Au salon d'Aline - histoire érotique

Merci pour les commentaires sur les histoires précédentes, c’est toujours un plaisir de vous lire et de savoir si une histoire vous a plu ou non !

Aujourd’hui, j’ai un rendez-vous un peu spécial. Cela fait quelques temps qu’Aline me dit que je devrais essayer de me faire épiler le sexe. Dans l’absolu, je ne suis pas contre. Par contre, là où ça pêche un peu, c’est que je suis pas vraiment un dur à cuire. En gros, j’ai peur que ça me fasse mal. J’ai peur que ce soit désagréable. J’ai peur que ce soit inconfortable quand ça repousse. Bref, le résultat me tente bien, mais les à-côtés moyennement.

Aline me rassure. Elle est esthéticienne, elle sait de quoi elle parle. Et pis bon, tu crois que je fais comment moi ? qu’elle me dit… Et c’est vrai que son petit minou tout lisse me laisse clairement pas indifférent.

- C’est bon, t’as gagné, je suis d’accord. Par contre, j’aimerais pas que ce soit toi, je me sentirais trop vulnérable.
- Hahahaha. Parce que tu crois que je vais laisser une autre demoiselle tâter tes petits bijoux ? Tu rêves mon Jacky !
- Ben parce que quand t’épiles d’autres mecs tu touches par leurs bijoux par hasard ?
- Un point pour toi. Mais moi c’est mon métier. Et franchement, à choisir je préfèrerais m’occuper de toi que de n’importe qui d’autre…

C’est ainsi que je me retrouve aujourd’hui devant la porte du cabinet d’Aline. Je suis un peu fébrile. Et si je croisais quelqu’un que je connaissais ? Mais je suis con ou quoi. Qui ça choquerais que je vienne voir ma moitié dans son cabinet, en fait ? C’est juste que ben… moi je sais que je suis pas là que pour la voir. Et je pense que ça se lit sur mon visage que je suis pas à l’aise.

Bref, comme je suis légèrement en avance, Aline est occupée avec sa patiente précédente. Je m’installe dans le petit fauteuil qui fait office de salle d’attente. Elle sort finalement de la petite salle qui s’apparente maintenant pour moi à une salle de torture. Elle est suivie par une très jolie rousse, grande et fine. Aline m’embrasse pour me saluer. La belle rousse me sourit en me saluant.
- Lucie.
- Alain, enchanté
- De même
Je suis sous le charme de cette beauté.

Aline encaisse le soin. Elles échangent quelques banalités, puis se font la bise. En partant, Lucie conclut par « je compte sur toi » avec un petit clin d’œil à Aline. Je me demande bien ce que ces deux peuvent manigancer.

- A nous deux mon coco !
Je me lève et me dirige vers la salle de torture.
- Alors bonjour monsieur. Je vais vous expliquer comment va se dérouler le soin.
Le ton est donné, je suis un client lambda.
- Tout d’abord, nous allons désinfecter votre peau à l’aide d’un coton imbibé de lotion antiseptique. Nous utiliserons une cire dite « dure ». Elle a l’avantage de pouvoir éliminer les poils courts. La repousse est également plus lente et ne pique pas.
J’appliquerai la cire tiède sur les différentes zones à épiler à l’aide de cette petite spatule. Je ferai ensuite une inspection visuelle et sensorielle. S’il reste encore quelques poils, je le retirerai à l’aide d’une petite pince à épiler. Ne vous inquiétez pas, c’est petit et précis. Vous ne sentirez quasiment rien.
Finalement, j’appliquerai un baume sur la peau afin de prévenir les irritations et les poils incarnés. Au besoin, vous pourrez également le faire chez vous lors des jours à venir, soit par vous-même, soit par votre compagne.
Est-ce que vous avez des questions ?
- Heu non madame, je crois que tout est clair.
- Très bien. Je vais donc me retirer quelques instants pour préparer les produits. Je vous prie de bien vouloir enlever vos vêtements et vous coucher sur le dos.

Aline s’en va et me laisse seul dans la salle. Ça peut paraître bizarre, mais son professionnalisme et la distance qu’elle a mis entre nous m’a rassuré et je me sens un peu moins mal à l’aise. En même temps, je la connais ma petite. Je sens qu’au fond de sa voix il y avait un peu d’excitation.

J’obéis donc aux instructions de ma belle. J’enlève mes habits et c’est nu que je me couche sur la table installée au milieu de la pièce.

Elle arrive avec de la lotion antiseptique, puis enfile des gants. Comme annoncé, elle imbibe un morceau de coton et commence à tamponner les différentes zones à traiter. Elle commence par le pubis, puis la base du pénis. Elle le manipule pour bien en faire le tour. Elle s’attaque ensuite aux testicules. Petit à petit, la sensation de léger froid combinée aux gestes d’Aline font que mon anatomie se réveille doucement.
- Ne vous inquiétez pas, c’est normal. Ne soyez pas mal à l’aise avec ça, c’est naturel et purement mécanique.
- Heu ok. Je suis désolé quand même.
- Pas de problème, détendez-vous pour la suite.
J’avais presque oublié le programme de la suite. Ha oui, la cire tiède. Là aussi, elle commence par déposer un petite quantité de cire sur mon pubis. La sensation de chaud contraste avec la lotion antiseptique appliquée plus tôt. C’est agréable et apaisant. Elle laisse durcir la cire, puis tire dessus d’un coup sec.
- Ouch !
- Oui ça fait un petit peu mal au début, mais on s’habitue vite, vous verrez.
- J’espère, parce que là c’était pas incroyable comme sensation.
- Le résultat en vaudra la peine, croyez-moi monsieur.
Pas besoin de vous dire que mes envies naissantes un peu plus tôt se sont évaporés en même temps que mes premiers poils.

Aline recommence ses gestes à plusieurs reprises afin d’éliminer un maximum de poils à la cire. Le pubis terminé, elle s’attaque à ma verge. Le contraste entre le bien-être que procure la cire tiède et la douleur de l’épilation est toujours un peu perturbant. Mon érection grossit à chaque fois qu’Aline manipule mon sexe pour scruter les poils et applique la cire, puis redescend d’un coup lorsqu’elle retire le tout. J’avoue que j’aime de plus en plus ces sensations et ce contraste fait que j’ai de plus en plus d’envies, que mon esprit s’évade de plus en plus vers un dérapage incontrôlé de cette séance d’épilation.

Elle s’attaque ensuite aux pendantes. Les sensations sont toujours les mêmes, entre douleur et envie. Néanmoins, je sens qu’Aline garde de plus en plus souvent sa main sur mon sexe, pour « avoir un meilleur accès aux testicules » selon elle. Pourtant, je sens bien que sa main ne reste pas complètement immobile sur mon sexe. Elle alterne un peu les pressions. Cela a le mérite de garder mon sexe en érection.
- Voilà monsieur, j’ai terminé avec la cire. Je vais regarder d’un peu plus près et éliminer les derniers poils à la pince à épiler.
Elle se saisit de la pince et se rapproche de mon anatomie pour me scruter. Elle est si proche que je sens son souffle chaud sur mon sexe. Elle trouve quelques poils par ci par là qu’elle élimine avec la petite pince. De sa main gauche, elle saisit mon sexe pour le scruter à son tour. Elle fait de légers va et vient, sournoisement, afin « de tendre et détendre la peau pour bien voir tous les poils ». Je bande à nouveau, mais cette fois je reste en érection pendant toute la durée du traitement. Aline ne lâche toujours pas mon sexe et je sens petit à petit mon désir monter. Je tente alors une approche. Je tends ma main pour frôler son corps qui me plaît tant.
- Bas les pattes monsieur. Je suis une thérapeute respectable moi, monsieur.
- Pardon madame. J’avais cru que…
- Cru quoi ?
- Ben que heu… je sais pas… Désolé madame, je suis confus.
- C’est bon pour cette fois, mais ne recommencez pas !
On va passer maintenant à la partie agréable. Je vais vous mettre ce baume afin d’apaiser les irritations et éviter les poils incarnés.
Aline enlève ses gants, prend la crème et en met une petite quantité dans ses mains qu’elle frotte ensemble afin de chauffer un peu le tout. Elle commence à appliquer la crème sur mon corps. Une nouvelle sensation de frais m’envahit. Aline insiste beaucoup sur mes testicules, mon sexe. Elle le prend en main, commence une lente masturbation, « pour bien étaler et faire pénétrer la crème ».
- Si tu continues comme ça, c’est pas que la crème qui va pénétrer, dans cette pièce.
- On reste calme monsieur, ici c’est moi qui gère
Elle rajoute encore un peu de crème, continue à me branler doucement. D’une main elle fait des va-et-viens sur mon sexe, de l’autre elle me caresse les testicules. La quelques douleurs endurées pendant l’épilation sont largement récompensées par les sensations extraordinaires que procurent ses mains sur ma peau dénuée de poils. Quelle sensation de liberté. Tous les sens sont décuplés, le plaisir aussi. Je sens que je vais bientôt éjaculer sous ses caresses. Aline me connaît bien. Trop bien, même.
- Tournez vous monsieur, on passe à la suite
- Heu what ? Déjà tu me laisses en plan comme ça alors que j’étais à deux doigts d’éjaculer, et en plus tu m’annonces qu’il y a une suite ? C’est quoi ce plan foireux ?
- Monsieur, on ne parle pas comme ça à votre esthéticienne ! Je n’y peux rien si vous y avez éprouvé du plaisir alors que je ne faisais que mon travail avec beaucoup d’application !
Bon, maintenant tournez vous sur le ventre, que je voie votre raie culière.
- Heu je suis pas sûr de cette histoire, là
- Faites-moi confiance, vous ne regretterez pas.
Effectivement, je commence à la connaître et je sais que je ne regretterai pas. Je l’aime, Aline. J’ai confiance. J’aime aussi ce rôle de professionnelle qu’elle garde. Enfin, qu’elle essaie de garder. J’ose espérer qu’elle n’agit pas de la même manière avec tous ses clients masculins. Avec ses clientes non plus, d’ailleurs.

Je m’allonge donc sur le ventre. Elle positionne un gros coussin triangle sous mon bassin. Cela expose complètement mon derrière.

Le rituel recommence. Aline passe la lotion antiseptique. La sensation de froid sur mon anus continue à maintenir un état d’excitation au beau fixe. Elle s’applique beaucoup à bien tamponner partout, de mon périnée jusqu’au sommet des fesses.

Vient ensuite la partie moins agréable avec la cire et le « scraaaatch ». Mais ça, Aline arrive quand même à le rendre agréable par ses caresses entre deux applications.

Puis vient finalement le moment d’appliquer le baume apaisant. Quel plaisir, quelles sensations ! Aline passe et repasse le baume sur ma peau nue. Elle navigue entre mes testicules et mon anus. Elle appuie, caresse, palpe. Je recommence à bander fortement. Elle continue ses caresses, devient de plus en plus insistante sur mon petit trou. Celui-ci se détend et je sens le doigt d’Aline qui pénètre petit à petit mon anus. Je commence à gémir doucement tout en bougeant mon bassin à l’encontre de ce doigt pour qu’il me pénètre plus profondément.
- Voilà monsieur, la séance est terminée. Est-ce que vous avez des questions ?
Grrrrrrrrrrrr c’est pas possible, elle a vraiment le don de me rendre fou !
- Oui, j’ai l’impression que ça me pique encore à l’avant, c’est possible de remettre encore un peu de baume ?
- Évidemment, je suis là pour votre confort. Veuillez vous remettre sur le dos s’il vous plaît.
Je m’exécute. En me tournant, je vois que du liquide séminal s’est échappé de mon sexe. Aline le voit aussi.
- Attendez monsieur, on va essuyer tout ça
Elle se penche en avant et lèche mon gland du bout de la langue.
- Voiiiiilà, c’est mieux comme ça.
- Ho oui, mais vous croyez pas qu’il y en a encore un peu ?
- Non non, je ne vois plus rien…
- Ha, zut alors
Elle remet ensuite du produit sur ses mains. Elle saisit ma verge et me branle à nouveau doucement. Elle prend mes jambes et me les replie sur le torse. Je suis totalement offert à elle. Aline prend mon sexe de pleine main, pendant que son autre main va appliquer un peu de crème sur mon cul. Son visage se rapproche de mon sexe. Elle ouvre la bouche et le gobe, lèche, suce, aspire, relâche. Mmmmmmh que c’est bon. Dans le même temps, elle enfonce un doigt profondément dans mon cul. Elle touche ma prostate, ce qui déclenche un long râle de ma part. Son index dans mon cul et sa fellation on raison de moi et je jouis longuement dans un cri incontrôlé.

Je m’allonge à nouveau confortablement. Aline n’a pas lâché mon sexe qu’elle continue à branler doucement, jusqu’à que celui-ci perde de la vigueur. Elle s’allonge ensuite sur moi et m’embrasse tendrement.
- Alors monsieur, des regrets ?
- Ho non, promis, je reviendrai !
- Avec plaisir monsieur. La première séance était offerte si jamais
- Ben j’espère vraiment que tu fais pas ça avec tous tes clients Aline
- Mais non, ne t’inquiète pas, tu es un privilégié
Nous rions de bon cœur et restons de longues minutes allongés l’un sur l’autre à se caresser tendrement.
- Tout à l’heure, quand je suis arrivé, il y avait cette Lucie
- Oui, c’est une bonne cliente qui vient régulièrement… Elle est mignonne hein ?
- Oui très jolie ! Elle t’a dit quelque chose du style « je te fais confiance » ou quelque chose comme ça, non ? Ensuite elle t’a fait un clin d’œil. C’était quoi ?
- Comment t’expliquer ça… En fait, Lucie vient chez moi depuis pas mal de temps. Nous avons sympathisé et sommes devenues amies. Depuis quelques temps, j’avais l’impression qu’elle me draguait un peu, mais je n’étais pas sûre.
Cette fois, elle est venue pour se faire le maillot, comme régulièrement. Pendant que je travaillais, on discutait gentiment. Une discussion en entraînant une autre, elle m’a dit clairement que je lui plaisais et qu’elle mourait d’envie d’essayer l’amour saphique avec moi. J’ai effectivement pu constater qu’elle mouillait abondamment lors de mes soins.
- Heu ok mais… tu lui as répondu quoi ?
- Que j’étais en couple, hétéro et que je t’aimais de tout mon cœur.
- Ha, ça va, tu me rassures !
- Oui, mais…
- Mais quoi ?!
- L’idée a fait son bonhomme de chemin et ça fait pas mal de temps que je me demande ce que ça fait de faire l’amour à une femme. Et objectivement, Lucie c’est un avion de chasse. Si je devais me faire une gonzesse, je voudrais que ce soit elle !
- C’est vrai qu’elle est plus que jolie, Lucie.
- Du coup, je lui ai dit que j’allais t’en parler, pour que tout soit clair entre nous. T’en penses quoi ? Tu serais ok pour que je puisse me laisser tenter ?

A ton avis, cher lecteur, chère lectrice, qu’est-ce que je devrais faire ?!