Toujours plus!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Toujours plus! Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Toujours plus!
Les deux frangines, Ghislaine et Bernadette, sont à présent, histoire ancienne. J’avais envie de passer à autre chose. Une nouvelle conquête, un nouveau corps à découvrir, surtout que ce soit de préférence une femme mûre. Mais avant de trouver la perle rare, je me contente de Muriel. La délurée de Muriel. Je me soulage comme je peux. Je l’initie à la branlette. Cela se fait au cours de jeux, du chat de préférence.
Muriel est toujours ma cible préférentielle. Une fois attrapé, je l’emmène à la cave, et après l’avoir généreusement peloté, elle me branle jusqu’à la jouissance. Jamais plus.
Mais au cours d’une de ses séances de jeux, alors que je l’ai attrapé et que je la mène dans ma cache, je sens qu'on me regarder. Je lève les yeux et aperçois Brigitte, la voisine très spéciale du premier.
Elle m’observe du haut de sa fenêtre en soutien-gorge. Oui, comme je vous le dis ! Il est de couleur verte en dentelle, mais surtout bien rempli. On se regarde longuement. On se sourit même. La séance qui s’en suit me fait un grand bien.
J’ai joui en pensant bien fort à Brigitte. Si je m’étais écouté, ce jour-là, j’aurais sodomisé la petite Muriel. Mais pas de ça entre nous. Bien qu’elle a un cul, aussi généreux que sa mère, Bernadette. Qui demande qu’à être connu, mais je ne suis pas encore accro au point de la culbuter. La branlette suffit amplement à mon désir.
Une fois dans mon lit, j’ai eu du mal à m’endormir, tant Brigitte hante ma mémoire. C'est à l’aube que j’ai pu seulement m’assoupir, après avoir trouvée un moyen de la provoquer pour mieux l’appâter par la suite.
Le lendemain, ce n’est pas bien frais que je suis sorti de chez moi pour prendre le chemin du lycée. Mais alors que je descends l’escalier, j’ai l’agréable plaisir de rencontrer Brigitte, coïncidence ou non ?
Elle enfourne son beau peton gainé de nylon blanc dans sa botte droite. Tout un programme. Qu‘est-ce que je donnerais pour pouvoir m'approprier son collant. Je ralentis nettement ma descente pour apprécier ce spectacle qu’elle m’offre. Arrivée à sa hauteur, elle lève sa tête et me salut d’un bonjour à faire fondre un iceberg.
Je ne sais pas ce qui m’a retenue pour ne pas lui sauter dessus. Ses filles sans doute, m’observant avec une certaine curiosité.
La cochonne, pensais-je. Elle est attirée sans aucun doute par les jeunes puceaux. Leurs queues l’intéressent, oui, avec leurs paires de couilles… Lisses, le plus souvent, et bien lourdes de bon jus… Non… Plus que leurs bouches juvénile, surtout quand elle la plaque étroitement sur ce que je devine qu’elle possède une grosse chatte touffue… Sur son clitoris un peu trop développé de femme mûre gourmande des choses de la chair.
Que de drôle de pensé, qui se bousculent dans mon cerveau. Heureusement, Manu m’attend au coin de la rue. Je vais pour quelque temps, oublier la volcanique Brigitte.
Mais quelques heures plus tard, à la fin des courts, la sulfureuse voisine revient dans mes pensées. Je m’étais mis Martel en tête, que je ferais tout dans mon pouvoir de pervers pour m’approprier un de ces collants portés. De pouvoir sentir son sexe s’entrouvrir à travers la minceur du filet du collant blanc sous lequel elle ne doit pas porter de slip me dissipe.
Pourquoi pas, lui sauter dessus. Je suis sûr qu’elle ne serait pas contre. Lui lacérer son collant jusqu’à en faire de la charpie. J’imagine très bien le tableau. Moi devant le gros plan de son bas-ventre. Dont les lèvres de son sexe sont écartées, brillantes d’une légère couche de mouille. Une respiration haletante lui agite les seins qu’elle a bien lourds.
À l’aide de ses mains aux ongles acérés peints en rouge sang, je la devine bien qu'elle écarte davantage les grandes lèvres, aplatissant la vulve. Un doigt fait sortir le clitoris. J’imagine une vue d’ensemble de la femme en train de se satisfaire. Un jet de mouille suinte de son vagin et elle donne quelques coups de reins.
Que d’imagination me direz-vous ? Et oui, je n’en manquais jamais. Mais tout cela m’a donné une très belle érection. Arrivé chez moi, j’ai l’agréable surprise d’entendre Muriel claquait la porte de chez elle et de débouler dans les escaliers. Je me débarrasse de mon sac, et je l’agrippe en plein vol, dans l’escalier. L’entraînant jusqu’à l’endroit désiré. Celui dont je n’ai pas jusqu’alors l’habitude de l’emmener. Devant la porte d’entrée de l’appartement de Brigitte.
- Qu’est-ce que tu fais, Alain ? Me fait Muriel étonnée.
- Ça te plaît de me voir bander, non. Tiens, regarde dans l’état où je me trouve ? Lui fais-je, fier de lui exhiber mon érection.
Voir mieux, si Brigitte a l’intelligence de regarder par l’œilleton de porte.
- Je compte sur toi Muriel pour me mener à la jouissance.
Muriel, comme à son habitude, fait tourner sur mon gland ses doigts, alors que je me caresse mes testicules gonflés. Puis elle fait rouler ma queue entre ses mains, comme si elle façonnait une pâte chaude. Agitant des hanches, je regarde en direction de la porte de Brigitte. Avec l’assurance qu’elle se trouve derrière la porte. Qu’elle nous regarde. Son œil rivé dans l'œilleton. Prenant de la satisfaction de nous épier. Je suis aux anges ! Du plaisir que me donne Muriel avec sa main droite. Comme du ravissement que me donne aussi Brigitte, de la savoir derrière la porte. Incapable de me contenir plus longtemps, j’éjacule avec une abondance sidérante, en extériorisant au maximum mon plaisir.
Mission terminée, Muriel se sauve, de peur de se faire surprendre. Je reconnais que ce n’était pas très fin de ma part, de faire cela. Mais ma libido me pousse très souvent à commettre l’irréparable.
Je tripote quelques instants encore mon sexe bandé, faisant couler sur la marche, les dernières gouttes de ma jouissance. Je me rajuste et je remonte chez moi, sans me soucier un seul instant, du sol que j’avais souillé de ma jouissance.

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