Féérie royale au Cap d’Agde (4ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Féérie royale au Cap d’Agde (4ème partie)
Nous ne tardâmes pas à apprendre ce que Francis avait prévu pour la deuxième partie de la soirée dans sa splendide propriété au milieu du village naturiste du Cap d’Agde. Nous étions tous nus à attendre sa proclamation. Toujours aussi royal il avait en effet demandé aux deux esclaves males de sa femme de se mettre autour de lui et de lui passer une sorte de parchemin sur lequel il avait écrit la suite du programme : « Gentils petits maris, vous avez bien baisé ces dames. Maintenant c’est à vous de se faire prendre. N’ayez pas l’air surpris. Wilena et Julius vous ont sélectionné pour votre bisexualité. Regardez-vous : vous êtes tous les six si mignons, si tendres, pas de poil, vos femmes le savent : vous ne dédaignez pas de vous faire prendre comme elles. Et ça tombe bien. Nous avons là de beaux mâles pour vous prendre et ces dames qui en feront bien autant. Non ? »Pendant que nous, les six compagnons et maris, nous regardions bien conscients de la vérité de ce que venait d’énoncer Francis sur son trône, sa femme un peu plus loin un large fouet à la main, nos femmes, nos compagnes, acquiesçaient. « C’est vrai qu’ils sont un peu homo nos petits maris. Moi j’aime bien le prendre parfois. Et vous ? » Celle qui vient de parler est une grande femme blonde que Léopold a baisé pendant la première partie de la soirée. Curieux il se demande ce que va dire sa compagne, Chrystèle, que Francis interroge : « Et toi Chrystèle, qu’en dis-tu, veux-tu voir ton petit mari se faire prendre ?
- Oh oui », répond-elle, troublée de voir Léopold tellement excité que son sexe, de taille moyenne, est levé comme une invite à le soumettre à la volonté des males.
« Bon, très bien, je vois que nous sommes en phase. Mesdames je vous propose d’aller préparer vos maris à la saillie. Faites les belle que les mâles s’en délectent. » Hilares les dix autres hommes regardent partir leur cheptel en se masturbant pour leur montrer ce qu’ils vont « prendre dans le cul ».
A l’étage les femmes vont préparer leurs hommes. Un anneau péniens pour qu’ils ne jouissent pas, un collier et une laisse pour qu’ils obéissent, un godemiché dans le cul, modèle avec une petite queue pour qu’ils soient bien préparés, des portes jarretelles pour les rendre plus sexy, enfin un maquillage pour en faire de jolies femelles. Une demi-heure plus tard elles reviennent, tenant fièrement leurs maris et compagnons en laisse. C’est le signal de l’orgie, les dix mâles approchent. Pas de mise en scène comme tout à l’heure. Ils se précipitent sur leur proie, prennent la laisse des mains des femmes et se font directement sucer. Sauf Léopold. Lui c’est la femme de leur hôte qui le prend en main et l’amène devant le trône où se tient son mari : « Tu m’as baisée. Tu as eu cette chance. Maintenant c’est au tour de Francis de te prendre. Suce-le ».
Léopold hésite. Si les autres hommes sont très beaux leur hôte est assez repoussant. Un gros bide. Mais aussi une queue aux proportions affolantes alors qu’il ne bande même pas : « Allez fais le bander. » La femme de Francis appuie sa demande d’une belle claque sur les fesses de Léopold. Qui prend l’impressionnant mandrin en bouche et s’applique à la faire bander. C’est difficile au début mais Francis s’excite peu à peu. D’autant que juste derrière Léopold, Chrystèle le fait bander d’une main tout en se faisant prendre par Julius.
Petit à petit le sexe de Francis change de proportion. Sa femme aussi change les proportions du godemiché que Léopold subit. « Il faut qu’il ait la taille de Francis. Tu comprends je ne veux pas qu’il débande quand il va te prendre. » Jugeant son mari parvenu à son meilleur, elle relève Léopold, lui enlève son godemiché et le fait mettre au dessus du sexe de Francis : « Vas-y enfonce toi, Chrystèle viens m’aider ». Poussé par les deux femmes Léopold s’enfonce doucement sur l’immense dard que sa femme a bien pris le soin de couronner d’un préservatif XXXXL. « La sensation était invraisemblable, je m’étais déjà fais prendre mais là c’était un tout autre calibre. Heureusement que vous m’aviez bien préparé », dira-t-il plus tard à Chrystèle.
Mais là il n’est qu’un réceptacle à l’immense sexe de leur hôte. Celui-ci ne fais aucun effort. Les deux femmes font monter et descendre Léopold sur sa bite. Il se contente de martyriser les seins de Léopold qui rebande bien car Chrystèle prend soin de le solliciter. Enfin Francis jouit dans un grand cri. Léopold est levé par ces dames. Qui l’emmènent sur les sièges où elles se sont faites elles même prendre pendant la première partie de la soirée. « On va te récompenser mon chéri. Maintenant que tu es bien préparé mes deux amis vont t’honorer à leur tour ». Et voilà Léopold en train de se faire prendre par les deux grands noirs qui avaient si bien fait jouir sa femme. « La sensation était délicieuse. Là je bandais en les suçant, en me faisant prendre. Tu as vu combien de fois ils ont changé de position », raconte-t-il plus tard à Chrystèle qui, elle-même s’est faite ensuite longuement prendre par la femme de leur hôte équipée d’un très bel engin.
- Oh oui », répond-elle, troublée de voir Léopold tellement excité que son sexe, de taille moyenne, est levé comme une invite à le soumettre à la volonté des males.
« Bon, très bien, je vois que nous sommes en phase. Mesdames je vous propose d’aller préparer vos maris à la saillie. Faites les belle que les mâles s’en délectent. » Hilares les dix autres hommes regardent partir leur cheptel en se masturbant pour leur montrer ce qu’ils vont « prendre dans le cul ».
A l’étage les femmes vont préparer leurs hommes. Un anneau péniens pour qu’ils ne jouissent pas, un collier et une laisse pour qu’ils obéissent, un godemiché dans le cul, modèle avec une petite queue pour qu’ils soient bien préparés, des portes jarretelles pour les rendre plus sexy, enfin un maquillage pour en faire de jolies femelles. Une demi-heure plus tard elles reviennent, tenant fièrement leurs maris et compagnons en laisse. C’est le signal de l’orgie, les dix mâles approchent. Pas de mise en scène comme tout à l’heure. Ils se précipitent sur leur proie, prennent la laisse des mains des femmes et se font directement sucer. Sauf Léopold. Lui c’est la femme de leur hôte qui le prend en main et l’amène devant le trône où se tient son mari : « Tu m’as baisée. Tu as eu cette chance. Maintenant c’est au tour de Francis de te prendre. Suce-le ».
Léopold hésite. Si les autres hommes sont très beaux leur hôte est assez repoussant. Un gros bide. Mais aussi une queue aux proportions affolantes alors qu’il ne bande même pas : « Allez fais le bander. » La femme de Francis appuie sa demande d’une belle claque sur les fesses de Léopold. Qui prend l’impressionnant mandrin en bouche et s’applique à la faire bander. C’est difficile au début mais Francis s’excite peu à peu. D’autant que juste derrière Léopold, Chrystèle le fait bander d’une main tout en se faisant prendre par Julius.
Petit à petit le sexe de Francis change de proportion. Sa femme aussi change les proportions du godemiché que Léopold subit. « Il faut qu’il ait la taille de Francis. Tu comprends je ne veux pas qu’il débande quand il va te prendre. » Jugeant son mari parvenu à son meilleur, elle relève Léopold, lui enlève son godemiché et le fait mettre au dessus du sexe de Francis : « Vas-y enfonce toi, Chrystèle viens m’aider ». Poussé par les deux femmes Léopold s’enfonce doucement sur l’immense dard que sa femme a bien pris le soin de couronner d’un préservatif XXXXL. « La sensation était invraisemblable, je m’étais déjà fais prendre mais là c’était un tout autre calibre. Heureusement que vous m’aviez bien préparé », dira-t-il plus tard à Chrystèle.
Mais là il n’est qu’un réceptacle à l’immense sexe de leur hôte. Celui-ci ne fais aucun effort. Les deux femmes font monter et descendre Léopold sur sa bite. Il se contente de martyriser les seins de Léopold qui rebande bien car Chrystèle prend soin de le solliciter. Enfin Francis jouit dans un grand cri. Léopold est levé par ces dames. Qui l’emmènent sur les sièges où elles se sont faites elles même prendre pendant la première partie de la soirée. « On va te récompenser mon chéri. Maintenant que tu es bien préparé mes deux amis vont t’honorer à leur tour ». Et voilà Léopold en train de se faire prendre par les deux grands noirs qui avaient si bien fait jouir sa femme. « La sensation était délicieuse. Là je bandais en les suçant, en me faisant prendre. Tu as vu combien de fois ils ont changé de position », raconte-t-il plus tard à Chrystèle qui, elle-même s’est faite ensuite longuement prendre par la femme de leur hôte équipée d’un très bel engin.
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