BABY SITTER. (1/1) - histoire érotique

« Cherche jeune fille ou jeune femme pour baby-sitting les soirs, envoyé C.V. au journal qui fera suivre. »
C’est la petite annonce que j’ai mise dans le courrier de Saône et Loire car de temps en temps j’ai besoin de m’échapper, soit pour mon travail sois pour reprendre une vie sexuelle active.
Je m’appelle Véronique et je suis une mère célibataire j’ai 28 ans et on me dit assez jolie.
J’avais un peu plus de 16 ans quand je me suis rendu compte que j’étais différente de mes camarades de classe car c’était elle que je regardais et non pas les beaux garçons que nous avions à nos côtés.
C’est ainsi que j’ai cédé à une jeune femme qui passait dans notre région et qui m’a pris mon hymen avec ses doigts pour mon plus grand plaisir.
Elle était venue au mariage d’une amie et c’est sa solitude pendant le bal qui m’avait attiré.
Quand elle m’a emmené dans sa chambre d’hôtel et qu’elle m’a fait l’amour surpris de déflorer une vierge j’ai compris pourquoi elle semblait repousser tous les mâles de la soirée.
Elle m’a tout appris des plaisirs lesbiens et avec le temps mes partenaires me disent assez douées.
J’habite Chalon-sur-Saône et elle à La Tranche-sur-mer aussi pendant 2 ans nous nous sommes revues pendant les vacances mais sa vie a évolué vers une amie et nous nous téléphonons pour nos anniversaires chaque année.

Je venais d’avoir mes diplômes de droit quand maman m’a quitté me laissant seule au monde mais pas sans moyens car elle était née dans une famille aisée, j’ai hérité d’un peu de bien en argent et surtout d’un appartement au troisième étage d’un immeuble près du square Chabat rue de la République.
J’y ai installé mon cabinet d’avocats et après avoir galéré, il commence à devenir rentable.
J’ai papillonné auprès de plusieurs femmes toutes plus vieilles que moi et à 28 ans j’ai souhaité avoir un enfant même si comme ma maman avec moi je suis amené à l’élever seule.
J’ai trouvé un donneur dont je tairais qui il est conformément au contrat qu’il a accepté de passer avec moi et nous sommes allés en Belgique pour que je fasse une F.I.V. interdit chez nous mais autorisés là-bas pour une mère célibataire.
Du premier coup et 9 mois plus tard j’ai mis au monde un joli petit garçon prénommer Adam, qui a un peu plus d’un an aujourd’hui et est l’amour de ma vie.
Jusqu’à ce jour j’avais une nourrice qui s’occupait de lui dans la journée et quand je travaillais tard le soir une fois de temps en temps mais qui m’a fait faux bond car elle a déménagé.
J’ai trouvé une place en crèche pour la journée mais il me faut une baby-sitter pour les rares fois où les audiences s’éternisent et surtout les samedis soir car depuis trois mois j’ai repris mes rencontres sexuelles en allant régulièrement à Lyon ou à Dijon car je dois être une lesbienne honteuse évitant de draguer sur ma ville.
Il faut reconnaître que les endroits principalement fréquentés par des femmes sont inexistants dans ma ville, il y a bien un bar mais plus fréquenté par des hommes gay que par des femmes lesbiennes.

Le journal me fait passer différentes fiches avec les C.V. de plusieurs personnes.
L’une d’elles m’attire particulièrement.

« Je m’appelle Ondine j’ai bientôt 20 ans et je suis en deuxième années de droit à Dijon.
L’an passé je travaillais les dimanches matin dans une grande surface ouverte jusqu’à 13 heures mais mes cours cette année m’empêchent de le reprendre.
Vous demandez une personne disponible le soir ce qui est mon cas car tous les jours je rentre chez moi à Crissey chez mes parents par le train car il nous est impossible de prendre un logement à Dijon.
Si vous retenez ma candidature maman s’engage à venir récupérer votre enfant si j’ai un empêchement à Dijon mais l’an passé j’ai pu rentrer tous les soirs sans aucun problème.
J’attends votre réponse avec impatience car j’ai besoin de ce revenu d’appoint pour aider mes parents »
Je suis touché par la fraîcheur de ce texte et surtout je sens comme un devoir d’aider cette jeune fille à faire ses études qui vont l’amener à faire le même métier que moi sauf si elle désire continuer vers la magistrature.
Je lui téléphone et nous convenons d’un jeudi soir pour nous rencontrer à 20 heures chez moi.
Ondine est ponctuelle et autant je suis brune autant elle est blonde.
Quand j’ouvre la porte et que je lui serre la main je sais déjà qu’elle est embauchée.
Sa fraîcheur et la voie qu’elle a choisie pour ses études en font à mes yeux la candidate idéale et en buvant un thé nous tombons d’accord sur les émulations et la manière de procéder chaque fois que j’aurais besoin d’elle.
Dès ce samedi je fais appel à ses services voulant me rendre à Lyon ou j’ai entendu parlé qu’un bar à chatte avait ouvert.
Quand je pars, elle a Adam dans les bras, il lui fait fête me rassurant sur la complicité qui semble s’installer entre eux quand pour la première fois embrassant mon fils je lui fais une bise sur la joue.
Le concept du bar à chatte est à des lieues de ce que j’avais pensé et j’ai passé la soirée à me faire draguer par des mâles en manque de sexe familial ce que je fuis désespérément.
Ajouté à cela les poils de chat qui m’ont fait éternuer tout le temps où j’étais à l’intérieur.
La seule chose que j’ai apprise dans cette soirée, si un jour Adam veut un chat, il restera chez le marchand.

J’ouvre ma porte et je trouve Ondine allongé sur mon canapé un livre de droit sur le ventre.
Elle est émouvante dans son petit short et son débardeur dont une bretelle à glisser me montrant l’un de ses jolis seins.
J’ai des scrupules à la réveiller aussi je m’assieds au sol à son côté et avec le bout de mes doigts je lui caresse le front.
J’ignore à quoi elle rêve mais son souffle est régulier avec par moments de petits soubresauts qui lui font lever le sein.
J’ai toujours eu des rapports avec des filles plus vieilles que moi et cette jeune fille innocente m’attire.
J’ai une immense envie de me pencher pour gober cette pointe qui semble avoir envie de ma bouche.
Frustrée de ma soirée j’en arrive même à écarter ma petite culotte et à plonger deux doigts dans ma chatte qui est ruisselante.
Je me masturbe de temps en temps mais cette fois mon vagin ruisselle de cyprine.
Le bruit au moment où je jouis réveille Ondine qui me regarde avec un air étonné.
Elle se redresse et voit mes doigts dans ma chatte.
J’ai un instant peur qu’elle se sauve en courant mais remontant sa bretelle c’est elle qui me caresse la joue.

• Je suis contente que tu aies joui, s’est drôle je révais de toi et j’ai cru que c’était moi qui jouissais, c’est la première fois que je rêve d’une jeune femme et surtout de toi.

Naturellement nos bouches se sont trouvées et ma main a pu aller sur son sein qu’elle a dénudé.
J’ai pris sa main pour qu’elle me caresse les seins aussi mais venant sur le sol avec moi elle a des velléités de s’occuper de ma grotte.

• Non Ondine, restons chaste quelque temps, j’ai trop l’habitude de ces petits coups qui finissent à la longue par me miner, je veux donner du temps au temps et si notre amour monte de plus en plus je te promets que je te ferais l’amour comme tu le mérites.
Tu dois bien avoir un copain et j’ai peur que tu ne te lasses vite d’une veille fille comme moi.
• Tu te trompes Véronique, j’ai devant moi une jolie fille loin d’être une vieille fille mais je respect ton choix et je vais te prouver que nous deux c’est du sérieux.
Je suis vierge et il y a longtemps que je suis attiré par mon sexe sans jamais avoir osé franchir le pas.
Apprends-moi.
• Mon cœur, ce que tu me dis me va droit au cœur, il est vrai que nous avons 9 ans d’écart or mes parents en avaient 25 c’est pour cela que papa est mort juste après ma naissance, embrasse-moi.

Pendant 2 mois nous avons eu des moments intenses ensemble de caresse hors nos parties intimes, de baisers fougueux chaque fois que nous nous retrouvons quand elle vient garder Adam.
Je la garde dans mes bras c’est nuit là et elle m’a avoué que pour ménager ses parents afin de leur avouer ses penchants lesbiens en douceur elle dort avec moi en tout bien tout honneur.
Depuis une semaine je la fais venir sans quitter l’appartement car ma quette du bonheur avec de belles inconnues m’apparaît incongru.
Je paye cette jeune fille pour dormir dans mes bras sans oublier nos baisers très profonds qui font monter en moi un amour que je sais réciproque.
J’en ai assez de cette situation et un soir où elle arrive je l’entraîne dans la salle de bain.

• Ondine, depuis que je te connais j’ai de plus en plus de mal à te laisser repartir, regarde la tablette au-dessus du lavabo, j’ai fait du tri et je laisse la moitié pour que tu apportes ta brosse à dents et tous tes parfums, acceptes-tu d’emménager avec moi ?

Ondine me saute au cou et c’est notre premier baiser ouvrant nos corps à l’amour, comme elle me la dit, elle est vierge et comme l’a fait ma copine je lui fais entrer assez de doigts pour sentir sa petite membrane s’ouvrir à la vie et surtout aux plaisirs sexuels.
Elle est douée pour l’amour, pour notre amour car dans les minutes suivantes nous jouissons ensemble après qu’elle eut introduit ses doigts au fond de mon vagin.
Ce bonheur dure un mois pendant lequel dès que nous avons le temps et qu’il fait beau nous nous promenons Adam dans sa poussette rue piétonne à regarder les boutiques de fringues et de joailleries.

• Véronique, j’ai parlé à mes parents et ils savent que nous nous aimons, maman va venir garder Adam si tu es d’accord et je t’invite au restaurant.
• C’est drôle petit cœur, j’avais la même intention et j’ai réservé une table place de Beaune à côté de la maison de la presse, appelle ta maman qu’elle soit là pour 20 heures.

Une nouvelle fois je l’embrasse impatient de voir sa maman nous rejoindre.

• Sauvez-vous les enfants passez une bonne soirée je veille sur Adam.
Le repas est succulent quand arrivé au dessert Ondine se lève met un genou à terre près de moi et me présente un écrin.

• Véronique veux-tu m’épouser ?

Les clients un peu étonnés finissent par comprendre et applaudissent.

• Mon cœur, je vais te donner ma réponse après le dessert soit patiente.

Ondine a les yeux qui se brouillent croyant que je viens de refuser, le patron arrive avec le gâteau et une bouteille de champagne.
Au sommet du gâteau un écrin est posé, je me lève et je m’agenouille le récupère et l’ouvre.

• Ondine veux-tu m’épouser ?

Elle prend la bague ouvre son écrin et me tend la sienne.

• Oh oui ma chérie plutôt deux fois qu’une.

Les personnes attablées redoublent d’applaudissements et nous recommençons à nous embrasser.
En regardant nos bagues, ce sont les deux mêmes venants de chez le même joaillier
Épilogue :
Il y a deux ans que j’ai épousé Ondine d’un bonheur de tous les instants, elle a terminé ses études et notre cabinet marche du feu de Dieu.
J’ai eu l’explication des bagues car en nous promenant avec Adam nous avions regardé ces bagues que nous trouvions plus belles que toutes les autres.
La serveuse s’était souvenue de nous quand quelques jours plus tard Ondine est venue acheter sa bague alors que j’étais venue la veille, elle a orienté notre achat pour que nous choisissions les deux mêmes.

En ce moment nous sommes à la maternité de l’hôpital de Chalon et nous voyons grâce à l’écographie les deux petites jumelles qu’Ondine porte après le F.I.V que nous avons été faire en Belgique avec comme donneur un homme trouvé par l’intermédiaire d’Internet et d’une association que nous avons voulu de couleur avec une bonne éducation car nous voulions que nos enfants garçons ou filles soient métisses.
C’est sa maman qui va les élever mais dès que nous aurons du temps à tour de rôle nous nous en occuperons.
Bref j’ai trouvé le bonheur autant qu’Ondine a trouvé le sien…