à m’exécuter et me positionnant sur sa rosette j’entendis : « Forces moi, … n’hésites pas, … oui, … rentres, … » J’avais ainsi pu investir son joli cul et je commençais à le ramoner. Cramponnée à la table elle se prêtait au jeu, acceptant mes bons coups de reins, c’est alors que je réalisais : « Je croyais que dans cette position tu aimais caresser ta chatte, tu ne t’occupes pas de ta chatte, … »Stéphanie : « Oui, … mais tu ne m’as rien dit, … »Moi : « Occupes toi de ta chatte, … caresse là doucement, … et dis-moi ce que tu fais, … » et aussitôt sa main droite se glissa dans son entrejambe et commença à s’occuper de sa chatte, pendant que je ramonais, son joli cul, pour mon plaisir.
Stéphanie : « Oui, … continues, … j’aime être prise des deux côtés, … c’est bon, … dis moi que tu aimes me prendre comme çà, … surtout ne t’arrêtes pas, … je sens, … OOOHHH, …OUIIII, … continues, … OUIIII, … OOOHHH, … c’est bon, … JE JOUIS ? … » et elle se contracta et je dus abandonner la position, … mais je bandais encore dur, même très dur et surtout, je ne m’étais pas vidé de ce plaisir que j’avais dans les reins, de la faute à ce que nous avions fait enfin de la splendide pipe qu’elle m’avait faite et qui m’avait partiellement vidé et je n'avais pas eu le temps de recharger les batteries, de fait j’étais devenu une machine à baiser et il me fallait me vider. Tout cela se passa très vite et je vis les jolis bourrelets des grosses lèvres de Stéphanie brillants de mouille, et sans réfléchir et sans hésiter je m’enfonçais dans sa chatte d’un bon coup de rein, la réaction fut immédiate : « OH, … non, … tu ne vas pas, … »Moi : « Si j’ai encore envie de toi, … je veux prendre ta chatte, … tu es toute chaude, … ouverte, … je suis sûr que t’en as envie, … »Stéphanie : « non, … tu vas m’épuiser, … mais, … c’est pas vrai, …tu es fou, … »Moi : « Mais si, … tu es mouillée d’envie, …je te veux, … je vais te faire jouir, … tu es ma femelle adorée, … et tu aimes que je te bouscule un peu, … tu aimes baiser, … te donner, … et que je te monte dessus, … tu aimes obéir, … » et je claquais ses jolies fesses tout en la ramonant fort, car il fallait que je me vide.
Stéphanie : « Monstre, tu sais que je fais toujours ce que tu veux, …et puis, … zut, … oui… j’ai envie de toi, … fais-moi l’amour, … baises moi, … remplis moi de toi, … »Fort de sa demande je continuais à la ramoner avec énergie d’autant plus que j’étais excité au possible et que j’avais la bite dure et les reins chargés malgré l’agréable séance de ce matin. Et plus je la baisais fort plus elle disait son plaisir d’être prise ainsi : « OH, … oui, … j’aime que tu me forces, … oui pends moi fort, … j’aime me soumettre à ton plaisir, … oui brutalises moi, … tu m’as fait gouter à ce plaisir de t’être soumise, … je suis à toi, … tu le sais, … baises moi fort, … très fort, … OOOHHH, … OUIIII, … continues, … OUIIIII, … » alors qu’enfin cramponné à ses hanches j’arrivais à me libérer à ce moment elle fut secouée par un puissant spasme, qui la fit se cabrer et me permit de m’enfoncer encore plus dans sa chatte et la remplir son plaisir de mon plaisir.
Elle se laissa aller et reprenant son souffle assez rapidement, elle se redressa et venant contre moi : « Tu es content de toi, … le matin, le soir, … il faut que je sois entièrement à toi, … tu ne penses pas que tu exagères, … »Moi : « Non, … car tu es consentante, … chaque fois tu as eu du plaisir et c’est ce que tu veux, … non, … c’est ce que tu cherches, … c’est ce que tu aimes, … tu es prête à tout pour avoir du plaisir, … pour que je te fasse jouir, …et surtout tu t’aperçois que tu aimes les plaisirs du sexe… »Stéphanie : « Tu as réponse à tout, … mais c’est vrai que j’aime m’offrir à toi, … j’aime savoir que tu me désires, … j’y pense souvent, … maintenant il faut que j’y aille, … je vais me transformer en femme honnête, … mais avant caresses moi encore, … et lèches moi les seins, … » Ce que je fis, et elle sortit de son sac de quoi s’habiller. En quelques minutes elle était prête, un coup de peigne et elle vint contre moi en disant : « Comme on se sépare pendant un mois, je voulais te dire avant de partir, … interdit de rire, … je vais te dire un truc idiot, … je crois que je suis amoureuse de toi, … Au revoir » et elle était partie

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