Ainsi va la vie !

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Ainsi va la vie ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ainsi va la vie !
En jetant un coup d’œil sur mon portable, je m’aperçois que j’ai un message de Catherine. Je l’ouvre pour lire qu’elle m’invite à passer chez elle. Qu’elle a quelque chose pour moi.
Ma première pensée et de me dire qu’elle est en manque de sexe. Et c’est pour cela que je l’ai appelé et nous nous sommes mis d’accord pour un rendez-vous.
Au jour prôné, avant de prendre la route, j’avale un comprimé de Cialis. J’ai hâte d’arriver, tant mon envie de me la mettre est forte !
Sur la porte d’entrée, une petite feuille est punaisée. Qui m’invite d’entrée à l’intérieur de la maison, mais aussi des consignes à suivre.
J’ouvre la porte et pénètre les lieux. J’ai la curieuse surprise d’y voir un grand miroir installé. Et comme indiqué sur le petit mot, je dois patienter à l’entrée. C’est alors que son reflet m’envoie Catherine dans une tenue en maille transparente. Une combinaison en résille noire, avec une ouverture-là, où vous devinez. Qui la moule comme une seconde peau.
Je la vois se caresser, prendre des postures. Aussitôt, un jeu se joue entre nous. Je l’observe. Elle fait comme si je n’étais pas là. Elle s’accroupit, écarte bien les jambes. Elle se doigte, par la petite fenêtre. Pour mon plaisir et pour le sien aussi. Elle prend toutes les sortes de positions. Je me touche, alors qu’elle se triture tantôt sa chatte tantôt son cul. Je me garde bien d’aller la rejoindre. Je dois respecter le Dyle. Pour ne pas briser le charme qui s’étale devant mes yeux. Je prends mon pied en tant que voyeur. Et ça Catherine le sait parfaitement !
Elle s’expose de plus en plus. Collant sa cuisse sur sa poitrine, pressant son sexe de la main. Elle m’étonnera toujours cette femme. Cachant bien son jeu de femme fatale à ce qui la connaisse !
Jambes écartées, penchées en avant, tournant le dos au miroir, elle poursuit son jeu en gémissant. Elle écarte ses fesses, tord le cou vers son reflet, plante ses mains en elle.
De temps en temps, elle s’arrête, tire sur ses fesses à se les arracher. Accroupie, la main pointée sous elle, elle s’ouvre le trou, comme j’aime qui soit ouvert.
- Alain vient maintenant, tu t’es assez rincé les yeux !
Ça tombe bien, je ne tenais plus en place. Sans un mot, je m’approche assez près, pour pouvoir enfoncer mon index entre les fesses de Catherine. Je le fais tourner, tire de plus en plus fort sur l’anus que j’élargis, masse l’intérieur. Je retire mon doigt dont le bout est souillé.
Je descends mon visage pour enfouir ma langue dans sa chatte. Elle lâche un râle de contentement. Je la titille avec tact et précision les contours de sa chatte avant de plonger entre ses lèvres largement entrouvertes. Son bouton est sorti de sa cachette. Je prends un malin plaisir à le taquiner, produisant un bruit de clapotis à chacun de mes passages. Mes coups de langue l’amènent à la jouissance.
Pas le temps de reprendre son souffle que voilà qu’elle m’invite à ouvrir la boite en bois qui se tient sur la table basse. Je soulève le couvercle et je trouve à l’intérieur des anneaux de cuir, chacun noué par deux sangles du même type que le masque. Un anneau en métal rigide, bloqué entre deux lanières.
- Alors ? M’envoie-t-elle ?
- Tu as de drôle de mœurs.
- Dans le plaisir, il n’y a pas de gêne. Fait-elle en s’installant à quatre pattes à même le tapis.
Incapable de me contrôler, voilà que je lève ma main, elle claque. C’est parti lentement. Je n’ose pas taper trop fort. Je prends mon rythme. Elle m’encourage même de poursuivre. Je m’enhardis. Ma main tombe plus vite. Les fesses rosissent. Elle respire plus fort. C’est la vraie fessée.
La fessée s’accélère, les fesses rougissent. Les jambes s’agitent. Je perds la cadence, déconcentré par l’excitation. Je m’arrête. Ma main caresse les deux globes bien rosis.
- Continu ! Me lâche-t-elle. Je te dirais quand tu dois arrêter !
Je relève la main et la fesse de nouveau. Et ça jusqu’à ce qu’elle me dise de cesser, et me fasse m’allonger sur elle. Emprisonnant mon sexe en sandwich entre les lèvres de sa vulve. Mon gland appuyé sur son clitoris.
Je suce ses mamelons à travers les mailles. Ils s’allongent, et cela accroît mon excitation.
J'enfuis mon sexe entre ses fesses. Mais il m’est impossible de m’introduire dans son anus encore serré. Mais elle obtient régulièrement des orgasmes clitoridiens qui la mettent en transes.
Alors qu’elle fait des bonds dans le tapis. En piaillant et se tordant. Quand mon gland touche son anus, celui-ci se déplie et s’élargit. Sa couleur mauve disparaît sous la couche de rouge, la muqueuse palpite, se gonfle en se gorgeant de sang. Elle gémit en poussant comme pour chier.
- Oui, je la veux !
Quand j’introduis mon gland dans l’orifice pour frotter la paroi, la rosace se referme autour et exerce une succion entrecoupée de spasmes.
Ma queue glisse aisément dans le conduit chaud et gras. Mon pubis touche le sillon entre les fesses écartées.
L’étreignant aux hanches, je donne des coups de reins, j’ai l’impression de la chevaucher. Elle se branle en même temps. Son ventre et ses fesses s’agitent, son anus m’aspire en s’élargissant, puis se moule comme un doigt de gant autour de ma queue grasse. Des bruits obscènes s’entendent. Quand elle se met à jouir, une brûlure agréable m’envahit le méat, je me rends compte que je pisse. Elle crie :
- Qu’est-ce que c’est ? C’est chaud !
J’éprouve une impression bizarre, la même que l’on ressent face à la possibilité d’accomplir une bêtise ou quelque chose d’interdit. Je l’encule brutalement, en lui assénant de grand coup de butoir. J’en ressens un plaisir sauvage. Une envie féroce de sexe débridé et violent. Je lui malaxe les seins. Son anus émet des bruits de suintements indécents.
Catherine répond avec enthousiasme. Je la prends violemment. J’ai envie que cette enculage dure encore et encore. Je sens bien mon gros pénis qui la pilonne comme un marteau-piqueur.
Tout son corps frémit. Ses narines, évasées, battent la cadence sous sa respiration saccadée. Tout à coup, elle explose. Son corps se raidit. Son sexe pince ma bite par des spasmes continus. Elle s’exprime maintenant par des cris alors que je continue de la labourer à fond, jusqu’à l’explosion finale.
Mais alors que je suis en train de récupérer, après une douche, la voilà qu’elle s’installe à califourchon sur mon torse. J’ai devant mes yeux la fente charnue s’écarquiller au moment où celle-ci lève la jambe pour m’enfourner. Les lèvres en se décollant, dégagent une petite odeur aigre qui me saute aux narines.
- Ouvre la bouche !
Docile, je m’exécute. Ce n’est qu’au moment où je vois le méat urinaire se dilater que je comprends.
- Salope !
La tête bloquée par ses cuisses, je tente vainement d’esquiver le jet d’urine qui m’inonde le visage. Je n’aurais jamais crus capable de faire une chose aussi sale. Je m’applique à mâchouiller la viande rose, gluante d’urine et de mouille.
J’attrape ma queue et la branle pour qu’elle devienne toute dure. Marci le Ciallis !
Je me dégage d’elle, et la fais se cambrer en arrière en la tenant fermement par les nichons puis j’introduis ma queue en elle. Mon gland étouffe dans cette prison sombre et étroite. Dans une humidité onctueuse et accueillante d’un sexe féminin dilaté de désir. Je reste un instant sans bouger.
- Vas-y, baise-moi. Me crie-t-elle.
J’entame un va-et-vient frénétique lui soulevant tout l’arrière-train à chacun de mes coups de boutoirs. C’est vraiment excitant. Je la pilonne comme elle aime être prise. Je secoue son corps dans tous les sens. J’ai une montée de plaisir. Elle crie sans discontinu jusqu’à ce qu’elle s’étrangle dans un cri de plaisir.
J’accélère la cadence des allers et retour que j’inflige à ma verge. Je suis parcourue maintenant par une succession de palpitations toujours plus intenses, toujours plus profondes. Je suis proche de l’explosion. Tous les signes annonciateurs en sont nettement perceptibles. Mon extase est proche, un apogée éphémère, fulgurant, terriblement frustrant mais si éblouissant.
Je lâche une longue giclée de sperme. En trois ou quatre explosions incontrôlées. J’ai poussé une sorte de rugissement, un drôle de son que je n’avais pas encore entendu.
Deux heures plus tard, je me dirige vers la porte d’entrée. Je me regarde dans le reflet du miroir. Alors que je pèse pour la poignée pour l’ouvrir, elle m’arrête :
- Attends !
Elle me rattrape et m’examine droit dans les yeux.
- Nous sommes de beau cochon ! Mais… c’était vraiment délicieux…
- Pour moi aussi !
Je souris et sors de chez elle.

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