Mais c'est jamais fini!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mais c'est jamais fini!
Une semaine plus tard après mon aventure avec Bérangère alors que je suis de permanence une fois n’est pas coutume dans la salle, une jeune fille que je connais s’appelant Marine prend place à mes côtés. Pour patienter avant son tour de chant, elle se met à lire son cahier. Je laisse mon regard tombé sur ses pieds. Gobés dans des escarpins de couleurs crème. Je ne serais pas contre de lécher ses petons, si l’envie lui venait de me le proposer.
Son tour de chant arrivant, elle s’en va à l’abord de la scène. Elle me jette des regards non-innocents semblant dire :
- Je compte sur toi pour me regarder !
Pendant toute la durée de son passage, nous nous jetons des regards à intervalle régulier, et nous nous sourions.
Suite à son tour de chant, la voilà qu’elle revient posée son fessier dans le même siège.
- Quelle voix magnifique que tu as Marine… Fais-je, alors qu’un frisson très agréable traverse mon corps.
- Ah oui ! Répond-elle. Je suis ravie de te l’entendre dire.
- C’est que je le pense sincèrement.
Et là surprise, je sens sa main se poser sur ma braguette. Et l’instant d’après me masser ma verge avec efficacité.
- Il paraît que tu raffoles de ça ?
- Tu sais cela d’où ?
Pour toute réponse, elle me sourit. Je me laisse tripoter jusqu’à ce qu’elle se lève et me fait un geste pour que je la suive.
- Je pense qu’il est préférable qu’on aille faire nos cochonneries dans un coin tranquille. Tu ne crois pas ?
- Si tu le dis !
La coquine à l’air de connaître parfaitement les coins tranquilles de la salle.
Nous nous retrouvons dans le bar où je prends la peine de verrouillé l’accès. Dans sa lancée, elle effleure doucement ma verge tendue à travers l’étoffe de mon jean. Ravi de la caresse qu’elle m’offre, sans réfléchir, j’attrape d’autorité sa main, et je la conduis à l’intérieur de mon slip. Totalement libérée, la dévergondée commence un lent va-et-vient sur ma queue. Je sens mes jambes vaciller tant, la jeune fille est experte dans ses caresses coquines.
Silencieux jusqu’alors, je pousse des grognements rauques qui trahissent la venue imminente de son orgasme. Déchaînée, la jeune fille accélère sa masturbation d’experte, sachant que cette queue ne lui résistera pas très longtemps encore.
Mais pour ma part, désireuse de prolonger ces moments électriques, je recule des mains de la branleuse et lui intime l’ordre de mettre sa chatte à l’air, que je suis impatient de faire connaissance avec elle. Ce qu’elle fait sans broncher, et d’une façon qui me met dans un état d’excitation encore plus grand.
Arrivée à la culotte, voilà qu’elle l’attrape et la fait descendre le long de ses jambes. Totalement consciente des dégâts qu’elle est en train de produire chez moi. Je résiste un instant à l’envi de prendre cette effrontée d’un seul coup par-derrière. De labourer son cul. Mais je me ressaisis, je vais au contraire, prendre le temps de la faire crier.
Maintenant, qu’elle a le cul nu, je peux prendre le temps de le mater. Littéralement, en transe, j’invite la jeune fille à me donner sa culotte. Ce qu’elle ne tarde pas à faire. Je place comme je le fais souvent sa petite lingerie au contact de mes narines. Tout en lorgnant la petite peluche à l’état sauve, je hume le tissu. Les parfums aigres qui s’en dégagent me soûlent les sens. Ses seins ballottent au rythme de ses mouvements, ce qui m’excite encore plus, et ça bien sûr, elle l’avait bien deviné.
J’abandonne la petite lingerie pour aller peloter sa poitrine à travers ses vêtements, en me collant contre elle.
- Tu m’as l’air d’être une chaudasse, toi.
- C’est de famille ! Me lâche-t-elle.
Pas du tout tourmenté, par ce qu’elle vient de dire, je l’oblige à écarter les jambes. Toujours contre le mur, elle cède à ma main qui lui fouille le sexe. De ma main libre, je sors ma verge de son slip. Je la frotte contre ses fesses. Elle gémit.
Elle mouille encore plus sous mes caresses. Mes doigts glissent dans son vagin lubrifié. Elle suffoque lorsque je pince son clitoris.
- Tu as t’aimer ça, petite salope !
Et là elle me crache de nouveau un :
- C’est génétique !
Plus je l’abreuve d’injures et d’obscénités, plus elle gémit. Je tapote ma verge contre elle sans cesser de la masturber.
- À genoux !
Alors qu’elle obéit, je devine une silhouette, nous espionner. Savoir qu’on nous épie m’excite encore plus. Une fois agenouillée, je frotte le bout de mon sexe sur son front. Je lui gifle les joues avec ma hampe bandée.
Je place ma queue contre ses lèvres, puis je passe les mains autour de son cou et lui plaque la figure contre mon bas-ventre. Je ne bouge pas, mon sexe enfoui dans sa gorge. Elle enrobe le bout avec sa langue. Je la harcèle de nouveau avec des obscénités. Elle vide sa vessie tout en suçant. Je me retire et tiens ma queue devant son visage. J’éjacule en la tenant par les cheveux. Elle n’essaye même pas d’esquiver les jets gluants qui lui maculent le visage. Je la fais se redresser. Je glisse une main entre les cuisses ouvertes, vers la faille du sexe. Mes doigts agacent les grandes lèvres et se glissent dans le vestibule trempé. Son souffle s’accélère. Je fais aller et venir de ma main le long de la fente plus que gluante. Enfile un, puis deux doigts dans l’orifice élastique, agacent le bouton qui s’érige entre les nymphes.
- Mamie n’avait pas menti. Me lâche-t-elle, en plein délire.
- Tu parles de quoi là ?
- De Mamie Bérangère.
- C’est ta grand-mère ?
- Cela t’étonne ?
- Plus maintenant que je le sais ! Ne me dis pas que c’est elle qui t'a rencardé ?
- Non, je me suis permis de feuilleter son carnet intime.
- Je ne suis pas le seul Alain.
- Non, c’est sûr, mais comme elle a décris parfaitement son partenaire, j’étais un peu près sûr que c’était de toi qu'elle indiquait dans son récit. Et ce qu’elle a décrit ça m’a donné l’eau à la bouche. Et comme cela fait quelques jours que je n’ai pas était baisée, cela m’a tout de suite donné une idée. Et tu connais la suite.
- Eh bien en voilà une drôle d’aventure.
- Oui, comme tu dis. Aller continuant, j’en veux encore. Fait-elle en s’ouvrant de plus en plus, tortillant son cul.
Je prolonge son impatience. Avec des contorsions incontrôlées, les hanches finissent par me supplier que je la baise.
- Viens, s’il te plaît !
Satisfait de cette soumission, je m’agenouille derrière elle. Des deux pouces, j’ouvre la corolle juteuse et vorace. Je place le gland dans l’axe du vagin et à petits coups, je l’engage dans l’orifice dilaté.
Elle brame sans honte son plaisir et pousse son cul à la rencontre de mes coups de reins. Je lui arrache des gémissements voluptueux et des cris d’extase. Nous sommes unis par ma queue. Tout en limant violemment pour envoyer ma queue le plus loin possible dans le vagin, elle gronde entre ses dents serrées.
- Oh ! OOOOh ! Ouiii… c’est bon ! Ah, j’aime que tu me baises ! Ouuuiiii, je la sens bien !
Elle sanglote nerveusement. Ses riens ondulent, ses fesses tremblent, sa poitrine se balance au rythme de ma queue qui la laboure les tendres muqueuses de son vagin élargi.
- Tu es une vraie chienne en chaleur !
- Ouuuuii, ouuuiii… Comme Mamie. Et j’aime ça ! Encore ! Ouuuuiiiii… Continue… Encore, oh oui, encore ! Halète-t-elle.
Elle pousse un ultime cri et cambre sous la violence d’une fulgurante jouissance.
Je remarque que l’intrus avait entre-temps disparu. Une fois son plaisir cuvé, et s’être rhabillé, nous quittons la scène du délit. Une fois dans la salle, elle laisse tomber.
- J’ai honte !
- Je ne sais pas de quoi !
- Et bien, de mettre, laisser aller, bêtement.
- Où vas-tu chercher cela ? Je pense que toi comme moi, nous avons pris notre pied.
- Je ne pense pas d’avoir vu prendre le tient ?
- Tu déconnes, je l’ai pris.
- C’est bizarre, mais je n’ai rien entendu !
- Tu veux peut-être y remédier ?
- Comment ça ?
- À ton avis ?
- Non, tu veux remettre cela ?
- Ce n’est pas ce qui se dit ?
- Sache que je n’ai plus honte et que je suis consentante pour une nouvelle aventure.
- Ce que je sais, c’est que je bande encore.
- Petit cochon ! Tu mériterais que je le dise à ta femme.
- Si tu savais à quel point, je n’en aurais rien à foutre.
- Salaud !
- Cela te bronche qu’en aille à mon bureau ?
- Où tu veux, tant que je jouis !
Une fois sur place, nous nous mettons à poil. Je soude ma bouche à la sienne. Son corps s’arc-boute en avant dans une pose provocante. Ma langue la pénètre jusqu'au palais. Avant de s’emmêler pour une danse tumultueuse. Elle a en bouche des effluves de ma queue. Elle se presse de tout son corps contre moi. Ne se privant pas d’envoyer de nouveau sa main droite à la rencontre de ma queue.
Très vite, le mouvement de sa main se raffermit, en un va-et-vient sur ma hampe bandée. En même temps, son corps se met à osciller d’avant en arrière, comme si elle faisait l’amour avec un être invisible. Son pubis cherche mon sexe dur. Dès qu’elle le trouve, elle se frotte à lui avec acharnement. Comme si sa vie en dépendait !
Je descends mes mains vers le bas de son corps. Avant d’arrêter mon geste. M’écartant de ses lèvres par la même occasion.
- Je me demande après coup si tu n’as pas raison. Il faudrait mieux s’arrêter là, il est encore tant !
Elle me regarde dans les yeux.
- Dis-moi là, tu déconnes !
- Mais…
- C'est bien ce qu'on va voir.
Suite à cela, elle s’adosse, silencieuse, contre mon fauteuil. Je fléchis un genou. Mes mains se tendent vers les cuisses dénudées. À leur contact soyeux et chaud, un frisson délicieux parcoure mes veines, gonflant mon sexe de désir. Je donne un léger coup de reins. Le gland se fraye un passage entre les nymphes, labourant la fente jusqu’à l’entrée du vagin. Je suspends alors mon mouvement, faisant durer le plaisir bien que le temps presse. Mais dans ses instants, j'ai tendance à avoir mon cerveau dans mon gland.
Je ne m'enfonce que de quelques centimètres. Elle est tendue, vibrante, dans l’attente du coït. Dans le reflet de l’ordinateur éteint, j’aperçois les lèvres de Marine qui tremblotent, imperceptible. J’enfonce ma verge de plusieurs centimètres encore et la vois, qui savourant chaque sensation ressentie, change d’expression. Elle rayonne de bonheur. Je passe ses mains derrière elle, la saisis par les fesses et la manipulant à ma guise, me mets à le besogner à larges et puissants coups de reins.
Son vagin brûlant chuinte tellement que ma queue baigne dans son jus. Je le lime durant un long moment avec la régularité d’un métronome, et elle a deux violents orgasmes qui la laissent pantelante.
Puis je m’aperçois que je n’éprouve plus de plaisir dans son antre complètement noyé de mouille, à en débander. Je retire brusquement ma verge du vagin. Je la prends sous les cuisses et soulève, m’agenouillant entre ses jambes, puis j’empoigne mon membre et le dirige vers la nouvelle cible. Elle comprend ce qui va suivre et se relève, tentant de se dégager.
- Non ! Pas ça !
- Attends, t’inquiète… Je sais y faire.
Tout en la relaxant, je travaille son trou jusqu’à ce qu’il soit bien rond, bien ouvert. Je la place face à moi et elle comprend que je ne vais pas changer d’avis. Je colle mon gland contre l’ouverture et pousse. Comme souvent il y a une petite résistance avant que mon gland ne disparaisse dans le boisseau. Je reste immobile quelques secondes. Guettant la réaction de ma partenaire à travers ses grimaces.
- Ça va ?
- Ce n'est pas déplaisant !
Je suis prêt à lui demander si sa chère Mamie ne l’avait pas mentionnée sur ses écrits, mais je me retiens de le faire. La pénétration est si vive qu’une onde la secoue complètement, je m’écroule sur elle. Alors lentement, cette fois, je commence à faire sortir et aussitôt entré ma queue dans le tunnel devenu de plus en plus accueillant. Je lui prends les seins et en tortille les bouts dilatés. Elle ferme les yeux.
Je la sodomise sans effort. Je sens le boisseau s’échauffer. Tout de suite, la jouissance de la coquine arrive par vagues. Elle râle. Me supplie de continuer.
Elle ne se lasse jamais !
Excité, je lui applique des claques sur les fesses. Je pilonne, et pilonne encore. Des ondes que je connais très bien. Annonciateur d’une jouissance tout proche. Encore quelques coups de rien dans son cul et je lâche mon plaisir.
Faut-il que tout soit fini ?
Son tour de chant arrivant, elle s’en va à l’abord de la scène. Elle me jette des regards non-innocents semblant dire :
- Je compte sur toi pour me regarder !
Pendant toute la durée de son passage, nous nous jetons des regards à intervalle régulier, et nous nous sourions.
Suite à son tour de chant, la voilà qu’elle revient posée son fessier dans le même siège.
- Quelle voix magnifique que tu as Marine… Fais-je, alors qu’un frisson très agréable traverse mon corps.
- Ah oui ! Répond-elle. Je suis ravie de te l’entendre dire.
- C’est que je le pense sincèrement.
Et là surprise, je sens sa main se poser sur ma braguette. Et l’instant d’après me masser ma verge avec efficacité.
- Il paraît que tu raffoles de ça ?
- Tu sais cela d’où ?
Pour toute réponse, elle me sourit. Je me laisse tripoter jusqu’à ce qu’elle se lève et me fait un geste pour que je la suive.
- Je pense qu’il est préférable qu’on aille faire nos cochonneries dans un coin tranquille. Tu ne crois pas ?
- Si tu le dis !
La coquine à l’air de connaître parfaitement les coins tranquilles de la salle.
Nous nous retrouvons dans le bar où je prends la peine de verrouillé l’accès. Dans sa lancée, elle effleure doucement ma verge tendue à travers l’étoffe de mon jean. Ravi de la caresse qu’elle m’offre, sans réfléchir, j’attrape d’autorité sa main, et je la conduis à l’intérieur de mon slip. Totalement libérée, la dévergondée commence un lent va-et-vient sur ma queue. Je sens mes jambes vaciller tant, la jeune fille est experte dans ses caresses coquines.
Silencieux jusqu’alors, je pousse des grognements rauques qui trahissent la venue imminente de son orgasme. Déchaînée, la jeune fille accélère sa masturbation d’experte, sachant que cette queue ne lui résistera pas très longtemps encore.
Mais pour ma part, désireuse de prolonger ces moments électriques, je recule des mains de la branleuse et lui intime l’ordre de mettre sa chatte à l’air, que je suis impatient de faire connaissance avec elle. Ce qu’elle fait sans broncher, et d’une façon qui me met dans un état d’excitation encore plus grand.
Arrivée à la culotte, voilà qu’elle l’attrape et la fait descendre le long de ses jambes. Totalement consciente des dégâts qu’elle est en train de produire chez moi. Je résiste un instant à l’envi de prendre cette effrontée d’un seul coup par-derrière. De labourer son cul. Mais je me ressaisis, je vais au contraire, prendre le temps de la faire crier.
Maintenant, qu’elle a le cul nu, je peux prendre le temps de le mater. Littéralement, en transe, j’invite la jeune fille à me donner sa culotte. Ce qu’elle ne tarde pas à faire. Je place comme je le fais souvent sa petite lingerie au contact de mes narines. Tout en lorgnant la petite peluche à l’état sauve, je hume le tissu. Les parfums aigres qui s’en dégagent me soûlent les sens. Ses seins ballottent au rythme de ses mouvements, ce qui m’excite encore plus, et ça bien sûr, elle l’avait bien deviné.
J’abandonne la petite lingerie pour aller peloter sa poitrine à travers ses vêtements, en me collant contre elle.
- Tu m’as l’air d’être une chaudasse, toi.
- C’est de famille ! Me lâche-t-elle.
Pas du tout tourmenté, par ce qu’elle vient de dire, je l’oblige à écarter les jambes. Toujours contre le mur, elle cède à ma main qui lui fouille le sexe. De ma main libre, je sors ma verge de son slip. Je la frotte contre ses fesses. Elle gémit.
Elle mouille encore plus sous mes caresses. Mes doigts glissent dans son vagin lubrifié. Elle suffoque lorsque je pince son clitoris.
- Tu as t’aimer ça, petite salope !
Et là elle me crache de nouveau un :
- C’est génétique !
Plus je l’abreuve d’injures et d’obscénités, plus elle gémit. Je tapote ma verge contre elle sans cesser de la masturber.
- À genoux !
Alors qu’elle obéit, je devine une silhouette, nous espionner. Savoir qu’on nous épie m’excite encore plus. Une fois agenouillée, je frotte le bout de mon sexe sur son front. Je lui gifle les joues avec ma hampe bandée.
Je place ma queue contre ses lèvres, puis je passe les mains autour de son cou et lui plaque la figure contre mon bas-ventre. Je ne bouge pas, mon sexe enfoui dans sa gorge. Elle enrobe le bout avec sa langue. Je la harcèle de nouveau avec des obscénités. Elle vide sa vessie tout en suçant. Je me retire et tiens ma queue devant son visage. J’éjacule en la tenant par les cheveux. Elle n’essaye même pas d’esquiver les jets gluants qui lui maculent le visage. Je la fais se redresser. Je glisse une main entre les cuisses ouvertes, vers la faille du sexe. Mes doigts agacent les grandes lèvres et se glissent dans le vestibule trempé. Son souffle s’accélère. Je fais aller et venir de ma main le long de la fente plus que gluante. Enfile un, puis deux doigts dans l’orifice élastique, agacent le bouton qui s’érige entre les nymphes.
- Mamie n’avait pas menti. Me lâche-t-elle, en plein délire.
- Tu parles de quoi là ?
- De Mamie Bérangère.
- C’est ta grand-mère ?
- Cela t’étonne ?
- Plus maintenant que je le sais ! Ne me dis pas que c’est elle qui t'a rencardé ?
- Non, je me suis permis de feuilleter son carnet intime.
- Je ne suis pas le seul Alain.
- Non, c’est sûr, mais comme elle a décris parfaitement son partenaire, j’étais un peu près sûr que c’était de toi qu'elle indiquait dans son récit. Et ce qu’elle a décrit ça m’a donné l’eau à la bouche. Et comme cela fait quelques jours que je n’ai pas était baisée, cela m’a tout de suite donné une idée. Et tu connais la suite.
- Eh bien en voilà une drôle d’aventure.
- Oui, comme tu dis. Aller continuant, j’en veux encore. Fait-elle en s’ouvrant de plus en plus, tortillant son cul.
Je prolonge son impatience. Avec des contorsions incontrôlées, les hanches finissent par me supplier que je la baise.
- Viens, s’il te plaît !
Satisfait de cette soumission, je m’agenouille derrière elle. Des deux pouces, j’ouvre la corolle juteuse et vorace. Je place le gland dans l’axe du vagin et à petits coups, je l’engage dans l’orifice dilaté.
Elle brame sans honte son plaisir et pousse son cul à la rencontre de mes coups de reins. Je lui arrache des gémissements voluptueux et des cris d’extase. Nous sommes unis par ma queue. Tout en limant violemment pour envoyer ma queue le plus loin possible dans le vagin, elle gronde entre ses dents serrées.
- Oh ! OOOOh ! Ouiii… c’est bon ! Ah, j’aime que tu me baises ! Ouuuiiii, je la sens bien !
Elle sanglote nerveusement. Ses riens ondulent, ses fesses tremblent, sa poitrine se balance au rythme de ma queue qui la laboure les tendres muqueuses de son vagin élargi.
- Tu es une vraie chienne en chaleur !
- Ouuuuii, ouuuiii… Comme Mamie. Et j’aime ça ! Encore ! Ouuuuiiiii… Continue… Encore, oh oui, encore ! Halète-t-elle.
Elle pousse un ultime cri et cambre sous la violence d’une fulgurante jouissance.
Je remarque que l’intrus avait entre-temps disparu. Une fois son plaisir cuvé, et s’être rhabillé, nous quittons la scène du délit. Une fois dans la salle, elle laisse tomber.
- J’ai honte !
- Je ne sais pas de quoi !
- Et bien, de mettre, laisser aller, bêtement.
- Où vas-tu chercher cela ? Je pense que toi comme moi, nous avons pris notre pied.
- Je ne pense pas d’avoir vu prendre le tient ?
- Tu déconnes, je l’ai pris.
- C’est bizarre, mais je n’ai rien entendu !
- Tu veux peut-être y remédier ?
- Comment ça ?
- À ton avis ?
- Non, tu veux remettre cela ?
- Ce n’est pas ce qui se dit ?
- Sache que je n’ai plus honte et que je suis consentante pour une nouvelle aventure.
- Ce que je sais, c’est que je bande encore.
- Petit cochon ! Tu mériterais que je le dise à ta femme.
- Si tu savais à quel point, je n’en aurais rien à foutre.
- Salaud !
- Cela te bronche qu’en aille à mon bureau ?
- Où tu veux, tant que je jouis !
Une fois sur place, nous nous mettons à poil. Je soude ma bouche à la sienne. Son corps s’arc-boute en avant dans une pose provocante. Ma langue la pénètre jusqu'au palais. Avant de s’emmêler pour une danse tumultueuse. Elle a en bouche des effluves de ma queue. Elle se presse de tout son corps contre moi. Ne se privant pas d’envoyer de nouveau sa main droite à la rencontre de ma queue.
Très vite, le mouvement de sa main se raffermit, en un va-et-vient sur ma hampe bandée. En même temps, son corps se met à osciller d’avant en arrière, comme si elle faisait l’amour avec un être invisible. Son pubis cherche mon sexe dur. Dès qu’elle le trouve, elle se frotte à lui avec acharnement. Comme si sa vie en dépendait !
Je descends mes mains vers le bas de son corps. Avant d’arrêter mon geste. M’écartant de ses lèvres par la même occasion.
- Je me demande après coup si tu n’as pas raison. Il faudrait mieux s’arrêter là, il est encore tant !
Elle me regarde dans les yeux.
- Dis-moi là, tu déconnes !
- Mais…
- C'est bien ce qu'on va voir.
Suite à cela, elle s’adosse, silencieuse, contre mon fauteuil. Je fléchis un genou. Mes mains se tendent vers les cuisses dénudées. À leur contact soyeux et chaud, un frisson délicieux parcoure mes veines, gonflant mon sexe de désir. Je donne un léger coup de reins. Le gland se fraye un passage entre les nymphes, labourant la fente jusqu’à l’entrée du vagin. Je suspends alors mon mouvement, faisant durer le plaisir bien que le temps presse. Mais dans ses instants, j'ai tendance à avoir mon cerveau dans mon gland.
Je ne m'enfonce que de quelques centimètres. Elle est tendue, vibrante, dans l’attente du coït. Dans le reflet de l’ordinateur éteint, j’aperçois les lèvres de Marine qui tremblotent, imperceptible. J’enfonce ma verge de plusieurs centimètres encore et la vois, qui savourant chaque sensation ressentie, change d’expression. Elle rayonne de bonheur. Je passe ses mains derrière elle, la saisis par les fesses et la manipulant à ma guise, me mets à le besogner à larges et puissants coups de reins.
Son vagin brûlant chuinte tellement que ma queue baigne dans son jus. Je le lime durant un long moment avec la régularité d’un métronome, et elle a deux violents orgasmes qui la laissent pantelante.
Puis je m’aperçois que je n’éprouve plus de plaisir dans son antre complètement noyé de mouille, à en débander. Je retire brusquement ma verge du vagin. Je la prends sous les cuisses et soulève, m’agenouillant entre ses jambes, puis j’empoigne mon membre et le dirige vers la nouvelle cible. Elle comprend ce qui va suivre et se relève, tentant de se dégager.
- Non ! Pas ça !
- Attends, t’inquiète… Je sais y faire.
Tout en la relaxant, je travaille son trou jusqu’à ce qu’il soit bien rond, bien ouvert. Je la place face à moi et elle comprend que je ne vais pas changer d’avis. Je colle mon gland contre l’ouverture et pousse. Comme souvent il y a une petite résistance avant que mon gland ne disparaisse dans le boisseau. Je reste immobile quelques secondes. Guettant la réaction de ma partenaire à travers ses grimaces.
- Ça va ?
- Ce n'est pas déplaisant !
Je suis prêt à lui demander si sa chère Mamie ne l’avait pas mentionnée sur ses écrits, mais je me retiens de le faire. La pénétration est si vive qu’une onde la secoue complètement, je m’écroule sur elle. Alors lentement, cette fois, je commence à faire sortir et aussitôt entré ma queue dans le tunnel devenu de plus en plus accueillant. Je lui prends les seins et en tortille les bouts dilatés. Elle ferme les yeux.
Je la sodomise sans effort. Je sens le boisseau s’échauffer. Tout de suite, la jouissance de la coquine arrive par vagues. Elle râle. Me supplie de continuer.
Elle ne se lasse jamais !
Excité, je lui applique des claques sur les fesses. Je pilonne, et pilonne encore. Des ondes que je connais très bien. Annonciateur d’une jouissance tout proche. Encore quelques coups de rien dans son cul et je lâche mon plaisir.
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