Ah fantasme, quand tu nous tiens!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Ah fantasme, quand tu nous tiens! Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ah fantasme, quand tu nous tiens!
Il est près d’une heure du matin quand Jeannette, secrétaire de l’association, fait son entrée dans mon bureau, où j’étais en train de patienter.
- Ça y est, ils sont tous partis.
- Très bien, je vais pouvoir verrouiller les portes et éteindre les lumières.
Alors que je me lève e mon fauteuil, elle sort de la poche de son manteau des billets de cent francs qu’elle pose sur le bureau. Au nombre de trois.
- Pour votre travail. Et ta patience.
- Je te remercie, Jeannette.
- C’est tout naturel.
- Je ne te propose pas un verre.
- Et pourquoi ? Me fait-elle en me détaille, les yeux plein d’une froide malice.
- Il se fait tard.
- Et alors, raison de plus pour s’en jeter un avant d’aller dormir.
- Tu n’es pas attendu ?
- Il attendra !
- Bon, comme tu veux, prends place, je vais voir ce que j’ai dans le frigo.
Il se trouve que j’ai une bouteille de champagne, offert gracieusement la veille.
- Champagne, ça te va ?
- Je n’en demandais pas tant.
J’arrive avec la bouteille en main. Elle m’adresse un clin d’œil aguicheur.
- Et bien merci, me fait-elle.
Les tenues que porte Jeannette sont toujours aussi provocantes. Décolletés pigeonnants, jupes ultracourtes, ou fendues hautes sur la cuisse, pantalons si moulants qu’on aurait dits des collants. Elle vide sa coupe d’un trait. Je la ressers aussitôt.
- Mais tu veux me soûler ? Fait-elle d’une voix pointue. J’espère que tu n’as pas d’idée en tête, hein ?
Elle pouffe sottement, comme une collégienne, en m’épiant sous ses cils.
- D’ailleurs, se rend-elle, je crois que j’ai déjà trop bu ? Je vais commencer à dire des sottises… Voir plus…
- C’est que ta deuxième coupe.
- Mais j’ai bu pas mal de bière avant. D’ailleurs, tu m’excuses, mais je dois me rendre aux toilettes ! Ils sont toujours derrière ?
- Ils n’en pas bougeaient !
Elle passe devant moi, en tortillant du derrière.
À son retour, je lui demande si je la resserre.
- Non, par contre, il n’y avait pas de papier toilette.
- Il fallait en réclamer !
- Je n’ai pas osé te déranger.
- C’est mieux que de mouiller sa culotte.
Le feu aux joues, Jeannette se saisit de ma coupe, et en avale une gorgée du liquide doré et pétillant, avant de reposer le verre sur la table. Elle s'avance d'un pas, réduisant l'espace entre nous, une expression pleine de malice.
- Oh, je n'ai jamais été aussi bien, fait-elle doucement, son regard fixé sur moi, scrutant chaque réaction.
Tout de suite après, elle se saisit de ma main, pour la poser sur sa cuisse gauche.
- Mais dis-moi, Alain, tu ne serais pas contre une petite aventure, me lâche-t-elle d'une voix pleine promesse implicite, tandis qu'elle joue distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs.
Comme elle ne reçoit pas de réponse de ma part, elle ajoute :
- Bon ! Caresse-moi comme je suis sûre que tu sais faire ! Implore-t-elle, le souffle court et les yeux luisants de convoitises. J’en ai tellement envie ! Je ne pense qu’à ça depuis ce matin lors de notre état des lieux.
Elle me dit ça avec un naturel confondant. Comme si elle me proposait de la ramener chez elle. Son parfum emplit la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau laiteuse. Sans m’en rendre compte, je suis en train de me faire piéger. J’avale difficilement ma salive. Mes yeux ne peuvent s'empêcher de glisser sur la silhouette de Jeannette. La robe moulante noire qu'elle porte accentue ses courbes. Profitant de mon trouble évident, elle prend une démarche plus audacieuse, pour se rapprocher un peu plus de moi. Jusqu’à être presque nez à nez.
- N’as-tu pas honte, Alain de laisser comme ça une femme dans un besoin sexuel ? Lâche-t-elle d’une voix teintée d'un défi ouvert.
Je ne vois à priori aucune raison de ne pas accorder à Jeannette ce qu’elle exige de moi. D’autant que moi-même, je meurs d’envie de me jeter sur elle et de faire connaissance avec son corps.
Impatiente, Jeannette ôte jupe et chandail. Elle porte dessous un corsage adorablement bombé. Une culotte en dentelle si transparente qu’elle ne cache presque rien de la pilosité de son sexe. Un porte-jarretelles et ses bas noirs.
- J’espère que je ne te rebute pas ? Me fait-elle, en se séparant de sa culotte et en se positionnant à genoux sur le canapé en se tournant légèrement de côté.
- Qu’est-ce que tu en penses ? Mon mari dit que j’ai un imposant fessier.
Je ne réponds pas, encore sous le choc. Mais je fixe les fesses qu’elle tend vers moi. Des fesses rondes et pâles se pressent de part et d’autre d’une raie mince comme un trait de fusain.
- Ne te prive surtout pas, sers-toi !
Je m’exécute, malaxant son fessier à pleines mains sous ses soupirs de bien-être de Jeannette.
Je plonge ma figure dans cette jungle luxuriante. Je fouille cette broussaille avec mon nez et ma langue pour voir ce qui se cache à l’intérieur. J’ai le visage entier enfoui dans sa fourrure. Elle se crispe, le corps secoué de spasmes.
Tout à coup… Il y a des cris et une irruption de liquide chaud est sortie de la caverne pour m’arriver directement dans ma gorge. Elle tente de repousser ma tête, je m’agrippe encore plus, la bouche et le nez remplis de son nectar, je me noie littéralement, mais je continue à la lécher de plus belle.
Elle repousse ma tête en criant, secouée par des décharges électriques, inondant ma bouche et mon visage de son délicieux liquide, je manque d’air, je ne pourrai plus tenir très longtemps. Lorsqu’elle crie.
- Arrête ! Arrête ! Je t’en prie ! Je ne peux plus !
Je me noie dans sa mouille, faisant des bulles en essayant de respirer. Je relâche mon étreinte. Elle repousse ma tête, et retombe, tout rouge.
- Oh mon Dieu ! Qu’est-ce que tu m’as fait ? Merci mille fois ! Qu’est-ce que c’était bon… ! Il te reste un peu de champagne ?
Je lui sers une coupe pleine et le lui apporte. D’un coup, prenant un air grave, elle change de posture, seins en avant et écartant les jambes. Je vois sa chatte s’écarquiller. Les grandes lèvres, gonflées comme des coussinets, s’écartent sur les petites, couleur de chair crue. Un long filament de mouille brillante s’échappe de sa cicatrice.
- Tu vois dans l’état où je me trouve encore. Alors il n’est pas question de se quitter comme ça mon cher… Tu crois quoi ? Qu’en chauffe une femme comme ça, et bonsoir Clara… Et bien non !
- C’est qu’il se fait tard !
- Tu partiras quand je le désirerais, et pas avant que meurt mon fantasme.
- Un fantasme ?
- Tu as bien entendue !
- Alors, je t’écoute ?
- Tu es, alors, d’accord ?
- Je suis un aventurier, moi, qu’est-ce que tu crois !
Là, elle se lève, et me demande l’autorisation de se servir de mon téléphone. Elle doit prévenir son mari. J’en profite pour aller éteindre la salle et verrouiller les portes.
À mon retour, elle me reçoit en m’exposant ses gros nichons pâles. De vraies mamelles de nourrice. Ils sont garnis d’aréoles roses fripées par l’excitation, d’où dépassent de longs mamelons pointés. Sitôt qu’elle s’aperçoit que ma verge est en érection. Ses joues se sont violemment colorées en rouge.
- Tu es insatiable toi !
- Comme tu peux le voir !
Jeannette avance sa bouche à hauteur de ma bite. J’embrasse et me retourne. Elle enfouit sa figure entre mes fesses et, très excitée, me lèche l’anus à grands coups de langue. Je n’en demande pas mieux. Elle renifle en même temps, tout à fait comme une chienne en chaleur. Je bande douloureusement.
- Dommage que je dois m’en aller ! Me fait-elle.
- Le coup de téléphone ?
- Oui, il veut que je rentre.
- Ce n’est pas grave.
- Mais oui que c’est grave. Je n’en avais pas fini avec toi.
- On remet cela pour la prochaine fois !
- Pas question, je te veux chez moi demain après-midi.
- Tu serais seul, j’imagine !
- T’imagines bien. Mon mari sera absent pour la journée.
Je ne me suis pas fait prier pour me rendre chez elle le lendemain. Sitôt la porte fermée, je ne me gêne pas de passer tout de suite à l’action. Mes narines sont tout de suite envahies par une forte odeur, que seul un sexe en ébullition peut diffuser. Il a plus d’effet sur moi que des produits aphrodisiaques existant dans le commerce. Elle piaille d’une voix entrecoupée.
- Vas-y mon toutou ! Nettoie maman.
Je cherche fiévreusement la fente dans les poils. Je me mets à la lécher. Émoustillée de l’entendre gémir très vite sous mes coups de langue.
- Oui, encore… Continue comme ça… Lèche bien… Au milieu.
Son vagin s’ouvre en dégorgeant. J’y vais à grands coups de langue, en produisant des bruits mouillés. Elle couine en tremblant. J’ai les yeux rivés son anus. L’odeur qui s’en dégage me saoule. Je plonge ma langue dans l’anus chaud et odorant. Jeannette gémit de plaisir en tortillant son postérieur. Je lui taraude l’anus jusqu’au fond du rectum. À en avoir des crampes dans les mâchoires, à force de trop tirer la langue.
Alors que je devine qu’elle est au point de jouir, voilà qu’elle se met à pisser avec une violence inouïe. Elle vide sans peine un bon litre de pisse. Par geste, elle m’indique que je dois boire à la source. Je m’y évertue, comme un chien, en me servant de ma langue comme d’une petite pelle. D’une drôle de voix stridente de petite fille, Jeannette se met à délirer.
- Il me boit ! Il avale vraiment ma pisse qui sort !
Hors d’elle, elle se redresse, se positionne à quatre pattes sur le carrelage souillé de pisse. Elle agite le bassin d’avant en arrière, comme sous la saillie d’un chien pour m’inviter à la monter.
Je me place sur le dos incurvé de Jeannette qui gémit en bougeant. Je n’ai pas eu besoin de guider ma queue vers sa chatte, son vagin béant me l’avale. Dedans, c’est chaud et ça ruisselé. J’entame un mouvement lent de va-et-vient.
La secrétaire effectue des bonds de carpe, avec ma queue fourrée en elle. Son vagin se contracte et se dilate avec des mouvements précipités de pompe bien huilée. Elle pousse des hurlements à chaque coup de bite. Je suis aux anges, de pouvoir tringler cette femme excitée, qu’encore, vingt-quatre heures plutôt, je ne m’imaginais même pas me la faire.
Elle crie si fort que moi, désireux de lui éviter des ennuis avec son mari, je lui pose ma main devant la bouche. Elle s’agite de plus belle sous mes coups de queue. Quand j’éjacule, elle s’effondre sur le carrelage.
J’attends qu’elle ait récupéré, pour lui lancer :
- Et ton fantasme ?
- T’es con ou quoi, je viens de le réaliser.
- Tu ne vas pas me dire que c’était le pipi.
- C’était exactement cela. Tu ne sais pas ce que c’est de vivre son fantasme… Ça m’est arrivé de passer des après-midi entiers à me toucher en pensant à cette scène… Si un jour, tu veux renouveler cette aventure, sache que je ne serais pas contre…
Une fois au volant de ma voiture, je n’en reviens toujours pas, d'avoir pu tirer Jeannette… Une aubaine.
Quand je mets le contact, ma décision est prise. J’ai l’intention de renouveler cette expérience fructifiant.

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