Féérie royale au Cap d’Agde (9ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Couple-subtil ont reçu un total de 174 815 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2022 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 670 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Féérie royale au Cap d’Agde (9ème partie)
Fourbus par une semaine de plaisirs intenses, Chrystèle et Léopold auraient séché n’importe quelle autre invitation que celle de Christian. Christian, cet homme la bonne quarantaine, épais, riche, dominateur, qui leur a fait subir tous les outrages il y a un an au Cap et qui, cela Léopold ne le sait pas, a depuis refait de Chrystèle sa chienne soumise à une occasion. Christian qui les accueille ce soir-là dans la grande maison qu’il loue au bord du village nudiste du Cap d’Agde. « Vous êtes venus, c’est formidable. » Vêtu d’une large chemise à motif style Dolce et Gabbana, il embrasse Chrystèle et Léopold. Pour être précis, il roule une pelle à la première, lui flatte les seins – « Dieu qu’ils sont beaux » -, la croupe, fait la bise à Léopold non sans lui mettra la main au cul : « Toujours un cul aussi ferme, tu dois faire de la muscu. » Quelque peu gêné de se sentir déjà sous sa coupe, Léopold lâche un timide « Oui, un peu ».
A l’intérieur de la grande maison toute peinte en blanc que Christian loue chaque année un mois entier, une bonne vingtaine de personnes sont déjà présentes. Tout le monde est encore habillé, enfin porte un vêtement car certaines de ces dames sont déjà bien peu habillées. Selon le dress code, Chrystèle porte seulement un string rouge et un tee shirt blanc sous lequel ses seins jouent librement. A l’inverse les hommes sont torses nus et en pantalon blanc.
On boit, on fait connaissance, Chrystèle et Léopold retrouvent même des couples qu’ils connaissent dont Mira et Moira et leurs moitiés, avec lesquels ils ont passé la dernière soirée et s’en remémorent les moments les plus remarquables. Léopold est sous le charme de ces deux femmes aux poitrines si belles, plus imposantes certes que celle de Chrystèle mais moins parfaites. Chrystèle et son 95C parfait ou presque, sa blondeur, ses grandes jambes, son aura. C’est dans ces moments qu’il en est à la fois le plus fier et le plus inquiet : comment peut-il rivaliser, lui si mince, si mignon, si doux, avec ces mâles qui s’approchent d’elle, dont elle lui dit plus tard qu’ils la caressent alors que lui ne se rend même pas compte.
Ce soir Christian a une idée de jeu très particulier. Il fait amener quatre tables gynécologiques qui ont la particularité d’être revêtues d’une sorte de drap. « Ainsi on ne voit que les chattes de ces dames. Comme vous le savez nous avons souvent joué au jeu "reconnaît la bite de ton mari". Cette fois-ci je vous propose de jouer au jeu "reconnaît la chatte de ta femme, enfin chatte vu qu’elles sont rasées, disons vulve". Qui veut jouer ? »La surprise est assez totale mais quelques-unes de ces dames sont assez excitées pour se livrer au jeu. Et comme elles ne sont que trois, Christian intime plus ou moins l’ordre à Chrystèle de prendre position. Les quatre tables et les quatre femmes sont emmenées dans une autre pièce puis reviennent. On ne distingue maintenant plus que leur sexe et leurs jambes mises dans les reposes jambes.
De sa voix de stentor, Christian reprend : « Pour pimenter le jeu ces quatre messieurs ont chacun deux minutes pour lécher ces juteux abricots. Celui, ou ceux, qui trouvera qui est leur femme pourront baiser les autres femmes. Toujours dans leurs étriers et sans les voir. Je suis le seul à savoir qui est qui.
Ils sont maintenant quatre à prendre leur tour pour lécher ces dames. Léopold a beau avoir souvent léché Chrystèle il doit avouer qu’au moins une des autres vulves ressemble comme deux gouttes d’eaux à celle de Chrystèle. Il en élimine deux mais ne sait pas trop comment choisir. Au moins il a pris un plaisir immense à lécher ces quatre femmes.
« Bon mes petits messieurs, merci d’inscrire le numéro que vous pensez être celui de votre femme sur ce papier. Très bien merci. Et bien voici le résultat. Vous êtes nuls. Tous trois. » Il désigne Léopold et les deux autres hommes. Seul Lilian a trouvé. Lilian approchez vous de la table n°2 et demandez à votre femme de se montrer. Tout fier le dit Lilian, un homme assez petit mais qui va se révéler très bien monté, découvre sa femme, une belle blonde dont le sexe avait semblé effectivement assez particulier à Léopold avec un très gros clitoris qu’il avait adoré titiller. C’est ce qu’on appelle un avantage en nature qui va permettre à Lilian de baiser les trois autres femmes.
Elles sont toujours dans la même position quand il pénètre la première. Assez rapidement. On sait qu’il est excessivement excité. Puis la deuxième, pas beaucoup plus longtemps. La troisième est sans doute Chrystèle et c’est en elle qu’il se répand – préservatif évidemment – dans un grand cri sous les applaudissements de la foule.
Dans la foulée, Léopold se précipite vers Chrystèle, et c’est bien elle : « Ca va, c’était bon ? » Elle semble un peu dans les vapes après ce temps passé sous un drap : « Oui, c’était très bizarre. Il a une grosse bite ton ami. Il ne sait pas trop s’en servir longtemps mais quel engin », rigole-t-elle en descendant de la table gynécologique.
« Applaudissons-les encore », redemande Christian qui, soudain, met une couronne sur la tête : « Cette année nous avons beaucoup fêté les rois toute cette semaine. Comme je suis votre roi, quelles reines veulent se joindre à moi ? »D’une petite voix Chrystèle demande : « Ca te gène si je monte avec lui ». Sans attendre sa réponse, elle le suit. Quatre femmes. Quatre très belles femmes montent avec lui.
Là haut, dans un immense lit, dans une chambre toute aussi blanche que le reste de la maison, il demande à « ses » femmes de le déshabiller. Telles des courtisanes de haut col elles s’exécutent. Le posent nu sur le lit où, également nues, elles viennent le rejoindre pour qui l’embrasser, qui lui caresser les seins, qui le sucer goulument. Avec la belle blonde qui vient de regarder son mari baiser les trois femmes, Chrystèle se partage le sexe de Christian. Mission éminemment stratégique : il s’agit de le rendre dur comme du bois en espérant qu’il choisira l’une ou l’autre. Elles s’appliquent donc à le sucer de haut en bas, à lécher ses grosses couilles, à l’emboucher l’une après l’autre sans négliger de s’embrasser à l’occasion.
A ce rythme-là il est rapidement très opérationnel mais, au grand dam de Chrystèle, choisit l’autre blonde et lui demande de s’empaler sur lui. Lançant un regard de victoire aux trois autres femmes, toutes blondes, toutes très belles, elle introduit le large mandrin dans son sexe ruisselant.
Les autres femmes l’entourent, lui lèchent les seins, l’embrassent. Chrystèle a choisi elle de se faire lécher par Christian. Peu de temps. Il les pousse gentiment ? Retourne Chrystèle et la prend en levrette. Elle se sent totalement dominée par l’intromission de celui qui en fait vraiment tout ce qu’il veut depuis un an et le sait. Sadiquement il la pousse à plat ventre sur le lit. Elle sait alors qu’il va la sodomiser. Elle s’y est préparée mais n’est pas fan. Elle s’y prépare en commençant à se caresser. Sent qu’il appuie sur sa corolle après l’avoir badigeonné d’un liquide. Elle sait qu’elle va avoir mal alors qu’il ne lui a même pas encore fait beaucoup de bien. Elle comprend qu’il veut leur montrer, à toutes les quatre, qu’il est le maître. Il s’introduit, pas trop vite, ce n’est pas trop difficile, ce serait même plutôt bon se surprend-elle à penser.
Il la baise, il la sodomise, il en fait son jouet, la tient par le coup, par les cheveux ; les trois autres femmes sont tétanisées et finissent par les laisser tous les deux. Léopold profite de leur départ pour entrer et assister au coït. Brutal. Sauvage. Il la baise comme un soudard et elle hurle de plaisir. Soudain Christian se retourne et voir Lépoold : « Viens la finir ta pute de femme ; je n’en peux plus ». Chrystèle n’a pas bougé quand il la prend à son tour, profitant de son petit trou si bien ouvert. Elle ne dit rien. Ils sont maintenant tous les deux seuls dans la chambre. Il s’escrime à la baiser mais rien n’y fait. Elle se retourne : « Désolé mais je ne sens rien. Tu comprends ta bite après celle de Christian, c’est un peu limité ». Le voyant si désolé elle le prend dans ses bras. Il pleure presque : « Je dois te le dire, je suis à lui. Il peut faire de moi ce qu’il veut. C’est comme ça, tu n’y peux rien. Je t’aime mais lui c’est mon maître. Tu as voulu jouer à ça mais tu n’es pas de force. Tout ce que je te demande c’est de l’accepter. Demain tu vas rentrer seul et je vais rester le week-end avec lui. Il me ramènera à Paris. »
A l’intérieur de la grande maison toute peinte en blanc que Christian loue chaque année un mois entier, une bonne vingtaine de personnes sont déjà présentes. Tout le monde est encore habillé, enfin porte un vêtement car certaines de ces dames sont déjà bien peu habillées. Selon le dress code, Chrystèle porte seulement un string rouge et un tee shirt blanc sous lequel ses seins jouent librement. A l’inverse les hommes sont torses nus et en pantalon blanc.
On boit, on fait connaissance, Chrystèle et Léopold retrouvent même des couples qu’ils connaissent dont Mira et Moira et leurs moitiés, avec lesquels ils ont passé la dernière soirée et s’en remémorent les moments les plus remarquables. Léopold est sous le charme de ces deux femmes aux poitrines si belles, plus imposantes certes que celle de Chrystèle mais moins parfaites. Chrystèle et son 95C parfait ou presque, sa blondeur, ses grandes jambes, son aura. C’est dans ces moments qu’il en est à la fois le plus fier et le plus inquiet : comment peut-il rivaliser, lui si mince, si mignon, si doux, avec ces mâles qui s’approchent d’elle, dont elle lui dit plus tard qu’ils la caressent alors que lui ne se rend même pas compte.
Ce soir Christian a une idée de jeu très particulier. Il fait amener quatre tables gynécologiques qui ont la particularité d’être revêtues d’une sorte de drap. « Ainsi on ne voit que les chattes de ces dames. Comme vous le savez nous avons souvent joué au jeu "reconnaît la bite de ton mari". Cette fois-ci je vous propose de jouer au jeu "reconnaît la chatte de ta femme, enfin chatte vu qu’elles sont rasées, disons vulve". Qui veut jouer ? »La surprise est assez totale mais quelques-unes de ces dames sont assez excitées pour se livrer au jeu. Et comme elles ne sont que trois, Christian intime plus ou moins l’ordre à Chrystèle de prendre position. Les quatre tables et les quatre femmes sont emmenées dans une autre pièce puis reviennent. On ne distingue maintenant plus que leur sexe et leurs jambes mises dans les reposes jambes.
De sa voix de stentor, Christian reprend : « Pour pimenter le jeu ces quatre messieurs ont chacun deux minutes pour lécher ces juteux abricots. Celui, ou ceux, qui trouvera qui est leur femme pourront baiser les autres femmes. Toujours dans leurs étriers et sans les voir. Je suis le seul à savoir qui est qui.
Ils sont maintenant quatre à prendre leur tour pour lécher ces dames. Léopold a beau avoir souvent léché Chrystèle il doit avouer qu’au moins une des autres vulves ressemble comme deux gouttes d’eaux à celle de Chrystèle. Il en élimine deux mais ne sait pas trop comment choisir. Au moins il a pris un plaisir immense à lécher ces quatre femmes.
« Bon mes petits messieurs, merci d’inscrire le numéro que vous pensez être celui de votre femme sur ce papier. Très bien merci. Et bien voici le résultat. Vous êtes nuls. Tous trois. » Il désigne Léopold et les deux autres hommes. Seul Lilian a trouvé. Lilian approchez vous de la table n°2 et demandez à votre femme de se montrer. Tout fier le dit Lilian, un homme assez petit mais qui va se révéler très bien monté, découvre sa femme, une belle blonde dont le sexe avait semblé effectivement assez particulier à Léopold avec un très gros clitoris qu’il avait adoré titiller. C’est ce qu’on appelle un avantage en nature qui va permettre à Lilian de baiser les trois autres femmes.
Elles sont toujours dans la même position quand il pénètre la première. Assez rapidement. On sait qu’il est excessivement excité. Puis la deuxième, pas beaucoup plus longtemps. La troisième est sans doute Chrystèle et c’est en elle qu’il se répand – préservatif évidemment – dans un grand cri sous les applaudissements de la foule.
Dans la foulée, Léopold se précipite vers Chrystèle, et c’est bien elle : « Ca va, c’était bon ? » Elle semble un peu dans les vapes après ce temps passé sous un drap : « Oui, c’était très bizarre. Il a une grosse bite ton ami. Il ne sait pas trop s’en servir longtemps mais quel engin », rigole-t-elle en descendant de la table gynécologique.
« Applaudissons-les encore », redemande Christian qui, soudain, met une couronne sur la tête : « Cette année nous avons beaucoup fêté les rois toute cette semaine. Comme je suis votre roi, quelles reines veulent se joindre à moi ? »D’une petite voix Chrystèle demande : « Ca te gène si je monte avec lui ». Sans attendre sa réponse, elle le suit. Quatre femmes. Quatre très belles femmes montent avec lui.
Là haut, dans un immense lit, dans une chambre toute aussi blanche que le reste de la maison, il demande à « ses » femmes de le déshabiller. Telles des courtisanes de haut col elles s’exécutent. Le posent nu sur le lit où, également nues, elles viennent le rejoindre pour qui l’embrasser, qui lui caresser les seins, qui le sucer goulument. Avec la belle blonde qui vient de regarder son mari baiser les trois femmes, Chrystèle se partage le sexe de Christian. Mission éminemment stratégique : il s’agit de le rendre dur comme du bois en espérant qu’il choisira l’une ou l’autre. Elles s’appliquent donc à le sucer de haut en bas, à lécher ses grosses couilles, à l’emboucher l’une après l’autre sans négliger de s’embrasser à l’occasion.
A ce rythme-là il est rapidement très opérationnel mais, au grand dam de Chrystèle, choisit l’autre blonde et lui demande de s’empaler sur lui. Lançant un regard de victoire aux trois autres femmes, toutes blondes, toutes très belles, elle introduit le large mandrin dans son sexe ruisselant.
Les autres femmes l’entourent, lui lèchent les seins, l’embrassent. Chrystèle a choisi elle de se faire lécher par Christian. Peu de temps. Il les pousse gentiment ? Retourne Chrystèle et la prend en levrette. Elle se sent totalement dominée par l’intromission de celui qui en fait vraiment tout ce qu’il veut depuis un an et le sait. Sadiquement il la pousse à plat ventre sur le lit. Elle sait alors qu’il va la sodomiser. Elle s’y est préparée mais n’est pas fan. Elle s’y prépare en commençant à se caresser. Sent qu’il appuie sur sa corolle après l’avoir badigeonné d’un liquide. Elle sait qu’elle va avoir mal alors qu’il ne lui a même pas encore fait beaucoup de bien. Elle comprend qu’il veut leur montrer, à toutes les quatre, qu’il est le maître. Il s’introduit, pas trop vite, ce n’est pas trop difficile, ce serait même plutôt bon se surprend-elle à penser.
Il la baise, il la sodomise, il en fait son jouet, la tient par le coup, par les cheveux ; les trois autres femmes sont tétanisées et finissent par les laisser tous les deux. Léopold profite de leur départ pour entrer et assister au coït. Brutal. Sauvage. Il la baise comme un soudard et elle hurle de plaisir. Soudain Christian se retourne et voir Lépoold : « Viens la finir ta pute de femme ; je n’en peux plus ». Chrystèle n’a pas bougé quand il la prend à son tour, profitant de son petit trou si bien ouvert. Elle ne dit rien. Ils sont maintenant tous les deux seuls dans la chambre. Il s’escrime à la baiser mais rien n’y fait. Elle se retourne : « Désolé mais je ne sens rien. Tu comprends ta bite après celle de Christian, c’est un peu limité ». Le voyant si désolé elle le prend dans ses bras. Il pleure presque : « Je dois te le dire, je suis à lui. Il peut faire de moi ce qu’il veut. C’est comme ça, tu n’y peux rien. Je t’aime mais lui c’est mon maître. Tu as voulu jouer à ça mais tu n’es pas de force. Tout ce que je te demande c’est de l’accepter. Demain tu vas rentrer seul et je vais rester le week-end avec lui. Il me ramènera à Paris. »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Couple-subtil
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...