Féérie royale au Cap d’Agde (5ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Féérie royale au Cap d’Agde (5ème partie)
Léopold dormait dans les bras d’un bel homme, grand, très grand, très beau qu’il avait tout de suite apprécié. Ils étaient six à dormir ainsi, nus, dans une chambre qui comportait un immense lit qu’ils se partageaient à quatre, deux autres dormant sur des canapés. Tous avaient été livrés une partie de la nuit aux assauts des douze males présents dans la propriété de leur hôte, Francis, qui n’avait pour sa part baisé que Léopold.
De son côté Chrystèle, la compagne de Léopold, dormait au milieu de cinq autres femmes, épouses, des six hommes qu’elles avaient elles-mêmes livré à la concupiscence de ces males qui les avaient si bien baisées elle aussi. En résumé Chrystèle et Léopold venaient de passer une nuit démente. Le réveil fut pas mal non plus. Depuis quelque minutes Léopold admirait le sexe endormi de l’homme dont il partageait la couche. Même au repos ce sexe était d’une beauté confondante. La tentation de le toucher était décidément trop forte. Léopold commença à le toucher, à l’effleurer. Toujours dans les bras de son homme, il voyait son membre se lever petit à petit. Il entendit : « Suce-moi, tu en meurs d’envie ». Celui qui s’appelait Thibaut le regardait de ses grands yeux vert émeraude alors qu’un grand soleil illuminait la pièce. « Suce-moi et mets-toi au-dessus de moi que je te suce aussi. » Léopold ne se fit pas prier et les deux hommes commencèrent un délicieux 69. Léopold s’acharnait à faire le plus de bien possible à Thibaut dont il avait baisé la femme pendant la soirée. Et qui avait pris Chrystèle mais il n’en était pas tout à fait sur.
Leurs ébats durent cesser quand la femme de leur hôte, une grande blonde Allemande la quarantaine qui parlait français sans une pointe d’accent, entra toujours accompagnée de ses deux esclaves, allemands eux-aussi, grands aussi mais pas blonds : « Mes chéris je vois que vous vous amusez déjà bien. Mais ici vous êtes mes esclaves. Comme vos petites femmes. Continuons à jouer voulez-vous. » Ils le voulaient, tous les six, et ne firent aucune remarque quand les deux Allemands leur remirent les colliers et les laisses qu’ils avaient déjà porté la nuit. Iris, la grande Allemande s’appelait Iris, un prénom si doux qui allait bien mal avec son côté ultra dominant. Iris les fit descendre dans le grand patio, au bord de la piscine, dissimulé par de grands murs, où les attendaient déjà leurs femmes, exactement dans le même accoutrement mais déjà à genoux de l’autre côté du patio, tenues en laisse par le mari d’Iris. « Mes petits, j’imagine que vous avez faim mais il va falloir gagner votre pitance. Vous mangerez si les hommes que vous voyez vous donnent leurs restes. Et pour cela il faudra gagner leurs faveurs », signifia Iris à ses esclaves.
Les douze hommes étaient attablés autour d’une grande table sur laquelle était servi un brunch. Croissants, pâté, saumon, café, fruits, tout cela semblait délicieux et la douceur de ce mercredi d’août aurait suffi à leur bonheur. Mais il fallait le gagner. « Mesdames, messieurs, au boulot, sucez les, faites-les bander et vous mangerez », reprit Iris en amenant chacun et chacune à s’agenouiller sous la table devant le male qui lui était assigné.
Celui de Léopold était un bel Arabe au sexe très brun, large, pas aussi beau que celui qu’il venait de sucer mais bien appétissant. Il se lança en écoutant la conversation. Les douze hommes, plus Iris, faisaient un peu comme si les efforts des esclaves sous la table étaient sans effet sur eux. Enfin sans grand effet. Chrystèle avait beau s’appliquer à sucer avec application le bel étalon noir qui l’avait si bien honorée pendant la soirée rien n’y faisait. Or elle avait faim. Très faim. Le matin elle se réveillait toujours avec un appétit d’ogre. Elle décida donc de se servir aussi de ses mains, remonta pour prendre les tétons, les martyriser et, bien vite, il rebanda. Galamment il lui demanda de venir le rejoindre et de s’empaler sur lui. Elle choisit d’être face à la table et commença une belle chevauchée en se repaissant de pains au chocolat et de saumon.
En face d’elle d’autres femmes et hommes avaient choisi d’en faire autant. Plus gourmand mais moins affamé qu’elle, Léopold chevauchait quant à lui son compagnon en face à face. Il l’embrassait à bouche perdue pendant que le beau Libanais le faisait monter et descendre consciencieusement sur son pieu.
Ils rentrèrent fourbus dans leur petit appartement. Un peu interloqués l’un et l’autre de ce qu’ils avaient fait, subi, apprécié, comment ils s’étaient totalement livrés aux caprices de Francis et Iris. Mais la journée n’était pas finie. Une autre invitation les attendait pour la soirée…
De son côté Chrystèle, la compagne de Léopold, dormait au milieu de cinq autres femmes, épouses, des six hommes qu’elles avaient elles-mêmes livré à la concupiscence de ces males qui les avaient si bien baisées elle aussi. En résumé Chrystèle et Léopold venaient de passer une nuit démente. Le réveil fut pas mal non plus. Depuis quelque minutes Léopold admirait le sexe endormi de l’homme dont il partageait la couche. Même au repos ce sexe était d’une beauté confondante. La tentation de le toucher était décidément trop forte. Léopold commença à le toucher, à l’effleurer. Toujours dans les bras de son homme, il voyait son membre se lever petit à petit. Il entendit : « Suce-moi, tu en meurs d’envie ». Celui qui s’appelait Thibaut le regardait de ses grands yeux vert émeraude alors qu’un grand soleil illuminait la pièce. « Suce-moi et mets-toi au-dessus de moi que je te suce aussi. » Léopold ne se fit pas prier et les deux hommes commencèrent un délicieux 69. Léopold s’acharnait à faire le plus de bien possible à Thibaut dont il avait baisé la femme pendant la soirée. Et qui avait pris Chrystèle mais il n’en était pas tout à fait sur.
Leurs ébats durent cesser quand la femme de leur hôte, une grande blonde Allemande la quarantaine qui parlait français sans une pointe d’accent, entra toujours accompagnée de ses deux esclaves, allemands eux-aussi, grands aussi mais pas blonds : « Mes chéris je vois que vous vous amusez déjà bien. Mais ici vous êtes mes esclaves. Comme vos petites femmes. Continuons à jouer voulez-vous. » Ils le voulaient, tous les six, et ne firent aucune remarque quand les deux Allemands leur remirent les colliers et les laisses qu’ils avaient déjà porté la nuit. Iris, la grande Allemande s’appelait Iris, un prénom si doux qui allait bien mal avec son côté ultra dominant. Iris les fit descendre dans le grand patio, au bord de la piscine, dissimulé par de grands murs, où les attendaient déjà leurs femmes, exactement dans le même accoutrement mais déjà à genoux de l’autre côté du patio, tenues en laisse par le mari d’Iris. « Mes petits, j’imagine que vous avez faim mais il va falloir gagner votre pitance. Vous mangerez si les hommes que vous voyez vous donnent leurs restes. Et pour cela il faudra gagner leurs faveurs », signifia Iris à ses esclaves.
Les douze hommes étaient attablés autour d’une grande table sur laquelle était servi un brunch. Croissants, pâté, saumon, café, fruits, tout cela semblait délicieux et la douceur de ce mercredi d’août aurait suffi à leur bonheur. Mais il fallait le gagner. « Mesdames, messieurs, au boulot, sucez les, faites-les bander et vous mangerez », reprit Iris en amenant chacun et chacune à s’agenouiller sous la table devant le male qui lui était assigné.
Celui de Léopold était un bel Arabe au sexe très brun, large, pas aussi beau que celui qu’il venait de sucer mais bien appétissant. Il se lança en écoutant la conversation. Les douze hommes, plus Iris, faisaient un peu comme si les efforts des esclaves sous la table étaient sans effet sur eux. Enfin sans grand effet. Chrystèle avait beau s’appliquer à sucer avec application le bel étalon noir qui l’avait si bien honorée pendant la soirée rien n’y faisait. Or elle avait faim. Très faim. Le matin elle se réveillait toujours avec un appétit d’ogre. Elle décida donc de se servir aussi de ses mains, remonta pour prendre les tétons, les martyriser et, bien vite, il rebanda. Galamment il lui demanda de venir le rejoindre et de s’empaler sur lui. Elle choisit d’être face à la table et commença une belle chevauchée en se repaissant de pains au chocolat et de saumon.
En face d’elle d’autres femmes et hommes avaient choisi d’en faire autant. Plus gourmand mais moins affamé qu’elle, Léopold chevauchait quant à lui son compagnon en face à face. Il l’embrassait à bouche perdue pendant que le beau Libanais le faisait monter et descendre consciencieusement sur son pieu.
Ils rentrèrent fourbus dans leur petit appartement. Un peu interloqués l’un et l’autre de ce qu’ils avaient fait, subi, apprécié, comment ils s’étaient totalement livrés aux caprices de Francis et Iris. Mais la journée n’était pas finie. Une autre invitation les attendait pour la soirée…
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