Féérie royale au Cap d’Agde (1ère partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Féérie royale au Cap d’Agde (1ère partie)
Pour notre deuxième année de libertinage nous avions le privilège d’être invités à l’une des fêtes les plus emblématiques de la saison libertine. Seul souci : il fallait s’habiller comme au XVIIIème siècle pour une soirée qui s’annonçait « grand siècle ». C’est comme cela que nous sommes allés louer habit et robe d’époque. Petit souci : à la mi-août au Cap on crève un peu de chaud dans des habits faits pour la cour de Louis XIV. Et on a l’air passablement ridicule en se baladant le soir au milieu des nudistes. Mais Wilena et Julius, nos amis qui nous ont invité à la fête, ont été formels : respecter le dress code était indispensable pour être reçus. Et comme Chrystèle voulait respecter à la lettre les us et coutumes du XVIIIème siècle, elle ne porte pas plus de culotte que ne le faisait la marquise de Pompadour.
Mais se fait-elle prendre comme elle ? Mystère. En tout cas à cet instant elle est debout contre un mur et un petit black la pénètre avec application tout en lui pétrissant les seins. Sa longue robe est seulement remontée sur ses fesses. Léopold quant à lui est aux premières loges. En fait il est devant sa belle qui l’embrasse à pleines bouches pendant que leur invité la bourre à grands coups de bite. Pas très grand il a pris la précaution de lui demander d’enlever ses chaussures – pas d’époque celles-là - qui lui faisaient atteindre un bon mètre 80. Mais il sait s’y faire. Et elle aime qu’on lui pétrisse son 95C. Quant à Léopold il commence à trouver la rambarde du balcon sur lequel sa belle se fait prendre un peu rugueux mais apprécie le côté décalé de la situation.
Décalée la soirée l’était. Notre hôte était un gros homme la soixantaine qui avait revêtu habit, canne et perruque de roi. Sa maison, au milieu du village naturiste du Cap, comprenait une large piscine avec un petit pont séparant une sorte d’île du reste de la piscine. Le tout à l’abri des regards car abrité par un haut mur. Et sur cette petit île notre hôte avait installé son trône et y tenait en laisse une belle blonde totalement nue si on exceptait son collier. Tout autour les invités, tous habillés comme à la cour du roi, discutaient comme si tout cela était fort banal. Nos amis Julius et Wilena n’étant pas encore arrivés nous discutions avec des gens que nous ne connaissions ni d’Eve ni d’Adam. Beaucoup d’Italiens – les Italiens adorent le Cap d’Agde n’ayant pas l’équivalent dans leur pays – étaient là. Des femmes superbes mais des hommes un peu décatis. D’ailleurs en général les couples étaient plutôt âgés et les femmes sentaient le silicone à dix mètres avec leurs seins fermes comme du béton comme avait pu le constater Léopold.
Car Léopold avait été le premier à s’amuser. Chrystèle était en grande conversation avec notre hôte, qui l’avait gentiment conviée à se joindre à ses amis, une belle femme l’avait lui convié à visiter la villa. Très grande, avec les talons plutôt un mètre 90, très blonde, très mince, elle avait bien 50 ans mais Léopold, en invité bien élevé, n’avait pu que lui obéir. En fait de visite elle l’avait vite plaqué contre le mur de la chambre qu’elle lui faisait découvrir et dardé sa langue dans sa bouche. Quelques secondes encore et elle lui avait fait enlever son habit - « Guillaume, mon mari, veut jouer au roi mais on crève tous de chaud », c’est comme ça que Léopold avait compris qu’elle était la femme de leur hôte – et jeté sur le lit avant de s’empaler sur lui : « Tu m’as tout de suite plu avec ton air innocent. Tu vas bien me baiser mais laisse moi d’abord prendre mon plaisir ». Léopold jouissait rarement quand la femme était sur lui mais appréciait généralement beaucoup d’avoir les mains libres pour empoigner de belles poitrines comme celle de Chrystèle. Là son hôtesse, dont il ignorait toujours le nom, avait certes de beaux seins mais leur touche n’était guère agréable.
Ce qui ne l’empêcha pas de décider qu’il allait prendre le dessus. Sa première tentative ne fut pas couronnée de succès – il devait faire la même taille qu’elle et n’était pas plus musclé – mais elle céda à la seconde. Enfin c’était lui qui la prenait après lui avoir remonté les jambes bien haut. Mais elle préférait être prise en levrette et le lui indiqua vite. « Ma foi son cul était sans doute ce qu’elle avait de plus beau », raconta plus tard Léopold à Chrystèle et il finit par jouir non sans avoir pris le temps enfin d’admirer la collection d’œuvre d’art africaines de leur hôte. « Tu m’as bien baisé petit Français », le récompensa la femme de leur hôte qui, ils l’apprirent plus tard, était Allemande sans une pointe d’accent.
Mais pendant ce temps que faisait Chrystèle. Et bien elle discutait toujours avec des messieurs très polis et leurs femmes très jolies. « Je finissais par me demander si l’un d’entre eux allait me draguer. J’étais furax de ne pas te voir revenir avec ta grande blonde », expliqua plus tard Chrystèle à Léopold, heureusement soulagée de sa frustration par un jeune homme noir qu’elle avait fini par rencontrer en visitant avec Léopold la villa. Leurs amis Julius et Wilena étaient enfin arrivés et elle était venue avec son frère, Imany, originaire comme elle de Côte d’Ivoire. Et Imany baisait très bien Chrystèle pendant que Léopold la recevait dans ses bras en souhaitant que personne ne remarque leur manège dans la rue. Enfin Imany la lâcha après voir jouir dans un grand cri sous l’œil attentif de sa grande sœur. Mais Léopold n’en avait pas fini. Comme remonté sur un ressort Julius avait décidé de la prendre à son tour. Assez curieusement il avait gardé ses santiags fétiches tout en portant habit et perruque. Ne s’attendant pas à son assaut Chrystèle poussa un grand cri en recevant un sexe qu’elle connaissait bien – cela faisait bien la dixième fois qu’il l’a baisait, ce qui en faisait son amant le plus capé – et en appréciant toujours sa technique.
Mais ce n’étaient que les prémices de la soirée. Quand ils redescendirent tous les cinq l’ambiance avait bien changé. Tout autour de la piscine les couples copulaient joyeusement. Ces dames avaient ôté leurs robes damassées et ces messieurs leurs habits. Mais surtout étaient arrivés des hommes seuls en renfort. Et pas les vieux et riches beaux du début de soirée. Non là c’étaient de jeunes mâles surs d’eux, de leurs muscles et de la taille de leur sexe qui honoraient ces dames.
Soudain Léopold vit Chrystèle revivre : « Aide moi à m’enlever cette robe veux-tu. Je vais me baigner ». Et ni d’une ni deux il la vit plonger dans la piscine où nageaient déjà deux beaux males. Nus comme elle il ne leur fallut pas longtemps pour l’entourer. Elle prit avec plaisir leurs sexes en main. Quelques minutes d’une conversation assez limitée plus tard – il se révéla qu’ils étaient allemands comme leur hôtesse – ils la prirent chacun leur tour dans la piscine. Elle coincée tout à côté du jet d’eau. Le spectacle plaisait beaucoup à Léopold. D’autant que Wilena le gratifiait d’une splendide fellation avant qu’il la prenne à son tour. Leur séjour au Cap commençait bien…
Mais se fait-elle prendre comme elle ? Mystère. En tout cas à cet instant elle est debout contre un mur et un petit black la pénètre avec application tout en lui pétrissant les seins. Sa longue robe est seulement remontée sur ses fesses. Léopold quant à lui est aux premières loges. En fait il est devant sa belle qui l’embrasse à pleines bouches pendant que leur invité la bourre à grands coups de bite. Pas très grand il a pris la précaution de lui demander d’enlever ses chaussures – pas d’époque celles-là - qui lui faisaient atteindre un bon mètre 80. Mais il sait s’y faire. Et elle aime qu’on lui pétrisse son 95C. Quant à Léopold il commence à trouver la rambarde du balcon sur lequel sa belle se fait prendre un peu rugueux mais apprécie le côté décalé de la situation.
Décalée la soirée l’était. Notre hôte était un gros homme la soixantaine qui avait revêtu habit, canne et perruque de roi. Sa maison, au milieu du village naturiste du Cap, comprenait une large piscine avec un petit pont séparant une sorte d’île du reste de la piscine. Le tout à l’abri des regards car abrité par un haut mur. Et sur cette petit île notre hôte avait installé son trône et y tenait en laisse une belle blonde totalement nue si on exceptait son collier. Tout autour les invités, tous habillés comme à la cour du roi, discutaient comme si tout cela était fort banal. Nos amis Julius et Wilena n’étant pas encore arrivés nous discutions avec des gens que nous ne connaissions ni d’Eve ni d’Adam. Beaucoup d’Italiens – les Italiens adorent le Cap d’Agde n’ayant pas l’équivalent dans leur pays – étaient là. Des femmes superbes mais des hommes un peu décatis. D’ailleurs en général les couples étaient plutôt âgés et les femmes sentaient le silicone à dix mètres avec leurs seins fermes comme du béton comme avait pu le constater Léopold.
Car Léopold avait été le premier à s’amuser. Chrystèle était en grande conversation avec notre hôte, qui l’avait gentiment conviée à se joindre à ses amis, une belle femme l’avait lui convié à visiter la villa. Très grande, avec les talons plutôt un mètre 90, très blonde, très mince, elle avait bien 50 ans mais Léopold, en invité bien élevé, n’avait pu que lui obéir. En fait de visite elle l’avait vite plaqué contre le mur de la chambre qu’elle lui faisait découvrir et dardé sa langue dans sa bouche. Quelques secondes encore et elle lui avait fait enlever son habit - « Guillaume, mon mari, veut jouer au roi mais on crève tous de chaud », c’est comme ça que Léopold avait compris qu’elle était la femme de leur hôte – et jeté sur le lit avant de s’empaler sur lui : « Tu m’as tout de suite plu avec ton air innocent. Tu vas bien me baiser mais laisse moi d’abord prendre mon plaisir ». Léopold jouissait rarement quand la femme était sur lui mais appréciait généralement beaucoup d’avoir les mains libres pour empoigner de belles poitrines comme celle de Chrystèle. Là son hôtesse, dont il ignorait toujours le nom, avait certes de beaux seins mais leur touche n’était guère agréable.
Ce qui ne l’empêcha pas de décider qu’il allait prendre le dessus. Sa première tentative ne fut pas couronnée de succès – il devait faire la même taille qu’elle et n’était pas plus musclé – mais elle céda à la seconde. Enfin c’était lui qui la prenait après lui avoir remonté les jambes bien haut. Mais elle préférait être prise en levrette et le lui indiqua vite. « Ma foi son cul était sans doute ce qu’elle avait de plus beau », raconta plus tard Léopold à Chrystèle et il finit par jouir non sans avoir pris le temps enfin d’admirer la collection d’œuvre d’art africaines de leur hôte. « Tu m’as bien baisé petit Français », le récompensa la femme de leur hôte qui, ils l’apprirent plus tard, était Allemande sans une pointe d’accent.
Mais pendant ce temps que faisait Chrystèle. Et bien elle discutait toujours avec des messieurs très polis et leurs femmes très jolies. « Je finissais par me demander si l’un d’entre eux allait me draguer. J’étais furax de ne pas te voir revenir avec ta grande blonde », expliqua plus tard Chrystèle à Léopold, heureusement soulagée de sa frustration par un jeune homme noir qu’elle avait fini par rencontrer en visitant avec Léopold la villa. Leurs amis Julius et Wilena étaient enfin arrivés et elle était venue avec son frère, Imany, originaire comme elle de Côte d’Ivoire. Et Imany baisait très bien Chrystèle pendant que Léopold la recevait dans ses bras en souhaitant que personne ne remarque leur manège dans la rue. Enfin Imany la lâcha après voir jouir dans un grand cri sous l’œil attentif de sa grande sœur. Mais Léopold n’en avait pas fini. Comme remonté sur un ressort Julius avait décidé de la prendre à son tour. Assez curieusement il avait gardé ses santiags fétiches tout en portant habit et perruque. Ne s’attendant pas à son assaut Chrystèle poussa un grand cri en recevant un sexe qu’elle connaissait bien – cela faisait bien la dixième fois qu’il l’a baisait, ce qui en faisait son amant le plus capé – et en appréciant toujours sa technique.
Mais ce n’étaient que les prémices de la soirée. Quand ils redescendirent tous les cinq l’ambiance avait bien changé. Tout autour de la piscine les couples copulaient joyeusement. Ces dames avaient ôté leurs robes damassées et ces messieurs leurs habits. Mais surtout étaient arrivés des hommes seuls en renfort. Et pas les vieux et riches beaux du début de soirée. Non là c’étaient de jeunes mâles surs d’eux, de leurs muscles et de la taille de leur sexe qui honoraient ces dames.
Soudain Léopold vit Chrystèle revivre : « Aide moi à m’enlever cette robe veux-tu. Je vais me baigner ». Et ni d’une ni deux il la vit plonger dans la piscine où nageaient déjà deux beaux males. Nus comme elle il ne leur fallut pas longtemps pour l’entourer. Elle prit avec plaisir leurs sexes en main. Quelques minutes d’une conversation assez limitée plus tard – il se révéla qu’ils étaient allemands comme leur hôtesse – ils la prirent chacun leur tour dans la piscine. Elle coincée tout à côté du jet d’eau. Le spectacle plaisait beaucoup à Léopold. D’autant que Wilena le gratifiait d’une splendide fellation avant qu’il la prenne à son tour. Leur séjour au Cap commençait bien…
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