Allo maman, ne quitte pas! - histoire érotique

Je rends visite à Éléonore à peu près tous les jours. Et pas seulement pour faire l’amour. Bien entendu, c’est toujours par cela que nous commençons. Eléonore se montrant chaque fois plus sensuelle et plus avide de découvertes. Elle semble avoir retrouvé une seconde jeunesse et s’emploie à en profiter, devenant chaque jour plus impudique.
Ce soir-là, je me suis rendu chez Eléonore pour un énième épisode de cul. Mais surtout pour parler de mon aventure avec Maude. Petit à petit, elle fait dévier la discussion sur sa mère.
-Je suis étonné qu’elle n’ait pas un compagnon, s’inquiète-t-elle.
-Tu ne devais pas me la présenter.
Eléonore s’exclame alors :
-Dis donc, j’ai l’impression que tu veux vraiment avoir une relation avec ma mère. Tu es du genre à aimer les vieilles, toi ?
Et sur ce, le téléphone sonne. Sourire aux lèvres d’Éléonore, qui quitte sa place pour aller répondre. Je l’entends alors dire :
-Quand on parle du loup, on y voit la queue. C’est ma mère, me lance-t-elle.
La fille actionne le haut-parleur du téléphone pour me faire partager leur conversation.
-Tu sais, maman, que je suis en ce moment avec un mec qui se nomme Alain.
-Bonjour Alain, fais la mère de l’autre côté du fil.
-Bonjour Madame.
-Tu sais maman, ajoute Eléonore, on parle de toi avant que tu appelles.
-Tu m’en vois ravi de le savoir, ma fille ! Mais je serais curieuse, ajoute-t-elle, de savoir de ce qui se dit derrière mon dos ?
-Oh… oui bien sûr ! Voilà qu’Alain me faisait part de son faible pour les femmes d’un certain âge.
-Ce n’est pas bien, Alain, de vous moquer d’une vieille dame.
-Mais je ne me moque pas.
Je suis à la fois très étonné par la tournure des événements, mais aussi curieux de connaître la suite. Une envie sale me submerge au point que je me décide de m’approcher d’Éléonore. Je me plaque pour ça à elle contre ses fesses. Cela ne l’empêche pas de poursuivre sa conversation avec sa mère.
Elle ondule même des fesses, ce qui provoque chez moi une érection. Visiblement, elle m’encourage à aller plus loin. Alors je passe ma main sous sa jupe. Je découvre qu’elle porte un collant.
De l’autre main, je déboutonne son chemisier. Mets sa poitrine à l’air. Je les étire l'agace, alors que mon autre main s’immisce dans le collant, virevoltant sous le slip en nylon. Dans l'oreille, je lui glisse.
-Tu mouilles bien, salope ! Tu n’as pas honte ?
Pour toute réponse, elle se penche pour m’offrir sa croupe. J’en profite pour lui relever sa jupe sur ses hanches.
Mais voilà que tous mes gestes sont décrits par Éléonore à sa mère. Ses fesses sont magnifiques sous le voile en nylon. Je m’aide avec un ongle pour faire un accroc. Ceci fait, je déchire le collant. Il résiste, mais je persiste. J’écarte le reste du collant et fais rouler sa culotte le long de ses fesses.
Ma verge est aussi dure que du bois. Je décide de la prendre en levrette. Elle crie. Puis elle explique à sa mère qu’elle est en train de se faire enfiler dans le salon.
-Je t'envie, ma fille ! Fait tomber la mère.
Après quelques va-et-vient, je ressors du vagin pour venir poser mon gland contre son anus. Eléonore se penche au maximum, sans pour autant lâcher le combiné.
- Oui ! Crie-t-elle, il va me la fourrer dans le cul !
-Oh ma fille… mais c’est un pervers, ce fameux Alain…
-Tu ne crois pas si bien dire !
D’une main, elle me caresse les couilles, les soupèse. J’entends sa mère dans le récepteur dire.
- Je sais ce que tu veux. Ce que toutes les femmes veulent. JOUIR… OUI, hurle-t-elle, JOUIR !
-Oh oui, baise-moi le cul, c’est bon. Tu sais que j’aime être garce et en plus…
- Continue, Alain, fais la voix de sa mère…oui….oui, c'est bon de vous entendre, encule-la bien… encule-là bien… encore… oui, continue comme ça… je vais jouir.
La pauvre vieille, dans l’excitation, ne sait plus ce qu'elle dit. Je sens que les premiers signes du plaisir arrivent rapidement et soudain, c’est un feu d’artifice.
Eléonore remue du cul comme une possédée en hurlant.
Bien plus tard, devant une coupe de champagne, Eléonore me questionne sur mon envie d’être présentée à sa mère.
-Tu ne déconnais pas ?
-Pas le moins du monde.
-Tu veux vraiment la rencontrer ?
-Si tu me l’autorises, pourquoi pas.
-Je ne sais pas si c’est son souhait.
-Renseigne-toi ?
-Et moi dans tout ça ?
-T’inquiète !
-Comme tu veux !
Comme convenu, elle me conduit chez sa mère. Une quarantaine de marches plus tard, nous sommes devant sa porte d’entrée. Elle prend son trousseau de clés dans son sac à main et déverrouille l’accès de l’appartement. Elle m’invite à entrer. Je tourne la tête et croise le regard enjôleur d’Éléonore. Elle me sourit et dit :
- Bon, je vous laisse. À tout à l’heure.
Je m’avance dans le couloir, et là je vois une femme nue, allongée sur le lit. Exhibant deux beaux seins lourds et blancs, dont les pointes sont comme des framboises bien mûres, ainsi qu’une jolie toison frisée où elle plaque sa main droite.
En trois enjambées, je suis sur la mère. J’ai l’œil comme aimanté sur sa main qui fouille son sexe. Cette vision me donne un appétit fou, sale. Je respire la puissante odeur de femme dont le désir monte d'elle.
Elle halète. Ses phrases deviennent hachées. Elle frotte son con à pleine main. Triture son bouton. Puis va chercher plus bas son trou du cul, pour s’enfoncer la première phalange du majeur dans l’anus. Elle le ressort pour le renifler.
- Je suis en train de sentir mon doigt qui sort de mon trou du cul. Tu le veux ? Il sent bon. Ça sent ma merde, à vrai dire. Tu veux le sucer ?
J’approche mon visage. Elle me tend son doigt. Un relent de merde vient taquiner mes narines. Sans hésitation, j’enfourne son doigt d’une bouche avide. Je grogne en bavant dessus. Comme à chacune de mes relations, je prends un pied fou à être sale.
- Tu ne serais pas contre d’une petite faveur de ma part.
Je réponds avec mes yeux, trop occupé avec ma bouche de sucer son doigt. Alors, elle prend la direction des opérations. Sa main fait glisser la fermeture de ma braguette. S’introduit dans l’ouverture. Elle s’informe comment faire sortir ma queue de sa cachette. Trouve pour mon plus grand plaisir le couloir le menant à l’air libre. Elle empoigne mes couilles, les soupèse. Je sens que la coquine est une chevronnée côté sexe.
Elle entoure mon gland avec son pouce et son index pour mieux apprécier ma dureté. Puis me branle. De temps en temps, un doigt m’effleure le frein. Je la laisse se divertir avec mes attributs. Ses caresses sont bien agréables. Elle halète d’aise, la coquine. Je lis dans ses yeux fixes de la folie. Je me laisse aller. Crispé par le plaisir que je sens peu à peu monter en moi, par ondes successives. D’un mouvement très naturel, elle happe mon sexe, qu’elle se met à m’agacer de ses lèvres gourmand. Elle ferme les yeux comme si elle était en train de recevoir une offrande sacrée.
En même temps, sa langue s’agite avec une rapidité incroyable. Une vraie gourmande, cette femme. Sa bouche devient gloutonne.
Je sens que je vais avoir de la difficulté à me retenir très longtemps. Je dois même prendre sur moi pour échapper à sa fougue. Je n’ai pas prévu de jouir par là, et pas tout de suite. Elle me siphonne en connaisseuse. Elle emprisonne ma hampe avec ses lèvres, donnant quelques coups de langue sur le frein. Elle lèche avec avidité les bourses et la hampe. C’est sublime.
Puis elle se fait ventouse. Aspirant ma queue. Il y a comme une frénésie hargneuse dans sa fellation. C’est très dur pour moi de résister plus longtemps. Et je me laisse aller à jouir dans sa bouche. Elle en avale une partie avant d'entrouvrir la bouche pour me montrer sa langue qui déguste ma semence.
Il est temps pour moi de lui rendre la monnaie. Le contact de sa peau souple m’excite. Ses muscles se contractent sous mes doigts, tandis qu’elle se trémousse sur le lit à la façon d’une danseuse orientale. Son ventre se creuse au rythme de ses déhanchements, mais c’est surtout son sexe qui m’hypnotise. Elle parvient à ouvrir et à fermer ses lèvres par brèves saccades simplement en faisant jouer ses muscles intimes.
J’approche ma bouche de son ventre. Elle continue à bouger sur place et ses bras m’enlacent tels des tentacules. Elle projette son sexe contre ma bouche. Plaque ma figure dessus, m’empêchant même de respirer. Je remue la tête, mes mains cramponnées à sa croupe.
Ma bouche s’emboite à son sexe aux lèvres brûlantes. Je découvre le goût aromatisé de son sexe. Je bascule dans une sorte de transe sexuelle. Je fourre ma langue dans le fourreau fiévreux. La faisant bourlinguer d’avant en arrière. Comme l’aurait ma queue !
Le jus chaud me coule dans la bouche, sur mes joues. Je bois en faisant du bruit avec ma bouche. Autant que si je devais dévorer un fruit trop mûr. Ses cuisses m’écrasent les oreilles, elle s’abandonne à ma bouche.
Elle est si ouverte que le clitoris darde entre ses petites lèvres. Je le suce puis le mordille. Elle pousse un cri. Je la sentis se raidir. Une giclée chaude me fouette le fond de la gorge. Au goût salé, je comprends qu’elle a lâché un jet de pisse en jouissant.
Je respire tout en titillant le clitoris de l’index. Elle sanglote. Je sens ses chairs palpiter. Une autre ondée chaude me remplit la bouche. Elle urine par petites giclées pour me permettre de tout boire. La pisse a un goût acidulé. Je continue à butiner le bouton. Chaque fois qu’une onde de jouissance l’irradie elle me donne quelques gouttes d’urines.
Vient le tour de l’anus. Dont la bordure est relâchée. D’où s’échappe des arômes poivrés. Je positionne ma verge à l’orée du puits d’amour. Je frotte l’extrémité de mon gland d’abord contre sa toison, puis entre ses grandes lèvres, de haut en bas. Elle commence à soulever son bassin vers moi.
- Prends- moi comme la salope que je suis. Mets-moi ta bite dans ma chatte. Défonce-moi…
Je sens sa liqueur d’amour se déverser depuis sa fente. Je la pénètre d’abord avec mon gland, puis d’un seul mouvement, avec toute la longueur de mon membre. Elle crie de satisfaction et je l’enlace, tentant de l’attirer plus profondément en elle. Sa chatte enserre fermement ma bite pendant que j’entame de lents mouvements amples de reins. Qu’elle accompagne de ses hanches.
-Tu serais capable de me pisser dedans ? Me défit-elle.
-C’est votre souhait ?
-C’est mon fantasme…oui…
Je mets un long moment avant de pouvoir uriner entre ses lèvres. Je sens le liquide chaud enrober ma verge. Je l’inonde de ma pisse. C’est une perception insolite mais très enviable. Il y a de l’urine qui s’écoule de son vagin à chaque fois que je me retirais. Je la tiens par les hanches et la besogne à grands coups de reins. Je suis dans un état second.
Il me semble que jamais mon plaisir n’a jamais été aussi fort. Elle comme moi délire ! La mère crie des mots sans suite. C’est dans cette ambiance survoltée qu’elle prend son pied.
Après avoir repris mes esprits, je sors pour aller rejoindre Eléonore dans la voiture.
-Merci ! Me fait-elle, avant de faire tourner la clé du contact.
Elle m’invite alors à aller chez elle, avec une étincelle dans les yeux et un sourire de sous-entendu. Il ne m’en faut pas plus pour accepter.