Assistantes de direction à tout faire (2/2)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2022 dans la catégorie Plus on est
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Assistantes de direction à tout faire (2/2)
Pour Nicole, la vie d'assistante de direction se poursuivit d'une manière routinière, après l'escapade africaine (voir chapitre précédent). Elle accordait de temps à autre une petite gâterie à son patron sans que son travail n'ait à en souffrir. En revanche, cette liaison était devenue notoire et Nicole voyait la plupart des autres secrétaires lui battre froid, ce qui lui importait peu. Elle se préoccupait davantage de ses relations conjugales car elle tenait à ce que son mari ne pâtisse pas d'éventuels ragots. Ses escapades avec le patron étaient rares. Leurs ébats s'opéraient le soir quand tout le monde était parti, porte du bureau fermée, ou parfois en pleine nature loin des regards indiscrets. Le lieu était un endroit très prisé par elle et son mari : le bord d'une rivière où X ledit mari aimait à pêcher pendant que son épouse bronzait nue. Elle tenait en effet à offrir à son amant un corps ambré de la tête aux pieds lorsque les beaux jours étaient arrivés.
Un nouvel événement survint dans la vie professionnelle de Nicole quand une secrétaire récemment embauchée fit son entrée au sein de son équipe. Prénommée Martine, âgée d'une trentaine d'années, épouse et mère, elle plut d'emblée à Nicole parce que son physique n'était pas de nature à lui porter concurrence auprès du patron. Tout était large en elle : les épaules, les hanches, les seins, les cuisses, le visage et même le sourire, révélant une bonne nature de fille saine et athlétique à l'esprit aussi large que le corps. Vite au courant par ses collègues des relations entre Nicole et le patron, elle ne s'en formalisa guère. L'assistante de direction lui en sut gré et des relations cordiales, voire chaleureuses, se nouèrent entre les deux. Elles déjeunaient souvent en tête à tête et c'est au cours d'une de ces entrevues que Martine lui avoua ses soucis conjugaux. Son mari la délaissait de plus en plus. Elle ne faisait pratiquement plus l'amour.
- Il mériterait que je le fasse cocu, avait-elle avoué à Nicole.
- Tu n'aurais pas tort mais ce n'est pas une bonne solution. Il y en a d'autres.
- Ah bon ? Et lesquelles ?
- Te faire belle. Le rendre jaloux; Lui faire croire que tu plais à d'autres hommes.
- Il n'y croira pas. Et puis, bon, je ne suis pas un canon.
- Parce que tu ne te rends pas sexy. Tu es habillée comme un sac. Montre davantage tes seins, ils sont beaux. Raccourcis tes robes et tes jupes. Porte des jeans moulants. Il faut que tu mettes dans la tête des hommes que tu es prête à baiser.
- Bon, je vais essayer.
Martine suivit les conseils de Nicole à la lettre. Elle arbora par la suite des décolletés plongeants révélant un profond sillon mammaire et des mini-jupes découvrant des cuisses musclées de sportive, car elle avait pratiqué l'athlétisme. Les hommes commençaient à la suivre des yeux lorsqu'elle déambulait, consciente des regards sur sa croupe mouvante. Nicole l'interrogea :- Alors, ça porte, ce changement, sur ton mari ?
- Un peu, oui, mais il trouve que j'ai l'air d'une salope. Et ça semble l'exciter. On fait un peu plus souvent l'amour. Mais j'en veux plus, beaucoup plus.
- Alors, il faut que tu sortes des sentiers battus. Pour commencer, viens avec moi ce week-end. On va bronzer toutes les deux au bord de la rivière. Mais attention : à poil.
C'est ainsi que Martine rejoignit le couple et pendant que son mari péchait, Nicole et elle exposaient leurs rondeurs aux ultra violets. L'assistante de direction fit connaissance avec le corps de sa subordonnée qu'elle trouva attirant, l'enduisit de crème protectrice, recueillit ses confidences, lui accorda les siennes, et une relation encore plus intime se noua entre elles deux. Nicole fut rapidement convaincue que Martine avait besoin de sexe et que son mari ne la satisferait pas seul.
- J'ai un truc à te dire. Pourquoi tu ne proposerais pas à ton cher et tendre un plan à trois ? Je parie que ça l'exciterait, ton julot.
- Un trio ? Mais avec qui ?
- Vous n'avez pas un copain commun ? Un type qui t'aime bien ?
- Euh... si, un gars qui fait du vélo avec mon mari, il vient parfois dîner à la maison, il vit seul.
- Eh ben voilà. Amène ça habilement à ton mari. Dis-lui que tu as rêvé que tu couchais avec lui et qu'il regardait; Et observe sa réaction.
- Ben dis donc, tu me fais faire de ces trucs.
- Ma petite, il faut savoir ce que tu veux. Te dessécher ou t'épanouir ? Ta vie sexuelle est une misère.
Martine ne pouvait guère la démentir. Elle partit dans une songerie à plat ventre, pendant que le soleil rôtissait son cul joufflu.
******Chaque week-end, du moins quand la météo le permettait, Nicole et Martine se retrouvaient au bord de la rivière, se baignant et bronzant nues. Le corps de Martine était devenu aussi intégralement ambré que celui de Nicole et elle commençait à vraiment à l'aimer. Mais elle fuyait les questions de sa collègue au sujet de son couple. Jusqu'au jour où, d'elle-même, elle lâcha :- On l'a fait, ce trio.
- Et alors ? C'était bien ?
- Oui, au début. Deux hommes pour moi seule, c'était vraiment excitant. L'embêtant, c'est que le copain et mon mari se sont mis à se sucer. J'ai compris pourquoi on faisait moins l'amour : mon mari est bi, tendance homo.
Nicole encaissa l'information. Ce n'était plus la même histoire. Martine serait toujours conjugalement frustrée du point de vue de son appétit sexuel. Son corps puissant, athlétique, bien charpenté, bien charnu, nécessitait l'hommage d'un vrai mâle doté de belles capacités physiques. Il fallait l'aider.
*******Quelque temps plus tard, une autre mission fut commandée par le patron à Nicole. Forte de sa bonne volonté de la précédente, pour ne pas dire son zèle, elle réclama l'accompagnement de Martine, prétextant une charge de travail trop soutenue. Le patron renâcla mais devant la menace de l'absence de Nicole, ou de sa mauvaise volonté, il finit par accepter d'être accompagné de deux assistantes au lieu d'une.
Les interlocuteurs étaient deux vieux messieurs chargés d'honneurs et d'euros. Nicole comprit vite que ce n'étaient pas eux qui les feraient grimper aux rideaux, elle et Martine. Cela se limiterait à quelques pelotages et quelques regards libidineux, qu'il serait facile de contenter avec de jolis sourires et une attention soutenue. En revanche, leurs chauffeurs étaient beaucoup plus intéressants. Deux gars d'une quarantaine d'années, minces et vêtus de noir, au regard de braise. Evidemment, ils n'apportaient rien à la négociation et il fallait jouer fin. Une soirée était prévue en boite de nuit pour fêter l'accord final, assez juteux. Le patron était enjoué et les deux vieux mataient les cuisses des deux assistantes. Nicole avait opté pour une mini robe dénudant son dos et révélant l'absence de soutien-gorge. Dépourvue d'une garde-robe adéquate, Martine avait accepté le prêt de Nicole, sous la forme d'une robe longue mais fendue jusqu'à la hanche, très décolletée sur un soutien-gorge pigeonnant faisant gonfler ses seins. L'une et l'autre inspiraient incontestablement le sexe. Nicole avait passé la consigne : "ne fais pas la chochotte, montre que tu es open, ça va exciter les vieux et ça leur suffira".
Les deux "body guards" étaient présents et ne perdaient évidemment aucune miette du manège des deux assistantes. Deux femmes montrant aussi complaisamment leurs cuisses ne pouvaient que les ouvrir si on s'y prenait bien.
Nicole prit l'initiative d'inviter l'un d'eux sur la piste de danse. Il dit s'appeler Boris, était Slovène et montait sous les mains de Nicole une musculature prometteuse. Martine l'imita avec l'autre, un Croate prénommé Ivan, aussi blond que l'autre était brun. Les patrons les regardaient virevolter sur la piste de danse, se sentant légèrement exclus du jeu. Mais il se faisait tard et la fatigue commençait à poindre. Il fut décidé que les chauffeurs raccompagneraient tout le monde à l'hôtel.
Nicole et Martine faisaient chambre commune, par économie. Quand l'aînée des deux prit la clé, elle la montra discrètement à l'un des deux gardes du corps pour qu'il enregistre le numéro. Un clin d'oeil la rassura : il avait compris.
Dans la chambre, Nicole prévint sa collègue :- Ne te déshabille pas, on va avoir de la visite.
- Tu... veux dire les deux vieux ?
- Mais non. Les chauffeurs. Ils vont venir nous baiser.
- Ah bon ? On va faire ça ici, tous les quatre ?
- Ben quoi. Tu veux baiser ou pas ? Ils ne te plaisent pas, ces deux types ?
- Euh... si mais j'ai jamais fait ça comme ça, moi.
- Eh ben, c'est l'occasion et...
Nicole s'interrompit. On frappait à la porte. Les deux hommes entrèrent, tout sourire. Un bref dialogue s'engagea, portant sur la soirée. Martine, qui avait ôté ses escarpins, sentit le trac l'envahir. Mais Nicole n'avait aucune envie de tergiverser. Elle prit le visage de l'un des deux hommes dans ses mains et l'embrassa. Martine la vit basculer sur le lit, la mini robe repliée jusqu'au slip, enlacée par l'homme qui l'explorait déjà. Martine sentit alors les mains de l'autre homme lui empaumer les seins par derrière et sa bouche prendre possession de son cou. Ce fut comme une déflagration intime. Le cou, c'était son point faible. Elle s'abandonna au pelotage, sans résister. Sa robe tomba sur ses pieds nus sans qu'elle ait eu le temps de comprendre et elle se laissa entrainer sur l'autre lit jumeau en soutif et petite culotte. L'homme embrassait bien et caressait de même. Elle sentait ses défenses céder une à une. Son slip glissa le long de ses larges cuisses de sportive, tiré par une main experte et quand la bouche de l'homme occupa son entrecuisses, elle fondit. Cela faisait un sacré bail qu'elle n'avait pas été récompensée d'un cunni et celui-là était délicieux. Son regard croisa celui de l'homme au-dessus de son pubis épais, qui n'avait l'air de le déranger en rien, au contraire. L'homme lut dans les yeux de Martine quelque chose qui ressemblait à de la reconnaissance et il insista, la faisant se cabrer en gémissant. Elle connut un premier orgasme, inédit, produit par un homme dont elle connaissait tout juste le prénom, Ivan, dont elle ignorait encore l'existence quelques heures plus tôt.
Elle avait complètement oublié l'autre couple et c'est un cri qui lui rappela la situation : celui de Nicole, nue, écartelée et pénétrée avec vigueur par le deuxième garde du corps au petit cul virevoltant. La vision de sa collègue en train de baiser à côté d'elle leva le peu de réticences qui lui restaient encore de tromper son mari. Son amant, le mufle barbouillé de son jus, venait de se relever et d'exhiber un véritable sceptre qui ne demandait qu'à s'enfoncer. La première réaction de Martine, en train de dégrafer son soutien-gorge, fut d'admirer cette magnifique érection. Un véritable hommage à son corps. Elle le regarda avec dévotion déposer un préservatif et ouvrit grand les cuisses en signe d'adhésion. Bras tendus de chaque côté de sa tête, les yeux dans les siens, il entra dans sa cible sans se guider et Martine sentit aussitôt un envahissement monumental qui lui fit ouvrir la bouche sur un cri muet.
Mais dès qu'il fut totalement engagé, son corps fut pris d'une frénésie de baise qui surprit et ravit son chevalier servant. Pas une partie du corps de Martine ne restait inerte : son cul bien sûr mais aussi sa tête, ses bras, ses mains, ses cuisses, ses pieds, un véritable bateau en pleine tempête. L'homme dut s'arrimer pour ne pas être éjecté et poursuivre son travail de sape dans le confortable déduit, si accueillant. Crispé et tendu, il répondait à la demande en guettant l'orgasme dans les yeux de Martine. Il intervint comme une déferlante en faisant rouler ses seins sur son torse et tordre sa bouche. L'homme se retira prestement, au bord de l'éjaculation. Un coup pareil, il ne s'agissait pas de le laisser trop tôt en plan.
Martine reprit son souffle, vérifia l'érection de son amant, toujours intacte et le remercia en l'embrassant sur la bouche. L'homme la mit à quatre pattes en travers du lit, face à l'autre couple qui avait adopté la même position. Seins ballottant entre ses bras sous les coups de boutoir de celui qui se faisait appeler Boris, les cheveux agités en cadence, la langue entre les lèvres, Nicole était le spectacle du plaisir. Elle sourit à Martine en la voyant adopter la même position qu'elle et les deux collègues purent s'observer dans une situation évidemment inédite, en levrette, un mâle fiché en elles, puissant, endurant, déterminé.
- Tu baises, hein ? souffla Nicole entre deux râles.
Martine fit oui de la tête. Elle vivait son coït avec la même intensité que sa collègue qui, en quelque sorte, donnait le tempo de leurs ébats. Martine admirait sa science de l'amour, fruit d'une expérience supérieure à la sienne. Nicole variait les positions avec son amant qui se prêtait au jeu avec zèle et une virilité incontestable. A un moment, ils se retrouvèrent face à face en position de tailleur, étroitement emboités, s'observant avec attention, puis ils basculèrent dans un soixante-neuf et retournèrent à la levrette, cette fois de profil. L'activité coulissante du pénis du dénommé Boris mit Martine en transes car elle ressentait en même temps cette pénétration rectiligne et résolue du dénommé Ivan, visiblement subjugué par sa croupe. A nouveau face à elle, Nicole encaissait les coups de boutoir et ouvrait si grand la bouche que Martine put apercevoir sa glotte entre ses dents.
Au bout de plusieurs minutes où le claquement des peaux répondait aux onomatopées, Boris se détacha et positionna son membre sur l'anus de Nicole.
- Il va m'enculer, gloussa-t-elle à l'intention de Martine.
L'opération effectuée, elle lâcha une série d'interjections qu'elle coupa d'un "fais-en autant" à l'intention de sa collègue. La sodomie, Martine ne pratiquait pas. Mais quand elle sentit le gland à l'entrée de son anus, elle n'eut pas la force d'opposer un refus. C'était trop bon, ce que lui avait fait ce type. Il lui dit de se détendre, elle se cambra, et le pénis entra lentement dans un lieu vierge de la pratique. Martine s'aplatit, fourra son visage dans le couvre-lit qu'elle mordit et... remua son cul. Un flot de sensations nouvelles l'envahit et quand elle finit par se redresser, ce furent deux femmes incontestablement enculées qui se regardèrent.
- C'est bon, hein ? hoqueta Nicole.
- Oh oui... Oh oui...
Elles connurent simultanément un orgasme anal qui les firent crier en même temps. Ce fut pour les deux hommes le déclic. Ils jouirent l'un après l'autre dans leur capote, tendus comme deux arcs, essorés par les roulements de cul de leur partenaire qui s'aplatirent sur le lit, l'oeil vitreux, les cheveux ébouriffés, la bave aux lèvres.
​Beaucoup plus tard, quand les deux hommes furent partis, les deux collègues échangèrent leurs impressions sous la douche en se savonnant mutuellement.
- Jamais on ne m'a aussi bien fait l'amour, constata Martine.
- Tu n'as pas fait l'amour, tu as baisé. Et tu t'es montrée une sacrée chienne. Ne me fais plus le coup de la vertu, rigola Nicole.
- Bon, j'ai baisé, d'accord, mais j'ai sacrément envie de recommencer. D'ailleurs, si Ivan n'était pas parti, j'aurais bien remis le couvert un peu plus tard.
- Tu vois, tu es une vraie chienne... Bon maintenant, c'est pas le tout mais il faut récupérer, on a encore un peu de boulot demain. Et surtout, motus au patron, hein ? Il n'apprécierait pas ces relations extra conjugales, l'hypocrite. Tant que ça ne sert pas ses intérêts.
Pour Martine, cet épisode à quatre marqua à la fois une véritable amitié avec Nicole et un grand tournant dans sa vie sexuelle. Plus rien ne serait comme avant. Mais quand elle manifesta des velléités d'indépendance, Nicole la découragea :- Reste avec ton mari, ne brise pas ta vie de couple si tu l'aimes toujours. Mais ne t'interdis pas des escapades sans lendemain. Sois "open". Un jour viendra où tu en auras moins envie et à ce moment là, tu seras bien contente de retrouver ton petit mari.
Martine se décida d'écouter cette voix de la sagesse. Mais elle attendait avec impatience la prochaine mission en dehors du domicile conjugal. Avec ou sans Nicole.
Un nouvel événement survint dans la vie professionnelle de Nicole quand une secrétaire récemment embauchée fit son entrée au sein de son équipe. Prénommée Martine, âgée d'une trentaine d'années, épouse et mère, elle plut d'emblée à Nicole parce que son physique n'était pas de nature à lui porter concurrence auprès du patron. Tout était large en elle : les épaules, les hanches, les seins, les cuisses, le visage et même le sourire, révélant une bonne nature de fille saine et athlétique à l'esprit aussi large que le corps. Vite au courant par ses collègues des relations entre Nicole et le patron, elle ne s'en formalisa guère. L'assistante de direction lui en sut gré et des relations cordiales, voire chaleureuses, se nouèrent entre les deux. Elles déjeunaient souvent en tête à tête et c'est au cours d'une de ces entrevues que Martine lui avoua ses soucis conjugaux. Son mari la délaissait de plus en plus. Elle ne faisait pratiquement plus l'amour.
- Il mériterait que je le fasse cocu, avait-elle avoué à Nicole.
- Tu n'aurais pas tort mais ce n'est pas une bonne solution. Il y en a d'autres.
- Ah bon ? Et lesquelles ?
- Te faire belle. Le rendre jaloux; Lui faire croire que tu plais à d'autres hommes.
- Il n'y croira pas. Et puis, bon, je ne suis pas un canon.
- Parce que tu ne te rends pas sexy. Tu es habillée comme un sac. Montre davantage tes seins, ils sont beaux. Raccourcis tes robes et tes jupes. Porte des jeans moulants. Il faut que tu mettes dans la tête des hommes que tu es prête à baiser.
- Bon, je vais essayer.
Martine suivit les conseils de Nicole à la lettre. Elle arbora par la suite des décolletés plongeants révélant un profond sillon mammaire et des mini-jupes découvrant des cuisses musclées de sportive, car elle avait pratiqué l'athlétisme. Les hommes commençaient à la suivre des yeux lorsqu'elle déambulait, consciente des regards sur sa croupe mouvante. Nicole l'interrogea :- Alors, ça porte, ce changement, sur ton mari ?
- Un peu, oui, mais il trouve que j'ai l'air d'une salope. Et ça semble l'exciter. On fait un peu plus souvent l'amour. Mais j'en veux plus, beaucoup plus.
- Alors, il faut que tu sortes des sentiers battus. Pour commencer, viens avec moi ce week-end. On va bronzer toutes les deux au bord de la rivière. Mais attention : à poil.
C'est ainsi que Martine rejoignit le couple et pendant que son mari péchait, Nicole et elle exposaient leurs rondeurs aux ultra violets. L'assistante de direction fit connaissance avec le corps de sa subordonnée qu'elle trouva attirant, l'enduisit de crème protectrice, recueillit ses confidences, lui accorda les siennes, et une relation encore plus intime se noua entre elles deux. Nicole fut rapidement convaincue que Martine avait besoin de sexe et que son mari ne la satisferait pas seul.
- J'ai un truc à te dire. Pourquoi tu ne proposerais pas à ton cher et tendre un plan à trois ? Je parie que ça l'exciterait, ton julot.
- Un trio ? Mais avec qui ?
- Vous n'avez pas un copain commun ? Un type qui t'aime bien ?
- Euh... si, un gars qui fait du vélo avec mon mari, il vient parfois dîner à la maison, il vit seul.
- Eh ben voilà. Amène ça habilement à ton mari. Dis-lui que tu as rêvé que tu couchais avec lui et qu'il regardait; Et observe sa réaction.
- Ben dis donc, tu me fais faire de ces trucs.
- Ma petite, il faut savoir ce que tu veux. Te dessécher ou t'épanouir ? Ta vie sexuelle est une misère.
Martine ne pouvait guère la démentir. Elle partit dans une songerie à plat ventre, pendant que le soleil rôtissait son cul joufflu.
******Chaque week-end, du moins quand la météo le permettait, Nicole et Martine se retrouvaient au bord de la rivière, se baignant et bronzant nues. Le corps de Martine était devenu aussi intégralement ambré que celui de Nicole et elle commençait à vraiment à l'aimer. Mais elle fuyait les questions de sa collègue au sujet de son couple. Jusqu'au jour où, d'elle-même, elle lâcha :- On l'a fait, ce trio.
- Et alors ? C'était bien ?
- Oui, au début. Deux hommes pour moi seule, c'était vraiment excitant. L'embêtant, c'est que le copain et mon mari se sont mis à se sucer. J'ai compris pourquoi on faisait moins l'amour : mon mari est bi, tendance homo.
Nicole encaissa l'information. Ce n'était plus la même histoire. Martine serait toujours conjugalement frustrée du point de vue de son appétit sexuel. Son corps puissant, athlétique, bien charpenté, bien charnu, nécessitait l'hommage d'un vrai mâle doté de belles capacités physiques. Il fallait l'aider.
*******Quelque temps plus tard, une autre mission fut commandée par le patron à Nicole. Forte de sa bonne volonté de la précédente, pour ne pas dire son zèle, elle réclama l'accompagnement de Martine, prétextant une charge de travail trop soutenue. Le patron renâcla mais devant la menace de l'absence de Nicole, ou de sa mauvaise volonté, il finit par accepter d'être accompagné de deux assistantes au lieu d'une.
Les interlocuteurs étaient deux vieux messieurs chargés d'honneurs et d'euros. Nicole comprit vite que ce n'étaient pas eux qui les feraient grimper aux rideaux, elle et Martine. Cela se limiterait à quelques pelotages et quelques regards libidineux, qu'il serait facile de contenter avec de jolis sourires et une attention soutenue. En revanche, leurs chauffeurs étaient beaucoup plus intéressants. Deux gars d'une quarantaine d'années, minces et vêtus de noir, au regard de braise. Evidemment, ils n'apportaient rien à la négociation et il fallait jouer fin. Une soirée était prévue en boite de nuit pour fêter l'accord final, assez juteux. Le patron était enjoué et les deux vieux mataient les cuisses des deux assistantes. Nicole avait opté pour une mini robe dénudant son dos et révélant l'absence de soutien-gorge. Dépourvue d'une garde-robe adéquate, Martine avait accepté le prêt de Nicole, sous la forme d'une robe longue mais fendue jusqu'à la hanche, très décolletée sur un soutien-gorge pigeonnant faisant gonfler ses seins. L'une et l'autre inspiraient incontestablement le sexe. Nicole avait passé la consigne : "ne fais pas la chochotte, montre que tu es open, ça va exciter les vieux et ça leur suffira".
Les deux "body guards" étaient présents et ne perdaient évidemment aucune miette du manège des deux assistantes. Deux femmes montrant aussi complaisamment leurs cuisses ne pouvaient que les ouvrir si on s'y prenait bien.
Nicole prit l'initiative d'inviter l'un d'eux sur la piste de danse. Il dit s'appeler Boris, était Slovène et montait sous les mains de Nicole une musculature prometteuse. Martine l'imita avec l'autre, un Croate prénommé Ivan, aussi blond que l'autre était brun. Les patrons les regardaient virevolter sur la piste de danse, se sentant légèrement exclus du jeu. Mais il se faisait tard et la fatigue commençait à poindre. Il fut décidé que les chauffeurs raccompagneraient tout le monde à l'hôtel.
Nicole et Martine faisaient chambre commune, par économie. Quand l'aînée des deux prit la clé, elle la montra discrètement à l'un des deux gardes du corps pour qu'il enregistre le numéro. Un clin d'oeil la rassura : il avait compris.
Dans la chambre, Nicole prévint sa collègue :- Ne te déshabille pas, on va avoir de la visite.
- Tu... veux dire les deux vieux ?
- Mais non. Les chauffeurs. Ils vont venir nous baiser.
- Ah bon ? On va faire ça ici, tous les quatre ?
- Ben quoi. Tu veux baiser ou pas ? Ils ne te plaisent pas, ces deux types ?
- Euh... si mais j'ai jamais fait ça comme ça, moi.
- Eh ben, c'est l'occasion et...
Nicole s'interrompit. On frappait à la porte. Les deux hommes entrèrent, tout sourire. Un bref dialogue s'engagea, portant sur la soirée. Martine, qui avait ôté ses escarpins, sentit le trac l'envahir. Mais Nicole n'avait aucune envie de tergiverser. Elle prit le visage de l'un des deux hommes dans ses mains et l'embrassa. Martine la vit basculer sur le lit, la mini robe repliée jusqu'au slip, enlacée par l'homme qui l'explorait déjà. Martine sentit alors les mains de l'autre homme lui empaumer les seins par derrière et sa bouche prendre possession de son cou. Ce fut comme une déflagration intime. Le cou, c'était son point faible. Elle s'abandonna au pelotage, sans résister. Sa robe tomba sur ses pieds nus sans qu'elle ait eu le temps de comprendre et elle se laissa entrainer sur l'autre lit jumeau en soutif et petite culotte. L'homme embrassait bien et caressait de même. Elle sentait ses défenses céder une à une. Son slip glissa le long de ses larges cuisses de sportive, tiré par une main experte et quand la bouche de l'homme occupa son entrecuisses, elle fondit. Cela faisait un sacré bail qu'elle n'avait pas été récompensée d'un cunni et celui-là était délicieux. Son regard croisa celui de l'homme au-dessus de son pubis épais, qui n'avait l'air de le déranger en rien, au contraire. L'homme lut dans les yeux de Martine quelque chose qui ressemblait à de la reconnaissance et il insista, la faisant se cabrer en gémissant. Elle connut un premier orgasme, inédit, produit par un homme dont elle connaissait tout juste le prénom, Ivan, dont elle ignorait encore l'existence quelques heures plus tôt.
Elle avait complètement oublié l'autre couple et c'est un cri qui lui rappela la situation : celui de Nicole, nue, écartelée et pénétrée avec vigueur par le deuxième garde du corps au petit cul virevoltant. La vision de sa collègue en train de baiser à côté d'elle leva le peu de réticences qui lui restaient encore de tromper son mari. Son amant, le mufle barbouillé de son jus, venait de se relever et d'exhiber un véritable sceptre qui ne demandait qu'à s'enfoncer. La première réaction de Martine, en train de dégrafer son soutien-gorge, fut d'admirer cette magnifique érection. Un véritable hommage à son corps. Elle le regarda avec dévotion déposer un préservatif et ouvrit grand les cuisses en signe d'adhésion. Bras tendus de chaque côté de sa tête, les yeux dans les siens, il entra dans sa cible sans se guider et Martine sentit aussitôt un envahissement monumental qui lui fit ouvrir la bouche sur un cri muet.
Mais dès qu'il fut totalement engagé, son corps fut pris d'une frénésie de baise qui surprit et ravit son chevalier servant. Pas une partie du corps de Martine ne restait inerte : son cul bien sûr mais aussi sa tête, ses bras, ses mains, ses cuisses, ses pieds, un véritable bateau en pleine tempête. L'homme dut s'arrimer pour ne pas être éjecté et poursuivre son travail de sape dans le confortable déduit, si accueillant. Crispé et tendu, il répondait à la demande en guettant l'orgasme dans les yeux de Martine. Il intervint comme une déferlante en faisant rouler ses seins sur son torse et tordre sa bouche. L'homme se retira prestement, au bord de l'éjaculation. Un coup pareil, il ne s'agissait pas de le laisser trop tôt en plan.
Martine reprit son souffle, vérifia l'érection de son amant, toujours intacte et le remercia en l'embrassant sur la bouche. L'homme la mit à quatre pattes en travers du lit, face à l'autre couple qui avait adopté la même position. Seins ballottant entre ses bras sous les coups de boutoir de celui qui se faisait appeler Boris, les cheveux agités en cadence, la langue entre les lèvres, Nicole était le spectacle du plaisir. Elle sourit à Martine en la voyant adopter la même position qu'elle et les deux collègues purent s'observer dans une situation évidemment inédite, en levrette, un mâle fiché en elles, puissant, endurant, déterminé.
- Tu baises, hein ? souffla Nicole entre deux râles.
Martine fit oui de la tête. Elle vivait son coït avec la même intensité que sa collègue qui, en quelque sorte, donnait le tempo de leurs ébats. Martine admirait sa science de l'amour, fruit d'une expérience supérieure à la sienne. Nicole variait les positions avec son amant qui se prêtait au jeu avec zèle et une virilité incontestable. A un moment, ils se retrouvèrent face à face en position de tailleur, étroitement emboités, s'observant avec attention, puis ils basculèrent dans un soixante-neuf et retournèrent à la levrette, cette fois de profil. L'activité coulissante du pénis du dénommé Boris mit Martine en transes car elle ressentait en même temps cette pénétration rectiligne et résolue du dénommé Ivan, visiblement subjugué par sa croupe. A nouveau face à elle, Nicole encaissait les coups de boutoir et ouvrait si grand la bouche que Martine put apercevoir sa glotte entre ses dents.
Au bout de plusieurs minutes où le claquement des peaux répondait aux onomatopées, Boris se détacha et positionna son membre sur l'anus de Nicole.
- Il va m'enculer, gloussa-t-elle à l'intention de Martine.
L'opération effectuée, elle lâcha une série d'interjections qu'elle coupa d'un "fais-en autant" à l'intention de sa collègue. La sodomie, Martine ne pratiquait pas. Mais quand elle sentit le gland à l'entrée de son anus, elle n'eut pas la force d'opposer un refus. C'était trop bon, ce que lui avait fait ce type. Il lui dit de se détendre, elle se cambra, et le pénis entra lentement dans un lieu vierge de la pratique. Martine s'aplatit, fourra son visage dans le couvre-lit qu'elle mordit et... remua son cul. Un flot de sensations nouvelles l'envahit et quand elle finit par se redresser, ce furent deux femmes incontestablement enculées qui se regardèrent.
- C'est bon, hein ? hoqueta Nicole.
- Oh oui... Oh oui...
Elles connurent simultanément un orgasme anal qui les firent crier en même temps. Ce fut pour les deux hommes le déclic. Ils jouirent l'un après l'autre dans leur capote, tendus comme deux arcs, essorés par les roulements de cul de leur partenaire qui s'aplatirent sur le lit, l'oeil vitreux, les cheveux ébouriffés, la bave aux lèvres.
​Beaucoup plus tard, quand les deux hommes furent partis, les deux collègues échangèrent leurs impressions sous la douche en se savonnant mutuellement.
- Jamais on ne m'a aussi bien fait l'amour, constata Martine.
- Tu n'as pas fait l'amour, tu as baisé. Et tu t'es montrée une sacrée chienne. Ne me fais plus le coup de la vertu, rigola Nicole.
- Bon, j'ai baisé, d'accord, mais j'ai sacrément envie de recommencer. D'ailleurs, si Ivan n'était pas parti, j'aurais bien remis le couvert un peu plus tard.
- Tu vois, tu es une vraie chienne... Bon maintenant, c'est pas le tout mais il faut récupérer, on a encore un peu de boulot demain. Et surtout, motus au patron, hein ? Il n'apprécierait pas ces relations extra conjugales, l'hypocrite. Tant que ça ne sert pas ses intérêts.
Pour Martine, cet épisode à quatre marqua à la fois une véritable amitié avec Nicole et un grand tournant dans sa vie sexuelle. Plus rien ne serait comme avant. Mais quand elle manifesta des velléités d'indépendance, Nicole la découragea :- Reste avec ton mari, ne brise pas ta vie de couple si tu l'aimes toujours. Mais ne t'interdis pas des escapades sans lendemain. Sois "open". Un jour viendra où tu en auras moins envie et à ce moment là, tu seras bien contente de retrouver ton petit mari.
Martine se décida d'écouter cette voix de la sagesse. Mais elle attendait avec impatience la prochaine mission en dehors du domicile conjugal. Avec ou sans Nicole.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bof pas terrible toujours le même genre d histoire on ni croit plus Désolé peux mieux faire .