Arthur et Maxime (09)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur et Maxime (09)
Ce récit constitue la suite de l’histoire « Arthur, le fils de mon meilleur ami ». Bonne lecture ! sylvainerotic@yahoo.com
==
Je n’ai maintenant plus aucun doute sur la solidité de notre relation. On ne se cache plus. On vit pleinement nos fantasmes et notre sexualité. Progressivement Arthur m’a présenté à tous ses amis, et j’ai fait pareil de mon côté. Arthur a aussi fait le tri dans ses amis. Sans regret car il est maintenant lui-même. Le garçon gâté, impatient, frimeur, a fait place à un jeune homme, curieux, épanoui, bien dans sa peau. Et ceux qui lui ressemblaient dans son cercle d’amis se sont naturellement éloignés. Ne restent que les fidèles. Ceux qu’il aime vraiment, et qui le comprennent.
La seule ombre au tableau est la relation entre Arthur et son père. Ils restent distants. Comme si Arthur, bien que m’ayant trouvé, et réalisant avec moi tous ses fantasmes qui le torturaient, n’arrivait pas encore à trouver la bonne position, le bon de niveau de relation à avoir avec son vrai père.
Je sens que c’est quelque chose de compliqué, et qu’il est le seul en mesure de résoudre ce problème. Je n’ose donc pas tenter quoi que ce soit. Un évènement particulier va tout de fois permettre de débloquer la situation.
Si la plupart du temps c’est moi qui organise nos plans cul et nous autorise aussi à vivre nos fantasmes les plus fous, Arthur n’est pas en reste : il partage avec moi ces désirs et je me fais un plaisir de les réaliser. Différentes choses : se faire baiser par Roger une nuit entière devant moi, faire une partouze avec d’autres couples comme le notre, etc.
Un week-end, il me réserve et me demande de le suivre. Je n’ai aucune idée de ce qu’il me réserve. On prend le métro et on se rend dans le 16eme arrondissement. Je finis par reconnaitre l’immeuble ou Alain, son père, habite. Que va-t-il se passer ?
On pénètre dans l’appartement, mais Alain n’est pas la. Je connais l’endroit pour y passer de temps en temps bien sur. C’est spacieux, luxueux. Je ne pose pas de question. Je sais très bien qu’Arthur a quelque chose en tête. Et je lui fais confiance. Je suis prêt a suivre ses instructions.
On traverse le salon et se rend vers les chambres et on pénètre dans sa chambre a lui. Je n’y suis jamais rentre. Mais je devine bien sûr. Par le style. Je ressens un frisson. C’est donc là qu’Arthur a commencé à fantasmer sur son père. Là que ses désirs ont pris forme, avant de pouvoir s’épanouir avec moi.
Arthur me dit juste « attends ». Il se déshabille lentement. Que va-t-il faire ? Une fois nu, alors que je m’attends à démarrer quelque chose, il se rend vers le placard. Il enfile un caleçon et un t-shirt.
- Fais pareil
Je me mets en boxer et garde le t-shirt que j’avais déjà sur moi. Arthur se glisse sous la couette de son lit. Je devine alors ce qu’il désire. Lui faire vivre un fantasme bien particulier, probablement celui enfoui en lui depuis le plus longtemps.
Je m’approche du lit, et relève doucement la couette pour exposer le corps d’Arthur. Je fais glisser doucement ma main sur son corps en m’attardant longuement sur le sexe, caché sous le caleçon. Je fais ensuite glisser celui-ci doucement en m’arrêtant à mi-cuisses. Je prends doucement la bite encore flasque dans ma main. Je commence à la branler doucement. Arthur sourit et me regarde. Sa bite gonfle. Il pousse des petits « ah » de plaisir. Je prends la bite dans ma bouche et suce tout doucement, en m’appliquant. Les soupirs d’Arthur se font un peu plus sonores. Il a relevé le t-shirt vers le milieu de son torse. Je cesse la fellation et reprend le branle avec les doigts
- Tu te masturbes souvent ?
- Tous les jours daddy…
Je souris et ne le quitte pas des yeux en le branlant. Je sens son corps s’agiter très légèrement au fur et à mesure que le plaisir augmente. Les soupirs sont plus fréquents. Je l’emmène doucement vers l’orgasme et il se laisse faire. Des jets de sperme vifs et abondants. Ils montent en l’air et se rependent sur l’abdomen et le long de la bite. Sur mes doigts aussi.
Arthur sourit
- Et tu manges ton sperme ?
- Oui
Je porte mes doigts vers ses lèvres et il se met à lécher. Doucement. Je ramasse le nectar blanc et continue et le porter à sa bouche pour lui faire tout manger. Après, ce sont mes lèvres qui trouvent les siennes
- J’aimerais te sucer aussi
- Laisse moi te déshabiller d’abord
Je fais glisser le caleçon jusqu’au bout et le retire. Je l’aide à enlever le t-shirt. Je l’embrasse à nouveau et laisse ma main parcourir le corps nu. Sentir sa peau tout en laissant sa langue caresser la mienne. Arthur s’assied au bord du lit et baisse mon boxer. Il me prend en bouche et suce doucement. Lentement. Comme moi il y a quelques instants. Essayer de reproduire la lenteur d’une première fois. La magie de la découverte. Le plaisir d’une sensation nouvelle, mais tant de fois désirée. C’est aussi bon qu’une fellation plus vive. Mes mains viennent caresser ses cheveux. Il sort ma bite de sa bouche et me regarde. Je continue à lui caresser les cheveux. Il me masturbe puis reprend la fellation. Ses mains se sont posées contre mes cuisses, qu’il sert doucement. Je retire mon t-shirt. Ses yeux se portent instinctivement vers mon torse viril. Il me suce en regardant, les yeux grand ouverts. Le sexe ressort de la bouche
- Jouis en moi daddy
Puis il suce avec un peu plus d’énergie. Il a fermé les yeux cette fois. Ses mouvements de tête sont magnifiques et montrent à quel point il savoure. Je ne résiste pas longtemps et crache plusieurs jets qu’il avale instinctivement. Je le redresse et place ma main sur son menton pour conduire délicatement ses lèvres vers les miennes. Elles sont légèrement collantes. Le corps d’Arthur est près du mien et je sens qu’il s’est remis à bander. Je sais qu’on ne peut pas en rester là. Nos visages sont tout proches. Les nez et les fronts presque collés l’un à l’autre
- Fais moi l’amour daddy, je me sens prêt
- Tu es sur ?
- Oui
- Mets toi sur le ventre
Il m’obéit et s’allonge. Je lui place un coussin sous le corps, histoire de lui relever légèrement les fesses. Je regarde ce corps superbe qui s’offre à moi. Dans ma tête, c’est comme une première fois. Je frémis comme si c’était sa première fois à lui aussi
J’écarte doucement les fesses et donne un premier coup de lèche. Lent, sensible. Je sens qu’il frissonne. Je maintiens les fesses écartées avec les mains et ne décolle plus le nez. Enfoui dans la raie, je démarre un long travail de lèche. Je suis doux, mais régulier et minutieux. Je lèche en permanence. Mouille. Ma langue caresse en permanence cette rosette parfaite dont je me prends à rêver qu’elle soit vierge. J’aime être intime avec Arthur comme ça. Le lécher. Me sentir connecté à son corps de la manière la plus intime qui soit.
Après l’avoir léché pendant longtemps, j’ouvre le tiroir de la table de nuit. J’y trouve du gel, encore dans son emballage d’origine. Cela fait partie du plan. Imaginer que cela n’a jamais été utilisé. Jamais. Je me lubrifie et reviens me placer. Je glisse doucement ma bite entre les fesses et presse contre l’anus. Je rentre très lentement. Et dès que la sensation chaude et serrée se fait sentir contre mon gland, je ralentis encore. Histoire que la pénétration se fasse le plus lentement possible. Une fois que je suis complètement en lui, je m’arrête. Je ferme les yeux. Je ne me concentre que sur une chose. Ce que mon sexe ressent. La chaleur et la pression de l’anus, qu’Arthur contracte délibérément contre mon sexe. Il a à peine écarté les jambes. De façon à ce que la sodomie soit intense, très serrée, comme une première fois. J’y crois et je m’imagine le dépuceler. Ici et maintenant. Il soupire et gémit.
Je commence alors de lents va et vient. Je le baise doucement. Sobrement. Avec le plus de respect possible. Il soupire. Il aime. Non, il adore ça. Moi aussi. J’ai les bras tendus de part et d’autre de ce corps jeune, nu et imberbe qui s’offre à moi. Je prends tout mon temps.
Mais une chose fait défaut : le visage d’Arthur. Il me manque. Je le retourne. On s’embrasse
- Ça va, ça te plait ?
- Oui daddy. J’en rêve depuis tellement longtemps
Je le prends par devant, en missionnaire. Bras tendus là encore. De façon à pouvoir descendre près de lui. L’embrasser sur les lèvres. Mais surtout ne pas le quitter des yeux. Lire son bonheur et son plaisir sur son visage. Il se laisse faire. Ne me touche pas vraiment. Mais ça me plait encore plus qu’il soit si passif. Cela fait partie du jeu de l’innocence. De l’inexpérience. Il continue à serrer le plus possible son anus contre ma queue.
Je me redresse et cale ses jambes contre mes épaules. Je suis maintenant un plus rapide dans la pénétration mais toujours aussi doux. Je jette des coups d’œil vers sa bite parfaitement bandée et prête à se libérer du sperme qui lui reste encore dans ses petites couilles enflées et qui ne demande qu’à jaillir. Quelques mouvements accélérés ont raison de sa volonté et je le fais jouir en caressant sa prostate. Il frissonne, se cambre, et serre les draps dans ses mains au moment de l’orgasme. Cette vision parfaite déclenche l’orgasme dans ma tête et j’éjacule au plus profond de lui. Mon sperme coule en lui, dans son corps. Je l’ai maintenant déposé deux fois, à deux endroits différents.
Je me penche. On s’embrasse. Doucement. Une série juste sur les lèvres. Puis avec la langue mais toujours doucement. On s’embrasse sans s’arrêter laissant ainsi mon sexe se débander et se détacher du corps d’Arthur progressivement.
- Je t’aime mon amour, je suis tellement fier de toi
- Je t’aime aussi Daddy
On se lève du lit, nus et ravis. Mais une idée me traverse. Je soulève Arthur et le prend dans mes bras. Une main calée contre son dos, l’autre sous ses genoux. Il est surpris mais se laisse porter.
- Qu’est ce que tu veux faire ?
Je l’embrasse
- Une surprise pour toi
Je quitte la chambre tout en le portant. Arthur ne comprend pas… jusqu’à ce que nous pénétrions dans la chambre d’Alain, son père.
- Maintenant je veux que tu partages mon lit avec moi.
Pour pousser le jeu encore plus loin. Pour l’aimer dans ce lit. Celui de son père. Arthur ne s’y trompe pas. Il s’est mis a rebander. Je le dépose doucement sur le lit. Ses mains s’agrippent à ses jambes, il les cale à l’intérieur de ses cuisses pour bien les écarter. Excité, je ne me peux pas résister. J’y replonge le visage et recommence à le lécher. L’anus est chaud et légèrement rougi. Sensible. Arthur gémit. Je sens du sperme contre ma langue. Arthur l’expulse doucement. Je bande comme un fou et continue et le rimmer.
Puis je le pénètre à nouveau, sans remettre de gel. On est de nouveau en missionnaire mais cette fois Arthur me caresse. Ses mains glissent contre mon dos et sur mes fesses. Il a l’air encore plus excité qu’avant, même s’il a déjà joui deux fois. Il est en fait plus intoxique que jamais. Par son complexe d’œdipe. Par le fait de baiser dans le lit de son père. Mais aussi par l’odeur de celui-ci qui se dégage des draps. Arthur atteint maintenant le paroxysme de ses désirs. Entre deux baisers :
- Je t’aime, son. Désormais tu coucheras avec moi dans ce lit tous les soirs.
Fou d’amour, Arthur m’embrasse passionnément avant de se mettre à quatre pattes pour se faire prendre en levrette.
Il se donne et crie maintenant des « Daddy je t’aime » en permanence. Je lui donne le plus de plaisir possible. Avec ma queue. Et avec mes mains sur sa peau nue. Arthur se redresse, tourne la tête. On s’embrasse et je l’embrasse tout en le baisant comme ça, redresse. J’enroule un bras contre son corps, et avec mon autre main, je lui malaxe les testicules. On crie maintenant des « je t’aime son » et je t’aime daddy » sans s’arrêter. Jusqu’à jouir ensemble, au même moment, en union totale dans notre désir interdit, tabou, mais irrésistible.
Des l’orgasme passe, je me glisse sous les draps avec Arthur. Nous flottons tous les deux dans notre monde de plaisir interdits. Pour ne pas redescendre et laisser la magie s’échapper, je sers son corps nu contre le mien le plus fort possible, et plus unis que jamais, nous sombrons ensemble dans un profond sommeil.
A suivre…
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Je n’ai maintenant plus aucun doute sur la solidité de notre relation. On ne se cache plus. On vit pleinement nos fantasmes et notre sexualité. Progressivement Arthur m’a présenté à tous ses amis, et j’ai fait pareil de mon côté. Arthur a aussi fait le tri dans ses amis. Sans regret car il est maintenant lui-même. Le garçon gâté, impatient, frimeur, a fait place à un jeune homme, curieux, épanoui, bien dans sa peau. Et ceux qui lui ressemblaient dans son cercle d’amis se sont naturellement éloignés. Ne restent que les fidèles. Ceux qu’il aime vraiment, et qui le comprennent.
La seule ombre au tableau est la relation entre Arthur et son père. Ils restent distants. Comme si Arthur, bien que m’ayant trouvé, et réalisant avec moi tous ses fantasmes qui le torturaient, n’arrivait pas encore à trouver la bonne position, le bon de niveau de relation à avoir avec son vrai père.
Je sens que c’est quelque chose de compliqué, et qu’il est le seul en mesure de résoudre ce problème. Je n’ose donc pas tenter quoi que ce soit. Un évènement particulier va tout de fois permettre de débloquer la situation.
Si la plupart du temps c’est moi qui organise nos plans cul et nous autorise aussi à vivre nos fantasmes les plus fous, Arthur n’est pas en reste : il partage avec moi ces désirs et je me fais un plaisir de les réaliser. Différentes choses : se faire baiser par Roger une nuit entière devant moi, faire une partouze avec d’autres couples comme le notre, etc.
Un week-end, il me réserve et me demande de le suivre. Je n’ai aucune idée de ce qu’il me réserve. On prend le métro et on se rend dans le 16eme arrondissement. Je finis par reconnaitre l’immeuble ou Alain, son père, habite. Que va-t-il se passer ?
On pénètre dans l’appartement, mais Alain n’est pas la. Je connais l’endroit pour y passer de temps en temps bien sur. C’est spacieux, luxueux. Je ne pose pas de question. Je sais très bien qu’Arthur a quelque chose en tête. Et je lui fais confiance. Je suis prêt a suivre ses instructions.
On traverse le salon et se rend vers les chambres et on pénètre dans sa chambre a lui. Je n’y suis jamais rentre. Mais je devine bien sûr. Par le style. Je ressens un frisson. C’est donc là qu’Arthur a commencé à fantasmer sur son père. Là que ses désirs ont pris forme, avant de pouvoir s’épanouir avec moi.
Arthur me dit juste « attends ». Il se déshabille lentement. Que va-t-il faire ? Une fois nu, alors que je m’attends à démarrer quelque chose, il se rend vers le placard. Il enfile un caleçon et un t-shirt.
- Fais pareil
Je me mets en boxer et garde le t-shirt que j’avais déjà sur moi. Arthur se glisse sous la couette de son lit. Je devine alors ce qu’il désire. Lui faire vivre un fantasme bien particulier, probablement celui enfoui en lui depuis le plus longtemps.
Je m’approche du lit, et relève doucement la couette pour exposer le corps d’Arthur. Je fais glisser doucement ma main sur son corps en m’attardant longuement sur le sexe, caché sous le caleçon. Je fais ensuite glisser celui-ci doucement en m’arrêtant à mi-cuisses. Je prends doucement la bite encore flasque dans ma main. Je commence à la branler doucement. Arthur sourit et me regarde. Sa bite gonfle. Il pousse des petits « ah » de plaisir. Je prends la bite dans ma bouche et suce tout doucement, en m’appliquant. Les soupirs d’Arthur se font un peu plus sonores. Il a relevé le t-shirt vers le milieu de son torse. Je cesse la fellation et reprend le branle avec les doigts
- Tu te masturbes souvent ?
- Tous les jours daddy…
Je souris et ne le quitte pas des yeux en le branlant. Je sens son corps s’agiter très légèrement au fur et à mesure que le plaisir augmente. Les soupirs sont plus fréquents. Je l’emmène doucement vers l’orgasme et il se laisse faire. Des jets de sperme vifs et abondants. Ils montent en l’air et se rependent sur l’abdomen et le long de la bite. Sur mes doigts aussi.
Arthur sourit
- Et tu manges ton sperme ?
- Oui
Je porte mes doigts vers ses lèvres et il se met à lécher. Doucement. Je ramasse le nectar blanc et continue et le porter à sa bouche pour lui faire tout manger. Après, ce sont mes lèvres qui trouvent les siennes
- J’aimerais te sucer aussi
- Laisse moi te déshabiller d’abord
Je fais glisser le caleçon jusqu’au bout et le retire. Je l’aide à enlever le t-shirt. Je l’embrasse à nouveau et laisse ma main parcourir le corps nu. Sentir sa peau tout en laissant sa langue caresser la mienne. Arthur s’assied au bord du lit et baisse mon boxer. Il me prend en bouche et suce doucement. Lentement. Comme moi il y a quelques instants. Essayer de reproduire la lenteur d’une première fois. La magie de la découverte. Le plaisir d’une sensation nouvelle, mais tant de fois désirée. C’est aussi bon qu’une fellation plus vive. Mes mains viennent caresser ses cheveux. Il sort ma bite de sa bouche et me regarde. Je continue à lui caresser les cheveux. Il me masturbe puis reprend la fellation. Ses mains se sont posées contre mes cuisses, qu’il sert doucement. Je retire mon t-shirt. Ses yeux se portent instinctivement vers mon torse viril. Il me suce en regardant, les yeux grand ouverts. Le sexe ressort de la bouche
- Jouis en moi daddy
Puis il suce avec un peu plus d’énergie. Il a fermé les yeux cette fois. Ses mouvements de tête sont magnifiques et montrent à quel point il savoure. Je ne résiste pas longtemps et crache plusieurs jets qu’il avale instinctivement. Je le redresse et place ma main sur son menton pour conduire délicatement ses lèvres vers les miennes. Elles sont légèrement collantes. Le corps d’Arthur est près du mien et je sens qu’il s’est remis à bander. Je sais qu’on ne peut pas en rester là. Nos visages sont tout proches. Les nez et les fronts presque collés l’un à l’autre
- Fais moi l’amour daddy, je me sens prêt
- Tu es sur ?
- Oui
- Mets toi sur le ventre
Il m’obéit et s’allonge. Je lui place un coussin sous le corps, histoire de lui relever légèrement les fesses. Je regarde ce corps superbe qui s’offre à moi. Dans ma tête, c’est comme une première fois. Je frémis comme si c’était sa première fois à lui aussi
J’écarte doucement les fesses et donne un premier coup de lèche. Lent, sensible. Je sens qu’il frissonne. Je maintiens les fesses écartées avec les mains et ne décolle plus le nez. Enfoui dans la raie, je démarre un long travail de lèche. Je suis doux, mais régulier et minutieux. Je lèche en permanence. Mouille. Ma langue caresse en permanence cette rosette parfaite dont je me prends à rêver qu’elle soit vierge. J’aime être intime avec Arthur comme ça. Le lécher. Me sentir connecté à son corps de la manière la plus intime qui soit.
Après l’avoir léché pendant longtemps, j’ouvre le tiroir de la table de nuit. J’y trouve du gel, encore dans son emballage d’origine. Cela fait partie du plan. Imaginer que cela n’a jamais été utilisé. Jamais. Je me lubrifie et reviens me placer. Je glisse doucement ma bite entre les fesses et presse contre l’anus. Je rentre très lentement. Et dès que la sensation chaude et serrée se fait sentir contre mon gland, je ralentis encore. Histoire que la pénétration se fasse le plus lentement possible. Une fois que je suis complètement en lui, je m’arrête. Je ferme les yeux. Je ne me concentre que sur une chose. Ce que mon sexe ressent. La chaleur et la pression de l’anus, qu’Arthur contracte délibérément contre mon sexe. Il a à peine écarté les jambes. De façon à ce que la sodomie soit intense, très serrée, comme une première fois. J’y crois et je m’imagine le dépuceler. Ici et maintenant. Il soupire et gémit.
Je commence alors de lents va et vient. Je le baise doucement. Sobrement. Avec le plus de respect possible. Il soupire. Il aime. Non, il adore ça. Moi aussi. J’ai les bras tendus de part et d’autre de ce corps jeune, nu et imberbe qui s’offre à moi. Je prends tout mon temps.
Mais une chose fait défaut : le visage d’Arthur. Il me manque. Je le retourne. On s’embrasse
- Ça va, ça te plait ?
- Oui daddy. J’en rêve depuis tellement longtemps
Je le prends par devant, en missionnaire. Bras tendus là encore. De façon à pouvoir descendre près de lui. L’embrasser sur les lèvres. Mais surtout ne pas le quitter des yeux. Lire son bonheur et son plaisir sur son visage. Il se laisse faire. Ne me touche pas vraiment. Mais ça me plait encore plus qu’il soit si passif. Cela fait partie du jeu de l’innocence. De l’inexpérience. Il continue à serrer le plus possible son anus contre ma queue.
Je me redresse et cale ses jambes contre mes épaules. Je suis maintenant un plus rapide dans la pénétration mais toujours aussi doux. Je jette des coups d’œil vers sa bite parfaitement bandée et prête à se libérer du sperme qui lui reste encore dans ses petites couilles enflées et qui ne demande qu’à jaillir. Quelques mouvements accélérés ont raison de sa volonté et je le fais jouir en caressant sa prostate. Il frissonne, se cambre, et serre les draps dans ses mains au moment de l’orgasme. Cette vision parfaite déclenche l’orgasme dans ma tête et j’éjacule au plus profond de lui. Mon sperme coule en lui, dans son corps. Je l’ai maintenant déposé deux fois, à deux endroits différents.
Je me penche. On s’embrasse. Doucement. Une série juste sur les lèvres. Puis avec la langue mais toujours doucement. On s’embrasse sans s’arrêter laissant ainsi mon sexe se débander et se détacher du corps d’Arthur progressivement.
- Je t’aime mon amour, je suis tellement fier de toi
- Je t’aime aussi Daddy
On se lève du lit, nus et ravis. Mais une idée me traverse. Je soulève Arthur et le prend dans mes bras. Une main calée contre son dos, l’autre sous ses genoux. Il est surpris mais se laisse porter.
- Qu’est ce que tu veux faire ?
Je l’embrasse
- Une surprise pour toi
Je quitte la chambre tout en le portant. Arthur ne comprend pas… jusqu’à ce que nous pénétrions dans la chambre d’Alain, son père.
- Maintenant je veux que tu partages mon lit avec moi.
Pour pousser le jeu encore plus loin. Pour l’aimer dans ce lit. Celui de son père. Arthur ne s’y trompe pas. Il s’est mis a rebander. Je le dépose doucement sur le lit. Ses mains s’agrippent à ses jambes, il les cale à l’intérieur de ses cuisses pour bien les écarter. Excité, je ne me peux pas résister. J’y replonge le visage et recommence à le lécher. L’anus est chaud et légèrement rougi. Sensible. Arthur gémit. Je sens du sperme contre ma langue. Arthur l’expulse doucement. Je bande comme un fou et continue et le rimmer.
Puis je le pénètre à nouveau, sans remettre de gel. On est de nouveau en missionnaire mais cette fois Arthur me caresse. Ses mains glissent contre mon dos et sur mes fesses. Il a l’air encore plus excité qu’avant, même s’il a déjà joui deux fois. Il est en fait plus intoxique que jamais. Par son complexe d’œdipe. Par le fait de baiser dans le lit de son père. Mais aussi par l’odeur de celui-ci qui se dégage des draps. Arthur atteint maintenant le paroxysme de ses désirs. Entre deux baisers :
- Je t’aime, son. Désormais tu coucheras avec moi dans ce lit tous les soirs.
Fou d’amour, Arthur m’embrasse passionnément avant de se mettre à quatre pattes pour se faire prendre en levrette.
Il se donne et crie maintenant des « Daddy je t’aime » en permanence. Je lui donne le plus de plaisir possible. Avec ma queue. Et avec mes mains sur sa peau nue. Arthur se redresse, tourne la tête. On s’embrasse et je l’embrasse tout en le baisant comme ça, redresse. J’enroule un bras contre son corps, et avec mon autre main, je lui malaxe les testicules. On crie maintenant des « je t’aime son » et je t’aime daddy » sans s’arrêter. Jusqu’à jouir ensemble, au même moment, en union totale dans notre désir interdit, tabou, mais irrésistible.
Des l’orgasme passe, je me glisse sous les draps avec Arthur. Nous flottons tous les deux dans notre monde de plaisir interdits. Pour ne pas redescendre et laisser la magie s’échapper, je sers son corps nu contre le mien le plus fort possible, et plus unis que jamais, nous sombrons ensemble dans un profond sommeil.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beau récit. Ils jouent de plus en plus avec le feu… l’envie et la crainte d’être surpris nus, enlacés et endormis dans le lit du père ! J’adore le suspense.