Assistantes de direction à tout faire (1)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Assistantes de direction à tout faire (1)
Quand elle entra dans cette entreprise à vingt ans comme simple secrétaire, Nicole imaginait une vie parfaitement linéaire. Elle ferait son boulot consciencieusement tout en menant sa vie d'épouse et mère. Deux enfants naquirent dans les années suivantes, son mari Gilbert ramenait un bon salaire à la maison, ils avaient fait construire dans une zone résidentielle, ils partaient en vacances tous les étés, bref tout baignait.
Cette vie tranquille et routinière dura une quinzaine d'années. La jolie brune qu'était Nicole avait pris quelques rondeurs mais son entourage convenait qu'elles lui allaient bien. Certains hommes trouvaient même qu'elle avait embelli avec l'âge. Plus de joues, plus de fesses et plus de seins l'avaient rendu pulpeuse. Elle n'était pas insensible à ces hommages verbaux mais sans pour autant aller plus loin. Même si certains collègues féminines trouvaient qu'elle avait un peu trop tendance à jouer sur sa sexualité avec ces pantalons moulants ou ces robes à boutons dévoilant ses cuisses et sa poitrine par temps chaud. Ou ces roulements de hanches quand elle marchait faisant vibrer son fessier sous la toile légère. "Une allumeuse", disaient ses collègues femmes, et certains hommes n'étaient pas loin de penser de même après avoir tenté vainement de lui faire franchir le Rubicon.
Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que Nicole s'ennuyait au lit. Gilbert n'avait plus la flamme des débuts pour répondre à la demande. Il était sauvé par la barrière morale qui entourait encore Nicole, fruit d'une éducation rigide. Mais la nuit, elle rêvait de débauches...
Mais un jour, le patron changea. Il avait la quarantaine, il portait beau, il charmait et jouait sur sa séduction tant à l'intérieur de l'entreprise qu'à l'extérieur. Il ne tarda pas à remarquer cette brune au corps voluptueux et aux yeux de braise. Voulant remanier son équipe, il la bombarda secrétaire de direction, terminologie transformée en "assistante de direction", au grand dam des celles qui guignaient la place, à commencer par l'évincée, une certaine Christiane, bonne pro mais revêche et sèche. Le patron invita Nicole à déjeuner pour lui communiquer ses desiderata. "Je veux que vous soyez disponible en permanence et vos fonctions ne s'arrêteront pas à votre bureau", avait-il confié. Nicole ne voyait pas trop où il voulait en venir mais une augmentation substantielle de son salaire leva ses doutes. Il lui avait néanmoins précisé qu'il souhaitait la voir toujours "agréable à regarder" pour séduire les clients, laissant ainsi entendre qu'elle serait son atout charme. Déjà, un voyage se profilait et il comptait l'emmener avec lui. Nicole comprit qu'elle avait vraiment changé de registre. Il ne s'agirait plus seulement de taper sur un ordinateur. Gilbert ne vit aucun inconvénient à cette spectaculaire promotion, estimant qu'elle rendait justice à son travail.
Avant de partir, le patron, que nous appellerons Michel, avait recommandé à Nicole "d'être sexy". Elle dut se rendre en catastrophe dans une boutique pour trouver une robe adéquate. Comme elle les aimait à boutons, elle trouva son bonheur dans un tissu très fin qui moulait ses formes. Elle passa chez le coiffeur, revit son maquillage, en particulier son rouge à lèvres, qu'elle avait charnues. "Une bouche pour la pipe", avait grincé certains mâles de son entourage, frustrés de n'avoir pu l'expérimenter.
Le patron apprécia. Tellement même qu'à l'hôtel (luxueux) où ils posèrent leur valise avant la réunion du lendemain, il ne réserva qu'une seule chambre, censée être une suite avec pièces communicantes. Nicole commença à se crisper. Mais le dîner qui suivit, copieusement arrosé, modifia quelque peu son état d'esprit. Elle tombait peu à peu sous le charme de Michel. Arrivés dans la suite, elle allait gagner sa pièce quand il la prit par le bras et l'attira vers lui avant de l'embrasser goulûment. Elle commença par se raidir, émit une protestation mais l'autre insista, déboutonnant les boutons du bas pour atteindre le slip. Sésame ouvre toi ! Nicole devint toute molle. Les boutons furent défaits un à un et elle apparut en soutif pigeonnant et en mini slip, achetés l'avant-veille à grands frais. Il lui prit la main et la posa sur sa braguette. Elle aurait dû la brûler si elle avait été une épouse modèle. Mais elle s'y attarda. Il se libéra, elle s'accroupit et elle l'emboucha. La pipe, elle avait toujours adoré ça. Déjà, à peine dépucelée, elle avait fait gicler avec sa langue pas mal de copains de son âge. Pendant qu'elle le suçait avec ardeur, Michel dégrafait son soutif et libérait deux nichons en poire qu'il empauma avec volupté. Très sensible des seins, Nicole capitula sans condition. Elle baissa elle-même son slip, dévoilant un pubis foisonnant de brune et se laissa culbuter sur le lit voisin, saisissant la bite plantureuse de son impatient patron pour la porter là où elle devait aller.
Ce fut un coït ardent, sauvage, bruyant et volubile. Nicole y révéla un tempérament de feu qui ne demandait qu'à éclater après des mois, voire des années, de latence. Elle ne cessa de réclamer de la durée, de la raideur et de la variété. Il la prit dans toutes les positions, la sodomisa sans aucune difficulté en se régalant de son fessier joufflu, remit deux fois le couvert jusqu'au petit matin après avoir été réveillé par sa bouche et elle sortit de ces ébats fraiche comme une rose, le corps comblé et la mine réjouie. Sans l'once d'une culpabilité. Elle avait baisé toute la nuit et ne demandait qu'à recommencer.
******Ce fut lors d'un de ces voyages professionnels avec son patron que Nicole rencontra Mariannick. Elle était également l'assistante de direction d'un associé de son patron et l'accompagnait aussi dans ses déplacements. Agée d'une quarantaine d'années, brune aux cheveux bouclés, moins enrobée que Nicole avec un corps osseux, nerveux mais bien proportionné, elle bénéficiait surtout d'un beau visage aux traits réguliers qui lui conférait un charme certain. Les deux femmes sympathisèrent très vite, d'autant qu'elles étaient amenées à collaborer. Du travail aux confidences plus intimes, il n'y eut pas très loin. Mariannick commença par avouer que son patron lui mettait souvent la main aux fesses et interrogea Nicole : "et toi ?" Celle-ci confirma et toutes deux confessèrent que leur patron bouleversait leur vie conjugale, vu que les maris n'étaient pas au courant de ces agissements. Puis Nicole glissa que la main de son patron errait parfois sous sa robe. "Ah bon, toi aussi ?" reconnut Mariannick. Il leur était dès lors difficile de ne pas admettre que ces explorations intimes se poursuivaient en chambre. "Tu as baisé ?" finit par interroger Nicole. Mariannick fit oui de la tête. Et Nicole reconnut qu'elle avait baisé aussi. "Et c'était bon ?" demanda Mariannick. Nicole se refusa de jouer les chochottes. Elle avait pris du plaisir à coucher avec son patron, à la fois pour sa virilité et par goût du fruit défendu. "Pareil", abonda Mariannick. Et les deux femmes éclatèrent de rire. Leur complicité s'était donc renforcée par ces aveux.
Dès lors, elles ne cessèrent plus de communiquer entre elles, même lorsqu'elles étaient séparées. Elles se parlaient de leur mari, de leurs enfants et surtout de leur double vie qu'elles n'avaient pas voulu mais qui leur octroyait quelques avantages : des rémunérations en hausse, quelques cadeaux et une variété sexuelle qui les changeait de la routine conjugale. Cette complicité allait s'accélérer lorsque leurs patrons leur demandèrent de les assister pour conclure un important marché avec des investisseurs africains. Il leur fut instamment demandé de jouer la carte de la séduction, au point qu'elles purent choisir leur robe chez un grand couturier. Deux quinquagénaires africains étaient particulièrement visés. Subjugués par les deux accompagnatrices, en grands frais de toilette, ils exigèrent qu'elles les accompagnent dans une virée dans une boite de nuit. Sans leur patron. Nicole et Mariannick comprenaient évidemment quelles étaient leurs intentions et ne décoléraient pas contre leur employeur. Mais en même temps, elles avaient bien conscience de jouer un rôle clé dans la négociation. Parties s'être refaire une beauté dans la boite de nuit avant la prochaine étape, à savoir l'hôtel des Africains, elles devisèrent devant les lavabos :- Ils nous envoient à l'abattoir, nos patrons. On va passer à la casserole pour le bien de leurs finances, grogna Nicole.
- Ouais, mais on n'a pas trop le choix. C'est ça où on revient aux tâches subalternes, répliqua Mariannick.
- Tu as déjà baisé avec un Noir ?
- Non jamais et toi ?
- Moi non plus.
- S'il te plait, ne me quitte pas. Je ne veux pas me retrouver seule avec l'un de ces types.
- J'allais te le demander. Bon, allez, on y va et vogue la galère.
******On voit par là que les deux assistantes de direction, devenue escort girls par le fruit des circonstances, n'envisageaient pas cette mutation de gaieté de coeur. Elles affichèrent un air pimpant à leur retour, très pro, alors que les deux hommes triquaient déjà dans la perspective de tringler ces deux belles femelles. Leur chauffeur les conduisit à l'hôtel luxueux où ils avaient établi leur résidence. Nicole et Mariannick étaient contractées comme avant un examen. Lorsqu'ils voulurent les conduire chacune dans une chambre, elles refusèrent tout net. "Pas question, on reste ensemble" clama Nicole. Les deux hommes ne s'en formalisèrent pas. L'atmosphère se détendit quelque peu dans la suite de l'un des deux, avec une bonne dose partagée de whisky et quelques blagues, jusqu'au moment où ils vinrent s'asseoir à côté des deux femmes, sur deux canapés voisins, après les avoir séparées. Elles se laissèrent d'abord peloter, un peu tendues, puis acceptèrent d'ôter leur belle robe.
Lorsqu'ils dégagèrent leur pénis, elles se penchèrent à l'unisson pour les sucer, pensant qu'une éjaculation précoce suffirait peut-être à les calmer et les dissuader d'aller plus loin. Elles y mirent du coeur à l'ouvrage, s'observant mutuellement comme pour s'encourager du regard. Mais cette succion énergique de deux bites plantureuses, incontestablement appétissantes, ne fut pas sans effet sur leur intimité. Les deux hommes purent le vérifier en glissant un doigt dans leur mini slip, où une humidité était apparue. Mariannick fut la première à se laisser retirer le mince tissu et dévoiler à sa collègue l'activité du doigt noir dans son déduit. De son côté, Nicole s'était laissée dégrafer son soutif, libérant ses deux seins lourds que l'homme empauma pendant qu'elle reprenait sa succion. Mais ils n'éjaculaient pas. Mieux : ils se relevèrent, se débarrassèrent de leurs vêtements, et apparurent dans leur nudité d'ébène, leur sceptre érigé, qu'ils coiffèrent à l'unisson d'un préservatif. Mais avant de pénétrer les deux secrétaires, ils les firent asseoir et leur prodiguèrent en même temps un cunnilingus qui finit par abolir toute résistance. Car Nicole et Mariannick ne pouvaient que le constater : ces deux Noirs léchaient divinement bien. Leur langue agile, précise, fouilleuse, ne tardèrent pas à les faire onduler du bassin, à leur mettre la langue sur les lèvres et même à les faire gémir. Nicole fut la première à connaitre l'orgasme dans un cri accompagné d'une main crispée sur la nuque de son lécheur. Ce qui parut libérer Mariannick, qui s'exclama à son tour, les yeux clos.
Confortés, les deux hommes se positionnèrent à l'entrée divine des deux secrétaires, qui ouvrirent leurs cuisses sans barguigner. Seule la bite pouvait calmer leur surexcitation et qu'elle fût noire, blanche ou jaune, peu importait. Elles crièrent de conserve au moment de la pénétration, à la fois douloureuse par son volume et bienfaisante par son envahissement. Mariannick regarda Nicole talonner les reins de son baiseur et Nicole découvrit Mariannick griffer les fesses du sien. Elles baisaient. Et elles se regardaient baiser, ne se quittant plus du regard, comme pour vérifier dans l'attitude de l'autre le plaisir inavouable qu'elles prenaient. Prises par derrière sur le canapé, ou tressautant dos à leur amant assis, elles s'imitaient, Nicole ayant même défait son chignon conçu à la diable lorsqu'elle s'était mise à sucer afin de voir ses cheveux ballotter comme ceux de Mariannick. De voir la bite épaisse sortir et entrer à cadence soutenue du giron de Nicole constituait pour sa collègue l'image même de ses sensations. Ni l'une ni l'autre n'étaient désormais impatientes de voir les deux Noirs éjaculer. Elles entendaient au contraire profiter pleinement de leur raideur visiteuse, de leur organe très mâle qui les faisait sentir très femelles. Tendu et crispé au départ, leur visage était devenu rayonnant, la bouche en banane. Des exclamations de joie, consécutives à de nouvelles positions, traduisaient ce nouvel état d'esprit. Elles s'interpellaient, commentaient crûment leur plaisir en tournicotant de la croupe, abjuraient leur amant de durer quand elles les sentaient sur le point de craquer, quitte à leur accorder une pause avant de venir à nouveau s'empaler en soupirant d'aise. Elles n'étaient plus que deux sexes en fusion, préoccupées uniquement par leur incendie intime, mélangeant onomatopées, gargouillis, râles et de temps à autre un mot assez vulgaire pour célébrer la vigueur de leur partenaire.
Ce fut celui de Nicole qui craqua le premier en gémissant. Elle l'essora par des rotations de hanches tandis que Mariannick continuait de cavaler en se tenant les seins. Nicole la rejoignit pour l'assister dans son orgasme tandis que l'autre, au bout du bout, ruait sous elle, encouragé par la menotte de Nicole sur ses couilles. Mariannick hulula et s'effondra, épuisée de plaisir, l'homme encore fiché en elle comme un pieu. Désunis, les deux couples mirent du temps à reprendre leurs esprits. Les deux quinquagénaires avaient été visiblement éprouvés mais la satisfaction se lisait sur leur visage.
Elle se retrouva le lendemain dans les négociations avec les deux patrons. Les deux assistantes avaient atteint leur objectif : favoriser un accord juteux. Leurs employeurs ne furent pas ingrats. Une prime substantielle fut versée aux deux dames de compagnie. Nicole s'acheta un nouveau canapé, Mariannick s'offrit la robe Prada et le sac Vuitton de ses rêves. Tout le monde fut content, y compris les maris, qui trouvaient dans ces gratifications généreuses la récompense de l'investissement personnel de leur épouse pour leur entreprise. Lesquelles épouses continuèrent de servir leur patron avec leur zèle habituel, avec une seule différence : elles avaient trouvé une confidente suite à une expérience commune.
Cette vie tranquille et routinière dura une quinzaine d'années. La jolie brune qu'était Nicole avait pris quelques rondeurs mais son entourage convenait qu'elles lui allaient bien. Certains hommes trouvaient même qu'elle avait embelli avec l'âge. Plus de joues, plus de fesses et plus de seins l'avaient rendu pulpeuse. Elle n'était pas insensible à ces hommages verbaux mais sans pour autant aller plus loin. Même si certains collègues féminines trouvaient qu'elle avait un peu trop tendance à jouer sur sa sexualité avec ces pantalons moulants ou ces robes à boutons dévoilant ses cuisses et sa poitrine par temps chaud. Ou ces roulements de hanches quand elle marchait faisant vibrer son fessier sous la toile légère. "Une allumeuse", disaient ses collègues femmes, et certains hommes n'étaient pas loin de penser de même après avoir tenté vainement de lui faire franchir le Rubicon.
Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que Nicole s'ennuyait au lit. Gilbert n'avait plus la flamme des débuts pour répondre à la demande. Il était sauvé par la barrière morale qui entourait encore Nicole, fruit d'une éducation rigide. Mais la nuit, elle rêvait de débauches...
Mais un jour, le patron changea. Il avait la quarantaine, il portait beau, il charmait et jouait sur sa séduction tant à l'intérieur de l'entreprise qu'à l'extérieur. Il ne tarda pas à remarquer cette brune au corps voluptueux et aux yeux de braise. Voulant remanier son équipe, il la bombarda secrétaire de direction, terminologie transformée en "assistante de direction", au grand dam des celles qui guignaient la place, à commencer par l'évincée, une certaine Christiane, bonne pro mais revêche et sèche. Le patron invita Nicole à déjeuner pour lui communiquer ses desiderata. "Je veux que vous soyez disponible en permanence et vos fonctions ne s'arrêteront pas à votre bureau", avait-il confié. Nicole ne voyait pas trop où il voulait en venir mais une augmentation substantielle de son salaire leva ses doutes. Il lui avait néanmoins précisé qu'il souhaitait la voir toujours "agréable à regarder" pour séduire les clients, laissant ainsi entendre qu'elle serait son atout charme. Déjà, un voyage se profilait et il comptait l'emmener avec lui. Nicole comprit qu'elle avait vraiment changé de registre. Il ne s'agirait plus seulement de taper sur un ordinateur. Gilbert ne vit aucun inconvénient à cette spectaculaire promotion, estimant qu'elle rendait justice à son travail.
Avant de partir, le patron, que nous appellerons Michel, avait recommandé à Nicole "d'être sexy". Elle dut se rendre en catastrophe dans une boutique pour trouver une robe adéquate. Comme elle les aimait à boutons, elle trouva son bonheur dans un tissu très fin qui moulait ses formes. Elle passa chez le coiffeur, revit son maquillage, en particulier son rouge à lèvres, qu'elle avait charnues. "Une bouche pour la pipe", avait grincé certains mâles de son entourage, frustrés de n'avoir pu l'expérimenter.
Le patron apprécia. Tellement même qu'à l'hôtel (luxueux) où ils posèrent leur valise avant la réunion du lendemain, il ne réserva qu'une seule chambre, censée être une suite avec pièces communicantes. Nicole commença à se crisper. Mais le dîner qui suivit, copieusement arrosé, modifia quelque peu son état d'esprit. Elle tombait peu à peu sous le charme de Michel. Arrivés dans la suite, elle allait gagner sa pièce quand il la prit par le bras et l'attira vers lui avant de l'embrasser goulûment. Elle commença par se raidir, émit une protestation mais l'autre insista, déboutonnant les boutons du bas pour atteindre le slip. Sésame ouvre toi ! Nicole devint toute molle. Les boutons furent défaits un à un et elle apparut en soutif pigeonnant et en mini slip, achetés l'avant-veille à grands frais. Il lui prit la main et la posa sur sa braguette. Elle aurait dû la brûler si elle avait été une épouse modèle. Mais elle s'y attarda. Il se libéra, elle s'accroupit et elle l'emboucha. La pipe, elle avait toujours adoré ça. Déjà, à peine dépucelée, elle avait fait gicler avec sa langue pas mal de copains de son âge. Pendant qu'elle le suçait avec ardeur, Michel dégrafait son soutif et libérait deux nichons en poire qu'il empauma avec volupté. Très sensible des seins, Nicole capitula sans condition. Elle baissa elle-même son slip, dévoilant un pubis foisonnant de brune et se laissa culbuter sur le lit voisin, saisissant la bite plantureuse de son impatient patron pour la porter là où elle devait aller.
Ce fut un coït ardent, sauvage, bruyant et volubile. Nicole y révéla un tempérament de feu qui ne demandait qu'à éclater après des mois, voire des années, de latence. Elle ne cessa de réclamer de la durée, de la raideur et de la variété. Il la prit dans toutes les positions, la sodomisa sans aucune difficulté en se régalant de son fessier joufflu, remit deux fois le couvert jusqu'au petit matin après avoir été réveillé par sa bouche et elle sortit de ces ébats fraiche comme une rose, le corps comblé et la mine réjouie. Sans l'once d'une culpabilité. Elle avait baisé toute la nuit et ne demandait qu'à recommencer.
******Ce fut lors d'un de ces voyages professionnels avec son patron que Nicole rencontra Mariannick. Elle était également l'assistante de direction d'un associé de son patron et l'accompagnait aussi dans ses déplacements. Agée d'une quarantaine d'années, brune aux cheveux bouclés, moins enrobée que Nicole avec un corps osseux, nerveux mais bien proportionné, elle bénéficiait surtout d'un beau visage aux traits réguliers qui lui conférait un charme certain. Les deux femmes sympathisèrent très vite, d'autant qu'elles étaient amenées à collaborer. Du travail aux confidences plus intimes, il n'y eut pas très loin. Mariannick commença par avouer que son patron lui mettait souvent la main aux fesses et interrogea Nicole : "et toi ?" Celle-ci confirma et toutes deux confessèrent que leur patron bouleversait leur vie conjugale, vu que les maris n'étaient pas au courant de ces agissements. Puis Nicole glissa que la main de son patron errait parfois sous sa robe. "Ah bon, toi aussi ?" reconnut Mariannick. Il leur était dès lors difficile de ne pas admettre que ces explorations intimes se poursuivaient en chambre. "Tu as baisé ?" finit par interroger Nicole. Mariannick fit oui de la tête. Et Nicole reconnut qu'elle avait baisé aussi. "Et c'était bon ?" demanda Mariannick. Nicole se refusa de jouer les chochottes. Elle avait pris du plaisir à coucher avec son patron, à la fois pour sa virilité et par goût du fruit défendu. "Pareil", abonda Mariannick. Et les deux femmes éclatèrent de rire. Leur complicité s'était donc renforcée par ces aveux.
Dès lors, elles ne cessèrent plus de communiquer entre elles, même lorsqu'elles étaient séparées. Elles se parlaient de leur mari, de leurs enfants et surtout de leur double vie qu'elles n'avaient pas voulu mais qui leur octroyait quelques avantages : des rémunérations en hausse, quelques cadeaux et une variété sexuelle qui les changeait de la routine conjugale. Cette complicité allait s'accélérer lorsque leurs patrons leur demandèrent de les assister pour conclure un important marché avec des investisseurs africains. Il leur fut instamment demandé de jouer la carte de la séduction, au point qu'elles purent choisir leur robe chez un grand couturier. Deux quinquagénaires africains étaient particulièrement visés. Subjugués par les deux accompagnatrices, en grands frais de toilette, ils exigèrent qu'elles les accompagnent dans une virée dans une boite de nuit. Sans leur patron. Nicole et Mariannick comprenaient évidemment quelles étaient leurs intentions et ne décoléraient pas contre leur employeur. Mais en même temps, elles avaient bien conscience de jouer un rôle clé dans la négociation. Parties s'être refaire une beauté dans la boite de nuit avant la prochaine étape, à savoir l'hôtel des Africains, elles devisèrent devant les lavabos :- Ils nous envoient à l'abattoir, nos patrons. On va passer à la casserole pour le bien de leurs finances, grogna Nicole.
- Ouais, mais on n'a pas trop le choix. C'est ça où on revient aux tâches subalternes, répliqua Mariannick.
- Tu as déjà baisé avec un Noir ?
- Non jamais et toi ?
- Moi non plus.
- S'il te plait, ne me quitte pas. Je ne veux pas me retrouver seule avec l'un de ces types.
- J'allais te le demander. Bon, allez, on y va et vogue la galère.
******On voit par là que les deux assistantes de direction, devenue escort girls par le fruit des circonstances, n'envisageaient pas cette mutation de gaieté de coeur. Elles affichèrent un air pimpant à leur retour, très pro, alors que les deux hommes triquaient déjà dans la perspective de tringler ces deux belles femelles. Leur chauffeur les conduisit à l'hôtel luxueux où ils avaient établi leur résidence. Nicole et Mariannick étaient contractées comme avant un examen. Lorsqu'ils voulurent les conduire chacune dans une chambre, elles refusèrent tout net. "Pas question, on reste ensemble" clama Nicole. Les deux hommes ne s'en formalisèrent pas. L'atmosphère se détendit quelque peu dans la suite de l'un des deux, avec une bonne dose partagée de whisky et quelques blagues, jusqu'au moment où ils vinrent s'asseoir à côté des deux femmes, sur deux canapés voisins, après les avoir séparées. Elles se laissèrent d'abord peloter, un peu tendues, puis acceptèrent d'ôter leur belle robe.
Lorsqu'ils dégagèrent leur pénis, elles se penchèrent à l'unisson pour les sucer, pensant qu'une éjaculation précoce suffirait peut-être à les calmer et les dissuader d'aller plus loin. Elles y mirent du coeur à l'ouvrage, s'observant mutuellement comme pour s'encourager du regard. Mais cette succion énergique de deux bites plantureuses, incontestablement appétissantes, ne fut pas sans effet sur leur intimité. Les deux hommes purent le vérifier en glissant un doigt dans leur mini slip, où une humidité était apparue. Mariannick fut la première à se laisser retirer le mince tissu et dévoiler à sa collègue l'activité du doigt noir dans son déduit. De son côté, Nicole s'était laissée dégrafer son soutif, libérant ses deux seins lourds que l'homme empauma pendant qu'elle reprenait sa succion. Mais ils n'éjaculaient pas. Mieux : ils se relevèrent, se débarrassèrent de leurs vêtements, et apparurent dans leur nudité d'ébène, leur sceptre érigé, qu'ils coiffèrent à l'unisson d'un préservatif. Mais avant de pénétrer les deux secrétaires, ils les firent asseoir et leur prodiguèrent en même temps un cunnilingus qui finit par abolir toute résistance. Car Nicole et Mariannick ne pouvaient que le constater : ces deux Noirs léchaient divinement bien. Leur langue agile, précise, fouilleuse, ne tardèrent pas à les faire onduler du bassin, à leur mettre la langue sur les lèvres et même à les faire gémir. Nicole fut la première à connaitre l'orgasme dans un cri accompagné d'une main crispée sur la nuque de son lécheur. Ce qui parut libérer Mariannick, qui s'exclama à son tour, les yeux clos.
Confortés, les deux hommes se positionnèrent à l'entrée divine des deux secrétaires, qui ouvrirent leurs cuisses sans barguigner. Seule la bite pouvait calmer leur surexcitation et qu'elle fût noire, blanche ou jaune, peu importait. Elles crièrent de conserve au moment de la pénétration, à la fois douloureuse par son volume et bienfaisante par son envahissement. Mariannick regarda Nicole talonner les reins de son baiseur et Nicole découvrit Mariannick griffer les fesses du sien. Elles baisaient. Et elles se regardaient baiser, ne se quittant plus du regard, comme pour vérifier dans l'attitude de l'autre le plaisir inavouable qu'elles prenaient. Prises par derrière sur le canapé, ou tressautant dos à leur amant assis, elles s'imitaient, Nicole ayant même défait son chignon conçu à la diable lorsqu'elle s'était mise à sucer afin de voir ses cheveux ballotter comme ceux de Mariannick. De voir la bite épaisse sortir et entrer à cadence soutenue du giron de Nicole constituait pour sa collègue l'image même de ses sensations. Ni l'une ni l'autre n'étaient désormais impatientes de voir les deux Noirs éjaculer. Elles entendaient au contraire profiter pleinement de leur raideur visiteuse, de leur organe très mâle qui les faisait sentir très femelles. Tendu et crispé au départ, leur visage était devenu rayonnant, la bouche en banane. Des exclamations de joie, consécutives à de nouvelles positions, traduisaient ce nouvel état d'esprit. Elles s'interpellaient, commentaient crûment leur plaisir en tournicotant de la croupe, abjuraient leur amant de durer quand elles les sentaient sur le point de craquer, quitte à leur accorder une pause avant de venir à nouveau s'empaler en soupirant d'aise. Elles n'étaient plus que deux sexes en fusion, préoccupées uniquement par leur incendie intime, mélangeant onomatopées, gargouillis, râles et de temps à autre un mot assez vulgaire pour célébrer la vigueur de leur partenaire.
Ce fut celui de Nicole qui craqua le premier en gémissant. Elle l'essora par des rotations de hanches tandis que Mariannick continuait de cavaler en se tenant les seins. Nicole la rejoignit pour l'assister dans son orgasme tandis que l'autre, au bout du bout, ruait sous elle, encouragé par la menotte de Nicole sur ses couilles. Mariannick hulula et s'effondra, épuisée de plaisir, l'homme encore fiché en elle comme un pieu. Désunis, les deux couples mirent du temps à reprendre leurs esprits. Les deux quinquagénaires avaient été visiblement éprouvés mais la satisfaction se lisait sur leur visage.
Elle se retrouva le lendemain dans les négociations avec les deux patrons. Les deux assistantes avaient atteint leur objectif : favoriser un accord juteux. Leurs employeurs ne furent pas ingrats. Une prime substantielle fut versée aux deux dames de compagnie. Nicole s'acheta un nouveau canapé, Mariannick s'offrit la robe Prada et le sac Vuitton de ses rêves. Tout le monde fut content, y compris les maris, qui trouvaient dans ces gratifications généreuses la récompense de l'investissement personnel de leur épouse pour leur entreprise. Lesquelles épouses continuèrent de servir leur patron avec leur zèle habituel, avec une seule différence : elles avaient trouvé une confidente suite à une expérience commune.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce récit fort bien écrit si l'on passe quelques fautes de frappe et une seule de français ! mdr Merci à l'auteur ou l'autrice . Didier et cette histoire vaut bien pour moi un 9/10