Féérie royale au Cap d’Agde (6ème partie) - histoire érotique

« Il faut que je vous avoue quelque chose : dès qu’un homme, pas trop mal, viril, sûr de lui, me drague, je suis à lui. Je ne sais pas si c’est parce que je ne les ai longtemps pas attirés – j’étais affreusement maigre jusqu’à mes 17 ans – mais depuis qu’ils s’intéressent à moi, je dois l’avouer, je suis une vraie salope. » Passablement éméchée, Chrystèle se livre ainsi devant les invités de leurs amis, Pierre et Evelyne, qui les reçoivent dans leur maison dans la campagne près ce Pézenas, à quelques kilomètres du Cap d’Agde où ils sont en vacances. Elle sent bien qu’elle se laisse aller mais la conversation tourne autour du sexe depuis une demi-heure et elle ne veut surtout pas apparaître comme l’oie blanche de service.
« Plate et pas excitante. Incroyable », s’amuse leur hôte Pierre en louchant sur le fantastique décolleté de Chrystèle. 95C mis en valeur par une robe dos nu. Quand elle veut exciter les hommes elle baisse petit à petit sa robe – rouge – et constate vite l’effet.
Mais ce soir la concurrence est rude. Si Chrystèle et son compagnon, Léopold, sont les plus jeunes – à peine la trentaine - toutes les femmes ont beau avoir dix ans de plus sont incroyablement sexy. Comme Chrystèle toutes portent des robes apparemment sages qui se révèlent l’être de moins en moins à mesure que la soirée avance.
Ils sont cinq couples à partager ce diner dans une grande maison en pierre typique de la campagne occitane. Après un cocktail pris sur la terrasse au-dessus des vignes, ils sont rentrés pour profiter d’un délicieux diner. Pas seulement pour leur âge, Léopold et Chrystèle se sentent un peu décalés. De toute évidence les quatre autres couples se connaissent très bien et depuis longtemps. Ils ne connaissent leurs hôtes que suite à une soirée dans un club libertin puis au hasard d’une visite qu’ils ont faite quelques jours plus tôt dans un monastère. Là ils ont un peu flirté puis Pierre et Evelyne les ont invités à ce diner.
« Et vous, Léopold, quel effet cela vous fait-il d’avoir épousé une salope comme Chrystèle ? » Celui qui l’interroge est un très grand homme, sans doute pas loin de 50 ans, mince, très chic, dont le prénom est Pierre-Charles. Il ajoute : « Je vous rassure, toutes nos femmes sont des salopes et c’est comme cela que nous les aimons. » Il en profite pour embrasser les deux femmes qui sont à gauche et à droite de lui, dont aucune n’est manifestement la sienne.
« Quel effet ça me fait ? Au début ça m’a beaucoup surpris. Chrystèle n’était pas très chaude pour aller dans un club libertin et, quelques minutes après, elle se faisait prendre. Oui ça m’a beaucoup surpris. Puis je me suis habitué », répond Léopold, un peu troublé de sentir les mains de ses deux voisines sur ses cuisses.
« C’est une expérience que nous avons un peu tous faite », l’interrompt doctement un petit homme un peu fort accompagné d’une femme assez petite aussi qui s’exclame : « Toutes les femmes ne sont pas comme nous, ou ne se l’avouent pas, ou ne l’assument pas, mais nous sommes ici toutes des salopes, messieurs, pour votre plus grand plaisir ».
Nous n’en sommes pas encore au dessert mais il semble que l’assemblée ne puisse plus attendre. Les deux femmes autour de Léopold l’embrassent et flattent son sexe pendant qu’il se repait de leurs seins. Toutes les deux très brunes, elles sont un peu fortes mais fort bien pourvues. Elles l’entrainent dehors et il voit à peine Chrystèle livrée à trois hommes qui ont fait descendre sa robe et lèchent ses seins.
Mira et Moira, les deux femmes, entrainent quant à elles Léopold à la piscine, quelques mètres en bas de la maison. Par ce beau mercredi de la mi-août la sensation est délicieuse. Elles se sont vite déshabillé et dénudé Léopold. Plus jeune que leurs maris, plus mince, plus beau il ne lui manque qu’un sexe de plus belle facture pour être irrésistibles mais elles s’en contentent tout en appréciant pour l’instant qu’il lèche alternativement leurs superbes poitrines tout en les malaxant, tout en les doigtant. Pour leur part elles l’excitent aussi puis se retournent, montrant leurs culs : « Laquelle de nous deux vas-tu baiser en premier ? Attention, l’autre va être vexée ». Cruel dilemme : « Vous êtes toutes les deux aussi bandantes l’une que l’autre. Comment choisir ? Laquelle a le plus envie que je la prenne ?
- Attention tu vas perdre ton tour. Tu baises l’une de nous deux dans la seconde ou tu perds tout », lui signifie Mira. Peut-être parce que son tatouage d’aigle en bas du dos l’excite, peut-être parce que le prénom Moira lui rappelle un excellent livre de Julien Green, c’est elle qu’il décide pénétrer dans la piscine sous l’œil courroucé de son amie. Mais à cet instant il n’en a cure. Le fourreau délicieusement trempé de Moira c’est ouvert à ses assauts et il en profite autant que faire se peut.

Pendant ce temps Chrystèle profite de ses trois males. Le très grand Pierre-Charles, le petit Sébastien et leur hôte. Ils sont seuls dans le salon et Chrystèle se fait prendre par Pierre-Charles sur un grand canapé blanc qui a dû en voir d’autres. Après avoir beaucoup apprécié leurs caresses très expertes, elle les a tous trois pris en bouche puis décidé : « Pierre-Charles, tu as la plus grosse, tu vas me prendre en levrette ». Amusés de la voir soudain si directive, ils ont répondu un « Vos désirs sont des ordres » puis Pierre-Charles a commencé son labeur. Très endurant il y a maintenant près de vingt minutes qu’il la besogne tout en lui ordonnant de sucer alternativement ses deux amis. Dont les sexes sont bien durs mais pas aussi excitants que celui de Pierre-Charles. Et puis les grands hommes l’excitent elle qui, de son mètre 75, en rencontre si peu qui la dominent de leur taille. Mais que son pieu est bon se dit elle tout en ayant la surprise de voir que c’est maintenant un sein, celui de Mira, qui se balance devant ses yeux. « Lèche-la tu veux », lui indique Pierre-Charles. Elle ne se fait pas prier. Son sein est délicieux, ferme, doux, elle s’en repait et Mira apprécie.
Encore quelques instants et le petit homme la prend. Leur hôte s’est éclipsé et les deux femmes sont font maintenant besogner face à face tout en se flattant les seins. Elles s’embrasseraient bien mais ces messieurs ne leur en donnent guère l’occasion tant ils les baisent avec entrain. Soudain Pierre-Charles la laisse. « Je peux jouir sur tes seins ? » Elle se retourne, elle le voit le sexe à la main, préservatif ôté, qui éjacule de longues trainées de sperme sur ses seins, surtout le gauche. Elle-même en jouit en se touchant à peine tant ça l’excite de constater l’effet qu’elle fait aux hommes.

C’est sous la douche qu’ils se retrouvent avec Léopold. Sur deux étages la maison compte cinq chambres et autant de salles de bain. « Vous pouvez rester dormir mais pas avec votre conjoint », a expliqué Pierre au début de la soirée. « Avec qui aimerait-tu dormir », interroge Léopold. « A ton avis ?
- Pierre-Charles.
- Bingo », rit Chrystèle tout en revêtant un très beau peignoir blanc. « Et toi ?
- Moira.
- 100D !
- Il n’y a pas que ça mais oui. » Passer la nuit avec un autre partenaire, une expérience qu’ils n’ont pas encore tentée mais qui les excite. Mais avant il y a surement un « deuxième round » comme on dit dans les soirées libertines quand ces messieurs ont rechargé leurs acuts et entreprennent de nouveau ces dames qui n’attendent que ça...