A quatre tout est possible - histoire érotique

« Mais vas-y. suce le ! » Celle qui encourage ainsi son compagnon, Léopold, à sucer le sexe particulièrement long de leur ami Jean-Philippe c’est Chrystèle. Avec Lydia, la femme de Jean-Philippe, elles se sont bien amusé, léché, pénétré et elles considèrent que c’est maintenant à leurs hommes de prendre le relais. Peu habitué aux aventures homosexuelles et surtout très gène de le faire devant sa compagne, Léopold hésite. Pédagogue Jean-Philippe ne le force pas. Ces dames l’encouragent puis Chrystèle décide de prendre les choses en main ou plutôt la tête de Léopold vers le sexe de Jean-Philippe : « Suce le. C’est un ordre ». Plutôt réservée d’habitude elle est totalement déchainée ce soir-là et Léopold ne peut s’empêcher de penser que la quantité de vodka qu’elle a bue y est pour quelque chose.

Mais revenons quelques heures plus tôt. Les deux couples se sont rencontrés dans un bar près de la Bastille. Entre le couple de trentenaires, Chrystèle et Léopold, et les quarantenaires, Lydia et Jean-Philippe, le courant est tout de suite passé. Surtout entre les deux femmes. Elles se sont vire rendu compte qu’elles avaient les mêmes centres d’intérêt, étaient même allées dans le même lycée et surtout qu’elles avaient très envie l’une de l’autre. Si elles ont à peu près la même taille, un bon mètre 72, Chrystèle est plus fine que Lydia. Si elles ont toutes les deux une superbe poitrine, celle de Chrystèle ne dépasse pas – quand même ! – le 95C quand Lydia dépasse le 100D.

Deux belles plantes en tout cas qui se sont vite embrassé, léché, ont soupesé leurs seins, essayé différents jouets – dont un œuf vibrant dont elles ont perdu la télécommande -, ont fini par se déshabiller entièrement pour mieux se lécher. « Leurs seins sont incroyables, tu ne trouves pas Lépold ? » Beaucoup plus grand que Léopold, Jean-Philippe est un peu barbu et leur a tout de suite indiqué qu’il « aimait aussi beaucoup les hommes ». Mince, très peu poilu, 1m80, Léopold a toujours beaucoup plus aux hommes sans jamais aller plus loin qu’une fellation. Et jamais en présence de Chrystèle. C’est dire s’il a besoin de son soutien pour franchir le pas et prendre la superbe bite de Jean-Philippe en bouche. Mais là quel bonheur de la sucer longuement, de lui lécher ses couilles glabres, de venir, revenir. Et Jean-Philippe qui prend son contrôle, dit : « Vous avez vu cette belle salope. » Et les femmes de rire : « C’est bien qu’il se rende compte ce que c’est de sucer ! »

Lydia et Chrystèle sont nues sur le canapé. Léopold est à quatre pattes devant Jean-Philippe et le suce. Jean-Philippe fait pénétrer son sexe de plus en plus loin dans sa bouche. Lydia se lève. S’installe derrière Léopold et commence à lui pincer les seins. Léopold bande à son tour quand elle le prend en main : « Viens me prendre ». Elle se place en levrette. Il se retourne, la pénètre, prend ses seins à pleine main. Très excitée Chrystèle se dirige vers Jean-Philippe et le suce à son tour. Pour la première fois ils partagent le même sexe.

« Tu veux que je prenne ton mec ? » demande Jean-Philippe. « Vas-y » répond Chrystèle, heureuse de lui imposer des figures qu’elle connaît maintenant très bien après presque dix mois de libertinage. Jean-Philippe s’avance. Met un préservatif. Lubrifie le cul de Léopold. S’avance. « Tu vas aimer », promet Chrystèle à son mec. « Tu vas aimer. Jean-Philippe est un expet », répète Lydia tout en se faisant bien baiser. Léopold sent l’autre homme qui s’approche, son long sexe qui bat contre ses fesses. Ca y est. Il commence sa pénétration. Pour une première Léopold tombe bien. Si le sexe de son amant a une longueur appréciable son calibre est tout à fait supportable.

Ca y est. Léopold geint comme un femme. Sous les coups de boutoir, il débande et Lydia se pousse. Avec Chrystèle elles vont admirer le spectacle. Jean-Philippe décide de retourner Léopold pour le prendre par devant : « Voilà, soit une bonne femelle ». Il l’embrasse, sa langue le pénètre à son tout. Léopold adore. Il rebande même peu à peu. Chrystèle se dit que rien ne sera plus comme avant. Lydia a décidé de prendre part au jeu. Elle amène deux godes ceintures : « Mets ça chérie, tu vas me prendre. Et moi je vais prendre Jean-Phi ».

A partir de là le spectacle vaudrait les honneurs d’un festival de l’érotisme. Les deux hommes se prennent. Lydia prend son homme. Chrystèle prend Lydia. Seulement le rythme est difficile à tenir. D’autant que Jean-Philippe jouit bruyamment dans le cul de Léopold.

Plus tard dans la soirée, dans une nuit qui n’en finit plus, ces dames vont prendre un bain et Léopold s’endormir dans les bras de son amant. Ils ne partiront qu’à l’aube de l’immense loft de leurs amis.

« Ca t’a plu ?
- Tu veux dire de me faire prendre ?
- Oui.
- Tu voudras recommencer.
- Pourquoi pas ?
- Je crois qu’il ne faudrait pas en abuser.
- Je crois aussi. »