Féérie royale au Cap d’Agde (2ème partie)

- Par l'auteur HDS Couple-subtil -
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Récit libertin : Féérie royale au Cap d’Agde (2ème partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Féérie royale au Cap d’Agde (2ème partie)
Le lendemain de la féérie royale par laquelle avait commencé notre deuxième séjour au sein du camp naturiste du Cap d’Agde Chrystèle s’était réveillée d’humeur plutôt joyeuse et avait profité de la terrasse sur mer pour regarder les nudistes s’éveiller : « Il y a vraiment deux populations, les "tout nus" en famille, souvent Néerlandais et Belges, et les libertins, français ou italiens », lui avait encore expliqué pendant la soirée notre hôte, qui possédait une superbe villa mais aussi pas mal d’appartements dont celui que nous louions. Un deux pièces de 30 m2 qui avait l’avantage d’avoir un balcon et la vue sur mer. « Si vous baisez sur le balcon s’il vous plait attendez la nuit. Il n’y a pas que des libertins », nous avait-il intimé.
Et il est vrai qu’on voyait une toute autre population le soir. Déjà tout le monde était habillé mais surtout beaucoup étaient habillés de manière très sexy. Sans parler de quelques couples BDSM qui se promenaient elle ou lui en laisse. Pas très familial tout ça au contraire de toute la première partie de la plage que nous traversions pour retrouver, passé un restaurant, la plage coquine, la "baie des cochons" comme on l’appelait. Léopold était un peu contracté à l’idée d’y retrouver Christian. Christian avait été l’amant de Chrystèle l’année précédente et possédait un pouvoir quasi hypnotique sur elle. La quarantaine, très fort, très viril, il la fascinait et la pliait à ses quatre volontés. Quant à Chrystèle elle craignait que Christian révèle qu’elle l’avait rejoint pour un week-end très chaud dans sa propriété normande.
Et Christian était bien là. Comme d’habitude entouré d’une petite cour d’amis qui comptaient sur lui pour les emmener dans de belles soirées. Il était là et les avait vus. « Vous êtes venus. Fantastique. Un an que j’attends de retrouver ma belle Chrystèle. » Il lui fit un petit signal de l’œil signe que leur secret serait bien gardé. Sur de lui il arborait ses muscles, un petit bide qui lui avait poussé et surtout un sexe à la taille déjà imposante au repos qui attirait l’œil de ces dames. Léopold aussi avait tiqué dessus. Une belle bite, bien veinée, puissante, qui ne demandait qu’à se réveiller.
Les autres males autour de lui arboraient également de beaux engins. Une bande de quarantenaires qui se retrouvaient tous les ans dans le camp, sans leurs femmes, pour baiser de petites minettes auxquelles ils offraient la belle vie, champagne à gogo et longues baises.
Quant aux maris de ces jeunettes, ils étaient souvent, comme Léopold, de tendres gars éduqués à respecter les moindres désirs de leurs femmes qui venaient au Cap pour trouver tout le contraire : le mâle dominant qui allait leur faire explorer leurs secrets et les mener à des orgasmes qu’étaient bien incapables de leur apporter leur compagnon. Léopold était typique de ces hommes. Bien élevé, bien foutu – 1 m 80, mince, un peu musclé – mais pas formidablement bien aidé par la nature au niveau de l’entrejambe. C’est dire s’il ne pouvait s’empêcher de se demander combien de centimètres chacun des sexes au repos atteignait en action. 18, 20, 22 comme ? Et en circonférence, 7, 8, 10 cm ? Une question que se posait aussi Chrystèle maintenant entre les grosses pattes de Christian qui l’avait fait asseoir devant lui sur sa serviette de plages motifs Reine des Neiges – humour décalé – et en profitait pour lui flatter les tétons de son superbe 95C.
Chrystèle était vraiment superbe. Avec Léopold ils revenaient d’un séjour de quinze jours en Croatie et elle était parfaitement bronzée. De Dubrovnic ils avaient pris un avion pour Lyon où ils avaient loué une voiture. A Montpellier ils avaient loué leurs costumes et ils étaient arrivés hier, samedi, juste à temps pour la soirée pendant laquelle elle avait inauguré ses trois premiers amants des vacances.
Entre les jambes de Christian elle sentait son sexe durcir et le sien s’humidifier sous les regards concupiscents des autres hommes et un brin jaloux des autres femmes. Trois jolies trentenaires comme elle qui espéraient être la proie de Christian et l’avaient vu débarquer sans aménité. « Vous venez d’arriver. Nous ca fait une semaine et Christian nous en fait voir », rigolait Vanessa, une belle brune un peu forte à l’impressionnante poitrine qui était assise juste à côté de Léopold mais ne s’adressait qu’à Chrystèle. Qui répondit : « Oui on est arrivés hier et on a commencé par une soirée chez un mec un peu dingue qui nous avait fait tous habiller comme sous Louis XIV.
- Vous étiez chez Francis. Quel honneur. Il y a bien longtemps qu’il ne m’invite plus », signifia Christian tout en prenant les seins de Chrystèle à pleine main et en faisant remarquer à l’assemblée : « Mais j’imagine qu’il n’a pas du se servir de tes belles loches. Il ne bande plus beaucoup je crois ». Effectivement nous n’avions pas vu Francis très actif. Seule sa femme avait participé aux ébats. Au grand plaisir de Léopold soit dit en passant. Mais il n’en fit pas état. Christian s’était levé. Pas gêné d’aborder une superbe érection : « Il faut que j’aille me baigner, je suis un peu excité, ça va me calmer, il faut que j’en garde sous la pédale, façon de parler, pour ce soir ».
Et il se lève, accompagné des trois filles, pendant que Chrystèle se réfugie dans les bras de Léopold, qui s’empresse de vérifier l’état de son excitation en mettant un doigt dans sa chatte. « Tu mouilles comme une salope », lui susurre-t-il à l’oreille. Se retournant elle lui répond, toujours à l’oreille : « J’ai trop envie de me faire prendre. Tu crois qu’un de ces messieurs se sacrifierait ? » Vu leur regard et l’état de leur sexe qu’ils tentent maladroitement de cacher il n’y a pas à en douter. D’ailleurs l’un se lève et propose : « Je vous ferai bien découvrir notre petit appartement de célibataires. Messieurs vous vous joignez à moi pour emmener Chrystèle chez nous ? Christian a l’air bien trop occupé avec ses copines. »
Dix minutes plus tard nous sommes dans leur appartement. Un rez-de-chaussée pas très grand tout à la fin du camp naturiste. Eve embrasse goulument le plus grand des trois, un grand mec appelé Vincent qu’elle branle en même temps. Derrière elle se tient Brahim, un Arabe très poilu qui est son pote d’enfance. Il est agrippé à ses seins et fait durcir ses tétons. Le troisième convive, Sylvain, se contente de se branler sur un grand fauteuil. A ses côtés Léopold en fait autant. Admirant le tableau. Changement de position. Chrystèle est maintenant à genoux devant les deux hommes qu’elle suce alternativement.
C’est là qu’entre Delia. Une belle plante vénézuélienne dont l’entrée est spectaculaire : « Alors on ne m’attend pas les garçons ». Ils ne se démontent pas : « Continue ce que tu sais si bien faire Chrystèle. Nous te présentons Delia. » La bouche pleine Chrystèle fait un petit signe pendant que Delia, nue, hyper bandante avec une poitrine qui doit aborder les rivages sacrés du 100D, demande aux deux hommes inoccupés de rapprocher leurs fauteuils pour « bien vous soucer » (avec un charmant accent).
Nouveau tableau : d’un côté de la pièce Chrystèle suce ses deux males, de l’autre Delie en fait autant. Léopold est aux anges. Les jugeant suffisamment alerte, Chrystèle attend maintenant une saillie bien méritée. Elle s’est levée et est allée sur le lit où elle a écarté les cuisses. Brahim va faire la trace. Il la prend sans ménagement. Il semble sur piston tant ses coups de bite la pilonnent sur un lit qui produit un grincement fort désagréable. Partageur il l’a fait mettre à quatre pattes et laisse la place à Vincent, se positionnant à l’autre extrémité. Chrystèle se fait maintenant démonter de gauche à droite. Bientôt elle abandonne la bite de Brahim pour se concentrer sur son propre plaisir et il doit se contenter de lui palper les seins.
Des seins Delia en a à revendre et Léopold les lèche depuis bientôt dix minutes pendant que son compagnon de baise la prend avec la même application que ses deux amis Chrystèle : « Viens mets-toi à côté d’elle en levrette ». Jusqu’à présent les deux femmes partageaient le même lit mais pas la même position. Là les voilà fesses à fesses. Léopold a pris le relais et c’est lui qui baise maintenant Delia tout en caressant régulièrement les fesses de Chrystèle. Quelques minutes encore et Vincent et Léopold jouissent dans les deux femmes en hurlant. Vite secourus par les deux hommes encore en érection qui prennent le relais. A cet instant Chrystèle aurait aimer un break mais Brahim veut la prendre et la prend. Tellement fort qu’elle tombe sur le lit. Tellement excité qu’il tente de la sodomiser. Elle hurle « non ! » Tellement surpris il n’excite pas : « Alors retourne toi, je vais jouir sur tes seins ». En un rien de temps il répand des décilitres de sperme sur sa splendide poitrine. Delia demande à celui qui la baise et a pris le relais de Léopold : « Fais en autant ». Il ne se fait pas prier. Il enlève sa capote et se branle sur ses seins avant de jouir très bruyamment.
Les deux femmes se regardent, complices. « On les a eus », rit Delia, qui se précipite sur les seins de Chrystèle pour les lécher. Un peu ébahie elle se laisse faire comme quand Delia lui enfourne ses doigts dans le sexe. Puis les retire et les goutte : « Tu as une mouille bien gouteuse toute belle (avec l’accent).
- Tu connais bien ces messieurs ?, lui demande Chrystèle après que la Vénézuélienne lui ait roulé une pelle de première.
- Oui depuis quelques années. Je viens avec des copines et on s’éclate bien avec eux. Tu seras avec nous ce soir ?
- Si je récupère.
- Tu vas récupérer. Et puis ton petit mari pourra baiser mes copines. Il est mignon. Pas comme ces grands, comment dites-vous, échalas. Hein mes tout beaux… »

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