Féérie royale au Cap d’Agde (8ème partie) - histoire érotique

Pour leur dernière journée au Cap d’Agde avant leur départ le lendemain samedi, Chrystèle et Léopold avaient pour la première fois l’occasion de passer la nuit entière avec un autre compagnon que leur légitime. Chrystèle se réveillait donc dans les bras de Pierre-Yves un vigoureux quinqua d’un bon mètre 95 qui l’avait formidablement baisée toute une partie de la nuit. Quant à Léopold il avait pu honorer Nathalie, une petite Asiatique au tempérament inversement proportionnel à sa taille. Constatant qu’il avait un peu trop vite joui la première fois, elle lui avait même attaché les couilles pour qu’il reste opérationnel le temps d’essayer toutes les positions du Kama Sutra, pourtant pas une spécialité vietnamienne.
Il était pas loin de 12 h et la grande maison près de Pézenas, à quelques kilomètres du Cap d’Agde, se réveillait. Chrystèle admirait le physique de son amant : un peu plus âgé au soleil que cette nuit mais vraiment bien conservé. Pas un gramme de muscle et surtout ce sexe qu’elle admirait après avoir levé le drap. « Petite curieuse », lui dit-il, très amusé. « Je meurs de faim, pas toi ?
- Moi aussi ! » En fait Chrystèle mourait de faim chaque matin, mais avait encore plus envie de pisser, ce qu’elle se retenait de faire depuis le bon quart d’heure om elle était réveillée pour ne pas réveiller son amant. Une question que ne s’était pas vraiment posée Nathalie dont le long jet avait réveillé Léopold. Encore moins excité que Pierre-Yves tant ses couilles étaient douloureuses après sa nuit d’amour.

Quelques minutes plus tard ils se retrouvèrent tous, les cinq couples, sur la grande table posée dehors qui leur permettait d’admirer le splendide paysage de la campagne autour de Pézenas. Les femmes comme les hommes étaient peu habillés et on apercevait ici ou là un bout de sein dans l’échancrure d’un tee-shirt. Les splendides seins de Chrystèle mais aussi ceux de deux belles brunes, Mira et Moira, faisaient pendant aux poitrines un peu moins imposantes – voire inexistantes pour Nathalie – des deux autres femmes. « Vous avez des projets pour ce soir », s’enquit leur hôte Pierre, qui leur avait fait jouer une pièce érotique la soirée dernière.
- Nous sommes invités à la dernière soirée de l’année d’un ami que nous connaissons depuis un an, Christian mais je ne connais pas son nom », mentit Chrystèle qui avait passé un week-end entier avec ce dernier au nez et à la barbe – peu fournie – de Léopold.
« On ne connaît pas grand monde au Cap d’Agde. Et vous les amis, Christian ça vous dit quelque chose, demanda Pierre.
- Oui je le connais. » Le mari de Nathalie, un bel Asiatique assez grand, la quarantaine, s’exprimait quasiment pour la première fois depuis hier soir. « Nous irons sans doute aussi ce soir chez eux », confirma sa femme au grand dam de Léopold qui ne se voyait pas trop l’honorer de nouveau et aurait préféré que Mira ou Moira soient des leurs avec leur 100C qu’il ne pouvait s’empêcher de reluquer en les voyant partir, bras dessus, bras dessous, refaire du café pour toute l’assemblée. « Venez tous, Christian nous autorise à venir avec quatre couples », repris le mari de Nathalie, Minh de son prénom, apparemment très proche de Christian. Si leurs hôtes, Pierre-Yves et sa moitié dirent non les deux autres couples n’étaient pas foncièrement contre.
On allait se séparer quand Pierre et Evelyne se levèrent. Très cérémonieux : « Nous vous remercions de vous être joints à nous. Maintenant nous devons comme chaque année élire la vedette de la nuit. Qui vote pour… » Trois tours de scrutins furent nécessaires pour élire Chrystèle, qui se demandait bien quel serait son prix. « Donc Chrystèle a remporté le prix. Evelyne tu peux aller le chercher. » Evelyne revint quelques minutes plus tard avec un splendide olisbos. Une vraie pièce de musée sculptée dans l’ivoire : vingt centimètres d’un bon diamètre avec un superbe gland. « Mais c’est un cadeau splendide. Je ne sais pas si je peux accepter », se récria Chrystèle tout en caressant le membre dont on sentait qu’elle en ferait bien tout de suite l’essai.
- Cela nous fait plaisir. Chaque année nous en offrons un de notre collection. Ainsi vous penserez à nous toute l’année. Mais Evelyne voudrait l’essayer sur vous si ça ne vous dérange pas. Elle veut être sûre qu’il vous convient bien. Vous êtes d’accord ? »Rougissant jusqu’aux bouts des oreilles, Chrystèle lâcha un timide : « Là, tout de suite ?
- Oui, étends-toi sur la table Chrystèle. Messieurs tenez lui la tête. »Quelques instants plus tard, sur une table prestement débarrassée de ses mets, Evelyne s’apprêtait à pénétrer Chrystèle. Elle avait mis un préservatif autour de l’olisbos et une crème pour le réchauffer, « comme une vraie bite, mais insatiable, tu vas adorer ». Quelques instants plus tard encore et, sous les yeux hallucinés des neuf autres convives, Evelyne pénétrait adroitement Chrystèle qui ne tardait pas à gémir, d’autant que les autres femmes lui léchaient les seins, titillaient son clitoris, lui mettaient leurs tétons dans la bouche ou promenaient leurs seins sur son corps. Les hommes avaient interdiction de bouger. « C’est un outil pour les femmes et par les femmes », leur avait indiqué Evelyne. Tous n’en bandaient pas moins très fort en regardant comment Evelyne amenait Chrystèle à une superbe jouissance.