Féérie royale au Cap d’Agde (10ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Féérie royale au Cap d’Agde (10ème partie)
Abandonné par Chrystèle, qui lui avait gentiment annoncé qu’elle allait passer la semaine avec son amant préféré pour « finir la saison » et ce beau mois d’août au Cap d’Agde, Léopold avait d’abord fait contre mauvaise fortune bon cœur en profitant de la gentillesse des deux belles brunes qui étaient également présentes chez Christian. Tous seins dehors Mira et Moira s’étaient appliquées toute la nuit à le consoler de la perte de sa belle en lui prodiguant moult caresses. Il faut dire qu’elles aussi avaient une revanche à prendre : leurs maris respectifs s’étaient éclipsés pour rejoindre deux grandes Néerlandaises aux jambes interminables. Alors passer la nuit avec un amateur éclairé de poitrines épanouies comme Léopold leur avaient permis de prendre une petite revanche.
D’autant qu’il s’était montré particulièrement actif et entreprenant, les prenant notamment l’une après l’autre en levrette pendant qu’elles se léchaient. Un fabuleux spectacle qui avait amené sa première jouissance dans le sexe de Moira. Mira avait elle préféré profiter de lui en le chevauchant longuement pendant qu’il pressait ses seins et que Moira se faisait lécher par lui. En résumé une superbe nuit s’il ne s’était réveillé avec un horrible cafard à l’idée d’avoir perdu Chrystèle – pour la semaine seulement ? – alors que les deux femmes avaient elles aussi fini par le laisser.
Evitant le ridicule d’aller faire une scène à Christian – spectaculairement plus baraqué que lui, 70 kgs d’un côté, au moins 100 de l’autre – et de se donner en spectacle devant Chrystèle, il était allé rendre sa voiture de location et errait depuis comme une âme en peine à Paris. Devant son air désespérée ses collègues s’inquiétaient un peu. Sans parler de sa belle-mère qui ne comprenait pas pourquoi sa fille n’était pas rentrée et devait espérer qu’elle l’avait quitté même si elle lui avait dit seulement « poursuivre ses vacances ».
Le samedi suivant en entendant Chrystèle tourner la clé dans sa porte il balançait entre l’idée de la gifler et de se jeter à ses pieds pour lui dire combien il l’aimait. Elle-même, qui ne l’avait même pas appelé de la semaine, semblait gênée.
« Tu es venue me dire que tu allais me quitter pour Christian », demandait un Léopold mal rasé debout devant leur grand canapé, en face d’une affiche représentant son film préféré, « Les quatre cavaliers de l’apocalypse ».
« Te quitter pour lui non. Il a une autre vie. Une femme, des enfants et je n’entre pas dans ses plans, pas plus que lui dans les miens, autrement que pour des jours ou des semaines comme celle-là. Mais je comprendrais que tu veuilles me quitter. »Dieu qu’elle était belle. Son bronzage faisait ressortir sa blondeur, ses grands yeux bruns. Elle portait une robe très courte, en réalité une robe culotte mais qui semblait si courte qu’elle provoquait des émeutes. Son mètre 75, ses grandes jambes, son fantastique 95C, Léopold n’avait qu’une envie : la prendre là, tout de suite, mais ne voulait pas lui donner ce plaisir. D’ailleurs il avait soigneusement pris le soin de se masturber toute la semaine pour ne pas être trop excité quand elle reviendrait.
Mais là devant elle il bandait comme un fou : « Tu peux me dire ce que vous avez fait toute la semaine. Des visites culturelles j’imagine ?
- Ce n’est pas trop son truc. Il baiserait la Joconde s’il pouvait… » Ils rient. Il rit jaune. Elle reprend : « Tu le connais. Il voulait un esclave sexuel pour la semaine. Je n’ai jamais quitté mon collier et ma laisse. Toute la semaine il m’a promené dans le village naturiste. Totalement nue. Comme sa propriété. J’étais excitée en permanence et il me conduisait chez ses amis pour qu’ils me prennent.
- Tu étais bien protégée quand même.
- Bien sûr. Il ne transige pas là-dessus. Et avec sa carrure personne ne le contredit. Non tu vois j’ai passé une semaine comme j’en rêvais. Esclave sexuelle des mâles. C’est un peu ce que tu attendais de moi quand on s’est lancé là-dedans non. »Léopold ne répond pas. Elle reprend : « Une après-midi je me suis fait prendre pas vingt mecs qu’il avait réunis dans son appartement. Ca a duré des heures avant qu’ils jouissent tous sur moi. J’étais couverte de sperme. C’est assez dégoutant mais tu vois j’ai joui comme une folle ce jour-là. C’était hier. Le soir il m’a cajolé et fait l’amour comme un amant prévenant. Sans mon collier.
- Quel gentleman !
- Non c’est une ordure. Je le sais bien. Il profite de moi mais dès qu’il me donne un ordre je fonds littéralement. Je ne sais pas comment te dire. C’est comme d’être face à un cobra et ne rien pouvoir faire. »Ils se regardent. Elle a toujours son sac à la main comme si elle allait partir dans la minute.
« Tu le reverras ?
- S’il m’appelle je crois bien que j’accourais comme une conne.
- C’est un peu dur pour moi tu ne trouves pas. Je t’aime comme un fou mais tu ne m’appartiens que quand il te laisse à moi.
- Je ne t’appartiens pas. Je n’appartiens à personne. » Ses yeux lancent des éclairs. « Si c’est tout ce que tu as à me dire je fais peut être mieux de me barrer.
- Oui, ta mère t’attend. » Elle fait mine de partir. Il l’a rattrape par un bras, la fait se retourner. L’embrasse, s’empare d’un sein. Elle fait mine de résister. Il s’empare de son sexe et constate vite qu’elle est humidifiée. Il la déshabille. Elle se laisse plus ou moins faire. Toujours habillée il lui intime l’ordre de le sucer. Nue elle se met à genou devant lui et le prend en bouche. Sa caresse est douce, lente, comme il aime. Elle le veut dur, très dur. C’est maintenant elle qui prend les choses en main.
Elle lui prend la main et l’emmène dans leur chambre. Se couche sur le lit, les jambes largement ouvertes pour l’accueillir. Il prend juste le temps de se déshabiller, de descendre un peu un store car il fait grand jour et a au moins le plaisir d’être le seul à avoir le droit de la pénétrer sans préservatif.
Il va longtemps lui faire l’amour, dans toutes les positions, guettant toujours chez elle les signes d’une jouissance digne de celle qu’elle prend avec ses amants, digne de celle que lui-même donne à ses maîtresses, mais elle reste peu expressive. Ayant enfin joui il lui demande : « Ce n’était pas bon ?
- Si. Tu fais merveilleusement l’amour. Mais comment te dire. Tu n’es pas tout à fait assez bien équipé. La taille tu vois c’est important pour ce qu’on ressent pendant qu’on se fait prendre mais peut-être encore plus avant. L’excitation qu’un gros sexe qu’on fait bander apporte c’est quelque chose d’indescriptible. » Elle le regarde avec tendresse. Il rétorque : « Mais tu vois j’ai bien fait jouir Mira et Moira après que tu m’ai abandonné avec Christian. Pourquoi je n’y arrive plus avec toi ? » Toujours avec tendresse, lui touchant amoureusement le sexe, elle lui répond : « Je ne sais pas. Ca reviendra peut-être.
- Tu veux dire si nous arrêtons les sorties libertines.
- Ca mon coco n’y compte pas… »
D’autant qu’il s’était montré particulièrement actif et entreprenant, les prenant notamment l’une après l’autre en levrette pendant qu’elles se léchaient. Un fabuleux spectacle qui avait amené sa première jouissance dans le sexe de Moira. Mira avait elle préféré profiter de lui en le chevauchant longuement pendant qu’il pressait ses seins et que Moira se faisait lécher par lui. En résumé une superbe nuit s’il ne s’était réveillé avec un horrible cafard à l’idée d’avoir perdu Chrystèle – pour la semaine seulement ? – alors que les deux femmes avaient elles aussi fini par le laisser.
Evitant le ridicule d’aller faire une scène à Christian – spectaculairement plus baraqué que lui, 70 kgs d’un côté, au moins 100 de l’autre – et de se donner en spectacle devant Chrystèle, il était allé rendre sa voiture de location et errait depuis comme une âme en peine à Paris. Devant son air désespérée ses collègues s’inquiétaient un peu. Sans parler de sa belle-mère qui ne comprenait pas pourquoi sa fille n’était pas rentrée et devait espérer qu’elle l’avait quitté même si elle lui avait dit seulement « poursuivre ses vacances ».
Le samedi suivant en entendant Chrystèle tourner la clé dans sa porte il balançait entre l’idée de la gifler et de se jeter à ses pieds pour lui dire combien il l’aimait. Elle-même, qui ne l’avait même pas appelé de la semaine, semblait gênée.
« Tu es venue me dire que tu allais me quitter pour Christian », demandait un Léopold mal rasé debout devant leur grand canapé, en face d’une affiche représentant son film préféré, « Les quatre cavaliers de l’apocalypse ».
« Te quitter pour lui non. Il a une autre vie. Une femme, des enfants et je n’entre pas dans ses plans, pas plus que lui dans les miens, autrement que pour des jours ou des semaines comme celle-là. Mais je comprendrais que tu veuilles me quitter. »Dieu qu’elle était belle. Son bronzage faisait ressortir sa blondeur, ses grands yeux bruns. Elle portait une robe très courte, en réalité une robe culotte mais qui semblait si courte qu’elle provoquait des émeutes. Son mètre 75, ses grandes jambes, son fantastique 95C, Léopold n’avait qu’une envie : la prendre là, tout de suite, mais ne voulait pas lui donner ce plaisir. D’ailleurs il avait soigneusement pris le soin de se masturber toute la semaine pour ne pas être trop excité quand elle reviendrait.
Mais là devant elle il bandait comme un fou : « Tu peux me dire ce que vous avez fait toute la semaine. Des visites culturelles j’imagine ?
- Ce n’est pas trop son truc. Il baiserait la Joconde s’il pouvait… » Ils rient. Il rit jaune. Elle reprend : « Tu le connais. Il voulait un esclave sexuel pour la semaine. Je n’ai jamais quitté mon collier et ma laisse. Toute la semaine il m’a promené dans le village naturiste. Totalement nue. Comme sa propriété. J’étais excitée en permanence et il me conduisait chez ses amis pour qu’ils me prennent.
- Tu étais bien protégée quand même.
- Bien sûr. Il ne transige pas là-dessus. Et avec sa carrure personne ne le contredit. Non tu vois j’ai passé une semaine comme j’en rêvais. Esclave sexuelle des mâles. C’est un peu ce que tu attendais de moi quand on s’est lancé là-dedans non. »Léopold ne répond pas. Elle reprend : « Une après-midi je me suis fait prendre pas vingt mecs qu’il avait réunis dans son appartement. Ca a duré des heures avant qu’ils jouissent tous sur moi. J’étais couverte de sperme. C’est assez dégoutant mais tu vois j’ai joui comme une folle ce jour-là. C’était hier. Le soir il m’a cajolé et fait l’amour comme un amant prévenant. Sans mon collier.
- Quel gentleman !
- Non c’est une ordure. Je le sais bien. Il profite de moi mais dès qu’il me donne un ordre je fonds littéralement. Je ne sais pas comment te dire. C’est comme d’être face à un cobra et ne rien pouvoir faire. »Ils se regardent. Elle a toujours son sac à la main comme si elle allait partir dans la minute.
« Tu le reverras ?
- S’il m’appelle je crois bien que j’accourais comme une conne.
- C’est un peu dur pour moi tu ne trouves pas. Je t’aime comme un fou mais tu ne m’appartiens que quand il te laisse à moi.
- Je ne t’appartiens pas. Je n’appartiens à personne. » Ses yeux lancent des éclairs. « Si c’est tout ce que tu as à me dire je fais peut être mieux de me barrer.
- Oui, ta mère t’attend. » Elle fait mine de partir. Il l’a rattrape par un bras, la fait se retourner. L’embrasse, s’empare d’un sein. Elle fait mine de résister. Il s’empare de son sexe et constate vite qu’elle est humidifiée. Il la déshabille. Elle se laisse plus ou moins faire. Toujours habillée il lui intime l’ordre de le sucer. Nue elle se met à genou devant lui et le prend en bouche. Sa caresse est douce, lente, comme il aime. Elle le veut dur, très dur. C’est maintenant elle qui prend les choses en main.
Elle lui prend la main et l’emmène dans leur chambre. Se couche sur le lit, les jambes largement ouvertes pour l’accueillir. Il prend juste le temps de se déshabiller, de descendre un peu un store car il fait grand jour et a au moins le plaisir d’être le seul à avoir le droit de la pénétrer sans préservatif.
Il va longtemps lui faire l’amour, dans toutes les positions, guettant toujours chez elle les signes d’une jouissance digne de celle qu’elle prend avec ses amants, digne de celle que lui-même donne à ses maîtresses, mais elle reste peu expressive. Ayant enfin joui il lui demande : « Ce n’était pas bon ?
- Si. Tu fais merveilleusement l’amour. Mais comment te dire. Tu n’es pas tout à fait assez bien équipé. La taille tu vois c’est important pour ce qu’on ressent pendant qu’on se fait prendre mais peut-être encore plus avant. L’excitation qu’un gros sexe qu’on fait bander apporte c’est quelque chose d’indescriptible. » Elle le regarde avec tendresse. Il rétorque : « Mais tu vois j’ai bien fait jouir Mira et Moira après que tu m’ai abandonné avec Christian. Pourquoi je n’y arrive plus avec toi ? » Toujours avec tendresse, lui touchant amoureusement le sexe, elle lui répond : « Je ne sais pas. Ca reviendra peut-être.
- Tu veux dire si nous arrêtons les sorties libertines.
- Ca mon coco n’y compte pas… »
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ce n’est pas 1 question de taille de bite. Ensuite elle dit n’appartenir à personne mais dès que le pseudo maître la traite comme de la merde elle se la ferme.