Barbara, la morte de faim... - histoire érotique

Il a fallu que je croise Barbara dans le quartier pour qu’elle m’invite à passer chez elle. Qu’elle a quelque chose à me dire. Je pense plus tôt qu’elle a besoin de quéquette.
À l’heure convenue je prends les escaliers. Arrivé à l'étage, je traverse le couloir jusqu’à arrivée devant la porte de l’appartement de Barbara.
Elle m'accueille avec un large sourire. Pendant que je m'installe sur son grand divan, elle se dirige vers le minibar, face à moi, et se penche pour nous emplir les verres. J’ai le loisir d’apercevoir ses jambes sous sa jupe, et j’ai même la chance d’apercevoir la naissance de ses bas à la hauteur de ses cuisses. Elle se retourne et fait mine de ne pas remarquer ma mine encore déconfite du spectacle, elle me tend mon verre, puis se dirige vers le fauteuil.
-A ta santé !
-A la votre !
Après avoir pris une gorgée je pose le verre sur la table basse devant moi.
-Je suis contente que tu sois là ! Me fit-elle.
En accompagnant ses paroles, elle dévoile le haut de son chemisier blanc. Un magnifique soutien en dentelle blanche laisse entrevoir la peau laiteuse de sa poitrine. Je bande !
Rassurée par mon érection, elle commence à carter les jambes. Je peux distinguer sa culotte, elle aussi blanche, masquant sa toison.
-Je te plais ?
-Beaucoup !
Elle fait monter ses mains jusqu’à atteindre ses seins, qu'elle saisit à pleines mains, tandis qu'elle me dévore du regard.
-Tu désires que je fasse quelque chose !
-Regarde !
Elle se caresse la poitrine sous mes yeux en ondulant du bassin. Je fais glisser le zip de ma braguette et sors ma verge gonflée. Elle porte son regard que ma queue. J’encercle mon membre de l’index et du pouce
-Quel gros cochon ! Et si ma fille venait !
-Je pense que tu as fait le nécessaire pour qu’on ne soit pas déranger.
-Et malin avec ça !
Elle se tortille, mais ne quitte pas des yeux ma queue qui enfle entre mes doigts.
-Je devine que tu veux voir ma chatte ?
-Bien sûr !
-Tu ne préfère pas mieux voir une queue ?
-Tu veux peut-être parler de mon exhibition avec le voisin ?
-Tu parles d’une exhibition ! Je regrette de n’avoir pas été invité !
-C’est que je n’étais pas sûre que cela marche.
-Et bien je confirme, cela à même très bien matcher entre vous. J’avais même eu l’impression que vous n’étiez pas à votre première relation.
-Je peux te l’assurer, je ne le connaissais pas avant cette exhibition comme tu dis si bien !
-Je te crois, puisqu’il cherche à te contacter.
-Comment ça ?
-Plus tard, pour l’instant regarde-moi ça !
Et là elle remonte l’ourlet de sa jupe pour dévoiler ses jambes. J’observe le pubis bombé, moulé dans l’étoffe serrée. Le tissu fait un pli à la fente, épousant la forme.
Elle se plante un doigt dans le cratère boursouflé. L’index en ressort luisant de mouille. Elle se relâche et s’enfonce une phalange. Elle n’a pas besoin de forcer. Tout le doigt glisse jusqu’à la garde. Elle se tortille de plus en plus. Me fixant.
De mon côté, j’enroule ma verge à l’aide de mes doigts. Nous nous masturbons comme ça un bon moment. Face à face. Les yeux dans les yeux. Puis elle se débarrasse de sa culotte. Elle se retourne, puis s’accroupie sur le fauteuil et saisi ses fesses à pleines mains.
Elle tourne de temps en temps la tête vers moi pour s’assurer que je ne perds rien de son spectacle. Puis elle approche un doigt de son trou du cul qui la littéralement englouti. Sa main ne bouge pas. C’est comme si son orifice lui suce le doigt. Deux autres doigts viennent rejoindre le premier.
Elle s’arrête brusquement et elle se retourne avec un air de défi dans les yeux. Je m’approche et introduis mon majeur dans son anus. Je fais coulisser mon doigt.
Barbara écarte ma main pour prendre ma queue dans la sienne. Elle commence à me branler doucement. Ses joues ont prise des couleurs. Elle lâche quelques instants la verge pour soupeser les couilles. Puis elle recommence à me branler.
Je me cambre. Je ne peux me retenir plus longtemps. Une contraction terrible s’empare de mon bas-ventre et ma bite se dilate encore plus, mon gland parait avoir doublé de volume. Le sperme jaillit et le premier jet le plus puissant éclabousse sa main. Le second tombe sur ses jambes, le reste s’écoule sur le sol. Elle branle jusqu’au bout jusqu’à la dernière goutte suinte du méat dilaté sur ses doigts.
Puis elle approche les lèvres, se met à lécher les traces de sperme qui sont restées sur mon gland. Elle englobe ma verge, et commence la fellation. Ses lèvres vont et viennent, sa main plus bas, suit le mouvement, en parfaite concordance. Le silence n’est brisé que par le bruit de tétée que fait parfois la bouche de Barbara quand elle recrache ma queue.
-Alors tu veux savoir ? Me fit-elle.
-J’attends…
-Baise-moi alors !
Je me place pour cela entre ses cuisses. Mais elle préfère que le m’assoie sur le divan. Elle place ses jambes de chaque côté de moi. Captive mon sexe, pour le guider jusqu’à son sexe brûlant. Puis progressivement elle l’engloutit dans son antre. Jusqu’à l’avalé entièrement puis, avec la puissance de ses cuisses, elle exerce un mouvement de pompe de bas en haut, et de haut en bas.
Ses seins tanguent à chacun de ses chevauchées, de plus en plus vite au fur et à mesure que la tension monte. Barbara donne une grande variation, comme si elle désirait en bénéficier au maximum. Je vois mon sexe se faire gober jusqu’à la racine, pour mieux découler l’instant d’après, presque en entier, lustrée de la liqueur de la chatte.
Dans un murmure, la voilà qu’elle souhaite que je la prenne en levrette. Elle prend la position, et je n’ai plus qu’à lui fourrer ma bite dans sa chatte. Un sexe déjà bien encombré de mouille. Je la bourre avec force.
Barbara, la tête rejetée en arrière, avec une respiration accélérée, crie : que je la défense !
Je sens une contraction calculée sur mon membre. Au tremblement de son corps, aux mots que sa bouche lâche, je comprends qu’elle est au bord de l’orgasme. J’atteins les limites de ma résistance, les picotements annonciateurs du plaisir sont là pour me l’assurer.
Je ne peux m’empêcher de pousser un grognement sourd, alors que d’instinct, j’accélère mon allure. Une sublime jouissance s’offre alors à moi, qui se matérialise par trois jets épais saccadés puissants suivis de quelques gouttes.
Alors que je suis affalé sur le divan en train de récupérer de lui demande :
-Alors pour le voisin ?
-Ne sois pas si impatient, Alain, j’ai encore une surprise pour toi. Attends-moi gentiment là, veux tu, je reviens.
Je me demande alors si elle ne s’état pas payé le luxe de faire venir le gamin. Mais non, elle me revient avec un godemiché arrimée à sa taille par deux lanières.
-Alors ?
-Alors quoi ?
-J’ai été subjuguée l’autre fois par le plaisir que tu prenais de te faire emmancher. Alors j’ai pensé à toi en achetant ce joujou… il te plait ?
Délicatement, sans attendre ma réponse, elle m’écarte les cuisses et m’enduit le trou du cul d’une bonne couche de crème. Je ne quitte pas des yeux son glaive arrogant. Elle me sourit à sa façon. Elle m’enfile l’index dans le cul pour bien faire pénétrer la crème. Elle est douce.
-Cela te dit de me sucer ? Lâche-t-elle en approchant sa fausse hampe de mes lèvres.
Je la suce. Comme je l’ai fait quelques jours plus tôt alors qu’elle me matait de sa fenêtre. Réjouie par le spectacle, mais pas par la sensation, elle se recule pour mieux se positionner entre mes cuisses. Je sens ses mains s’occuper de moi. De placer le bout de son engin pour le frotter lentement contre mon anus. Et peu à peu m’obstrue le trou du cul. Je pousse pour permettre au gode de violer mon derrière. Je le sens l’objet me pénétrer encore et encore. Comme d’habitue l’envie d’aller aux toilettes me submerge. J’ai la sensation que la peau de mon cul se tend jusqu’à la limite du déchirement.
Mais je m’entends tout de même l’encourager. Je sens le cylindre aller et venir lentement. J’ondule lentement du bassin en suivant le rythme de Barbara. Qu’elle accélère et que j’encaisse sans broncher. Je finis par tanguer de tout le corps, et je prends l’initiative d’aller au-devant du gode. Je me saisis de ma queue et me branle. Mes gémissements se transforment en râles de plus en plus bruyants. Je veux que ce moment dure une éternité, mais je sens très vite une chaleur me traverser, dans tout le corps, et dans un dernier mouvement du poignet, mon sexe se vide en de violentes saccades. Après mon orgasme foudroyant, je suis comme inanimé, mon corps tremblote, tout comme ma bite qui remue, comme prise de tics incontrôlables. Elle me considère, attendant que je lui dise quelque chose.
Nous restons ainsi le temps que je reprenne mes esprits. Elle me dit :
-Tu as aimé ?
Je la regarde les yeux vidés et épuisés, l’air hébété, mon sexe semble ne plus réagir. Nous demeurons les yeux dans les yeux, elle me caresse amoureusement les cheveux. Ma verge semble reprendre de la vigueur et elle s’allonge le long de ma cuisse. Elle me la prend dans ma main et me :
-On passe à la suite. Cette fois-ci, j’enlève mon gode…