Le roi du bar - Manon
Récit érotique écrit par phidnsx [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le roi du bar - Manon
Vendredi 22h30. La semaine s’est bien passée. Je suis sortie avec une collègue. Apéro, restau. Mais j’avais pas envie de rentrer. Depuis la visite à la maison d’Aline et Marc, j’ai chaud. Ils m’ont bien allumée, ces deux-là. Enfin, pas sûre que Marc y soit vraiment pour quelque chose. Mais Aline… Je me réjouis de la revoir seule à seule, celle-là. J’ai deux trois choses à lui dire.
Bref, après le restau j’ai laissé Pauline, ma collègue, et je suis allée boire un verre dans un bar à vin. J’ai commandé le rouge du mois. Un primitivo italien. Je m’y connais pas beaucoup, mais je regrette pas mon choix. En tout cas, il se laisse boire. Mes papilles s’en réjouissent.
Mais il n’y a pas que mes papilles qui apprécient ce moment. Mes yeux aussi. Y a un mec, au bar. Il rit avec ses potes. Ou ses collègues. J’en sais rien. En tout cas, c’est un avion de chasse. Un poil plus âgé que moi, tempes grisonnantes. Un joli costume cintré, une montre discrète mais certainement chère. Il a du style, il sait qu’il plaît.
Je le regarde intensément. Parfois, je croise son regard. Mais je me débine pas. J’suis là pour ça, moi. Il mord à l’hameçon. Il quitte son groupe et s’approche de moi.
- Je t’offre un verre ?
- Approche classique. Pas très original. Mais c’est proposé si gentiment, j’accepte. Un Barbaresco, si tu veux bien.
- Madame s’y connaît en vin ?!
- Monsieur ne connaît pas madame. Parce que non, je n’y connais rien. J’ai juste vu que c’était le plus cher de la carte, alors je profite, vu que c’est offert.
L’homme s’assied. Il ne perd pas le fil, a du répondant. J’aime bien. Mais je sens qu’il est un peu surpris de ne pas avoir affaire à une simple aguicheuse. Il a perdu un peu de son air supérieur. Le serveur m’apporte mon verre.
- Santé et… merci
- Santé ! A notre rencontre
Nos verres s’entrechoquent, nos regards plantés l’un dans l’autre. Il a un regard glaçant et chaleureux à la fois. Inexplicable. Mais en tout cas, il est vraiment incroyablement beau. Et charmant. J’en ferai volontiers mon en-cas pour ce soir.
On s’échange des banalités. La conversation est fluide. Il est drôle, cultivé, moins bcbg que prévu. Mais il dégage ce sentiment que c’est lui qui mène la danse. Mais il me connaît pas, le Môsieur. Il sait pas qui est Manon. Encore moins la Manon qui est en chien en ce moment. Des rires, sa main qui se pose sur ma cuisse quand il rit aux éclats, ma tête qui se pose sur son bras pour mimer l’ennui au bureau. Je tisse ma toile autour de ma proie.
Le temps passe vite. Ses collègues (confirmation que c’était un apéro de boulot) sont partis et il ne reste plus que nous dans le bar.
- Un dernier verre chez moi, je n’habite pas loin.
- Qu’est-ce qui te fait dire que je ne suis pas un dangereux prédateur ?
- La possibilité que deux dangereux prédateurs soient dans la même pièce au même moment est infime
Il éclate de rire, prend ses affaires et on marche en direction de mon appartement. Dans la cage d’escalier, je sens son regard sur mon corps. A ce moment-là, j’ai un léger doute sur ma légitimité à prétendre à son corps. Mais bon, s’il est là, c’est pas pour visiter mon appart. Je tourne la clé dans la serrure, ouvre la porte. Je m’efface pour le laisser entrer et referme derrière lui.
Quand je me retourne, il est là, devant moi. II m’enlace, m’embrasse directement. Merde, je m’attendais pas à ça aussi rapidement. Il faut que je reprenne la situation en main. Son assurance, je veux en faire mon atout pour ce soir. Pas l’humilier, c’est pas le but. Mais je veux que ce soit moi qui maîtrise le rythme.
Je reprends le contrôle, le plaque contre la porte, me serre contre lui, plaque ma main directement sur son entrejambe. Je retire sa veste, l’embrasse fougueusement. Puis je le guide jusqu’à ma chambre, sans lâcher ses lèvres ni son sexe, que je sens grossir sous ma main. Il m’agrippe la fesse, malaxe. On n’est si proches qu’il n’y a pas la place pour qu’il passe lui aussi sa main entre nous. Je le pousse gentiment sur le lit, m’éloigne de quelques centimètres.
- Tu ne bouges pas sans que je te le dise. Tu ne touches rien. Ni moi. Ni toi. Tu ne jouis pas sans mon autorisation.
Il rit un peu. Mi-surpris, mi-excité. Moi, je ne ris pas. Mais je suis excitée comme rarement.
J’ouvre le tiroir de la table de nuit et y sors deux paires de menottes. Une pour chaque main. Je les accroche aux barreaux de la tête de lit. Il est bras écartés.
- Voilà. Maintenant, on va prendre le temps. Tu ne parles pas, à moins que tu aies une vraie objection. C’est compris ?
Il hoche la tête en approbation.
Je l’embrasse à nouveau, cette fois beaucoup plus calmement. Je descends dans son cou. Ouvre le premier bouton de sa chemise. J’y glisse ma main. Mes lèvres suivent mes mains. Il doit sentir mon souffle chaud sur sa peau. Il frissonne. Je prends mon temps, ouvre les boutons 1 à 1, jusqu’au dernier.
Je caresse son torse musclé, embrasse ses tétons qui durcissent rapidement.
- Haaa. Elles aiment ça, les coquines.
Seul un léger gémissement sort de sa bouche. C’est bien, il est docile. Il ne parle pas. Je continue, glisse mes doigts à la lisière de son pantalon, juste sous la ceinture. Je frôle son boxer. Sacrée bosse qui déforme son pantalon. J’espère qu’elle sera pas trop grosse. Ça fait un moment que j’ai plus baisé, ça serait dommage que ça me fasse mal.
Je défais lentement sa ceinture. Je le fixe dans les yeux. Il a perdu un peu de son assurance. Mais je le trouve encore plus beau, comme ça, attaché à mon lit. Putain j’ai de la chance ce soir. Je tire sur le tissu, enlève son pantalon complètement. Je remonte, embrasse ses mollets, ses genoux. Il écarte légèrement les cuisses. Je sors ma langue, la fait courir depuis son genou jusqu’à l’intérieur de la cuisse. Son corps se tend. Mes mains se posent sur son sexe bandé. Elles pressent sur le boxer, entourent sa queue à travers le tissu. Je le branle doucement. Il gémit, laisse tomber sa tête en arrière. Je glisse mes doigts sous l’élastique du sous-vêtement. Sa bite sort presque toute seule. Je frôle son gland. Je tire sur le tissu pour faire apparaître l’objet de mes désirs. Elle est belle. Assez longue mais plutôt fine. Avec un gland plus large.
- Regarde-moi
Il relève sa tête, fixe mon regard. Je prends sa queue et je l’enfonce doucement dans ma bouche sans le quitter des yeux. Je vois ses yeux se lever de plaisir. J’adore cette image du mec si sûr de lui qui s’abandonne au plaisir que je lui donne. J’ai l’impression d’avoir du pouvoir sur lui.
Je continue de le sucer. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge, le plus loin possible, jusqu’à la garde. Il a l’air d’aimer au vu des ses gémissements. Je continue, lui malaxe les couilles, caresse son périnée.
- Je vais… je vais…
- Chhhhhhhhhhhht
Je continue quelques secondes. Je sens que la tension monte. J’arrête tout. Il se tord sur le lit, frustré.
- Et moi, dans tout ça ? Je suis pas ton esclave.
Je retire lentement mes habits. Son regard est intense. Il me rend belle. Il me donne confiance en moi. Je danse lascivement en enlevant chaque vêtement. Je me retourne, me penche, lui donne un aperçu complet de mon corps. Je me mets à califourchon sur son torse, tout près de son visage. Je me caresse devant ses yeux. Je suis trempée. J’enfonce un doigt dans ma chatte, lui donne à lécher. Il l’aspire goulûment. Ça m’excite encore plus. Je me masturbe à quelques centimètres de son visage. Il essaie de bouger pour me lécher.
- Pssssssst. Pas touche. Règle numéro 2. Tu ne touches rien. C’est moi qui décide où et quand tu vas me lécher ok ?
Il ne répond pas mais repose sa tête sur le matelas. Je me tourne à nouveau. Je reprends ma pipe. Cette fois, il a une vue imprenable sur mon minou et mon cul. Je continue de me caresser d’une main pendant que je le suce. Il bouge son bassin pour essayer de reprendre le contrôle du rythme. J’appuie fortement sur ses hanches pour lui faire comprendre de rester tranquille. Sa bite dans ma bouche gonfle de plus en plus, je le sens proche de l’explosion.
D’un coup, j’arrête tout. Je vois sa bite faire des soubresauts sur son ventre. Il lève les hanches, à la recherche de ma bouche, mais je ne lui fais pas ce plaisir.
- Tu vas rester tranquillement ici, te calmer un peu, et je reviens vite
- Quoi ? tu fais quoi ? tu peux pas me laisser comme ça ?!
- Chhhhht. Tu ne parles pas.
Je quitte la chambre. Je file dans la salle de bain et me douche rapidement. J’insiste sur quelques endroits stratégiques. Je me sèche et rejoins à nouveau la chambre. Il est allongé, tranquille. Il bande mollement, mais il est prêt à un nouveau départ.
- C’est bien, beau mâle, tu es sage. Tu vas avoir le droit à une récompense.
Je reprends position au-dessus de lui. Cette fois, je pose mon croupion sur son visage. Il a full accès à mon intimité. Je sens déjà sa langue s’activer sur mon clitoris. Je commence à gémir sous ses caresses buccales. Sa langue est pointue, exploratrice. Elle tourne autour de mon bouton, lèche, mordille, pénètre mon vagin. C’est bon, c’est chaud, et ça me fait mouiller comme jamais. Cette sensation de pouvoir aiguise mes sens. Mon corps est réactif à la moindre caresse.
Je m’occupe à nouveau de lui. Il a déjà repris toute la vigueur. En plus d’être un canon, il est endurant, le bougre. C’est Noël, ce soir ! Bref, je le branle, je varie le rythme, serre plus, plus vite, moins fort, lentement. Lui continue sa besogne. Il s’enhardit. Sa langue vient pointer ma rondelle. Cette caresse déclenche un frisson qui me parcourt tout le corps. Il le sent. Il sait qu’il est sur la bonne voie. Comme une réponse, je me penche à nouveau pour prendre sa queue dans ma bouche. Je vais le plus loin possible, aspire, recrache. Je le branle en même temps. Il enfonce sa langue dans mon cul. Je vais jouir. Je sens que lui aussi va venir. Je continue, jusqu’au bout. Quand je sens qu’il va jouir, je m’arrête de nouveau. Mais cette fois c’est trop tard. Je sers fortement sa bite pour ne pas le laisser jouir pleinement, pour ne pas qu’il libère toute cette tension sexuelle, car moi je n’ai pas eu le temps de jouir.
Quand je sens que l’éjaculation est passée, je relâche son sexe et le sperme coule doucement sur son ventre. Par contre, ça a le mérite de ne pas l’avoir satisfait. Il en veut encore.
Je détache ses mains. Il frotte ses poignets sans un mot, mais ses yeux brillent. Il bande encore comme un taureau. Moi aussi, j’en peux plus. Fini de jouer.
Je me mets au-dessus, fixe son regarde, puis m’empale sur sa bite sans prévenir. Il est long, profond. Je le sens tout au fond de moi. Il grogne. Moi aussi. J’ai attendu ça toute la soirée. Depuis des semaines, plutôt.
Là, j’ai pas envie de faire l’amour. J’ai envie de baiser. De me faire baiser. Mon bassin claque contre lui, ça résonne dans la chambre. Mes mains sur son torse, mes hanches qui montent et descendent, frappent, reviennent. Je veux qu’il me remplisse, qu’il me prenne comme un animal.
Il me chope les fesses, me fait descendre encore plus bas sur sa queue. Je me cambre, gémis. C’est bon, c’est cru. Je sens chaque veine de sa belle bite. Ça frotte où il faut. Je suis trempée, je dégouline littéralement. Je ralentis, repars de plus belle. Plus vite. Plus fort. Je m’écrase sur lui. Mes seins rebondissent, mes cuisses claquent. Je suis en furie. Je le pilonne comme une enragée. Lui, il râle, s’accroche au drap, essaie de suivre le rythme. Mais il est à moi.
Je sens ses mains qui glissent dans mon dos, descendent, cherchent. Il mouille son doigt, me l’enfonce dans le cul d’un coup sec. Je crie mon plaisir. J’écarte encore plus. Je suis tendue comme une corde, sa bite dans mon con et son doigt dans mon cul, mon corps explose de partout.
Je jouis, fort. C’est un tremblement de terre, mes cuisses tremblent, mon ventre se serre, mes ongles s’enfoncent dans sa peau. Mais je continue. Je repars frénétiquement. Lui aussi. Il me renverse, prend le dessus, me plaque. Vas-y mon beau, continue, je suis ta chose maintenant.
Il me prend violemment. Ses couilles claquent contre mon cul à chaque coup de butoir. Il me retourne, me prend en levrette, sans pause. Mon visage dans le matelas, il me défonce la chatte. Il enfonce son pouce dans mon cul. Je crie à nouveau, sans retenue. Encore un orgasme. Je me sens partir. Il est proche, accélère, cogne. Dans un dernier râle guttural, il jouit, longtemps, fortement. Je le sens gicler en moi, secousse après secousse.
Il s’effondre sur moi, en moi, haletant. Après quelques minutes, il tombe sur le côté, épuisé. Moi aussi. J’ai pris cher. Qu’est-ce que c’était bon, putain.
- Wow.
- Ouais. Wow…
Sans plus d’échanges, on s’est endormis rapidement, fatigués par notre folle soirée.
Au matin, je me suis réveillée seule dans mon lit. L’étalon avait déjà quitté sa cavalière. Sur la table de la cuisine, il avait laissé un mot : « Merci, l’inconnue du bar. C’était incroyable. C’est pas grave si tu m’oublies, mais je parie que tes draps s’en souviendront (et te voisins aussi, peut-être) ».
Bref, après le restau j’ai laissé Pauline, ma collègue, et je suis allée boire un verre dans un bar à vin. J’ai commandé le rouge du mois. Un primitivo italien. Je m’y connais pas beaucoup, mais je regrette pas mon choix. En tout cas, il se laisse boire. Mes papilles s’en réjouissent.
Mais il n’y a pas que mes papilles qui apprécient ce moment. Mes yeux aussi. Y a un mec, au bar. Il rit avec ses potes. Ou ses collègues. J’en sais rien. En tout cas, c’est un avion de chasse. Un poil plus âgé que moi, tempes grisonnantes. Un joli costume cintré, une montre discrète mais certainement chère. Il a du style, il sait qu’il plaît.
Je le regarde intensément. Parfois, je croise son regard. Mais je me débine pas. J’suis là pour ça, moi. Il mord à l’hameçon. Il quitte son groupe et s’approche de moi.
- Je t’offre un verre ?
- Approche classique. Pas très original. Mais c’est proposé si gentiment, j’accepte. Un Barbaresco, si tu veux bien.
- Madame s’y connaît en vin ?!
- Monsieur ne connaît pas madame. Parce que non, je n’y connais rien. J’ai juste vu que c’était le plus cher de la carte, alors je profite, vu que c’est offert.
L’homme s’assied. Il ne perd pas le fil, a du répondant. J’aime bien. Mais je sens qu’il est un peu surpris de ne pas avoir affaire à une simple aguicheuse. Il a perdu un peu de son air supérieur. Le serveur m’apporte mon verre.
- Santé et… merci
- Santé ! A notre rencontre
Nos verres s’entrechoquent, nos regards plantés l’un dans l’autre. Il a un regard glaçant et chaleureux à la fois. Inexplicable. Mais en tout cas, il est vraiment incroyablement beau. Et charmant. J’en ferai volontiers mon en-cas pour ce soir.
On s’échange des banalités. La conversation est fluide. Il est drôle, cultivé, moins bcbg que prévu. Mais il dégage ce sentiment que c’est lui qui mène la danse. Mais il me connaît pas, le Môsieur. Il sait pas qui est Manon. Encore moins la Manon qui est en chien en ce moment. Des rires, sa main qui se pose sur ma cuisse quand il rit aux éclats, ma tête qui se pose sur son bras pour mimer l’ennui au bureau. Je tisse ma toile autour de ma proie.
Le temps passe vite. Ses collègues (confirmation que c’était un apéro de boulot) sont partis et il ne reste plus que nous dans le bar.
- Un dernier verre chez moi, je n’habite pas loin.
- Qu’est-ce qui te fait dire que je ne suis pas un dangereux prédateur ?
- La possibilité que deux dangereux prédateurs soient dans la même pièce au même moment est infime
Il éclate de rire, prend ses affaires et on marche en direction de mon appartement. Dans la cage d’escalier, je sens son regard sur mon corps. A ce moment-là, j’ai un léger doute sur ma légitimité à prétendre à son corps. Mais bon, s’il est là, c’est pas pour visiter mon appart. Je tourne la clé dans la serrure, ouvre la porte. Je m’efface pour le laisser entrer et referme derrière lui.
Quand je me retourne, il est là, devant moi. II m’enlace, m’embrasse directement. Merde, je m’attendais pas à ça aussi rapidement. Il faut que je reprenne la situation en main. Son assurance, je veux en faire mon atout pour ce soir. Pas l’humilier, c’est pas le but. Mais je veux que ce soit moi qui maîtrise le rythme.
Je reprends le contrôle, le plaque contre la porte, me serre contre lui, plaque ma main directement sur son entrejambe. Je retire sa veste, l’embrasse fougueusement. Puis je le guide jusqu’à ma chambre, sans lâcher ses lèvres ni son sexe, que je sens grossir sous ma main. Il m’agrippe la fesse, malaxe. On n’est si proches qu’il n’y a pas la place pour qu’il passe lui aussi sa main entre nous. Je le pousse gentiment sur le lit, m’éloigne de quelques centimètres.
- Tu ne bouges pas sans que je te le dise. Tu ne touches rien. Ni moi. Ni toi. Tu ne jouis pas sans mon autorisation.
Il rit un peu. Mi-surpris, mi-excité. Moi, je ne ris pas. Mais je suis excitée comme rarement.
J’ouvre le tiroir de la table de nuit et y sors deux paires de menottes. Une pour chaque main. Je les accroche aux barreaux de la tête de lit. Il est bras écartés.
- Voilà. Maintenant, on va prendre le temps. Tu ne parles pas, à moins que tu aies une vraie objection. C’est compris ?
Il hoche la tête en approbation.
Je l’embrasse à nouveau, cette fois beaucoup plus calmement. Je descends dans son cou. Ouvre le premier bouton de sa chemise. J’y glisse ma main. Mes lèvres suivent mes mains. Il doit sentir mon souffle chaud sur sa peau. Il frissonne. Je prends mon temps, ouvre les boutons 1 à 1, jusqu’au dernier.
Je caresse son torse musclé, embrasse ses tétons qui durcissent rapidement.
- Haaa. Elles aiment ça, les coquines.
Seul un léger gémissement sort de sa bouche. C’est bien, il est docile. Il ne parle pas. Je continue, glisse mes doigts à la lisière de son pantalon, juste sous la ceinture. Je frôle son boxer. Sacrée bosse qui déforme son pantalon. J’espère qu’elle sera pas trop grosse. Ça fait un moment que j’ai plus baisé, ça serait dommage que ça me fasse mal.
Je défais lentement sa ceinture. Je le fixe dans les yeux. Il a perdu un peu de son assurance. Mais je le trouve encore plus beau, comme ça, attaché à mon lit. Putain j’ai de la chance ce soir. Je tire sur le tissu, enlève son pantalon complètement. Je remonte, embrasse ses mollets, ses genoux. Il écarte légèrement les cuisses. Je sors ma langue, la fait courir depuis son genou jusqu’à l’intérieur de la cuisse. Son corps se tend. Mes mains se posent sur son sexe bandé. Elles pressent sur le boxer, entourent sa queue à travers le tissu. Je le branle doucement. Il gémit, laisse tomber sa tête en arrière. Je glisse mes doigts sous l’élastique du sous-vêtement. Sa bite sort presque toute seule. Je frôle son gland. Je tire sur le tissu pour faire apparaître l’objet de mes désirs. Elle est belle. Assez longue mais plutôt fine. Avec un gland plus large.
- Regarde-moi
Il relève sa tête, fixe mon regard. Je prends sa queue et je l’enfonce doucement dans ma bouche sans le quitter des yeux. Je vois ses yeux se lever de plaisir. J’adore cette image du mec si sûr de lui qui s’abandonne au plaisir que je lui donne. J’ai l’impression d’avoir du pouvoir sur lui.
Je continue de le sucer. J’enfonce sa bite au fond de ma gorge, le plus loin possible, jusqu’à la garde. Il a l’air d’aimer au vu des ses gémissements. Je continue, lui malaxe les couilles, caresse son périnée.
- Je vais… je vais…
- Chhhhhhhhhhhht
Je continue quelques secondes. Je sens que la tension monte. J’arrête tout. Il se tord sur le lit, frustré.
- Et moi, dans tout ça ? Je suis pas ton esclave.
Je retire lentement mes habits. Son regard est intense. Il me rend belle. Il me donne confiance en moi. Je danse lascivement en enlevant chaque vêtement. Je me retourne, me penche, lui donne un aperçu complet de mon corps. Je me mets à califourchon sur son torse, tout près de son visage. Je me caresse devant ses yeux. Je suis trempée. J’enfonce un doigt dans ma chatte, lui donne à lécher. Il l’aspire goulûment. Ça m’excite encore plus. Je me masturbe à quelques centimètres de son visage. Il essaie de bouger pour me lécher.
- Pssssssst. Pas touche. Règle numéro 2. Tu ne touches rien. C’est moi qui décide où et quand tu vas me lécher ok ?
Il ne répond pas mais repose sa tête sur le matelas. Je me tourne à nouveau. Je reprends ma pipe. Cette fois, il a une vue imprenable sur mon minou et mon cul. Je continue de me caresser d’une main pendant que je le suce. Il bouge son bassin pour essayer de reprendre le contrôle du rythme. J’appuie fortement sur ses hanches pour lui faire comprendre de rester tranquille. Sa bite dans ma bouche gonfle de plus en plus, je le sens proche de l’explosion.
D’un coup, j’arrête tout. Je vois sa bite faire des soubresauts sur son ventre. Il lève les hanches, à la recherche de ma bouche, mais je ne lui fais pas ce plaisir.
- Tu vas rester tranquillement ici, te calmer un peu, et je reviens vite
- Quoi ? tu fais quoi ? tu peux pas me laisser comme ça ?!
- Chhhhht. Tu ne parles pas.
Je quitte la chambre. Je file dans la salle de bain et me douche rapidement. J’insiste sur quelques endroits stratégiques. Je me sèche et rejoins à nouveau la chambre. Il est allongé, tranquille. Il bande mollement, mais il est prêt à un nouveau départ.
- C’est bien, beau mâle, tu es sage. Tu vas avoir le droit à une récompense.
Je reprends position au-dessus de lui. Cette fois, je pose mon croupion sur son visage. Il a full accès à mon intimité. Je sens déjà sa langue s’activer sur mon clitoris. Je commence à gémir sous ses caresses buccales. Sa langue est pointue, exploratrice. Elle tourne autour de mon bouton, lèche, mordille, pénètre mon vagin. C’est bon, c’est chaud, et ça me fait mouiller comme jamais. Cette sensation de pouvoir aiguise mes sens. Mon corps est réactif à la moindre caresse.
Je m’occupe à nouveau de lui. Il a déjà repris toute la vigueur. En plus d’être un canon, il est endurant, le bougre. C’est Noël, ce soir ! Bref, je le branle, je varie le rythme, serre plus, plus vite, moins fort, lentement. Lui continue sa besogne. Il s’enhardit. Sa langue vient pointer ma rondelle. Cette caresse déclenche un frisson qui me parcourt tout le corps. Il le sent. Il sait qu’il est sur la bonne voie. Comme une réponse, je me penche à nouveau pour prendre sa queue dans ma bouche. Je vais le plus loin possible, aspire, recrache. Je le branle en même temps. Il enfonce sa langue dans mon cul. Je vais jouir. Je sens que lui aussi va venir. Je continue, jusqu’au bout. Quand je sens qu’il va jouir, je m’arrête de nouveau. Mais cette fois c’est trop tard. Je sers fortement sa bite pour ne pas le laisser jouir pleinement, pour ne pas qu’il libère toute cette tension sexuelle, car moi je n’ai pas eu le temps de jouir.
Quand je sens que l’éjaculation est passée, je relâche son sexe et le sperme coule doucement sur son ventre. Par contre, ça a le mérite de ne pas l’avoir satisfait. Il en veut encore.
Je détache ses mains. Il frotte ses poignets sans un mot, mais ses yeux brillent. Il bande encore comme un taureau. Moi aussi, j’en peux plus. Fini de jouer.
Je me mets au-dessus, fixe son regarde, puis m’empale sur sa bite sans prévenir. Il est long, profond. Je le sens tout au fond de moi. Il grogne. Moi aussi. J’ai attendu ça toute la soirée. Depuis des semaines, plutôt.
Là, j’ai pas envie de faire l’amour. J’ai envie de baiser. De me faire baiser. Mon bassin claque contre lui, ça résonne dans la chambre. Mes mains sur son torse, mes hanches qui montent et descendent, frappent, reviennent. Je veux qu’il me remplisse, qu’il me prenne comme un animal.
Il me chope les fesses, me fait descendre encore plus bas sur sa queue. Je me cambre, gémis. C’est bon, c’est cru. Je sens chaque veine de sa belle bite. Ça frotte où il faut. Je suis trempée, je dégouline littéralement. Je ralentis, repars de plus belle. Plus vite. Plus fort. Je m’écrase sur lui. Mes seins rebondissent, mes cuisses claquent. Je suis en furie. Je le pilonne comme une enragée. Lui, il râle, s’accroche au drap, essaie de suivre le rythme. Mais il est à moi.
Je sens ses mains qui glissent dans mon dos, descendent, cherchent. Il mouille son doigt, me l’enfonce dans le cul d’un coup sec. Je crie mon plaisir. J’écarte encore plus. Je suis tendue comme une corde, sa bite dans mon con et son doigt dans mon cul, mon corps explose de partout.
Je jouis, fort. C’est un tremblement de terre, mes cuisses tremblent, mon ventre se serre, mes ongles s’enfoncent dans sa peau. Mais je continue. Je repars frénétiquement. Lui aussi. Il me renverse, prend le dessus, me plaque. Vas-y mon beau, continue, je suis ta chose maintenant.
Il me prend violemment. Ses couilles claquent contre mon cul à chaque coup de butoir. Il me retourne, me prend en levrette, sans pause. Mon visage dans le matelas, il me défonce la chatte. Il enfonce son pouce dans mon cul. Je crie à nouveau, sans retenue. Encore un orgasme. Je me sens partir. Il est proche, accélère, cogne. Dans un dernier râle guttural, il jouit, longtemps, fortement. Je le sens gicler en moi, secousse après secousse.
Il s’effondre sur moi, en moi, haletant. Après quelques minutes, il tombe sur le côté, épuisé. Moi aussi. J’ai pris cher. Qu’est-ce que c’était bon, putain.
- Wow.
- Ouais. Wow…
Sans plus d’échanges, on s’est endormis rapidement, fatigués par notre folle soirée.
Au matin, je me suis réveillée seule dans mon lit. L’étalon avait déjà quitté sa cavalière. Sur la table de la cuisine, il avait laissé un mot : « Merci, l’inconnue du bar. C’était incroyable. C’est pas grave si tu m’oublies, mais je parie que tes draps s’en souviendront (et te voisins aussi, peut-être) ».
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire sympathique, pour une fois une femme très forte qui dirige les ébats avec volonté et puissance, et qui en est pleinement (...) récompensée !
Bravo !
Bravo !
