Féérie royale au Cap d’Agde (3ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Féérie royale au Cap d’Agde (3ème partie)
Bien baisée dans l’après midi Chrystèle avait préféré se reposer le dimanche soir de leur arrivée au Cap à la mi-août. Les couilles bien vidées, Léopold avait approuvé cette sage décision et ils avaient passé la soirée au restaurant autour de la piscine puis étaient sagement rentrés dormir. Léopold ne pouvait s’empêcher de penser que si l’amant de sa compagne l’avait appelée ils auraient tout de suite accouru. Mais il avait dû passer une soirée animée avec les trois femmes qui l’accompagnait sur la plage. D’autant que c’était leur dernière journée de vacances. Christian lui faisait partie de ces accros qui pouvaient y passer tout le mois d’août, toutes leurs vacances d’été, tous les ans, à baiser à brides abattues des femmes et des couples qui se contentaient de venir une seule semaine.
Tôt le lundi matin Léopold et Chrystèle avaient décidé de faire un peu de tourisme. Décision totalement incompréhensible pour la plupart des habitués qui ne bougeaient quasiment pas du camp naturiste. Destination donc une abbaye, à 80 kilomètres de là, pour une visite touristique qui avait vite pris un tour assez inattendu. A leur grande surprise un couple libertin, qu’ils connaissaient d’Eve et d’Adam, faisait en effet partie de leur groupe de visite. Un couple très dominant qu’ils avaient rencontré une fois en club, Pierre et Evelyne, deux grands bourgeois la quarantaine épanouie qui s’étonnent de les retrouver là : « Heureux de vous revoir ». Sur ce Pierre entraine Léopold un peu à l’écart du groupe de visite, qui attend dans une grande cour qu’on lui ouvre les portes : « Restons discret voulez-vous. Nous gardons avec Evelyne un très bon souvenir de votre visite chez nous ». Chrystèle et Léopold en gardaient également un, mais plus mitigé. L’un comme l’autre avait été sodomisé pendant cette soirée et ni l’un ni l’autre n’y était alors habitué. Toujours pas d’ailleurs même s’il leur arrivait parfois de goûter à ce plaisir.
Les deux hommes se rapprochèrent de leurs femmes, lancées dans une conversation de vieilles copines. Au jour le couple faisait plus son âge. D’autant que Pierre arborait un bermuda qui soulignait un joli embonpoint. Toujours très mince Evelyne portait une robe Blueberry beige type saharienne avec un jolie décolleté sur une poitrine aussi parfaite que celle de Chrystèle. « L’auriez-vous deviné, nous faisons toutes les deux du 95C » pouffa Evelyne à l’oreille de Léopold en lui prenant le bras. Un geste que fit tout naturellement son mari auprès de Chrystèle. C’est ainsi que les deux couples firent une entrée recomposée dans l’abbaye.
La suite de la visite fut une ode à la dissimulation. Dans chaque pièce les deux couples trouvèrent moyen de se faire distancer par le reste du groupe et trouvèrent des coins cachés pour s’ébrouer à leur aise. Pierre fit en particulier jouir Chrystèle après un long doigtée dans une petite alcôve, qui servait auparavant à entreposer le vin des moines, selon les explications d’un guide de plus en plus inquiet de perdre régulièrement ainsi quatre de ses trente touristes. Et encore n’avait-il pas vu Léopold embrasser très longtemps Evelyne au fond de l’église pendant qu’elle le branlait vigoureusement.
C’est dire si les deux couples étaient très excités à la sortie de la visite. « Non nous n’allons pas au Cap, nous avons une maison de famille à Pézenas et nous sommes venus ici visiter et acheter du vin de la propriété », explique Evelyne. « Venez nous voir. Mercredi ? Ce n’est pas très loin du Cap et très joli pour une visite puisque vous semblez moins bornés que vos congénères libertins », suggère Pierre. « Nous sommes obligés de vous laisser car nous devons chercher des amis à la gare de Sète. Mercedi 20 h chez nous ? », propose Evelyne. « Pourquoi pas », répond Léopold. « Mais si allons-y », conclut Chrystèle en donnant un long baiser langoureux à Evelyne qui l’a prise dans ses bras. Les deux hommes admirent leurs cheveux blonds qui se mêlent pendant un long baiser sur le parking de l’abbaye. Heureusement désert à cet instant. Le couple les laisse un peu sur leur faim en partant dans sa grosse Audi A8. Mais ils savent que la soirée se profile bien avec une invitation à revenir chez le royal ami qui les a accueillis le premier soir et souhaite les revoir. Toujours en habits Grand siècle…
Des robes Grand siècle qui risquent d’être bien fripées à la fin de la soirée. Après les présentations d’usage leur hôte a expliqué aux femmes présentes que les jeux de la soirée de ce lundi allaient être nettement plus osés que ceux du samedi : « Mesdames je vous ai sélectionnées pour votre beauté, votre sexualité débridée et, oserais-je leur dire, votre soumission. Julius et Wilena vous ont amenées à moi et maintenant je veux vous apporter les plaisirs qu’ils vous ont promis. » Nous sommes dans la grande maison de Francis au cœur du village naturiste du Cap d’Agde. Une piscine, de hauts murs, une dizaine de pièces, une demeure de roi. Et justement Francis a de nouveau revêtu son habit royal, perruque, jabot, habit doré, avec lequel il nous avait reçus samedi soir dernier. Et de nouveau il tient en laisse une très jolie fille sous le regard excité de sa femme, une grande Allemande avec lequel Léopold a eu quelques bons moments. Elle aussi tient une laisse. Et même deux. A ses pieds se tiennent les deux Allemands qui ont pris Chrystèle samedi dans la piscine. Rigoureusement nus. Et la laisse que tient la grande dominatrice est reliée à leurs couilles admire Léopold en tenant la main d’une Chrystèle qui hésite entre peur et excitation.
« Mesdames si vous voulez bien vous mettre en position », reprend Francis en indiquant de larges fauteuils, huit en tout, sur lesquels il leur demande de se mettre à quatre pattes. « Nous allons voir si vous avez respecté le dress code sans culotte. Attention. Une punition sera infligée à toute contrevenante. » Les huit femmes s’installent sous le regard de leurs compagnons. Seules deux sont venues seules. Léopold compte en tout le double d’hommes. Seize : leurs six compagnons, Francis, les deux esclaves allemands, Julius qui regarde dans un coin et six hommes plus jeunes, dont deux très beaux Noirs, qui discutent en rigolant de l’anatomie des femmes qu’ils vont baiser. Léopold remarque aussi que les six couples sont assez jeunes, la trentaine comme eux, et tous très beaux.
Francis commence son inspection. De chaque femme il relève la longue robe sur les fesses puis les caresse longuement, introduisant un, deux doigts dans leur vagin, qu’il lave ensuite soigneusement dans une écuelle que lui tend son esclave. Très jolie aussi. Très mince, l’air très jeune, elle le suit comme son ombre. Arrivé à Chrystèle il la félicite pour sa croupe, la pénètre doucement, deux, trois, quatre doigts qu’il fait longuement coulisser jusqu’à qu’elle gémisse de plaisir. Les six premières femmes ont joué le jeu des sans culottes. Mais pas la septième. Jouant le maître furieux Francis lui arrache sa culotte puis appelle les deux Allemands que sa femme détache. « Mettez cette trainée au pilori. A poil. » Personne ne réagit tandis que sa robe lui est enlevée et qu’elle est mise nue au pilori, les fesses accessibles à tous. Les autres femmes gardent leur position. « Elle n’aura droit qu’à la sodomie. Les autres je vous félicite. Nous allons bien vous baiser. » Il tend à chaque homme un chapeau dans lequel il y a seize numéros. Ils en prennent un chacun. « Mesdames vous allez dire deux chiffres de un à seize et les hommes qui portent ces chiffres pourront vous baiser et se faire sucer. Vous avez bien compris ? » Une grande blonde au cul très replet crie « dix et sept ». Ni une ni deux les numéros dix et sept l’entourent. Le premier, compagnon d’une des femmes préfère se faire sucer pendant que l’autre, un gaillard immense au sexe incroyablement long la pénètre en levrette.
D’une petite voix Chrystèle dit « un et deux ». Un et deux se révèlent être les deux beaux blacks, qui se révèlent très bien pourvus par la nature, se mettent prestement nus et l’entourent. Chrystèle dira plus tard avoir subi leurs assauts « incroyablement sensuels. Leurs bites étaient comme du velours. Sucer son énorme gland était comme gouter une glace Berthillon. Et le sexe de l’autre me remplissait divinement. Ca plus l’excitation de la situation, j’ai joui à en mourir. » Sans aller jusque-là Léopold profitait bien de la bouche d’une très jolie asiatique à laquelle il ne manquait que des formes un peu plus affirmées pour être irrésistible. Debout devant elle il regardait de l’autre côté le mari de la grande blonde, celle qui avait lancé les hostilités, pénétrer avec vigueur la jolie Asiatique avant de lui proposer d’échanger leurs places. Il ne se fait pas prier. Maintenant les huit femmes se font baiser. Le maître des lieux sodomise ardemment la contrevenante qui suce un des deux Allemands pendant que Julius s’occupe de son épouse. Partout ce sont ahanements, petits et grands cris, effluves de sexe qui montent…Le « premier round » s’achève peu après minuit quand tous ces messieurs prennent leur première jouissance et ces dames ne comptent même plus. Satisfait de sa performance Léopold a pris son temps pour jouir et longuement honorée la belle Asiatique qui lui sourit maintenant en échangeant devant une coupe de champagne. Tous sont maintenant dans la piscine, rigoureusement nus, à rire et raconter leurs exploits passés. Ils se demandent surtout ce que Francis a bien pu prévoir pour la suite de la soirée…
Tôt le lundi matin Léopold et Chrystèle avaient décidé de faire un peu de tourisme. Décision totalement incompréhensible pour la plupart des habitués qui ne bougeaient quasiment pas du camp naturiste. Destination donc une abbaye, à 80 kilomètres de là, pour une visite touristique qui avait vite pris un tour assez inattendu. A leur grande surprise un couple libertin, qu’ils connaissaient d’Eve et d’Adam, faisait en effet partie de leur groupe de visite. Un couple très dominant qu’ils avaient rencontré une fois en club, Pierre et Evelyne, deux grands bourgeois la quarantaine épanouie qui s’étonnent de les retrouver là : « Heureux de vous revoir ». Sur ce Pierre entraine Léopold un peu à l’écart du groupe de visite, qui attend dans une grande cour qu’on lui ouvre les portes : « Restons discret voulez-vous. Nous gardons avec Evelyne un très bon souvenir de votre visite chez nous ». Chrystèle et Léopold en gardaient également un, mais plus mitigé. L’un comme l’autre avait été sodomisé pendant cette soirée et ni l’un ni l’autre n’y était alors habitué. Toujours pas d’ailleurs même s’il leur arrivait parfois de goûter à ce plaisir.
Les deux hommes se rapprochèrent de leurs femmes, lancées dans une conversation de vieilles copines. Au jour le couple faisait plus son âge. D’autant que Pierre arborait un bermuda qui soulignait un joli embonpoint. Toujours très mince Evelyne portait une robe Blueberry beige type saharienne avec un jolie décolleté sur une poitrine aussi parfaite que celle de Chrystèle. « L’auriez-vous deviné, nous faisons toutes les deux du 95C » pouffa Evelyne à l’oreille de Léopold en lui prenant le bras. Un geste que fit tout naturellement son mari auprès de Chrystèle. C’est ainsi que les deux couples firent une entrée recomposée dans l’abbaye.
La suite de la visite fut une ode à la dissimulation. Dans chaque pièce les deux couples trouvèrent moyen de se faire distancer par le reste du groupe et trouvèrent des coins cachés pour s’ébrouer à leur aise. Pierre fit en particulier jouir Chrystèle après un long doigtée dans une petite alcôve, qui servait auparavant à entreposer le vin des moines, selon les explications d’un guide de plus en plus inquiet de perdre régulièrement ainsi quatre de ses trente touristes. Et encore n’avait-il pas vu Léopold embrasser très longtemps Evelyne au fond de l’église pendant qu’elle le branlait vigoureusement.
C’est dire si les deux couples étaient très excités à la sortie de la visite. « Non nous n’allons pas au Cap, nous avons une maison de famille à Pézenas et nous sommes venus ici visiter et acheter du vin de la propriété », explique Evelyne. « Venez nous voir. Mercredi ? Ce n’est pas très loin du Cap et très joli pour une visite puisque vous semblez moins bornés que vos congénères libertins », suggère Pierre. « Nous sommes obligés de vous laisser car nous devons chercher des amis à la gare de Sète. Mercedi 20 h chez nous ? », propose Evelyne. « Pourquoi pas », répond Léopold. « Mais si allons-y », conclut Chrystèle en donnant un long baiser langoureux à Evelyne qui l’a prise dans ses bras. Les deux hommes admirent leurs cheveux blonds qui se mêlent pendant un long baiser sur le parking de l’abbaye. Heureusement désert à cet instant. Le couple les laisse un peu sur leur faim en partant dans sa grosse Audi A8. Mais ils savent que la soirée se profile bien avec une invitation à revenir chez le royal ami qui les a accueillis le premier soir et souhaite les revoir. Toujours en habits Grand siècle…
Des robes Grand siècle qui risquent d’être bien fripées à la fin de la soirée. Après les présentations d’usage leur hôte a expliqué aux femmes présentes que les jeux de la soirée de ce lundi allaient être nettement plus osés que ceux du samedi : « Mesdames je vous ai sélectionnées pour votre beauté, votre sexualité débridée et, oserais-je leur dire, votre soumission. Julius et Wilena vous ont amenées à moi et maintenant je veux vous apporter les plaisirs qu’ils vous ont promis. » Nous sommes dans la grande maison de Francis au cœur du village naturiste du Cap d’Agde. Une piscine, de hauts murs, une dizaine de pièces, une demeure de roi. Et justement Francis a de nouveau revêtu son habit royal, perruque, jabot, habit doré, avec lequel il nous avait reçus samedi soir dernier. Et de nouveau il tient en laisse une très jolie fille sous le regard excité de sa femme, une grande Allemande avec lequel Léopold a eu quelques bons moments. Elle aussi tient une laisse. Et même deux. A ses pieds se tiennent les deux Allemands qui ont pris Chrystèle samedi dans la piscine. Rigoureusement nus. Et la laisse que tient la grande dominatrice est reliée à leurs couilles admire Léopold en tenant la main d’une Chrystèle qui hésite entre peur et excitation.
« Mesdames si vous voulez bien vous mettre en position », reprend Francis en indiquant de larges fauteuils, huit en tout, sur lesquels il leur demande de se mettre à quatre pattes. « Nous allons voir si vous avez respecté le dress code sans culotte. Attention. Une punition sera infligée à toute contrevenante. » Les huit femmes s’installent sous le regard de leurs compagnons. Seules deux sont venues seules. Léopold compte en tout le double d’hommes. Seize : leurs six compagnons, Francis, les deux esclaves allemands, Julius qui regarde dans un coin et six hommes plus jeunes, dont deux très beaux Noirs, qui discutent en rigolant de l’anatomie des femmes qu’ils vont baiser. Léopold remarque aussi que les six couples sont assez jeunes, la trentaine comme eux, et tous très beaux.
Francis commence son inspection. De chaque femme il relève la longue robe sur les fesses puis les caresse longuement, introduisant un, deux doigts dans leur vagin, qu’il lave ensuite soigneusement dans une écuelle que lui tend son esclave. Très jolie aussi. Très mince, l’air très jeune, elle le suit comme son ombre. Arrivé à Chrystèle il la félicite pour sa croupe, la pénètre doucement, deux, trois, quatre doigts qu’il fait longuement coulisser jusqu’à qu’elle gémisse de plaisir. Les six premières femmes ont joué le jeu des sans culottes. Mais pas la septième. Jouant le maître furieux Francis lui arrache sa culotte puis appelle les deux Allemands que sa femme détache. « Mettez cette trainée au pilori. A poil. » Personne ne réagit tandis que sa robe lui est enlevée et qu’elle est mise nue au pilori, les fesses accessibles à tous. Les autres femmes gardent leur position. « Elle n’aura droit qu’à la sodomie. Les autres je vous félicite. Nous allons bien vous baiser. » Il tend à chaque homme un chapeau dans lequel il y a seize numéros. Ils en prennent un chacun. « Mesdames vous allez dire deux chiffres de un à seize et les hommes qui portent ces chiffres pourront vous baiser et se faire sucer. Vous avez bien compris ? » Une grande blonde au cul très replet crie « dix et sept ». Ni une ni deux les numéros dix et sept l’entourent. Le premier, compagnon d’une des femmes préfère se faire sucer pendant que l’autre, un gaillard immense au sexe incroyablement long la pénètre en levrette.
D’une petite voix Chrystèle dit « un et deux ». Un et deux se révèlent être les deux beaux blacks, qui se révèlent très bien pourvus par la nature, se mettent prestement nus et l’entourent. Chrystèle dira plus tard avoir subi leurs assauts « incroyablement sensuels. Leurs bites étaient comme du velours. Sucer son énorme gland était comme gouter une glace Berthillon. Et le sexe de l’autre me remplissait divinement. Ca plus l’excitation de la situation, j’ai joui à en mourir. » Sans aller jusque-là Léopold profitait bien de la bouche d’une très jolie asiatique à laquelle il ne manquait que des formes un peu plus affirmées pour être irrésistible. Debout devant elle il regardait de l’autre côté le mari de la grande blonde, celle qui avait lancé les hostilités, pénétrer avec vigueur la jolie Asiatique avant de lui proposer d’échanger leurs places. Il ne se fait pas prier. Maintenant les huit femmes se font baiser. Le maître des lieux sodomise ardemment la contrevenante qui suce un des deux Allemands pendant que Julius s’occupe de son épouse. Partout ce sont ahanements, petits et grands cris, effluves de sexe qui montent…Le « premier round » s’achève peu après minuit quand tous ces messieurs prennent leur première jouissance et ces dames ne comptent même plus. Satisfait de sa performance Léopold a pris son temps pour jouir et longuement honorée la belle Asiatique qui lui sourit maintenant en échangeant devant une coupe de champagne. Tous sont maintenant dans la piscine, rigoureusement nus, à rire et raconter leurs exploits passés. Ils se demandent surtout ce que Francis a bien pu prévoir pour la suite de la soirée…
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