Autre voie...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Autre voie... Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Autre voie...
Barbara n’étant pas disponible pour l’instant, et pour cause, comme l’est aussi Brigitte ainsi que Bernadette, mes deux maîtresses du moment, c’est sur une copine de ma mère que mon dévolu se jette, celle-là même qui est venue lui rendre une petite visite aujourd’hui, comme elle le fait tous les jeudi. Et ma boulimie de foutre n’est pas là pour arranger les choses, tout au contraire.
Elle me pousse même à m’activer sur cette voie. Surtout qu’Odile ne me laisse pas indifférent. Et cela depuis belle lurette. Elle n’est pas jolie. Elle a un physique plutôt ordinaire. Mais je bande à chaque fois que je pense à elle. C’est son regard qui déclenche la réaction en question. Même s’il m’arrive de ne pas être présent quand elle rend une visite à ma mère, elle reste néanmoins présente dans certains de mes fantasmes. Et quand j’ai vite envie de jouir et bien je fantasme sur cette même Odile.
Et je ne pense pas me tromper on pensant que c’est réciproque. Des comportements chez elle me l’indiquent. Est-ce mon imagination qui me joue des tours ? Ou alors, elle-même ? Qui essaye tout bonnement à m’attirer dans ses filets.
Et fait positif, depuis quelques temps, je la sens capable à tout.
Ni une ni deux, je me persuade d’aller lui rendre une petite visite, pour l’instant amicale ! Et comme pour m’encourager, voilà que je croise dans le quartier son mari tenant en main la sacoche contenant ses boules de pétanque. Pas besoin d’avoir fait de grande école pour savoir où il se rendait ?
C’est alors, submerger par une sérieuse envie de sexe et de plaisir que je me laisse emporter jusqu’au pas de sa porte d’entrée. Deux coups secs et j’attends. J’entends alors des bruit de pas, et la porte s’ouvre. Je ne la sens pas plus surprise que ça de ma visite.
-Ne reste pas là comme un idiot, rentre !
Odile se présente ce jour-là, à moi comme à son habitude, bien. Odile c’est une femme, la cinquantaine, qui, parle haut, et rit fort. Elle est de petite taille, a une démarche chaloupé. Elle est coiffée et maquillée comme certaines héroïnes dans les séries américaines de l’époque. Un tel degré de perfection dans son apparence doit à coup sûr lui prendre des heures dans la salle de bains. Ses longs cheveux blancs, qui encadrent un visage ingénu, aux traits fins, ruissellent sur un chemisier blanc fermé par un cordon noir au ras du cou. Sa jupe plissée écossaise descend sous le genou. Elle porte comme c’est la mode du moment, de hautes chaussettes blanches et des mules à fleurs.
Odile me prend par la main, et m’entraîne jusqu’au salon. L’appartement est spacieux, confortablement meublée. Elle se laisse tomber sur un canapé en velours rouge en retroussant sa jupe pour ne pas la froissée, et en écartant les jambes. Elle m’observe, un sourire narquois aux lèvres.
-Comment va ta mère depuis hier ?
-Très bien !
-C’est elle qui t’envois ?
-Pas du tout !
-Tu ne vas me faire croire que c’est de ta seule initiative.
-Et bien oui !
-Je savais qu’un jour tu viendrais me rendre une petite visite.
-Ah oui…
-J’ai remarqué que tu me regardes d’une drôle de façon depuis quelque temps…Tiens approche !
Face à elle j’ai une vue plongeante sur sa poitrine. Elle ne fait rien pour la cacher. Au contraire, elle les exhibe avec un total sans-gêne. Je devine que j’ai bien fait de penser à elle et surtout d’être venu.
Et sans préavis la voilà qui pose la main sur moi. Sans chercher à finasser, elle caresse mon sexe par-dessus mon pantalon. Je reste figé, surpris par sa conduite, attendant la suite. Sans un mot elle fait aller et venir sa main entre mes jambes, entre mes fesses, puis revient à mon sexe.
-Cela ne te gêne pas, au moins ?
-Pas du tout ! Je suis venu pour ça !
-J’avais deviné !
Elle remonte mes couilles dans la braguette, fait pénétrer mon pantalon entre mes fesses. J’ai la queue raide sous l’insistance de ses doigts.
-Tu m’as l’air d’un sacré vicelard, je me trompe ?
-Non Odile !
-Il ne faut pas que ta mère l’apprenne !
D’un geste impatient de la main, elle me fait comprendre qu’elle aimerait bien que je me débarrasse de tout ce qui la gêne. Je fais alors le nécessaire en faisant tomber mon pantalon aux chevilles, et baisse par la suite mon slip. J’exhibe ainsi, à ses yeux, ma queue bandée.
-Si j’aurai pensé à ça on me levant ce matin ! Fait-elle d’une voix qui monte dans les aigus.
J’ai pour ma part envie de crier, mais j’en suis totalement incapable. Elle enroule les doigts de sa main droite autour de ma hampe. Tout de suite des gémissements plaintifs s’échappent de mes lèvres. Dans un rythme calculé, la voilà qui me masturbe. Plutôt bien ! Elle continue encore et encore, et cela jusqu’à j’éjacule dans ses doigts. Odile semble satisfaite de ma production et me le fait savoir :
-Ça fait si longtemps !
Quand ma queue commence à perdre de sa rigidité et que le foutre gluant se met à lui coller entre les doigts, asséché, Odile délaisse malheureusement la verge. Comme si elle émergeait d’un profond sommeil, revenant d’un état second, elle réalise ce qu’elle vient de faire. Elle rougit immédiatement, pivoine jusqu’à la racine des cheveux, et baisse les yeux, honteuse et révoltée par son propre comportement.
-Oh ! Je me sens toute drôle !
Je réplique alors :
- Merci Odile ! Tu m’as fait beaucoup de bien !
-C’est vrai ?
-Tu as bien vue, j’ai joui !
-Si tu le dit, lâche-t-elle. J’ai à mon tour un aveu à te dire.
Là, elle déboutonne sa jupe, passe sa main sur sa culotte, puis dessous.
-Regarde comme je suis trempée, fait-elle en ressortant sa main.
Elle m’expose ses doigts humides. Elle m’encourage même à les renifler, puis à les goûter. Je suis dans mon élément là, mais je me garde bien sur l’instant de le lui dire.
-Tu aimes le goût ? Me lâche-t-elle.
-Ce n’est pas désagréable !
-Tu sais, ma chatte a envie de ta bouche. Cela te trouble ?
-Non…
-Tu as envie de la goûter ?
-Peut-être !
-Peut-être ? Je compte bien que tu y goutte, idiot… Ajoute-t-elle en se soulevant pour faire glisser sa culotte à mi-cuisses. aller Alain !
Je me contente de lui caresser ses jambes pendant de longues minutes. Elle garde pendant tout ce temps les yeux fermés. Un sourire embellit son visage. Sans dire un mot pour ne pas briser le silence, je soulève sa hanche, elle accepte de pivoter à plat ventre. Je continu mon exploration, caressant ses mollets par-dessus ses chaussette, ses cuisses. J’ose même glisser une main jusqu’à ses fesses. Elle les a fermées comme deux pastèques. Je les caresse jusqu’à ce qu’elle soit chaude. Elle frissonne.
Je glisse un index entre ses fesses. Je descends plus bas, dans l’entrejambe. Elle ne reste pas inactive. Elle palpe ma queue de nouveau. La roule entre ses paumes, caressant le gland du pouce. Je me mets aussitôt à gémir, à bander aussi.
- -Tu bandes déjà, cochon. Tu sais comme j’en ai rêvé de ta queue. Ah, si Hervé(son mari) en avait une aussi raide !
D’un geste ferme, elle prend mes couilles à pleines mains. Elle me les frotte l’une contre l’autre quelques secondes avant de remonter délicatement vers mon pénis. Elle entreprend un mouvement de branle, mais au bout de quelques secondes, voyant que je suis dans tous mes états, elle coupe court.
-Regarde-moi avant. Fait-elle en écartant les cuisses en grands.
Devant mes rétines ses grandes lèvres se séparent, révélant les nymphes rose mauve aux bords dentelés. Ses chairs intimes luisent. Une forte odeur de femme en rut se répand. Elle ouvre ses petites lèvres à deux doigts, démasquant l’entrée du vagin en forme de losange. Elle agace ses replis intimes. Là elle détaille chaque partie de sa vulve, tout en se caressant. Elle me décrit le vagin, en y remuant ses doigts. Puis elle tire sur une des deux lamelles de chair hérissées de petites pointes qui pendent au milieu.
-Tu vois ça ? Me fait Odile, et bien ça s’appelle les nymphes, ou les petites lèvres tu le savais ?
-Non !
-Et bien sache que c‘est très sensible !
Continuant son jeu, elle appuie tout en haut, là où les deux lames de chair se réunissent.
-Et ça, c’est le clitoris. Vois comme il aime se faire caresser !
Elle le frotte avec l’index. Des contractions animent son ventre chaque fois qu’elle se touche.
-Tu sais quoi ? J’ai bien envie que tu me lèche. Sache que les femmes adorent ça !
Elle attire ma tête contre son ventre. De la pointe de la langue, je frôle le petit bouton. Aussitôt Odile plaque son sexe odorant contre ma figure. D’une voix rauque elle me dit d’y aller plus fort.
-Tu peux le mordiller, mais c’est délicat !
Une coulée de mouille suinte de l’entrée de son vagin avant de couler dans ma bouche. Son goût me fait bander. Odile donne de violents coups de reins pendant que je m’occupe de son bouton.
-Tète… oui tète ! Mord-le ! Oh oui comme ça… Oh plus fort ! Putain que c’est bon… tu vas me tuer de bonheur…
Ça m’excite de l’entendre débiter autant d’encouragement crue. Elle est dans un bel état d’excitation la copine de maman ! Devenue soumise à ma bouche !
Je prends un pied pas possible. Je me demande même si je ne vais pas jouir une seconde, mais cette fois sans être toucher.
Une fois seul dans mon lit Odile a occupé plus que jamais mes pensées pendant une partie de la nuit. J’ai dû même me branler pour me calmer.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Hum que c est bon je me suis bien caressé la verge



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