Tout est bien qui finit bien.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Tout est bien qui finit bien.
Lors d’une matinée dansante, je croise Bérangère. Un petit bout de femme, à la belle poitrine haut perché sur un corps souple pour son âge, qui marche comme si elle était sur un nuage. Assez maquillée, cheveux mi-longs, très beaux, très soyeux, une grosse frange qui lui tombe sur les yeux derrière une paire de lunettes, elle porte une robe rouge. Qui me demande si je n’ai pas dans ma boite à pharmacie un cachet contre les migraines.
- Oui, j’ai ça dans le bureau. Je hurle à cause de la musique.
- Tu peux m’en donner un.
- Je te l’apporte.
- Et puis quoi encore. Tu n’es pas mon valet. Je ne suis pas encore à l’article de la mort.
Une fois dans le bureau, à l’abri du bruit que fait l’orchestre, je lui tends le fameux comprimé.
- Il faut dire que tu ne te préserves pas sur la piste de danse.
- Une faim de danser.
- Je vois ça !
- À en avoir la culotte mouillée.
- Oh Bérangère !
- Quoi, je te choc ?
- Me choquer moi, jamais.
- De toi à moi, j’espère bien harponner avant la fin, un poisson pour une bonne partie de jambes en l’air. Fait-elle en me lançant un clin d’œil des plus coquins.
- C’est ce que je te souhaite.
- Tu penses bien que je fais le nécessaire, pour ça. Comme tu peux te rendre compte, enfin si tu m’espionnes. Tu dois bien me voir danser avec un grand nombre de danseurs différent. Et jusqu’alors pas un à me mettre dans mon lit.
- Persiste !
- J’y compte bien, fait-elle après m’avoir donné un clin d’œil complice. En se retournant pour se diriger dans la salle.
Bien plus tard, après les dernières notes de musique, alors que nous sommes en train de manger à la bonne franquette, je la taquine sur le sujet évoqué plus tôt.
- Chou blanc, mon pauvre ! Me lâche-t-elle, comiquement. Mais je ne d’espère pas, adjoint-elle, m’indiquant du menton le convive qui lui faisait face.
Suite à cela, je l’ai un peu délaissé. Jusqu’à je la retrouve à la fermeture de la salle. Où après mettre à saluer, je la vois montée dans sa Visa.
Mais très vite, ma queue m’invite de passer à l’acte. Et il est rare que je ne suive pas ses dictions. Comme je sais où elle loge, je ne m’empresse pas de lui suivre le train, des fois que je change d’avis.
Mais toujours attentif à ma queue, je conduis ma voiture jusqu’au parking situé devant le bâtiment où réside Bérangère. Je monte les deux étages qui me mènent devant sa porte. Pas une seule hésitation, je toque. Mon attente est de courte durée avant qu’elle ne s'ouvre.
- Alain ! Toi ici ! Que me vaut ta visite ?
- À ton avis ?
- Non… Tu veux peut-être parler de la discussion que nous avons eue plus tôt dans la journée.
- À celle-là même !
Ne voulant pas la brusquer, je reste immobile devant elle, jouant les soumis. Mais très vite, je suis submergé par des envies sales. Alors je prends l’initiative de faire quelques pas. Assez pour me retrouver chez elle. Je referme la porte derrière moi, et tout de suite, voilà que je défais les premiers boutons de son chemisier dévoilant à mes rétines un étroit soutien-gorge en dentelle noire.
- Eh bien, si je m’attendais à cela…
J’achève de déboutonner le chemisier de Bérangère. Je le lui retire, sans qu’elle, interdite, ose protester.
- Retire cela, tu seras plus à l’aire. Lui fais-je en désignant son soutien-gorge.
Sourire aux lèvres, elle l’ôte.
- Eh bien si en m’aurait dit cela, je ne l’aurais pas cru…
J’ai de beaux nichons laiteux devant mes yeux. Que je me mets à soupeser avant d’étire les mamelons.
- Tu es en train de me rendre folle, Alain ! Tu sais cela ?
Encouragé par de si belles paroles, je glisse mes mains sous sa jupe. Bon gré mal gré, elle écarte les jambes. Je lui touche l’empiècement du slip que je trouve humide.
- Eh bien Bérengère, tu as fait pipi ?
- Tu ne m'avais pas cru quand je te disais que je mouillais ?
J’écarte le slip. Les bords du sexe sont séparés. Un filet de mouille s’étire entre le fond de la culotte et ses grandes lèvres. Une bonne odeur que je connais bien, émane de l’entrecuisse de Bérangère. Je l’oblige à se retourner. Je lui roule le slip sur le haut des cuisses. Elle crispe ses fesses, réduisant sa raie à un sillon serré.
Je les écarte en plantant mes doigts dans la chair tendre et en étirant sur les côtés. Je lui tâte les bords de l’anus, puis lui enfonce mon index.
Je lui demande à me faire face. J’écarte les mèches de poils collés sur les bords du sexe. Les nymphes de Bérangère pendent au milieu de la vulve humide. Je les étire, dévoilant l’entrée du vagin. J’appuie avec le pouce à l’intérieur du sexe pour faire sortir le clitoris. Je pince les lèvres. Elle a un orgasme bref qui la laisse pantelante.
- Tu vois, je ne t’avais pas menti sur l’état où je me trouvais ! Me lâche-t-elle en se positionnant à genoux devant moi.
Entre-temps, mon sexe a pris de l’ampleur au fond de mon slip. Et sans aucun scrupule, Bérangère pose ses doigts sur la bosse que fait mon érection, à travers les différents textiles. La femme fixe sa main sourire aux lèvres.
- Je prends ça pour un encouragement pour aller au-delà du raisonnable.
La situation est des plus excitantes. Sentir son sexe dans une main est des plus agréables pour tous les deux. D'ailleurs la malicieuse arbore un sourire curieux, un de ces sourires qui en disaient long. Les lèvres très légèrement entrouvertes, les fossettes de ses joues creusées, l’œil rivé sur mon érection.
Elle déboutonne mon jean. Défait ma braguette, écarte les pans de mon froc. Elle resserre doucement ses doigts sur ma verge sous le slip, et soulève l’étoffe avec son poing. Elle laisse échapper un tout petit bruit, curieux et amusant, comme un souffle. Ses yeux courent comme jamais sur mon sexe. Je suis comme fou de joie. Fou d’excitation surtout. Ses yeux délaissent mon sexe et plongent dans les miens. Ce que j’y lis est divin, un désir puissant, de jeu et de plaisir. Sa bouche est légèrement plus ouverte. Elle me dévore véritablement du regard. Je suis dans un état de surexcitation quasi-insupportable, tellement il était puissant.
Elle se sert de sa deuxième main pour effleurer mes testicules. Son regard suit pas à pas l’avancement de ses doigts, c’est divin. Je ne peux empêcher un gémissement de s’échapper de ma bouche. Pour le plus grand plaisir de ma branleuse qui une fois encore me sourit.
Sans hésiter, elle écarte mon slip et l’enfourne dans sa bouche. J’ai l’impression que j’allais m’évanouir tant les sensations étaient indescriptibles. Elle pompe, aspire comme une mort de faim. Sa salive coule le long de ma queue. Avec le bout pointu de sa langue, elle accentue ses pressions sur le frein du prépuce et le méat. C’est divin.
Enfin, je dirais que c’était divin, puisque voilà, je ne sais pourquoi elle se redresse, puis laisse son dos glisser doucement vers le dossier de son fauteuil. Dans le mouvement, ses genoux s’ouvrent doucement, légèrement, et tendent subtilement une de ses jambes.
Le pied bien à plat sur le tapis, elle respire fortement plusieurs fois. Sa poitrine gonfle sa poitrine. Bérangère gigote doucement en face de moi, et je vois avec délices sa main droite venir se poser sur la peau de son genou droit, qu’elle a tendu. La remonte doucement, dans un geste si terriblement féminin.
L’ourlet de la robe de gala rouge remonte dans le mouvement, et sa cuisse droite est soudain presque entièrement visible, alors que son autre cuisse est à demi-découverte. J'aperçois ses doigts, monter puis redescendre doucement sur sa peau, glissant parfois sur la face interne, puis sur la face externe de sa jambe. Je remercie ma queue de m’avoir persuadé de m’avoir mené jusqu’ici. Je suis l’homme le plus heureux de la ville. Bérangère sourit, un sourire presque pervers. Ses doigts caressent sa cuisse, sans indécence.
Elle ouvre légèrement le compas de ses jambes. L’étoffe de la robe fait un parasol de tissu au-dessus de ses jambes. J’aperçois, à grand renfort de battements de cœur, de nouveau sa chatte. Son regard est brillant. Elle fait sortir son pied de son chausson, doucement. Fait arquer ses orteils. Je ne perds pas un seul de ses mouvements. Elle retire son second chausson, et tend ses deux jambes. Elle saisit l’ourlet de sa robe, sans hésitation, le fait remonter sur son ventre.
Je n’ai que d’yeux pour son pubis rebondi. Dans un souffle, elle glisse sa main à plat sur son ventre. Elle a une respiration un peu saccadée, entrecoupée de brefs sursauts. Je regarde, fasciné, ses doigts dessiner une arabesque merveilleuse sur son sexe. Mon regard se gorge de sa caresse ainsi offerte. Je vois l’étoffe froissée, humide, qui dessine les lèvres de son intimité sous le mouvement de ses doigts. Elle est tout simplement irrésistible, divine. Sa toison poivre et sel semble si doux. Mes yeux s’enivrent de ce spectacle insensé, glissant sur la peau nue de l’intérieur de sa cuisse, jusqu’à atteindre une fois encore à son sexe merveilleux.
Je vois ses doigts séparer doucement les poils de sa toison. Doucement, quasi tendrement, un de ses doigts est sur son bouton, et continue à glisser, écartant ses deux lèvres. C’est incroyablement érotique.
Mon regard est comme aimanté par l’étendue et l’épaisseur de sa touffe pubienne. Je ne peux résister à la tentation d’y aller enfouir mon nez dans le triangle poilu.
Je m’agenouille à ses pieds et hume les senteurs naturelles qui s’en dégagent. Odeurs mêlées de mouille de sueur de pisse. Fouinant plus avant, mes narines entrent en contact avec ses grandes lèvres, les fouille, farfouille et termine de les écarter.
De ma langue, je lape son remugle de femme en chaleur. Pendant cette longue exploration, ma verge devient des plus douloureuses au fond de mon slip.
- Baise-moi, me fait-elle, j’ai besoin d’une queue, m’offrant son vagin ouvert.
Je prends la pose, et millimètre après millimètre, je m’enfonce en elle. Elle m’enserre délicieusement. J’ai la sensation de m’enfoncer dans un pot de miel tellement elle mouillait. Je fais durer le plaisir, il me faut plus d’une longue minute pour atteindre le col de l’utérus contre lequel bute ma verge. Bérangère bave, gémit, halète.
Je commence mon mouvement de balancier. Puis à sa demande, j’accélère. Je la secoue avec mes coups de boutoir de plus en plus forts. À chacune de mes poussées, elle répond en lançant son ventre et sa chatte à ma rencontre. Puis elle me ceinture avec ses jambes. Plaque son sexe poilu contre le mien. Je me répands en elle. Je suis au bord de l’évanouissement. L’orgasme la terrasse à son tour. Finalement, elle pousse un dernier râle encore plus rauque que les précédents et unit son pubis contre le mien, à la recherche de la pénétration la plus profonde.
Elle s’agrippe à moi en m’ordonnant de ne plus bouger. Nos poils, nos sueurs, nos sécrétions se mêlent. Pendant un moment, nous restons l’un dans l’autre. Mais comme il faut mettre un terme à cette aventure merveilleuse, je me suis retiré.
Tout en nous rajustant :
- Je te complimente, pour les plaisirs que tu m’as donnés ! Mais je compte sur toi pour ne pas ébruiter cette relation.
- Oui, j’ai ça dans le bureau. Je hurle à cause de la musique.
- Tu peux m’en donner un.
- Je te l’apporte.
- Et puis quoi encore. Tu n’es pas mon valet. Je ne suis pas encore à l’article de la mort.
Une fois dans le bureau, à l’abri du bruit que fait l’orchestre, je lui tends le fameux comprimé.
- Il faut dire que tu ne te préserves pas sur la piste de danse.
- Une faim de danser.
- Je vois ça !
- À en avoir la culotte mouillée.
- Oh Bérangère !
- Quoi, je te choc ?
- Me choquer moi, jamais.
- De toi à moi, j’espère bien harponner avant la fin, un poisson pour une bonne partie de jambes en l’air. Fait-elle en me lançant un clin d’œil des plus coquins.
- C’est ce que je te souhaite.
- Tu penses bien que je fais le nécessaire, pour ça. Comme tu peux te rendre compte, enfin si tu m’espionnes. Tu dois bien me voir danser avec un grand nombre de danseurs différent. Et jusqu’alors pas un à me mettre dans mon lit.
- Persiste !
- J’y compte bien, fait-elle après m’avoir donné un clin d’œil complice. En se retournant pour se diriger dans la salle.
Bien plus tard, après les dernières notes de musique, alors que nous sommes en train de manger à la bonne franquette, je la taquine sur le sujet évoqué plus tôt.
- Chou blanc, mon pauvre ! Me lâche-t-elle, comiquement. Mais je ne d’espère pas, adjoint-elle, m’indiquant du menton le convive qui lui faisait face.
Suite à cela, je l’ai un peu délaissé. Jusqu’à je la retrouve à la fermeture de la salle. Où après mettre à saluer, je la vois montée dans sa Visa.
Mais très vite, ma queue m’invite de passer à l’acte. Et il est rare que je ne suive pas ses dictions. Comme je sais où elle loge, je ne m’empresse pas de lui suivre le train, des fois que je change d’avis.
Mais toujours attentif à ma queue, je conduis ma voiture jusqu’au parking situé devant le bâtiment où réside Bérangère. Je monte les deux étages qui me mènent devant sa porte. Pas une seule hésitation, je toque. Mon attente est de courte durée avant qu’elle ne s'ouvre.
- Alain ! Toi ici ! Que me vaut ta visite ?
- À ton avis ?
- Non… Tu veux peut-être parler de la discussion que nous avons eue plus tôt dans la journée.
- À celle-là même !
Ne voulant pas la brusquer, je reste immobile devant elle, jouant les soumis. Mais très vite, je suis submergé par des envies sales. Alors je prends l’initiative de faire quelques pas. Assez pour me retrouver chez elle. Je referme la porte derrière moi, et tout de suite, voilà que je défais les premiers boutons de son chemisier dévoilant à mes rétines un étroit soutien-gorge en dentelle noire.
- Eh bien, si je m’attendais à cela…
J’achève de déboutonner le chemisier de Bérangère. Je le lui retire, sans qu’elle, interdite, ose protester.
- Retire cela, tu seras plus à l’aire. Lui fais-je en désignant son soutien-gorge.
Sourire aux lèvres, elle l’ôte.
- Eh bien si en m’aurait dit cela, je ne l’aurais pas cru…
J’ai de beaux nichons laiteux devant mes yeux. Que je me mets à soupeser avant d’étire les mamelons.
- Tu es en train de me rendre folle, Alain ! Tu sais cela ?
Encouragé par de si belles paroles, je glisse mes mains sous sa jupe. Bon gré mal gré, elle écarte les jambes. Je lui touche l’empiècement du slip que je trouve humide.
- Eh bien Bérengère, tu as fait pipi ?
- Tu ne m'avais pas cru quand je te disais que je mouillais ?
J’écarte le slip. Les bords du sexe sont séparés. Un filet de mouille s’étire entre le fond de la culotte et ses grandes lèvres. Une bonne odeur que je connais bien, émane de l’entrecuisse de Bérangère. Je l’oblige à se retourner. Je lui roule le slip sur le haut des cuisses. Elle crispe ses fesses, réduisant sa raie à un sillon serré.
Je les écarte en plantant mes doigts dans la chair tendre et en étirant sur les côtés. Je lui tâte les bords de l’anus, puis lui enfonce mon index.
Je lui demande à me faire face. J’écarte les mèches de poils collés sur les bords du sexe. Les nymphes de Bérangère pendent au milieu de la vulve humide. Je les étire, dévoilant l’entrée du vagin. J’appuie avec le pouce à l’intérieur du sexe pour faire sortir le clitoris. Je pince les lèvres. Elle a un orgasme bref qui la laisse pantelante.
- Tu vois, je ne t’avais pas menti sur l’état où je me trouvais ! Me lâche-t-elle en se positionnant à genoux devant moi.
Entre-temps, mon sexe a pris de l’ampleur au fond de mon slip. Et sans aucun scrupule, Bérangère pose ses doigts sur la bosse que fait mon érection, à travers les différents textiles. La femme fixe sa main sourire aux lèvres.
- Je prends ça pour un encouragement pour aller au-delà du raisonnable.
La situation est des plus excitantes. Sentir son sexe dans une main est des plus agréables pour tous les deux. D'ailleurs la malicieuse arbore un sourire curieux, un de ces sourires qui en disaient long. Les lèvres très légèrement entrouvertes, les fossettes de ses joues creusées, l’œil rivé sur mon érection.
Elle déboutonne mon jean. Défait ma braguette, écarte les pans de mon froc. Elle resserre doucement ses doigts sur ma verge sous le slip, et soulève l’étoffe avec son poing. Elle laisse échapper un tout petit bruit, curieux et amusant, comme un souffle. Ses yeux courent comme jamais sur mon sexe. Je suis comme fou de joie. Fou d’excitation surtout. Ses yeux délaissent mon sexe et plongent dans les miens. Ce que j’y lis est divin, un désir puissant, de jeu et de plaisir. Sa bouche est légèrement plus ouverte. Elle me dévore véritablement du regard. Je suis dans un état de surexcitation quasi-insupportable, tellement il était puissant.
Elle se sert de sa deuxième main pour effleurer mes testicules. Son regard suit pas à pas l’avancement de ses doigts, c’est divin. Je ne peux empêcher un gémissement de s’échapper de ma bouche. Pour le plus grand plaisir de ma branleuse qui une fois encore me sourit.
Sans hésiter, elle écarte mon slip et l’enfourne dans sa bouche. J’ai l’impression que j’allais m’évanouir tant les sensations étaient indescriptibles. Elle pompe, aspire comme une mort de faim. Sa salive coule le long de ma queue. Avec le bout pointu de sa langue, elle accentue ses pressions sur le frein du prépuce et le méat. C’est divin.
Enfin, je dirais que c’était divin, puisque voilà, je ne sais pourquoi elle se redresse, puis laisse son dos glisser doucement vers le dossier de son fauteuil. Dans le mouvement, ses genoux s’ouvrent doucement, légèrement, et tendent subtilement une de ses jambes.
Le pied bien à plat sur le tapis, elle respire fortement plusieurs fois. Sa poitrine gonfle sa poitrine. Bérangère gigote doucement en face de moi, et je vois avec délices sa main droite venir se poser sur la peau de son genou droit, qu’elle a tendu. La remonte doucement, dans un geste si terriblement féminin.
L’ourlet de la robe de gala rouge remonte dans le mouvement, et sa cuisse droite est soudain presque entièrement visible, alors que son autre cuisse est à demi-découverte. J'aperçois ses doigts, monter puis redescendre doucement sur sa peau, glissant parfois sur la face interne, puis sur la face externe de sa jambe. Je remercie ma queue de m’avoir persuadé de m’avoir mené jusqu’ici. Je suis l’homme le plus heureux de la ville. Bérangère sourit, un sourire presque pervers. Ses doigts caressent sa cuisse, sans indécence.
Elle ouvre légèrement le compas de ses jambes. L’étoffe de la robe fait un parasol de tissu au-dessus de ses jambes. J’aperçois, à grand renfort de battements de cœur, de nouveau sa chatte. Son regard est brillant. Elle fait sortir son pied de son chausson, doucement. Fait arquer ses orteils. Je ne perds pas un seul de ses mouvements. Elle retire son second chausson, et tend ses deux jambes. Elle saisit l’ourlet de sa robe, sans hésitation, le fait remonter sur son ventre.
Je n’ai que d’yeux pour son pubis rebondi. Dans un souffle, elle glisse sa main à plat sur son ventre. Elle a une respiration un peu saccadée, entrecoupée de brefs sursauts. Je regarde, fasciné, ses doigts dessiner une arabesque merveilleuse sur son sexe. Mon regard se gorge de sa caresse ainsi offerte. Je vois l’étoffe froissée, humide, qui dessine les lèvres de son intimité sous le mouvement de ses doigts. Elle est tout simplement irrésistible, divine. Sa toison poivre et sel semble si doux. Mes yeux s’enivrent de ce spectacle insensé, glissant sur la peau nue de l’intérieur de sa cuisse, jusqu’à atteindre une fois encore à son sexe merveilleux.
Je vois ses doigts séparer doucement les poils de sa toison. Doucement, quasi tendrement, un de ses doigts est sur son bouton, et continue à glisser, écartant ses deux lèvres. C’est incroyablement érotique.
Mon regard est comme aimanté par l’étendue et l’épaisseur de sa touffe pubienne. Je ne peux résister à la tentation d’y aller enfouir mon nez dans le triangle poilu.
Je m’agenouille à ses pieds et hume les senteurs naturelles qui s’en dégagent. Odeurs mêlées de mouille de sueur de pisse. Fouinant plus avant, mes narines entrent en contact avec ses grandes lèvres, les fouille, farfouille et termine de les écarter.
De ma langue, je lape son remugle de femme en chaleur. Pendant cette longue exploration, ma verge devient des plus douloureuses au fond de mon slip.
- Baise-moi, me fait-elle, j’ai besoin d’une queue, m’offrant son vagin ouvert.
Je prends la pose, et millimètre après millimètre, je m’enfonce en elle. Elle m’enserre délicieusement. J’ai la sensation de m’enfoncer dans un pot de miel tellement elle mouillait. Je fais durer le plaisir, il me faut plus d’une longue minute pour atteindre le col de l’utérus contre lequel bute ma verge. Bérangère bave, gémit, halète.
Je commence mon mouvement de balancier. Puis à sa demande, j’accélère. Je la secoue avec mes coups de boutoir de plus en plus forts. À chacune de mes poussées, elle répond en lançant son ventre et sa chatte à ma rencontre. Puis elle me ceinture avec ses jambes. Plaque son sexe poilu contre le mien. Je me répands en elle. Je suis au bord de l’évanouissement. L’orgasme la terrasse à son tour. Finalement, elle pousse un dernier râle encore plus rauque que les précédents et unit son pubis contre le mien, à la recherche de la pénétration la plus profonde.
Elle s’agrippe à moi en m’ordonnant de ne plus bouger. Nos poils, nos sueurs, nos sécrétions se mêlent. Pendant un moment, nous restons l’un dans l’autre. Mais comme il faut mettre un terme à cette aventure merveilleuse, je me suis retiré.
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