Féérie royale au Cap d’Agde (7ème partie)

- Par l'auteur HDS Couple-subtil -
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Récit libertin : Féérie royale au Cap d’Agde (7ème partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Féérie royale au Cap d’Agde (7ème partie)
A leur retour auprès des autres invités de la soirée Chystèle et Léopold portent les peignoirs blancs que leur hôtesse leur a indiqué de choisir : « Nous n’allons pas nous rhabiller alors que la nuit peut encore être longue ». Ils sont dans la grande propriété de leurs hôtes, deux grands bourgeois parisiens un peu au-delà de la quarantaine, tout près de Pézenas, ville d’Occitanie où vécut Molière. Et justement l’idée de leurs hôtes est de faire jouer une petite scénette aux cinq couples présents. « J’ai écrit des dialogues et les actes de chacun sur ces fiches », détaille leur hôte, Pierre, en les recevant dehors autour d’un braséro.
- Pierre est un fan absolu de Molière. C’est même pour cela que nous nous sommes installés près de Pézenas », rit leur hôtesse, Evelyne, « Vous allez voir, il y a même des costumes.
- Et une scène. Bon pas vraiment mais il y a un décor. Venez, suivez-moi dans la grange. » Sous le regard quelque peu perplexe de leurs invités, un peu fatigués aussi car on vient d’atteindre minuit en ce chaud jeudi de la mi-août, Pierre dévoile un décor qui rappelle celui qu’ils ont déjà vu au Cap d’Agde chez un autre libertin : on se croirait ds le grand Siècle avec de larges fauteuils dans le style Louis XIV, deux canapés, des meubles qui semblent d’époque, d’épais tapis. Et des habits d’époque. Bon ils sont un peu décalés. Pour les hommes le sexe doit rester à l’air. Pour les femmes ce sont les seins.
« Je ne sais pas si vous avez vu "Que la fête commence", avec Philippe Noiret. Mais il y a une scène d’orgie dans un petit château dont je me suis inspiré », reprend Pierre, apparemment très fier de lui : « Mesdames, messieurs, avez-vous bien lu vos rôles ? »Les rôles ne sont pas très compliqués et plutôt drôles. Et bien sûr très sexes. Affublés de leurs costumes, ayant pour les hommes bien pris de soin de donner une dimension correcte à leurs sexes, pour les femmes à faire poindre leurs tétons, ils s’apprêtent à jouer leur premier rôle libertin.

« Mais où sont femmes ? » Pierre entre dans la pièce. Très royal – il joue le rôle du régent de la couronne il est le seul à porter perruque.
« Elles arrivent monseigneur », lui répond Léopold, chargé apparemment de jouer le rôle du serviteur. « Je vais les chercher. » Il revient avec les cinq femmes. « Que de beaux seins », se félicite Pierre en passant de l’une à l’autre, soupesant longuement chaque poitrine, s’arrêtant longuement sur celle, parfaite, de Chrystèle, mais aussi sur celles, plus volumineuses de Mira et Moira, deux brunes quasi jumelles, de sa femme et de la dernière invitée, une petite femme quasi androgyne.
« Mais où sont leurs maris. Il faut qu’ils soient témoins. Vous êtes bien des salopes mesdames ? » Amusées elles répondent : « Oui monseigneur pour vous servir. »« Cléandre, faites-les mander. » Cléandre, prénom issu forcément d’une pièce de Molière c’est Léopold. Il revient avec les trois autres hommes. « Cléandre, ils ne sont pas au pic de leur forme. Je veux qu’ils bandent pendant que je prends leur femme. Faites-les bander. Avec les mains seulement ! » Amusé Léopold branle chacun des trois hommes. Qui ne se font pas prier.
Pendant ce temps Pierre, dont le peu d’entrain pour honorer ces dames pendant le reste de la soirée avait surpris, s’est installé, royalement, sur le grand canapé de couleurs or et vert. « Venez me sucer mesdames. Montrez-leur à quel point vous êtes de grandes salopes. Ils ne me croient pas ces idiots. » Sans se faire prier, un peu embarrassées par leurs robes aux larges crinolines, les quatre femmes se mettent à genou devant leur seigneur et maître. A quatre il n’est pas facile de lécher un seul sexe. D’autant qu’il n’est pas vraiment imposant. Mais elles s’appliquent.
Bien bandé Pierre peut donc appeler les quatre hommes : « Là vous êtes convaincus. Bon maintenant baisez-les. » Eux non plus ne se font pas prier et relèvent prestement les robes sous lesquelles ces dames sont nues. Et bien mouillées comme ils le vérifient vite de leurs doigts impétueux. Chrystèle a l’insigne honneur d’être baisée par le maître de maison, qui lui commande de s’empaler sur lui. Léopold a déjà fait son choix : c’est la petite androgyne qu’il pénètre. Des heures qu’elle l’allume et même si elle n’a pas les attributs mammaires qu’il affectionne, il a tout de suite vu en elle le coup du siècle qui va beaucoup jouir sous ses assauts. Ce qui est toujours bon pour l’égo…Et Nathalie est vraiment à la hauteur de qu’il attend d’elle. Après un petit démarrage en levrette il l’a clouée au sol et il l’embrasse avec passion. Puis lui met ses pieds sur ses épaules pour la pénétrer très profondément. Elle semble en caoutchouc et le suit dans toutes les positions qu’il lui propose. Un vrai Kama Soutra où ils tentent même le périlleux « Charivari » à l’instigation d’une Nathalie qui semble vraiment experte en ma matière.
Pendant ce temps Chrystèle est passée d’un homme à l’autre. Mais soudain se lève et part avec Pierre-Yves. C’était convenu ainsi, chaque couple pouvait se reformer pour la nuit. Et pour la première fois Chrystèle et Léopold allaient donc expérimenter un libertinage complet : toute la nuit comme toute la soirée. Il doit s’avouer que cela lui fait un petit pincement au cœur de voir sa belle suivre si facilement Pierre-Yves, un très beau quinquagénaire qui l’a déjà honorée dans la première partie de la soirée et qui l’a séduite.

« Suis-je amoureuse de lui ? », se demande à cet instant une Chrystèle qui ne fait souvent pas la différence entre le désir et l’amour. Pierre-Yves fait lui très bien la différence en la faisant le précéder dans le grand escalier de pierre qui mène à leur chambre. Elle a enlevé sa robe, il a enlevé son costume, et il la suit en admirant le galbe de ses fesses. La femme de Pierre-Yves est également très belle mais a quinze ans de plus. Il l’a abandonnée sans vergogne – il sait qu’elle trouvera un compagnon pour la nuit - pour accompagner Chrystèle, le « gros lot » de la soirée comme lui avait promis son hôte et grand ami, Pierre-Yves.
Il lui caresse la raie. Elle se retourne. Une marche devant lui ils ont exactement la même taille et ils s’embrassent longuement tout en se caressant. Il la soulève, met ses jambes de part et d’autre et la pénètre dos au mur sur l’escalier. Elle adore, tellement peu d’hommes sont capables ainsi de la prendre avec son mètre 75. Elle geint, l’embrasse, lui caresse le dos. Il ne veut pas jouir tout de suite et la pose pour l’emmener dans leur chambre.
C’est une très belle chambre meublée dans un style occitan. Le grand lit a un dessus de lit rouge vif qu’il se dépêche d’enlever pour la clouer dessus. Il la pénètre longuement, l’embrasse, elle lui caresse le dos, le griffe, elle se sent totalement possédée, son long sexe semble conçu pour le sien, jamais elle ne s’est sentie aussi bien baisée.
Il la retourne, la met à plat ventre, recommence à la pénétrer et elle jouit follement de la position tout en se méfiant : jamais une femme n’est autant à la merci d’un sodomisateur que dans cette position très soumise. « Je peux t’enculer ? » Au moi,s il demande l’autorisation. « Je vais bien te préparer.
- Vas-y mais prépare moi bien. Je ne suis vraiment pas habituée ». Très organisé, il a laissé du liquide pour bien lui préparer l’anus sous le matelas. Il s’en empare et lui masse doucement sa corolle d’un doigt tout en continuant à la pénétrer. Un doigt, deux doigts, de plus en plus profond, elle halète sous la double pénétration. Mais soudain il se retire, remonte un peu et la cloud sous lui.
Elle hurle sous la pénétration un peu rapide mais reprend vite ses esprits en se titillant le clitoris. Lui semble comme fou, la baise de plus en plus vite en la tenant par le coup. « Tu vas voir. Une femme oublie ses amants mais pas ceux qui l’ont sodomisée. » Elle veut bien le croire. Jamais elle n’a senti un homme la dominer sexuellement comme cette nuit Pierre-Yves. Un peu plus tard, endormie dans ses draps, elle s’interroge de nouveau : « Suis-je trop conne de tomber amoureuse ou en ai-je besoin pour me sentir bien, pas la salope de la pièce ? »

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