Le coq du quartier.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le coq du quartier. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le coq du quartier.
Le quartier est à moi. La rue est pleine de femmes mûres, la plupart vivant seul à la recherche du plaisir. Comme l’est Nelly. Une voisine corpulente. Pas du tout mon type. Mais que j’étais disposé à essayer. Moi tout ce qui a un rapport avec le sexe, je prends.
Et comme tous les lundis, qui vente, qui pleuve, madame étend son linge. Je devine qu’après cette tache, elle va s’en aller puisqu’elle est habillé pour. L’air est électrique de mon côté. Comme chargé d’excitation. Ce qui me pousse à chahuter avec la voisine, qui en toute innocence continue à étendre son linge.
- Bonjour voisine ! Je lui envoie.
À ces mots, elle se retourne, après avoir épinglé ses énièmes collants parmi d’autres vêtements. Elle me fixe quelques instants, avant de répondre à mon bonjour. Sans en rajouter plus, avant de se remettre à étendre son linge.
- Je suis un peu déçu, lui fais-je.
- Pardon, me répond-elle, sans pendre la peine cette fois-ci de se retourner.
- Je disais que j’étais un peu déçu.
-Oui j’ai bien entendu, mais je peux savoir pourquoi ? Réplique-t-elle.
- Déçus de ne pas voir de culotte sur votre étendoir.
Là, elle se retourne, place ses mains sur ses hanches, et lâche un méchant :
- Et qu’est-ce que cela peut vous foutre, en parlant poliment !
Il ne m’en faut pas plus pour me faire plonger dans un état second. Mélange de perplexité et d’excitation lancinante. Sans que je ne sache si je devais me réjouir ou m’inquiéter, je poursuis.
- C’est que je suis un grand fan de la culotte féminine. Et j’aurais bien voulu savoir le genre de culotte que portent mes voisines.
- Rassurez-moi, vous n’êtes pas dans votre état normal ? Rétorque-t-elle.
- Pas du tout ma chère voisine. Vous allez me prendre pour un détraqué, mais cela est dans mes gaines.
- Bien, j’en ai assez attendu, je rentre.
- Bonne journée voisine !
- Oui, c’est ça !
Et elle disparaît de ma vue, en entrant chez elle. J’en profite pour en faire de même. Pas mécontent de moi, d’avoir agacé la voisine. Sachant très bien que cela va la travailler. Et je devine que cela va dans les heures qui suivent la faire réagir, en bien ou en mal.
Il me faut attendre la semaine suivante pour revoir Nelly étendre de nouveau son linge. En parfait connard, je remets cela.
- Toujours pas de culotte ?
- Mais vous m’emmerdez avec mes culottes. Je n’en mets pas, voilà vous êtes content.
- Alors là, Nelly, vous me décevez !
- Et bien oui, je vous ai déçus, je m’excuse. Mais de vous à moi, vous allez encore longtemps m’emmerder ?
- Je vous ennui pas voisine, je me renseigne seulement.
Je souris pour qu’elle sourie. Mais rien n’y fait. J’ai affaire à une dure à cuir !
- Oui sur des sujets qui ne vous regardent pas ! Réfute-t-elle ?
- Je dis ça, je ne dis rien.
- C’est ça, oui, ne dîtes plus rien, où je vais devoir le dire à mon copain.
- C’est provoquer des guerres pour rien !
- Et bien laissez-moi tranquille.
Je profite du lendemain que ce n’est pas un jour de lessive pour l’interpeller alors qu’elle s’occupe de ses rosiers.
- Oh non pas vous, me fait-elle, après que je l’ai salué.
Je lui montre le magnum de crémant en sachant parfaitement bien qu’elle est portée sur la boisson.
- Je veux vous offrir un verre. Pour faire la paie !
Voilà qu’elle sourit. Immanquablement, j’ai touché son point faible.
- Vue comme ça, je ne dis pas non.
- Chez moi ou chez vous ? Je l’interroge.
- Bien pour cela, je vous autorise l’accès de chez moi !
Et c’est comme ça que je me retrouve autour de sa table de cuisine de Nelly. En train de trinquer avec cette dernière. Je suis tout de suite attiré par le profond sillon entre ses seins lourds, un peu découverts. Sa chair blanche se détache sur le noir de son chemisier.
- Dites-moi les culottes, c'était pour blaguer ? Me lance-t-elle.
- Pas du tout, depuis toujours, je suis admiratif des sous-vêtements féminins. À en avoir même une collection.
- Non… ! Vous me charriez ?
- Pas du tout, je serais même enfin, capable, enfin si vous le désirez, de vous la dévoiler.
- Des trophées en quelques sortes.
- Oui… Si vous voulez, oui…
- Vous n’allez pas me faire croire que vous en voulez une de moi ?
- Pas le moins du monde. Jamais une telle idée ne m’est même parvenu, à vrai dire.
- Alors pourquoi m’avoir bassiné avec mes culottes ?
- Juste pour le plaisir. Et savoir ce qu’une femme comme vous, pourrez porter, voilà tout. Maintenant, je le sais.
- Et bien comme tu es gentil et pas dégueux à regarder, je vais t’avouer que je n’en jamais porter. Content avec ça ?
- Non ! Alors sous le jean que tu ne portes (passant moi aussi au tutoiement rien ?
- Pas exactement !
- Explique-toi là, j’ai du mal à suivre.
- Remplis mon verre s’il te plaît !
Et alors que j’emplis son verre et le mien, elle m’explique que sous son pantalon s’est un collant qui fait office de culotte.
- Tu es content avec ça ?
- J’ai déjà connu cela dans ma jeunesse.
- Ah oui…
- Oui, une voisine.
- Elle aussi ne portez pas de culotte ?
- Oui comme toi.
- Et c’est elle qui te l'a dit ?
- Non !
- Comment non, donc tu as été vérifié ?
- J’ai été effectivement vérifié.
- Et elle avait quel âge ?
- Deux fois et demie mon âge à l’époque.
- Elle aurait pu être ta mère ?
- Je confirme, oui…
- Comme dit le proverbe, c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe !
- Et je le confirme ! Enfin, je parle pour ma pomme.
- ça t'embarrasse de me raconter comment cela, c’est produit ?
- Et pourquoi je le ferais ?
- Pour nourrir ma curiosité, tient pardis ! Je suis du genre curieux sur les bords. J’aime ce genre d’histoire.
- Et je gagne quoi à exposer mon aventure avec ma voisine.
- Cela dépend du niveau de perversion de ta confession.
- Il se trouve que ce soir-là, je suis en train d’étudier dans ma chambre quand ma femme entre. Elle me dit que la voisine a besoin de mes services. Je me lève et m’avance jusqu’à la porte d’entrée, où effectivement se tient Bernadette la voisine du haut. Qui demande mon aide pour mettre en sac les pommes de terre qu’elle a en stock dans la cave ? Qu’elle ne se voit pas s’aventurer toute seule dans ce local. Bien sûr, je n’ai pas mis longtemps pour me passer les chaussures et la suivre jusqu’au sous-sol du bâtiment. Sur place, elle me tend la torche et me demande de l’éclairer, avec qu’elle chevauche le bac où sont stockées les patates. Elle ouvre sa toile de jute en jette à l’intérieur des pommes de terre. Dans un premier temps, j’illumine le contenu, mais peu à peu, je suis tenté par éclairer son pied gainé de nylon, une couleur chair enfouit dans sa mule en cuir blanc à semelle en bois. C’est pour moi des plus excitants. Surtout que mon regard se fixe sur ses orteils, dont les ongles sont laqués de vernis rouge vif.
Pendant ce temps, Bernadette continu en emplir son sac. C’est alors que je suis submergé par une drôle d’idée. Et sans réfléchir, j’approche assez ma main tenant la torche au plus près de son peton, à l’effleurer, sans que cela éveille quoi que ce soit du côté de Bernadette. Alors encouragé par son inaction, je me suis permis de faire passer la torche d’une main à l’autre pour avoir ma main droite libre. Et ainsi avoir le loisir de faire connaissance avec l’objet de mon désir. Et je ne me suis pas gêné. D’abord du bout des doigts puis franchement, massant le dessus de son pied. Des orteils qui sortent de ses mules à sa cheville. Et tout cela sans que cela fasse réagir la propriétaire. Cela que donnent tous les droits de poursuivre mon œuvre.
À cet instant, je me demandais si sa fille Muriel n’avait pas vendu la mèche en lui dévoilant le pelotage qu’elle subissait par mes soins, et dont elle était friande.
Donc encouragé, je suis passé à l’étape au-dessus. Passant du pied, à sa cheville jusqu’au mollet rendu rugueux à cause du nylon. Ce qui eut pour but de me faire frissonner. Bernadette toujours imperturbable continu à emplir le second sac. Pousser à aller plus loin voilà que je tente de faire glisser ma main jusqu’à son genou. Je m’attends d’un moment à l’autre à recevoir une réflexion de la voisine, mais ne se fais pas, alors ma main grimpe un niveau supplémentaire pour chahuter avec l’ourlet de sa blouse. Puisque la voisine avait tendance de porter des blouses. C’est alors qu’elle ouvre la bouche pour me reprocher de ne pas bien l’éclairer. Tout en m’exécutant, j’envoie ma main à la découverte de ses cuisses. Je bande comme un âne. Je me contiens pour ne pas fouiller son intimité. Trouvant cette manœuvre un peu précipiter. Alors je caresse sa cuisse droite et la gauche. Puis je reviens à l’autre, la fait glisser jusqu’à son genou pour mieux revenir à ses cuisses. Et tout ça sans que Bernadette réagisse. C’était devenu clair dans mon esprit. Tout cela était loin de lui déplaire. Et que même cela la réjouissait. Pour confirmer mon évidence, je lance mes doigts à la découverte de son intimité. Et ce que je sens est loin de me scandaliser. L’entrejambe de son collant est glissant dû à sa mouille. Je suis dans tous les états. Je ne sais comment j’ai fait pour me retenir.
Ma queue me dicte d’y aller alors que mon cerveau me demander de ne pas la brusquer. De continuer à la chauffer. Alors j’ai écouté mon cerveau. Cajolant toute son intimité. De son pubis à sa raie. Ses fesses aussi. Sa respiration se fait plus rapide. Brigitte voisine du bas, dont j’étais son gode vivant m’avait prévenu. Comme quoi j’avais ma chance avec Bernadette. Qu’elle ne m’emmenait pas comme ça pour rien. Dans un premier temps, je me disais que c’était sans doute pour Muriel ? Mais je pense que Brigitte avait raison, qu’elle prêchait pour sa paroisse.
J’ai les doigts luisants de sa mouille. Je suis d’avis d’aller goûter sa mouille à la source. Sans plus réfléchir, je chevauche la paroi de bois du bac, en prenant la peine de toujours l’éclairer, et je m’agenouille derrière elle. Les genoux en appui sur le fond du bac sans me soucier qu’il soit sale ou non. De ma main droite, je hisse l’ourlet de sa blouse sur son postérieur et alors que je m’apprête à approcher ma bouche de son intimité, j’entends un bruit de mobylette. Pris de panique, j’accours reprendre la position initiale. Derrière la paroi extérieure du bac. Et l’avenir m’a donné raison puisqu’il s’agissait du mari. Entretemps Bernadette avait empli un troisième sac.
Alors qu’elle discute avec son époux, je porte mes doigts à mes narines.
- Cela te va ?
- C’est du fantasme, avoue ?
- Du pur vécu, ma coquine.
- Tu as une preuve à cela ?
- Tiens, on ne me l’a jamais fait celle-là.
- Alors ?
- Je n’ai aucune preuve, pas même les coordonnés de la chère dame à savoir même si elle est encore vivante.
Nelly me tourne le dos et jette de mon regard un déhanchement plus qu’envoûtant. Sa jupe qui épouse les formes et ses fesses.
- Je t’avoue, pour ma part que ton histoire, vraie ou fausse m’a mise dans un drôle d’état.
- C’est-à-dire ?
- Il faut que je te fasse un dessin.
Elle se place à quelques pas devant moi, en retrait. Elle balance ses hanches de gauche à droite, sur une rythmique improvisée. Elle se caresse au-dessus de sa jupe. Le ventre, les seins, de manière de plus en plus sensuelle et chaude. Mes yeux se plantent dans les siens.
- Tu as besoin d’aide ? Lui fais-je.
- Patience mon beau…
Délicatement, elle joue avec les bretelles de son tee-shirt en coton. Elle fait glisser une, son épaule nue se dévoie devant mon désir grandissant. La seconde ne tarde pas à glisser, elle aussi. Sa tenue découvre à présent son buste. Elle tire sur l’étoffe jusqu’à son nombril. Elle ondule son corps et prend des poses coquines.
- Elle te faisait ça ta Bernadette ?
- Crois-moi, c’était une chaudasse cette Bernadette. Elle faisait tout ce que je désirais pour avoir mes faveurs.
- Je vois ! Fait-elle en abaissant sa jupe.
Découvrant par ce geste l’intégralité de ses sous-vêtements, collant compris. Puis elle prend la pose, les mains sur les hanches, puis sur sa poitrine. La massant tendrement, les frottes l’un contre l’autre, pinçant ses bouts entre ses doigts. Sa tête bascule en arrière, sa respiration s’accélère.
Elle y va de plus belle, poussant de petits gémissements.
- Tu en meurs d’envie, de me les masser…
- Cela est ton désir ?
- Tu m’as entendu dire cela ?
- Non, mais je pense que c’est, tu n’oses pas !
- Moi pas osé, ce n’est pas me connaître. Fait-elle en glissant sa main droite à hauteur de sa chatte.
- Oh oui ! Que c’est bon, mon clito est fébrile, sensible, tout dressé… Je sens que je ne suis pas loin d’être comme ta fameuse Bernadette, c’est bien comme cela qu’elle se nomme ? M’introduisant dans la bouche, les doigts qui l’instant d’avant fouillaient son entre-jambe.
Je les lèche avec avidité.
- Eh bien, tu as l’air d’aimer cela le nectar maison ?
- Plus que tu peux le penser… j’en raffole même, je ferais même n’importe quoi pour le boire à la source.
- Ah oui, lâche-t-elle en posant un pied sur une chaise.
- Regarde ma chatte alors…
Si son corps est lourd, sa chatte, elle, frappe par son élégance. Elle est poilue comme j’aime. Ses grandes lèvres bien rebondies abritent des nymphes minces, aux bords réguliers, lisses. Me lançant un regard fiévreux. Puis elle me déclare, d’une voix pleine de sensualité :
- Je me laisserais bien tenté. Montre-moi ta queue…
Elle ne détache pas ses yeux des miens, dans lesquels je perçois une lueur de curiosité grandissante.
Et c’est pour là, je ne sais plus combien de fois que je mets mon sexe à l’air livre devant les yeux d’une femme. Elle prend son sein droit dans sa main et pince légèrement son téton, qui réagit aussitôt. Puis elle se dirige sur mon membre. Son téton frôle ma bite. Puis elle passe ses seins sur mes testicules puis elle enserre mon engin entre ses seins. Elle entame une savante branlette espagnole. Tout en douceur.
Je suis dans un nuage. Elle n’est pas à son premier essai. Et tout de suite, j’ai un pensé au copain qu’elle a en ce moment.
Mais la branlette est de courte durée.
- Mais dit moi dans ton histoire, il n’y avait pas de branlette espagnole.
- Par ce que je n’ai jamais eu droit à cet exercice de sa part.
- Peut-être que tu ne le méritais pas. Tu ne l’as mené peut-être pas au nirvana !
- Ah oui, fais-je en collant ma bouche sur son sexe. Son clitoris est hypersensible. Sitôt qu’on y touche, elle pousse des cris.
Je lui tète le sexe comme un affamé. Elle sent terriblement bon, son odeur me monte à la tête. Elle pousse des râles en excitant ses mamelons.
- Tu es une grosse salope, tu aimes le cul.
- Ce n'est pas une tare, hein.
Je glisse un doigt dans sa fente. La doigte longuement tout en suçant son bouton.
J’arrête mon léchage pour lui donner de petites tapes sur ses fesses, qui réagissent par de légers tressautements flasques.
Je sépare les deux globes, dévoilant ainsi son œillet brun et plissé. Je plonge sans plus de cérémonie et lape à grands coups de langue sa raie du cul, son petit trou. À l’autre bout, ça ronronne ferme.
- Tu sembles aimer te faire lécher le cul.
-OOooouuuiiiiii. J’aime me faire bouffer le cul, parfaitement.
- Et te faire doigté le cul ?
Sans attendre sa réponse, j’appuie sur sa pastille élastique, qui s’ouvre doucement et laisse le passage à une première phalange.
- Oui, c’est bon, doigte-moi le cul. Mon copain rejette ce genre de caresse trop sale pour lui.
- Et te faire enculer ?
- Et ta Bernadette ?
- Elle n’espérait que ça de ma part après le léchage.
- Oui, j’aime avoir une bite dans le cul. Mais pas tout de suite s’il te plaît, prends d’abord ma chatte.
Elle s’agenouille en tendant sa croupe. Fou de désir, je l’investis à la hussarde, la besogne sauvagement dans un déchaînement hystérique avant d’exploser dans un hurlement et de m’abandonner. Reprenant lentement mon souffle. Des étoiles dans les yeux, je suis surpris de constater que je ne débande pas.
Mon sexe poisseux gardant une érection magistrale. Lui ployant la nuque pour la positionner en levrette, tête basse.
- Mais vas-y doucement je suis très sensible, c’est bon, mais ça peut devenir vite douloureux.
Je pèse soudain de tout mon poids sur son dos pour m’enfoncer dans son anus d’une seule et inexorable poussée, ne relâchant la pression des bras autour de sa taille que lorsque je sois totalement en elle.
Elle pousse un cri rauque. Fiché dans le fourreau de son cul, je l’insulte tendrement, je me mets en branle.
- T’es un sacré numéro toi. Me lance-t-elle.
Je commence à pistonner son trou du cul. En basculant légèrement mon torse sur l’arrière, je peux jouir du spectacle de son anus aux bords humides, écartelé par ma colonne de chair, ce dont je ne me prive pas, malgré l’inconfort de la position. J’accélère progressivement mes va-et-vient dans un pilonnage effréné ponctué d’obscénités proférées dans des grognements et des râles jusqu’à un orgasme dévastateur que nous atteignons ensemble.
Affalés sur le divan voilà qu’elle remet ça :
-Dis-moi maintenant, les culottes…
-Merde !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Dommage, trop de fautes d'orthographe et des incohérences dans l'histoire (un coup elle est en jean puis quelques lignes plus bas elle est en jupe).

Histoire Libertine
Beurkkkkkk...



Texte coquin : Le coq du quartier.
Histoire sexe : Une rose rouge
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