Art Vivant

- Par l'auteur HDS CDuvert -
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Récit libertin : Art Vivant Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Art Vivant
Je vérifie une dernière fois l'éclairage de ma galerie. Chaque spot dessine son cercle parfait sur le parquet ciré, créant cette atmosphère feutrée qui transforme l'espace en sanctuaire sensuel. Mes photographies les plus audacieuses ornent les murs nus : corps entremêlés dans la pénombre, peaux moites brillant sous mes objectifs, regards perdus dans l'extase que j'ai su capturer.

Mes invités arrivent un à un. Je les ai choisis avec soin : critiques d'art, collectionneurs, quelques artistes... Tous portent cette curiosité mêlée d'appréhension qui me ravit. Ils déambulent entre mes œuvres, leurs murmures feutrés créent une rumeur excitante.

Marc, le critique réputé du Figaro, s'arrête longuement devant mon portrait préféré : une femme aux seins nus, les mains liées par de la soie rouge, le visage renversé dans un abandon total. Je m'approche de lui, ma robe noire épousant chacune de mes courbes. Le tissu fluide caresse mes cuisses nues à chaque pas.

"Cette série explore les limites entre voyeurisme et art", je murmure à son oreille, ma voix grave faisant naître un frisson visible le long de son cou. Mon souffle effleure sa peau, je sens son corps se tendre imperceptiblement.

L'assistance compte une vingtaine de personnes. Le moment est venu. Je frappe dans mes mains, attirant tous les regards vers moi. Leurs yeux brillent déjà d'une curiosité malsaine que j'adore attiser.

"Mesdames et messieurs, l'art véritable naît de l'expérience brute, pas de la contemplation passive. Ce soir, vous ne serez pas seulement spectateurs. Vous allez devenir l'œuvre."

Je guide le groupe vers l'alcôve que j'ai spécialement aménagée. Les tentures de velours noir créent un cocon intime. Le fauteuil de cuir rouge trône au centre, sensuel et provocant. Mon appareil photo attend sur son trépied, prêt à immortaliser ce qui va suivre.

"L'art du nu révèle l'âme autant que le corps. Qui acceptera de poser pour nous ?"

Le silence qui suit vibre d'électricité. Je scrute les visages, y lis le désir mêlé à la peur. C'est exactement ce que je cherche. Puis Élise s'avance. Cette rousse aux yeux verts m'intriguait déjà lors de notre première rencontre. Ses joues s'empourprent, trahissant son excitation malgré sa nervosité apparente.

"Parfait, Élise. Installe-toi confortablement."

Elle s'assoit dans le fauteuil, ses mains agrippent les accoudoirs de cuir. Je règle mon objectif, cadre son visage tendu.

"Maintenant, déshabille-toi. Lentement. Laisse tes gestes révéler tes émotions."

Ses doigts tremblent légèrement en déboutonnant sa chemise blanche. Chaque bouton libéré révèle un peu plus de sa peau nacrée. Le tissu glisse sur ses épaules, dévoile un soutien-gorge de dentelle noire qui moule parfaitement ses seins ronds. Ses tétons pointent déjà sous le tissu délicat.

L'assistance retient son souffle. Je déclenche l'obturateur. Le claquement sec résonne dans le silence religieux.

"Continue", j'encourage d'une voix douce mais ferme.

Élise se lève, fait glisser sa jupe le long de ses hanches avec une sensualité naturelle. Le tissu tombe en corolle à ses pieds, révélant des cuisses fuselées et un string assorti qui dessine un V parfait sur son mont de Vénus rasé de près. Sa respiration s'accélère, soulève sa poitrine généreuse.

"Retire ton soutien-gorge."

Ses mains passent dans son dos, dégrafent l'agrafe. Les bonnets s'écartent, libèrent ses seins aux mamelons roses déjà durcis par l'excitation. Ils bougent légèrement à chaque inspiration, parfaitement galbés, invitants.

Je mitraille, capture chaque nuance de son trouble. Marc se rapproche instinctivement, sa respiration devient plus courte. Je remarque la bosse qui déforme son pantalon.

"Parfait, Élise. Maintenant, caresse-toi."

Elle hésite, jette un regard circulaire sur l'assistance fascinée. Puis sa main droite descend lentement vers son intimité. Ses doigts effleurent d'abord le tissu humide de son string. Un petit gémissement s'échappe de ses lèvres entrouvertes.

"N'aie pas peur. Montre-nous ton plaisir."

Elle écarte le tissu d'une main tremblante. Ses doigts trouvent son clitoris déjà gonflé, le caressent avec des mouvements circulaires hésitants. Sa tête se renverse contre le dossier du fauteuil, ses cheveux auburn cascadent sur ses épaules.

L'objectif capture l'extase naissante qui se peint sur son visage. Ses traits se détendent, sa bouche s'entrouvre dans un soupir de bien-être. Sa main libre remonte vers sa poitrine, pétrit son sein gauche avec une sensualité croissante.

"Plus intensément", je murmure, ma propre excitation montant en moi.

Élise obéit, ses doigts accélèrent leur danse sur son bouton de chair. Son bassin ondule contre sa main, cherche plus de friction. Des gémissements plus soutenus montent de sa gorge. Sa main gauche pince son téton durci, tire dessus avec une brutalité contrôlée qui me fait frissonner.

L'assistance est hypnotisée. Tous les regards convergent vers cette femme qui s'abandonne sous nos yeux. L'atmosphère se charge d'une électricité palpable. Je sens l'excitation collective monter comme une vague.

Élise glisse maintenant deux doigts en elle, les fait aller et venir dans sa cyprine abondante. Le bruit humide de sa pénétration emplit l'alcôve. Son pouce continue de titiller son clitoris tandis que ses doigts explorent son intimité avec une urgence grandissante.

"Oui, comme ça. Laisse-toi aller complètement."

Son dos s'arque, ses cuisses écartées tremblent sous l'effort. Sa respiration devient erratique, entrecoupée de petits cris aigus. Je mitraille sans relâche, immortalise chaque spasme de plaisir qui traverse son corps offert.

L'orgasme la submerge brutalement. Elle crie, un son rauque et primitif qui résonne dans l'espace feutré. Ses cuisses se referment sur sa main, emprisonnent ses doigts dans les contractions violentes de son sexe. Tout son corps se tend, vibrant de jouissance pure.

Les vagues de plaisir la secouent plusieurs secondes. Puis elle s'affaisse dans le fauteuil, pantelante, les cuisses encore agitées de soubresauts. Sa main reste posée sur son sexe humide, protectrice et possessive.

Les applaudissements éclatent spontanément. Je continue de photographier son visage apaisé, ses yeux mi-clos encore perdus dans les derniers échos de l'extase. Sa peau luit d'une fine pellicule de sueur, magnifique dans cette vulnérabilité assumée.

"Merci, Élise. Tu viens de nous offrir un moment d'art pur."

Elle sourit faiblement, rajuste son string d'une main encore tremblante. Mais elle ne se rhabille pas complètement, garde ses seins nus comme un trophée de son audace.

Je range mon appareil, satisfaite de cette première étape. L'assistance bourdonne d'excitation contenue. Les inhibitions commencent à tomber. Marc s'approche de moi, ses yeux brillent d'un désir nouveau.

"Impressionnant, Clara. Quand commence la suite ?"

Je souris, caresse furtivement sa joue brûlante.

"Patience. La nuit ne fait que commencer."

Je guide mes invités vers la mezzanine, leurs pas résonnent sur l'escalier de métal dans un écho musical. L'espace aux poutres apparentes baigne dans une lumière dorée que j'ai soigneusement orchestrée. Au centre, tel un autel dédié au plaisir, le lit aux draps de soie blanche attend. Les miroirs que j'ai disposés stratégiquement renvoient les reflets à l'infini, multipliant les perspectives et les désirs.

L'excitation palpable après la performance d'Élise électrise l'atmosphère. Je sens les regards qui me dévorent, scrutent chaque courbe de mon corps sous ma robe fluide. Cette attention me grise, nourrit mon propre désir grandissant.

"L'art du couple révèle des dimensions que la solitude ne peut explorer", j'annonce en caressant les draps soyeux. "La complicité, la fusion, l'abandon mutuel... Qui souhaite partager cette expérience ?"

Marc échange un regard intense avec Sophia, cette brune volcanique aux yeux de braise que j'ai remarquée dès son arrivée. Leurs corps parlent déjà, se cherchent dans l'espace. Elle hoche imperceptiblement la tête, un sourire carnassier aux lèvres.

Ils s'avancent vers le lit sous les regards avides de l'assistance. Je règle mes projecteurs, crée cette bulle de lumière chaude qui transforme la couche en scène théâtrale. Mon appareil est prêt, mes doigts brûlent d'impatience.

"Oubliez-nous. Laissez vos corps dialoguer naturellement. Je ne ferai que capturer votre vérité."

Marc fait face à Sophia au pied du lit. Leurs mains se trouvent, s'entrelacent avec une tendresse qui contrastе avec la tension sexuelle évidente. Il caresse sa joue du revers des doigts, trace la ligne délicate de sa mâchoire jusqu'à ce cou gracile que j'ai envie de mordre.

Je déclenche l'obturateur, capture cette première communion des sens. Sophia ferme les yeux, s'abandonne à cette caresse initiatique sous nos regards voraces.

Marc déboutonne sa blouse avec une lenteur calculée qui me fait vibrer. Chaque bouton libéré révèle un peu plus de cette peau mate que la lumière caresse. Le tissu glisse sur ses épaules, dévoile un soutien-gorge de dentelle bordeaux qui peine à contenir ses seins généreux. Ils jaillissent de leur prison textile, lourds et parfaitement galbés. Les tétons roses se dressent immédiatement sous l'effet conjugué du désir et de nos regards.

L'objectif mitraille cette révélation. Je sens ma propre excitation monter, ma culotte s'humidifier sous ma robe. L'art et la luxure se mélangent en moi dans un cocktail enivrant.

Sophia le déshabille à son tour avec des gestes plus pressants. Sa chemise vole au sol, révèle un torse musclé, un ventre plat parcouru d'une fine ligne de poils bruns qui descend vers son sexe. Son érection déforme obscènement son pantalon noir. Elle le déboutonne fiévreusement, libère cette virilité imposante qui jaillit, tendue et luisante de désir.

Ils s'allongent sur les draps, leurs corps nus s'offrant sans pudeur à mes objectifs et aux regards fascinés de l'assistance. Marc embrasse le cou de Sophia, y dépose des baisers humides qui arrachent des soupirs à sa partenaire. Sa langue trace des arabesques sur sa peau frémissante.

Il descend vers sa poitrine opulente, emprisonne un téton durci entre ses lèvres. Sa langue tourne autour de l'aréole sombre avant de happer le bourgeon de chair. Sophia gémit, ses mains agrippent les cheveux de son amant, l'attirent plus fermement contre elle.

"Plus fort", halète-t-elle, la voix déjà altérée par le plaisir.

Marc obéit, mordille le téton sensible tandis que sa main pétrit l'autre sein avec une possessivité qui me fait frémir. Sophia se cambre sous ces caresses, offre sa poitrine à cette bouche gourmande qui la dévore.

Je continue de mitrailler, capture chaque nuance de leur passion naissante. L'assistance s'est rapprochée, forme un cercle de voyeurs autour du lit. Leurs respirations se mélangent dans l'air saturé de désir.

Marc poursuit sa descente, parsème le ventre plat de Sophia de baisers humides. Sa langue plonge dans son nombril, y dessine des cercles qui font trembler les cuisses écartées. Il arrive enfin à ce sexe qui l'attend, déjà gonflé de désir et luisant de cyprine.

Il écarte délicatement les lèvres avec ses pouces, révèle l'intimité rose et humide de sa partenaire. Son clitoris dressé pulse sous l'effet de l'excitation. L'odeur musquée de sa féminité embaume l'air, mélange enivrante de désir et de transgression.

"Regarde comme elle est belle", je murmure à l'assistance hypnotisée.

La langue de Marc trouve ce bouton de chair, le titille avec une expertise qui arrache des cris aigus à Sophia. Elle se cambre violemment, ses cuisses encadrent le visage de son amant, l'emprisonnent dans son plaisir. Ses mains agrippent ses cheveux, guident sa bouche gourmande.

"Oui, là, continue exactement comme ça", supplie-t-elle, la voix brisée par l'extase montante.

Marc glisse deux doigts en elle, les fait aller et venir dans cette moiteur accueillante. Sophia se contracte autour de cette intrusion, ses parois intimes massent les doigts experts. Sa cyprine coule abondamment, lubrifie ces va-et-vient de plus en plus rapides.

Je photographie cette communion intime, cette fusion des chairs et des plaisirs. L'objectif saisit chaque détail : la langue qui danse sur le clitoris gonflé, les doigts qui fouillent l'intimité ruisselante, le visage de Sophia transformé par la jouissance proche.

"Je vais jouir", crie-t-elle soudain, ses cuisses tremblant de façon incontrôlable.

L'orgasme la submerge dans une déferlante de spasmes. Son dos s'arque violemment, ses seins tressautent sous l'effet des contractions. Sa cyprine jaillit, inonde le visage de Marc qui continue inlassablement son œuvre de plaisir. Elle crie, un son rauque et animal qui résonne dans l'espace feutré.

Les vagues de jouissance la secouent longuement. Marc remonte vers son visage, ses lèvres et son menton luisants de sa substance intime. Ils s'embrassent avec passion, mélangent leurs saveurs dans un baiser sauvage.

"Prends-moi maintenant", halète Sophia en guidant le sexe dur vers son entrée encore palpitante.

Marc la pénètre lentement, savourant cette étroitesse qui l'accueille avec avidité. Sophia pousse un long gémissement de satisfaction tandis qu'il s'enfonce entièrement en elle. Leurs bassins s'emboîtent parfaitement, fusionnent dans cette union primitive.

Elle noue ses jambes autour de ses reins, l'attire plus profondément encore. Marc commence ses va-et-vient, d'abord lents et mesurés, puis de plus en plus pressants. Le lit grince sous leurs mouvements passionnés, accompagne leur danse sensuelle.

"Plus vite, plus fort", supplie Sophia, ses ongles griffant le dos musclé de son amant.

Il répond à sa demande, accélère ses coups de reins. Sa verge la traverse de part en part, bute contre son col dans des chocs qui la font crier de plaisir. Leurs corps claquent l'un contre l'autre dans un rythme effréné, primitif.

Je mitraille sans relâche cette copulation bestiale. L'assistance halète autour de nous, certains se caressent discrètement à travers leurs vêtements. L'excitation collective atteint des sommets.

Sophia jouit une seconde fois, ses contractions broyant littéralement le sexe de Marc. Il grogne, ses mouvements deviennent erratiques. Sa semence jaillit en elle dans des jets puissants, l'inonde de sa substance chaude.

Ils s'effondrent l'un sur l'autre, pantelants et ruisselants de sueur. Le sperme coule entre les cuisses écartées de Sophia, macule les draps immaculés. Cette image de luxure accomplie me fait frissonner d'anticipation.

La soirée entre dans sa phase finale. Je sens que mes invités sont prêts pour l'ultime transgression que j'ai orchestrée. Leurs inhibitions ont volé en éclats, leurs désirs affleurent maintenant à la surface.

Je souris en rangeant mon matériel. Le meilleur reste à venir.

L'heure de vérité approche. Je rassemble les derniers invités dans mon grand atelier, cet espace que j'ai métamorphosé pour cette nuit unique. Les matelas moelleux, les coussins de velours et les étoffes soyeuses créent un environnement sensuel qui invite à l'abandon total. L'éclairage tamisé baigne l'ensemble d'une lumière dorée, presque mystique.

Mes invités me suivent, leurs visages portent encore les traces de l'excitation des deux premières performances. L'air vibre d'une tension électrique, lourde de promesses inavouées. Je sens leurs regards peser sur moi, dévorer chaque courbe de mon corps sous ma robe noire qui me colle à la peau.

"L'art ultime transcende les conventions", j'annonce en me plaçant au centre de l'espace aménagé. "Il naît de l'abandon total, de la fusion des êtres et des désirs. Qui acceptera de franchir cette dernière frontière avec moi ?"

Sans attendre leur réponse, je fais glisser ma robe le long de mon corps. Le tissu soyeux caresse ma peau en descendant, révèle ma nudité intégrale aux regards affamés. Mes seins se dressent sous l'effet conjugué de l'excitation et de la fraîcheur, mes tétons durcis pointent vers l'assistance fascinée.

Un silence religieux accueille ma révélation. Puis plusieurs mains se lèvent, tremblantes de désir contenu. Marc, encore euphorique de son étreinte avec Sophia, me fixe avec une intensité brûlante. Élise aussi, sa peau encore marquée par l'orgasme public qu'elle s'est offert. Sophia se joint spontanément au groupe, suivie de trois autres femmes et deux hommes dont les noms m'importent peu désormais.

Je m'allonge au centre des matelas, ma peau nacrée luisant sous les projecteurs que j'ai savamment disposés. Mon sexe rasé s'offre sans pudeur à leurs regards voraces. Je l'entrouvre légèrement avec mes doigts, révèle l'intimité rose qui pulse déjà d'impatience.

"Approchez-vous. Touchez-moi. Faites de moi votre œuvre d'art."

Ils m'entourent, forment un cercle de désir autour de mon corps offert. Les premières mains se posent sur ma peau frémissante, hésitantes d'abord, puis de plus en plus assurées. Marc caresse mes seins tandis qu'Élise embrasse mon cou avec une tendresse que je n'attendais pas d'elle.

Sophia, revigorée par sa récente jouissance, se penche vers ma poitrine. Sa langue chaude trouve mon téton gauche, le titille avec expertise. Un frisson électrique traverse mon échine, arrache un premier gémissement à mes lèvres entrouvertes. D'autres mains explorent mes cuisses, mon ventre, mes fesses, créent une symphonie de caresses qui embrasent chaque parcelle de ma peau.

"Oui, continuez tous. Prenez-moi."

Mon sexe s'humidifie sous l'afflux de sensations. L'odeur musquée de mon excitation se mélange aux parfums de mes invités, crée cette atmosphère lourde et enivrante que j'adore. Une des femmes, une blonde aux yeux bleus dont j'ai oublié le prénom, pose ses lèvres sur mon intimité. Sa langue trouve immédiatement mon clitoris gonflé, commence à le lécher avec une application qui me fait gémir plus fort.

Les corps se rapprochent, s'entremêlent autour de moi dans un ballet érotique spontané. Marc se retrouve à ma hauteur, son sexe durci effleure mes lèvres. Je l'accueille avec avidité, ma bouche l'engloutit jusqu'à la garde. Sa saveur salée explose sur ma langue tandis que je commence un va-et-vient langoureux.

Élise straddle mon visage, son sexe ruisselant se pose sur ma bouche libre. Je plonge ma langue dans sa moiteur, explore cette intimité que j'ai vue s'épanouir sous mes objectifs. Elle gémit, ondule des hanches contre mes lèvres expertes. Sa cyprine coule dans ma gorge, nectar de sa féminité exacerbée.

La blonde continue son œuvre entre mes cuisses, sa langue danse maintenant à l'entrée de mon fourreau. Elle y glisse deux doigts, les fait aller et venir tandis que son pouce titille mon clitoris palpitant. Les sensations se multiplient, s'intensifient jusqu'à la limite du supportable.

"Je vais exploser", je halète entre les cuisses d'Élise.

D'autres mains convergent vers mon corps en feu. Sophia pétrit mes seins avec une brutalité contrôlée, pince mes tétons jusqu'à la douleur exquise. Un des hommes caresse mes fesses, ses doigts s'aventurent vers mon anus qu'ils effleurent avec audace. Cette caresse interdite décuple mon plaisir, m'arrache des gémissements étouffés.

Marc accélère ses va-et-vient dans ma bouche, sa verge palpite contre ma langue. Je sens qu'il approche de l'orgasme, ses mouvements deviennent erratiques. Je l'aspire plus profondément, ma gorge l'accueille dans des contractions rythmées.

L'extase me submerge brutalement. Mon dos s'arque, mes cuisses tremblent de façon incontrôlable. L'orgasme déferle en moi par vagues successives, chaque spasme plus intense que le précédent. Je crie ma jouissance dans le sexe d'Élise qui jouit simultanément, inonde mon visage de sa cyprine brûlante.

Marc explose dans ma bouche, sa semence chaude jaillit par jets puissants. J'avale goulûment cette substance salée qui coule dans ma gorge en feu. Quelques gouttes s'échappent aux coins de mes lèvres, ruissellent sur mon menton dans cette image de luxure accomplie.

Mais l'apothéose ne fait que commencer. Les corps se mélangent maintenant sans retenue, créent cette orgie spontanée que j'espérais secrètement. Sophia prend Marc dans sa bouche tandis qu'Élise me chevauche le visage. La blonde continue de me lécher avec une dévotion qui me fait frémir.

Un nouvel homme s'agenouille derrière Élise, la pénètre d'un coup de reins puissant qui la fait crier. Elle se contracte sur ma langue, ses parois intimes palpitent contre mes lèvres. Le rythme de ses hanches s'accélère, écrasant mon visage sous son sexe en feu.

Je guide la verge durcie de Marc vers mon intimité ruisselante. Il me pénètre lentement, savourant cette étroitesse qui l'accueille après l'orgasme. Mes muscles intimes se contractent autour de lui, l'emprisonnent dans cette étreinte moite et brûlante.

"Baise-moi plus fort", je halète, la voix déformée par le plaisir.

Il répond à ma supplication, ses coups de reins deviennent plus brutaux. Sa verge me traverse de part en part, bute contre mon col dans des chocs qui m'arrachent des cris bestiaux. Sophia vient lécher mes tétons tendus tandis que ses doigts titillent mon clitoris malmené.

L'orgiaque ballet continue, les corps se mélangent dans une confusion de chairs en sueur. Les gémissements se mélangent, créent cette symphonie de plaisir pur que je voulais orchestrer. L'odeur du sexe sature l'atmosphère, mélange enivrant de cyprine, de sperme et de sueur.

La blonde se redresse, vient s'empaler sur le visage de Marc qui continue de me pilonner. Elle gémit en ondulant des hanches, son sexe dégoulinant de désir. Élise jouit une nouvelle fois sur ma langue, ses contractions violentes m'arrachent à mon tour vers l'abîme.

L'orgasme m'emporte comme un raz-de-marée. Mon corps tout entier convulse sous l'effet de cette jouissance totale. Marc explose en moi, sa semence brûlante inonde mon ventre palpitant. Nous jouissons ensemble dans un spasme ultime qui nous soude l'un à l'autre.

Les corps s'effondrent les uns sur les autres, pantelants et ruisselants. Les respirations saccadées emplissent l'atelier transformé en temple du plaisir. Je souris, comblée au-delà de toute espérance. Mon exposition a dépassé mes rêves les plus fous.

L'art et la luxure ne font désormais plus qu'un dans la mémoire de chaque participant. Nous venons de créer ensemble l'œuvre ultime : celle qui transcende les corps pour atteindre l'essence même du désir humain.

Les derniers soubresauts s'apaisent lentement. Dans quelques instants, mes invités repartiront, transformés à jamais par cette nuit d'art et de transgression. Mais pour l'heure, nous baignons encore dans cette béatitude post-orgasmique, unis par le secret de cette communion charnelle absolue.

Mon exposition privée restera gravée dans leurs mémoires comme l'expérience la plus intense de leur existence. Mission accomplie.

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Texte coquin : Art Vivant
Histoire sexe : Une rose rouge
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