Un moment torride, confirmé !
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un moment torride, confirmé !
C’est en sortant du bureau de Caroline en compagnie de Myriam ma copine de cul, que l’idée nous est venue.
Caroline est une fille mère, et Myriam ne serait pas contre de lui offrir quelques minutes de jouissance. Et pour cela, pas de problème pour moi, j’entre volontiers dans la dance. Une partie de jouissance moi, je ne dis jamais non !
Et comme souvent ensemble, nous n’avons pas mis longtemps pour trouver un scénario. Nous avons même trouvé le bon moment pour le réaliser.
Donc comme convenu, j’attends patiemment que Myriam entre dans le bureau. Comme elle le fait souvent pour tenir compagnie à Caroline, qui s’ennuie seule dans son bureau. Un peu à l’écart. J’ai dû attendre une bonne demi-heure avant de la voir rappliquer.
- J’ai eu un problème avec le démarrage de ma voiture.
- Tu n’as qu’à en changer…
- Tu me prêtes de l’argent ?
Sans perdre de temps, je quitte ma chaise et m’approche de Myriam. Et comme c’était prévu dans notre scénario, la coquine n’attend pas longtemps pour poser de but en blanc son index au contact de ma braguette. Le premier réflexe de Caroline est comme nous l’avions deviné, d’éclater de rire.
Mais très vite, la suite est loin de la faire autant rire. Puisque la volcanique Myriam prend l’initiative de descendre le zip de ma braguette. Ce, faisant le silence, s’installe au bureau. Et quoi ajouter quand la même Myriam fait sauter le bouton de mon pantalon. Ce dernier glissant de quelques centimètres sur le haut de mes cuisses. Caroline ne sait plus où se mettre. Savoir si c’est du lard ou du cochon. Gênée, je devine, par ce qui se trame devant ses yeux.
Surtout que Myriam se surpasse en passant à la vitesse supérieure. Faisant glisser mon slip, assez pour mettre ma verge à l’air. Caroline plus que confuse, ne sait plus quelle conduite prendre.
- Elle est belle sa queue, tu ne trouves pas Caroline ?
- Heu… Oui Fait-elle en jetant juste un furtif coup d’œil.
- Mais regarde, ça ne va pas te manger. N’est-ce pas Alain, elle ne mange pas ta queue ?
- Arrête Myriam, tu vois bien que tu embêtes Caroline.
- Je ne suis pas aussi sûre que toi. N’est-ce pas Caro ? Fait Myriam, tout en me masturbant.
Je ne vous cache pas que j’ai failli lâcher ma jouissance sur l’instant, tant j’étais excité. Mais grâce à ma grande expérience, j’ai pu reporter ma jouissance à plus tard. Quand je l’aurai décidé !
Je veux avant tout profiter du délire, bien manigancé avec ma partenaire de cul.
- C’est bon, Alain ? Je fais ça bien ? Me lâche cette dernière.
Comme à son habitude, elle est du genre terrible, cette Myriam. Et comme moi, elle a l’air de prendre du plaisir de la situation.
- Oui, c’est bon, mais serres plus, plus grand les mouvements, oui, c’est ça, continues. C’est un peu sec quand même, un peu de salive ferait du bien, tu sais.
En parfaite maîtresse obéissante, elle crache sur le gland, sous le regard abasourdi de Caroline. Ça coulisse nettement mieux par la suite. J’aurais bien préféré qu’elle me suce. Mais elle n’avait pas prévu cela dans son délire, enfin pas encore ! Ses mouvements se font de plus en plus rapides.
- Oui, c’est bon comme ça, continue, je sens que ça vient déjà, oui ça monte, ça y est, je vais juter ! Oh oui, c’est bon, encore...
Elle continue son mouvement de branle et me fait jouir dans la paume de son autre main pour ne pas souiller le bureau de Caroline. Mais je suis certain que vous vous posez la question de savoir ce que faisait Caroline.
Et bien rien, elle observait seulement. Je devine sans mal qu’elle avait dédicacé l’entrejambe de sa culotte. D’une belle virgule blanche, que seule une femme excitée peu paraphée !
De son côté, la main de Myriam est garnie de mon foutre chaud et gras. Tout cela était des plus délicieux !
- Ça t'a fait du bien, hein Alain, de décharger, ça soulage non ? Et maintenant que dois-je faire, dit-elle en regardant la paume de sa main pleine de mon jus.
Devant les yeux témoins de Caroline elle gobe tout le foutre qui reposait dans le creux de sa main avant de le déglutir tout en fixant dans les yeux, sa copine. Un après l’autre, la coquine lèche ses doigts en jouant avec les filets de sperme blanchâtres qui engluent sa bouche.
- Maintenant, enfin, si tu le désires, je vais nettoyer ta queue, elle n’est pas présentable et ta femme pourrait s’en plaindre, si l’envie lui vient de vouloir s’en servir. Elle lui appartient tout de même !
Caroline plus que gênée que jamais, reste éberluée. Je suis là, debout, la bite à ‘air, regardant Myriam sucer mon sexe encore à moitié raide.
- Voilà, c’est fait, tu es propre comme un sou neuf. Mais dit moi Caroline, tu en voulais peut-être ?
- Pas du tout ! Lâche-t-elle franchement.
- Tu vois, mon petit doigt me dit tout le contraire.
Caroline ne répond rien. Ce qui fait dire à Myriam.
- Excuse-moi ma puce...
- Mais… Mais… De rien…
Mais il se trouve que rien ni personne ne résiste à la dépravation de Myriam. Encore moins, moi !
Donc la voilà qu’elle s’approche de Caroline et colle ses lèvres aux siennes. Je suis un peu surpris que cette dernière reste sans écho. Il est temps pour moi de m’occuper de la porte d’entrée. Sachant très bien que n’importe qui pourrait faire irruption dans la pièce, même si c’était loin d’être propre !
À mon retour, les deux femmes échangent de longs baisers. Surpris que Caroline réponde lascivement à l’accolade de sa copine. Mais rien ne me surprend venant du côté de cette dernière. Elle peut persuader n’importe qui !
Je profite de l’occasion pour m’autoriser de palper la poitrine sans soutien-gorge de la secrétaire. Je parviens même à la dégager de l’échancrure de son chemisier, sans qu’elle fasse un seul geste pour me l’interdire. J’y pose délicatement les lèvres. Mes doigts remontent lentement le long de sa cuisse gainée de nylon. Je constate que son entrejambe est en sueur. Je sens même à travers les différentes étoffes sa forte pilosité, que je caresse avec voracité.
Voulant en voir davantage, j’entreprends de la débarrasser de son collant et de sa petite lingerie. Mais avant tout, je dois la déchausser. Je sors un petit 38, gainé de nylon couleur chair du premier escarpin. Je ne peux me contenir de porter le pied à ma figure. Que j’embrasse, que je hume, que je lèche. Je me concentre ensuite sur sa deuxième chaussure. Et j’effectue le même rituel que pour sa jumelle, avant de faire disparaître mes mains sous sa jupe. Dont je tâtonne quelques instants à l’aveuglette, et cela, jusqu’à atteindre l’élastique du collant. Que je pince de mes doigts pour le tirer vers le bas de sa personne. Il se trouve que la culotte couleur noire est venue avec le collant.
Je ne résiste pas à la tentation à aller voir ce que Caroline cache sous l’abat-jour que fait sa jupe. Mais, là, je me heurte à une résistance de la part de la secrétaire.
- Non, je t’en prie Alain… Je ne suis pas des très fraîche là-dessous. Fait-elle, le visage marqué par la honte ?
- T’inquiètes Caroline, fait Myriam, il aime cela le cochon.
- C’est que… fait Caroline…
Je la fais taire en l’embrassant sur la bouche. Elle cherche tant bien que mal, à repousser ma tête. Mais je tiens bon, heureux de l’aubaine qui m’est offerte. Elle finit par s’abandonner. Et me laisse par la même occasion obtenir ce que je désirais tant. M’attaquer directement à la chatte. Elle est lourdement velue, comme deviner plus tôt. La toison qui recouvre son mont de Vénus, est plus large que la normale. Une languette de son épais buisson remonte vers le nombril, où vient mourir les dernières frisettes. L’intérieur des jambes, particulièrement soyeux. Les poils d’un roux tranchent sur la blancheur des cuisses. Je reprends mon exploration.
La situation dans son ensemble était des plus extraordinaires. Si les pensées de Caroline étaient un peu confuses, sa chatte, elle, ne l’était pas. La coquine mouille abondamment.
Je suis comme dans un rêve. Je tire la langue vers le sillon intime. L’odeur précède le contact, et c’est déjà enivrant. Ravi, je gobe ses lèvres verticales avec volupté. Après les avoir sucées et lissées, je pousse plus au fond ma langue. Je la noie dans sa mouille. La vulve s’ouvre et enveloppe ma langue, comme le ferait une toile d’araignée. Je fourrage du bout de la langue les parois souples et aigres. Après m’avoir gavé de son sexe, je passe à son petit trou que dissimule un duvet très couvert.
D’abord sèche et dure la couronne musculeuse s’assouplit et me laisse goûter son intérieur. Surpris par la docilité de Caroline, je n’hésite pas à perforer de toute la force de mon muscle buccal ce dernier rempart. L’orée du rectum est amère.
Mais très vite, sous mes coups de langue, l’anus est débarrassé de son goût de renfermé. Mâchoire ankylosée, j’observe la muqueuse ouverte.
- Ça te plaît, hein, salope, te faire bouffer le cul ! Fait la voix de Myriam dans un coin de la pièce.
- Je crois que ta chatte est maintenant prête à se faire baiser par une queue en chaleur... Bien dure et bien droite… Lui fais-je.
Et Myriam d’ajouter :
- Tu veux sauter Caro dans son bureau. Je suis certaine qu’elle brûle d’envie d’avoir ta belle queue dans son ventre.
Comme Caroline ne proteste pas sur ce point de vue, je m’approche d’elle, lui écarte ses cuisses. Je crache sur ma queue sous les yeux captivés de Caroline, et l’approche de l’orifice choisit. Je pousse, le gland pénètre, Caroline reste la bouche ouverte, alors que je continue à pousser et m’introduis millimètre après millimètre, mais sûrement.
C’est alors que la chère Myriam, se saisit de la culotte tachée de mouille de Caroline et se met à la sucer, tout en pianotant avec son autre sa chatte gonflée.
Voyant qu’on l'a contemplé, elle sourit et écarte largement ses cuisses pour qu’on admire sa grosse chatte enflammée.
- Vas-y Alain ! Baise-la, violemment, fais-lui mal... M’encourage-t-elle ?
Je balance mon bassin en avant, mon gland trouve immédiatement une chatte en feu et glisse dans la gaine de velours. On entend dans la pièce que de gémissements et le clapotis que fait ma queue dans l’antre de Caroline. Je ne cherche même pas à me retenir de déverser de longs jets de spermes à l’intérieur de mon amante de l’instant.
Je me retire, pour poser mon cul sur une chaise. Myriam profite de l’instant pour saisir Caroline par la main, et la fait s’allonger sur le sol. Myriam suite à cela s’installe tête-bêche. Comme si cette position leur semblait naturelle. Pour ma plus grande satisfaction, voilà qu’elles se lapent comme le feraient des chiennes. Leurs langues, dardées, vont profondément dans leurs sexes dilatés. Une fois la toilette effectuée, voilà qu’elles se glissent plusieurs doigts lentement, centimètres par centimètres et écartent au maximum leurs vagins.
La scène qui se déroule devant moi me redonne rapidement de la vitalité. Et cela n’échappe pas à Myriam. Que je devine qu’elle veut que je la prenne par le cul. Tant elle gigote son fessier, comme un appel muet. Je me sens encore capable de lui donner cela.
Je m’approche d’elle. Elle est toujours en train de grignoter la chatte de Caroline, elle qui gémit comme possédée, jouissant de plaisir que la caresse buccale lui offre.
De mon côté, je suis prêt à défoncer le cul de Myriam. J’écarte pour se faire ses fesses et insère ma langue sous les yeux, témoins de Caroline, en dessous de moi, les yeux à quelques centimètres du léchage, toujours en train de rendre hommage à la chatte de sa copine. Très vite, la rondelle de Myriam s'agrandit au fur et à mesure de ma caresse buccale. La jugeant prête, j’ajuste mon sexe sur la rondelle luisante d'humidité qui m’invite à la pénétrer. Je rentre doucement. Je suis serrée dans un anneau souple chaud et plein de douceur. Je commence un mouvement de branle, provoquant à chaque fois de petits cris satisfait de Myriam. Elle aime, ma queue, surtout dans son cul.
À ma grande surprise, j’entends Caroline jouir. Cela m’encourage à sodomiser Myriam à grands coups de reins. Elle n’est plus qu’un papillon épinglé par ma queue. Je martèle son cul à en perdre le souffle.
Moi, puis Myriam jouissons à l’unisson. Et tous, simultanément, nous tombons sur le sol, tremblant et épuisé. Nos corps ne réagissent plus, notre besoin, de jouir enfin rassasié, nous nous quittons avec la promesse de recommencer.
- Mais ailleurs que dans le bureau ! Lâche Caroline.
Avec Myriam, nous nous regardons, un peu surpris des paroles que nous venions t’entendre, et nous nous mettons à rire, en cœur.
Caroline est une fille mère, et Myriam ne serait pas contre de lui offrir quelques minutes de jouissance. Et pour cela, pas de problème pour moi, j’entre volontiers dans la dance. Une partie de jouissance moi, je ne dis jamais non !
Et comme souvent ensemble, nous n’avons pas mis longtemps pour trouver un scénario. Nous avons même trouvé le bon moment pour le réaliser.
Donc comme convenu, j’attends patiemment que Myriam entre dans le bureau. Comme elle le fait souvent pour tenir compagnie à Caroline, qui s’ennuie seule dans son bureau. Un peu à l’écart. J’ai dû attendre une bonne demi-heure avant de la voir rappliquer.
- J’ai eu un problème avec le démarrage de ma voiture.
- Tu n’as qu’à en changer…
- Tu me prêtes de l’argent ?
Sans perdre de temps, je quitte ma chaise et m’approche de Myriam. Et comme c’était prévu dans notre scénario, la coquine n’attend pas longtemps pour poser de but en blanc son index au contact de ma braguette. Le premier réflexe de Caroline est comme nous l’avions deviné, d’éclater de rire.
Mais très vite, la suite est loin de la faire autant rire. Puisque la volcanique Myriam prend l’initiative de descendre le zip de ma braguette. Ce, faisant le silence, s’installe au bureau. Et quoi ajouter quand la même Myriam fait sauter le bouton de mon pantalon. Ce dernier glissant de quelques centimètres sur le haut de mes cuisses. Caroline ne sait plus où se mettre. Savoir si c’est du lard ou du cochon. Gênée, je devine, par ce qui se trame devant ses yeux.
Surtout que Myriam se surpasse en passant à la vitesse supérieure. Faisant glisser mon slip, assez pour mettre ma verge à l’air. Caroline plus que confuse, ne sait plus quelle conduite prendre.
- Elle est belle sa queue, tu ne trouves pas Caroline ?
- Heu… Oui Fait-elle en jetant juste un furtif coup d’œil.
- Mais regarde, ça ne va pas te manger. N’est-ce pas Alain, elle ne mange pas ta queue ?
- Arrête Myriam, tu vois bien que tu embêtes Caroline.
- Je ne suis pas aussi sûre que toi. N’est-ce pas Caro ? Fait Myriam, tout en me masturbant.
Je ne vous cache pas que j’ai failli lâcher ma jouissance sur l’instant, tant j’étais excité. Mais grâce à ma grande expérience, j’ai pu reporter ma jouissance à plus tard. Quand je l’aurai décidé !
Je veux avant tout profiter du délire, bien manigancé avec ma partenaire de cul.
- C’est bon, Alain ? Je fais ça bien ? Me lâche cette dernière.
Comme à son habitude, elle est du genre terrible, cette Myriam. Et comme moi, elle a l’air de prendre du plaisir de la situation.
- Oui, c’est bon, mais serres plus, plus grand les mouvements, oui, c’est ça, continues. C’est un peu sec quand même, un peu de salive ferait du bien, tu sais.
En parfaite maîtresse obéissante, elle crache sur le gland, sous le regard abasourdi de Caroline. Ça coulisse nettement mieux par la suite. J’aurais bien préféré qu’elle me suce. Mais elle n’avait pas prévu cela dans son délire, enfin pas encore ! Ses mouvements se font de plus en plus rapides.
- Oui, c’est bon comme ça, continue, je sens que ça vient déjà, oui ça monte, ça y est, je vais juter ! Oh oui, c’est bon, encore...
Elle continue son mouvement de branle et me fait jouir dans la paume de son autre main pour ne pas souiller le bureau de Caroline. Mais je suis certain que vous vous posez la question de savoir ce que faisait Caroline.
Et bien rien, elle observait seulement. Je devine sans mal qu’elle avait dédicacé l’entrejambe de sa culotte. D’une belle virgule blanche, que seule une femme excitée peu paraphée !
De son côté, la main de Myriam est garnie de mon foutre chaud et gras. Tout cela était des plus délicieux !
- Ça t'a fait du bien, hein Alain, de décharger, ça soulage non ? Et maintenant que dois-je faire, dit-elle en regardant la paume de sa main pleine de mon jus.
Devant les yeux témoins de Caroline elle gobe tout le foutre qui reposait dans le creux de sa main avant de le déglutir tout en fixant dans les yeux, sa copine. Un après l’autre, la coquine lèche ses doigts en jouant avec les filets de sperme blanchâtres qui engluent sa bouche.
- Maintenant, enfin, si tu le désires, je vais nettoyer ta queue, elle n’est pas présentable et ta femme pourrait s’en plaindre, si l’envie lui vient de vouloir s’en servir. Elle lui appartient tout de même !
Caroline plus que gênée que jamais, reste éberluée. Je suis là, debout, la bite à ‘air, regardant Myriam sucer mon sexe encore à moitié raide.
- Voilà, c’est fait, tu es propre comme un sou neuf. Mais dit moi Caroline, tu en voulais peut-être ?
- Pas du tout ! Lâche-t-elle franchement.
- Tu vois, mon petit doigt me dit tout le contraire.
Caroline ne répond rien. Ce qui fait dire à Myriam.
- Excuse-moi ma puce...
- Mais… Mais… De rien…
Mais il se trouve que rien ni personne ne résiste à la dépravation de Myriam. Encore moins, moi !
Donc la voilà qu’elle s’approche de Caroline et colle ses lèvres aux siennes. Je suis un peu surpris que cette dernière reste sans écho. Il est temps pour moi de m’occuper de la porte d’entrée. Sachant très bien que n’importe qui pourrait faire irruption dans la pièce, même si c’était loin d’être propre !
À mon retour, les deux femmes échangent de longs baisers. Surpris que Caroline réponde lascivement à l’accolade de sa copine. Mais rien ne me surprend venant du côté de cette dernière. Elle peut persuader n’importe qui !
Je profite de l’occasion pour m’autoriser de palper la poitrine sans soutien-gorge de la secrétaire. Je parviens même à la dégager de l’échancrure de son chemisier, sans qu’elle fasse un seul geste pour me l’interdire. J’y pose délicatement les lèvres. Mes doigts remontent lentement le long de sa cuisse gainée de nylon. Je constate que son entrejambe est en sueur. Je sens même à travers les différentes étoffes sa forte pilosité, que je caresse avec voracité.
Voulant en voir davantage, j’entreprends de la débarrasser de son collant et de sa petite lingerie. Mais avant tout, je dois la déchausser. Je sors un petit 38, gainé de nylon couleur chair du premier escarpin. Je ne peux me contenir de porter le pied à ma figure. Que j’embrasse, que je hume, que je lèche. Je me concentre ensuite sur sa deuxième chaussure. Et j’effectue le même rituel que pour sa jumelle, avant de faire disparaître mes mains sous sa jupe. Dont je tâtonne quelques instants à l’aveuglette, et cela, jusqu’à atteindre l’élastique du collant. Que je pince de mes doigts pour le tirer vers le bas de sa personne. Il se trouve que la culotte couleur noire est venue avec le collant.
Je ne résiste pas à la tentation à aller voir ce que Caroline cache sous l’abat-jour que fait sa jupe. Mais, là, je me heurte à une résistance de la part de la secrétaire.
- Non, je t’en prie Alain… Je ne suis pas des très fraîche là-dessous. Fait-elle, le visage marqué par la honte ?
- T’inquiètes Caroline, fait Myriam, il aime cela le cochon.
- C’est que… fait Caroline…
Je la fais taire en l’embrassant sur la bouche. Elle cherche tant bien que mal, à repousser ma tête. Mais je tiens bon, heureux de l’aubaine qui m’est offerte. Elle finit par s’abandonner. Et me laisse par la même occasion obtenir ce que je désirais tant. M’attaquer directement à la chatte. Elle est lourdement velue, comme deviner plus tôt. La toison qui recouvre son mont de Vénus, est plus large que la normale. Une languette de son épais buisson remonte vers le nombril, où vient mourir les dernières frisettes. L’intérieur des jambes, particulièrement soyeux. Les poils d’un roux tranchent sur la blancheur des cuisses. Je reprends mon exploration.
La situation dans son ensemble était des plus extraordinaires. Si les pensées de Caroline étaient un peu confuses, sa chatte, elle, ne l’était pas. La coquine mouille abondamment.
Je suis comme dans un rêve. Je tire la langue vers le sillon intime. L’odeur précède le contact, et c’est déjà enivrant. Ravi, je gobe ses lèvres verticales avec volupté. Après les avoir sucées et lissées, je pousse plus au fond ma langue. Je la noie dans sa mouille. La vulve s’ouvre et enveloppe ma langue, comme le ferait une toile d’araignée. Je fourrage du bout de la langue les parois souples et aigres. Après m’avoir gavé de son sexe, je passe à son petit trou que dissimule un duvet très couvert.
D’abord sèche et dure la couronne musculeuse s’assouplit et me laisse goûter son intérieur. Surpris par la docilité de Caroline, je n’hésite pas à perforer de toute la force de mon muscle buccal ce dernier rempart. L’orée du rectum est amère.
Mais très vite, sous mes coups de langue, l’anus est débarrassé de son goût de renfermé. Mâchoire ankylosée, j’observe la muqueuse ouverte.
- Ça te plaît, hein, salope, te faire bouffer le cul ! Fait la voix de Myriam dans un coin de la pièce.
- Je crois que ta chatte est maintenant prête à se faire baiser par une queue en chaleur... Bien dure et bien droite… Lui fais-je.
Et Myriam d’ajouter :
- Tu veux sauter Caro dans son bureau. Je suis certaine qu’elle brûle d’envie d’avoir ta belle queue dans son ventre.
Comme Caroline ne proteste pas sur ce point de vue, je m’approche d’elle, lui écarte ses cuisses. Je crache sur ma queue sous les yeux captivés de Caroline, et l’approche de l’orifice choisit. Je pousse, le gland pénètre, Caroline reste la bouche ouverte, alors que je continue à pousser et m’introduis millimètre après millimètre, mais sûrement.
C’est alors que la chère Myriam, se saisit de la culotte tachée de mouille de Caroline et se met à la sucer, tout en pianotant avec son autre sa chatte gonflée.
Voyant qu’on l'a contemplé, elle sourit et écarte largement ses cuisses pour qu’on admire sa grosse chatte enflammée.
- Vas-y Alain ! Baise-la, violemment, fais-lui mal... M’encourage-t-elle ?
Je balance mon bassin en avant, mon gland trouve immédiatement une chatte en feu et glisse dans la gaine de velours. On entend dans la pièce que de gémissements et le clapotis que fait ma queue dans l’antre de Caroline. Je ne cherche même pas à me retenir de déverser de longs jets de spermes à l’intérieur de mon amante de l’instant.
Je me retire, pour poser mon cul sur une chaise. Myriam profite de l’instant pour saisir Caroline par la main, et la fait s’allonger sur le sol. Myriam suite à cela s’installe tête-bêche. Comme si cette position leur semblait naturelle. Pour ma plus grande satisfaction, voilà qu’elles se lapent comme le feraient des chiennes. Leurs langues, dardées, vont profondément dans leurs sexes dilatés. Une fois la toilette effectuée, voilà qu’elles se glissent plusieurs doigts lentement, centimètres par centimètres et écartent au maximum leurs vagins.
La scène qui se déroule devant moi me redonne rapidement de la vitalité. Et cela n’échappe pas à Myriam. Que je devine qu’elle veut que je la prenne par le cul. Tant elle gigote son fessier, comme un appel muet. Je me sens encore capable de lui donner cela.
Je m’approche d’elle. Elle est toujours en train de grignoter la chatte de Caroline, elle qui gémit comme possédée, jouissant de plaisir que la caresse buccale lui offre.
De mon côté, je suis prêt à défoncer le cul de Myriam. J’écarte pour se faire ses fesses et insère ma langue sous les yeux, témoins de Caroline, en dessous de moi, les yeux à quelques centimètres du léchage, toujours en train de rendre hommage à la chatte de sa copine. Très vite, la rondelle de Myriam s'agrandit au fur et à mesure de ma caresse buccale. La jugeant prête, j’ajuste mon sexe sur la rondelle luisante d'humidité qui m’invite à la pénétrer. Je rentre doucement. Je suis serrée dans un anneau souple chaud et plein de douceur. Je commence un mouvement de branle, provoquant à chaque fois de petits cris satisfait de Myriam. Elle aime, ma queue, surtout dans son cul.
À ma grande surprise, j’entends Caroline jouir. Cela m’encourage à sodomiser Myriam à grands coups de reins. Elle n’est plus qu’un papillon épinglé par ma queue. Je martèle son cul à en perdre le souffle.
Moi, puis Myriam jouissons à l’unisson. Et tous, simultanément, nous tombons sur le sol, tremblant et épuisé. Nos corps ne réagissent plus, notre besoin, de jouir enfin rassasié, nous nous quittons avec la promesse de recommencer.
- Mais ailleurs que dans le bureau ! Lâche Caroline.
Avec Myriam, nous nous regardons, un peu surpris des paroles que nous venions t’entendre, et nous nous mettons à rire, en cœur.
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fimxNnDWGhnqiqwsM
Longue et banale.
