Magasin de bricolage.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Magasin de bricolage.
Je suis dans le rayon plomberie quand mon regard se porte sur la femme se tenant à quelques mètres de moi. La femme d’un certain âge, boulotte à cheveu blanc, collier de perles et tailleur strict, avec une distinction bien élevé. Quel âge doit-elle avoir ? Je devine la soixantaine passée. Sentant mon regard sur elle la voilà qui me sourit gentiment.
Je ne sais pourquoi. Chose rare chez moi mon regard se porte sur sa poitrine. Que je dirai Énorme ! Elle dépasse de pas mal de centimètres en avant, sa taille. Je suis sous le charme.
Je ne sais pas par quelle magie, mon regard est sans arrêt aimanté vers la masse de ce buste, de son volume. Chaque mouvement de sa personne, sous l’entrebâillement de son manteau égaye à mon regard. Mais voilà qu’elle surprend une fois encore, mon regard devenu plus qu’insistant. Elle dévie la tête, mais je crois apercevoir une ombre de sourire sur ses lèvres. Ai-je fantasmé, ou apprécie-t-elle l’effet quelle donne sur moi ?
Alors que j’essaye de les imaginer sous les épaisseurs de toiles qui les caches, la revoici qu’elle entrouvre son manteau. Dessous elle porte un chandail, distendu bien évidemment par la masse énorme de deux gros nichons. Qu’à chacun de ses mouvements cette protubérance saisissante suit le mouvement avec un peu de retard. Dans un ballottement élastique. L’inconnue surprend une fois encore mon regard fixe, mais cette fois-ci, elle me fixe et lâche un :
- Vous désirez quelque chose monsieur ?
- Je peux vous rendre la question, Madame.
- Je ne comprends pas très bien là.
- L’annonce !
Le seul mot qui me vient à l’esprit.
- Quelle annonce ? Me fait-elle d’un air étonné.
Je me mets à faire tourner mes méninges au maximum.
- Et bien celle qui me donnait rendez-vous aujourd’hui dans ce magasin, dans ce rayon, à cette heure bien précise.
- Alors je ne sais pas de quoi vous parlez. Il y a erreur sur la personne, je crois.
- Je ne crois pas, votre physique correspond exactement à ce qui était désigné sur l’annonce.
- Vous avez lu cela où, si je n’ai pas indiscret ?
- Dans la femme infidèle.
La première chose qui m’est passée par la tête.
- Vous m'envoyez navré, mais je ne connais pas ce genre de magazine. Enfin, si c’est bien un magazine.
- Oui, c’est bien un magazine, une revue de rencontre à vrai dire.
- Je pense un peu l’avoir deviné. Et bien mon cher Monsieur, je ne suis pas avare de ce genre d’aventure, désolé.
- Ce n’est pas grave Madame. Peiné de vous avoir importuné, je vous salut tout de même Madame et excusez-moi encore une fois pour le dérangement.
- Il n’y a pas de quoi, mon cher ami.
Je ne sais pas pourquoi, mais mon sixième sens me dit qu’elle ne va pas se contenter de cela.
- Monsieur ! Me fait-elle alors que je m’éloigne.
Bingo !
- Oui, fais-je après m’être retourné pour lui faire face.
- Je vous ai menti !
- Ah oui, et sur quoi ?
- C’est bien moi l’annonce.
Oh, la menteuse !
- Je l’avais deviné ! Je réponds.
- Et je peux savoir ce qui a fait, que vous avez deviné ?
- Votre merveilleuse poitrine !
Un peu de galanterie plaît aux femmes !
- Merci pour ce compliment, mais, c’est-à-dire ?
Le sang bat à mes tempes. J’ai les mains moites.
- La photo !
- Bien sûr, pourquoi ne pas y avoir pensé. Excusez-moi, je l’avais oublié.
- Je ne vous cache pas que c’est cela qui a fait pencher la balance de votre côté.
La sentant accrocher, je ne peux me retenir de lui lâcher :
- Je peux les voir pour savoir si j’ai affaire à la bonne personne.
- Ouh là ! Dans le magasin ?
- Dans l’annonce, vous aviez précisé que vous étiez prête à tout, et n’importe où.
Elle pose son sac à main à ses pieds. Un coup d’œil dans les alentours, et voilà pour mon plus grand bonheur qu’elle soulève son chandail. Une poitrine barricadée dans un soutien-gorge en dentelle m’apparaît.
- Convaincu, mon beau ?
- Parfait, mieux que sur le cliché.
- Merci… On fait quoi maintenant ? Tu veux en voir plus ?
- Oui…
- Demande-moi…
- Je veux voir ton cul…
- Ici ?
- Quand même pas, je pense qu’un endroit plus discret serait adéquat.
- Je le pense aussi.
Et là, je la guide jusqu’aux toilettes. Heureusement pour nous, le WC handicapé était libre.
- Rentre la dedans ! Je lui fais.
Elle s’exécute, sans rechigner.
- Ça tombe bien, me lâche-t-elle, je porte un nouveau string. Regarde.
Joignant le geste à la parole, elle pose son sac à main sur le lavabo et retrousse l’ourlet de sa jupe, et se tourne pour me présenter deux globes rebondis.
- Alors ? Fait-elle en tournant la tête.
- Je suis sous le charme. Fais-je machinalement, plaquant ma main sur mon sexe que je caresse doucement sous mon jean.
- Mais tu bandes ? S’exclame-t-elle.
- À cause de qui ?
J’ai le souffle court.
- Je suis sûr que tu ne serais pas contre que je la retire. Me lâche-t-elle en désignant sa culotte.
- J’aimerais bien !
Et la voilà qu’elle retire son sous-vêtement. Elle a une chatte incroyable. Un véritable gâteau garni d’une épaisse fourrure de longs poils noirs, surplombé par son ventre blanc, légèrement grassouillet, ses cuisses et ses hanches voluptueuses encadrent le tout magnifiquement…
- Moi, si tu veux savoir, je mouille comme une folle. Va falloir que je me fasse quelque chose.
Je retire jean et slip. Elle passe sa langue sur ses lèvres.
- Hum, quelle belle queue… Ça fait bien longtemps !
J’agrippe de ma main droite ma queue, et là, je commence à m’astiquer devant cette inconnue. De son côté, elle prend place sur le bidet. Les jambes grandes ouvertes. Elle se met à se caresser son bouton sous ses poils, puis un doigt glisse entre ses lèvres. Puis deux, puis trois. La vue de mon sexe ainsi exposé m’excite à mort.
Je prends autant de plaisir de regarder, qu’à être vu. Je me masturbe frénétiquement.
- Si c’était pour faire cela, on n’avait pas besoin d’être deux ! Me fait-elle en soutenant mon regard amusé.
- Je le pense aussi.
Elle se lève et laisse tomber son manteau sur le sol. Elle a vraiment, mais assurément, une poitrine gigantesque qui distend le tissu. Je devine la trace des coutures de son énorme soutien-gorge. Je le vois osciller avec la masse de ses seins quand elle bouge. Je suis absolument fasciné, comme jamais devant une poitrine. Elle s’arrange pour m’exhiber le haut de ses seins par le décolleté de son chandail, pressés l’un contre l’autre, puis le haut d’un soutien-gorge avec de la dentelle blanche. Deux globes blancs apparurent peu à peu, comprimés dans des bonnets de tissu satiné, brillant. Finalement, pour mon plus grand contentement, elle se sépare ce son haut. Sa poitrine gigantesque apparaît, prisonnière du soutien-gorge qui la soutenait fermement.
Avec un grand sourire, elle presse ses mains sur les côtés de ses seins. Puis elle place ses mains par-dessous et les remonte, poussant la masse ferme de sa poitrine lentement vers le haut. Ses nichons paraissent encore plus ronds, et leur volume est incroyable. Ils retombent et semblent rebondir, toujours prisonniers de ce sous-vêtement à la tenue incroyable. Finalement, elle comprime ses seins entre les pouces et les doigts. Ses mains sont bien trop petites pour presser entièrement ses rondeurs, mais elles paraissent dilater encore plus le soutien-gorge vers l’avant, comme si elles voulaient s’avancer vers moi.
J’ai du mal à respirer.
- C’est bien pour ça que tu m’as choisi, non ?
Elle a un sacré culot la vieille, de se mystifier à ce point-là.
-Libère les maintenant !
-Tu voudrais bien les voir libres ? Hein ?
- Pas qu’un peu !
- Alors fais-le toi-même.
J'entends bien là, ce que je désirais entendre. Je passe mes mains derrière son dos et ne dégrafe pas son mal, tant c’est tendu, son soutien-gorge. Très vite, je pose mes mains sur sa poitrine. Je sens contre ma paume et mes doigts sa chair élastique, ferme et tiède. Je mets mon autre main sous l’autre sein et appuie un peu vers le haut, les doigts ouverts. Je sens maintenant tout le poids de son énorme poitrine. Je ferme un peu les doigts, pour palper la chair de ses globes incroyables. Je les caresse légèrement le dessous et le côté. J’entends sa respiration devenir profonde et forte. Me contentant d’appuyer légèrement pour sentir le poids et la fermeté de ses seins. Il me semble qu’elle respire encore plus fort.
La coquine, ne manque pas de fixer mon phallus.
- Avec le physique que tu as, me lance-t-elle, je ne comprends pas pourquoi tu fais appel aux petites annonces.
- Et toi ?
- Moi, je n’ai guère le choix !
Je fais glisser mes doigts sur la face antérieure de sa cuisse. Je sens le contact de sa peau sous la pulpe de mes doigts. Ils pulsent lentement à l’unisson à mesure qu’ils s’aventurent sur l’épiderme. Elle écarte franchement les cuisses pour m’inviter à poursuivre mon exploration.
Ma main remonte telle une araignée de volupté, chaque phalange avançant, glissant, caressant, centimètre après centimètre, dessinant des arabesques et des volutes sur la chair.
Je me concentre sur ce que je sens sous la pulpe de mes doigts. Cette humidité glissante qui s’accentue à mesure que j’appuie mes caresses. La deuxième chose que je perçois, c’est le parfum musqué qui envahit mes narines. Les effluves de son sexe m’enivrent totalement, décuplent ma propre excitation.
Entre la découverte que je sens sous mes doigts, perdus entre ses cuisses, et les senteurs étourdissantes qui s'échappent de ce sexe, mon cerveau est totalement éparpillé. Une sorte d’instinct primaire, animal et antique, prend possession de moi et avec une hardiesse ma main s’enhardit à venir pétrir la chair gonflée du sexe de la femme, ce qui arrache un gémissement à la Dame.
- C’est bon, continue, continue !
Mes doigts se perdent d’abord dans l’épaisse toison brune. Bien que dense, mais étonnamment douce. Puis mes doigts découvrent la merveilleuse géographie du mont de Vénus bombé d’abord, pour le dévaler et ouvrir délicatement les grandes puis les petites lèvres. Un premier passage de mon index sur son clitoris dressé provoque immédiatement un premier orgasme foudroyant. Je concentre mes attentions sur le bourgeon. Je joue avec la pulpe de mon doigt pour dégager le petit capuchon et dessiner des petits cercles qui provoquent immédiatement un nouvel orgasme. Ivre de désir et emporté par le sentiment de pouvoir donner autant de plaisir à cette femme qui lui offre son intimité, je répète une nouvelle fois les mouvements qui viennent par deux fois de propulser la femme aux cimes du plaisir, ce qui provoque un nouvel orgasme, plus puissant, en même temps que je sens un jet chaud couler et inonder ma main.
Je m’agenouille devant elle. J’enfouis ma bouche dans les chairs odorantes et les lèche. Prenant ses genoux dans ses mains, elle se laisse aller en arrière sur le bidet, ramenant ses cuisses sur son ventre.
- Vas-y, oui, bouffe-moi la chatte, mon trou du cul aussi, j’aime ça !
J’écarte pour ça à deux mains, je lui lèche l’anus odorant. Les poils qui débordent de sa raie me permettent à peine de voir son orifice. Au bout de quelques minutes, elle me tire par les cheveux.
- Baise-moi maintenant !
Je me redresse et me penchant au-dessus de la table, j’enfonce mon sexe jusqu’aux couilles. Elle émet un roucoulement satisfait. Couché sur elle, me tenant ses hanches, j’écrase ma bouche sur ses mamelles.
Je la besogne à grands coups, mes couilles se fracassent contre ses fesses avec des bruits mous. Le ventre et ses seins se soulèvent et s’abaissent, ses soupirs deviennent rauques.
- Encore… Plus fort… Plus loin… Au fond.
Je la lime.
- Oui… Oui ! Défonce-moi à fond !
Elle s’agite comme un ver coupé. Les pointes de ses mamelons sont monstrueusement allongées, comme des doigts tendus. Je me mets à lui ramoner rageusement la chatte. Elle a soudain comme un spasme qui la secoue des pieds à la tête, puis elle s’évanouit.
- Oh, comme tu sais bien y prendre ! C’est merveilleux comme ce traitement me fait du bien. Je me sens toute détendue.
Je jouis à mon tour, le corps tendu en avant, fessant une fesse de la baisée sous la violence de mon plaisir. Alors que je me retire son vagin ouvert perds des liquides. Mais avant de nous quitté, la voilà qui m'avoue.
-En fait, l'annonce ce n'était pas moi!
-ça je le savais!
Je ne sais pourquoi. Chose rare chez moi mon regard se porte sur sa poitrine. Que je dirai Énorme ! Elle dépasse de pas mal de centimètres en avant, sa taille. Je suis sous le charme.
Je ne sais pas par quelle magie, mon regard est sans arrêt aimanté vers la masse de ce buste, de son volume. Chaque mouvement de sa personne, sous l’entrebâillement de son manteau égaye à mon regard. Mais voilà qu’elle surprend une fois encore, mon regard devenu plus qu’insistant. Elle dévie la tête, mais je crois apercevoir une ombre de sourire sur ses lèvres. Ai-je fantasmé, ou apprécie-t-elle l’effet quelle donne sur moi ?
Alors que j’essaye de les imaginer sous les épaisseurs de toiles qui les caches, la revoici qu’elle entrouvre son manteau. Dessous elle porte un chandail, distendu bien évidemment par la masse énorme de deux gros nichons. Qu’à chacun de ses mouvements cette protubérance saisissante suit le mouvement avec un peu de retard. Dans un ballottement élastique. L’inconnue surprend une fois encore mon regard fixe, mais cette fois-ci, elle me fixe et lâche un :
- Vous désirez quelque chose monsieur ?
- Je peux vous rendre la question, Madame.
- Je ne comprends pas très bien là.
- L’annonce !
Le seul mot qui me vient à l’esprit.
- Quelle annonce ? Me fait-elle d’un air étonné.
Je me mets à faire tourner mes méninges au maximum.
- Et bien celle qui me donnait rendez-vous aujourd’hui dans ce magasin, dans ce rayon, à cette heure bien précise.
- Alors je ne sais pas de quoi vous parlez. Il y a erreur sur la personne, je crois.
- Je ne crois pas, votre physique correspond exactement à ce qui était désigné sur l’annonce.
- Vous avez lu cela où, si je n’ai pas indiscret ?
- Dans la femme infidèle.
La première chose qui m’est passée par la tête.
- Vous m'envoyez navré, mais je ne connais pas ce genre de magazine. Enfin, si c’est bien un magazine.
- Oui, c’est bien un magazine, une revue de rencontre à vrai dire.
- Je pense un peu l’avoir deviné. Et bien mon cher Monsieur, je ne suis pas avare de ce genre d’aventure, désolé.
- Ce n’est pas grave Madame. Peiné de vous avoir importuné, je vous salut tout de même Madame et excusez-moi encore une fois pour le dérangement.
- Il n’y a pas de quoi, mon cher ami.
Je ne sais pas pourquoi, mais mon sixième sens me dit qu’elle ne va pas se contenter de cela.
- Monsieur ! Me fait-elle alors que je m’éloigne.
Bingo !
- Oui, fais-je après m’être retourné pour lui faire face.
- Je vous ai menti !
- Ah oui, et sur quoi ?
- C’est bien moi l’annonce.
Oh, la menteuse !
- Je l’avais deviné ! Je réponds.
- Et je peux savoir ce qui a fait, que vous avez deviné ?
- Votre merveilleuse poitrine !
Un peu de galanterie plaît aux femmes !
- Merci pour ce compliment, mais, c’est-à-dire ?
Le sang bat à mes tempes. J’ai les mains moites.
- La photo !
- Bien sûr, pourquoi ne pas y avoir pensé. Excusez-moi, je l’avais oublié.
- Je ne vous cache pas que c’est cela qui a fait pencher la balance de votre côté.
La sentant accrocher, je ne peux me retenir de lui lâcher :
- Je peux les voir pour savoir si j’ai affaire à la bonne personne.
- Ouh là ! Dans le magasin ?
- Dans l’annonce, vous aviez précisé que vous étiez prête à tout, et n’importe où.
Elle pose son sac à main à ses pieds. Un coup d’œil dans les alentours, et voilà pour mon plus grand bonheur qu’elle soulève son chandail. Une poitrine barricadée dans un soutien-gorge en dentelle m’apparaît.
- Convaincu, mon beau ?
- Parfait, mieux que sur le cliché.
- Merci… On fait quoi maintenant ? Tu veux en voir plus ?
- Oui…
- Demande-moi…
- Je veux voir ton cul…
- Ici ?
- Quand même pas, je pense qu’un endroit plus discret serait adéquat.
- Je le pense aussi.
Et là, je la guide jusqu’aux toilettes. Heureusement pour nous, le WC handicapé était libre.
- Rentre la dedans ! Je lui fais.
Elle s’exécute, sans rechigner.
- Ça tombe bien, me lâche-t-elle, je porte un nouveau string. Regarde.
Joignant le geste à la parole, elle pose son sac à main sur le lavabo et retrousse l’ourlet de sa jupe, et se tourne pour me présenter deux globes rebondis.
- Alors ? Fait-elle en tournant la tête.
- Je suis sous le charme. Fais-je machinalement, plaquant ma main sur mon sexe que je caresse doucement sous mon jean.
- Mais tu bandes ? S’exclame-t-elle.
- À cause de qui ?
J’ai le souffle court.
- Je suis sûr que tu ne serais pas contre que je la retire. Me lâche-t-elle en désignant sa culotte.
- J’aimerais bien !
Et la voilà qu’elle retire son sous-vêtement. Elle a une chatte incroyable. Un véritable gâteau garni d’une épaisse fourrure de longs poils noirs, surplombé par son ventre blanc, légèrement grassouillet, ses cuisses et ses hanches voluptueuses encadrent le tout magnifiquement…
- Moi, si tu veux savoir, je mouille comme une folle. Va falloir que je me fasse quelque chose.
Je retire jean et slip. Elle passe sa langue sur ses lèvres.
- Hum, quelle belle queue… Ça fait bien longtemps !
J’agrippe de ma main droite ma queue, et là, je commence à m’astiquer devant cette inconnue. De son côté, elle prend place sur le bidet. Les jambes grandes ouvertes. Elle se met à se caresser son bouton sous ses poils, puis un doigt glisse entre ses lèvres. Puis deux, puis trois. La vue de mon sexe ainsi exposé m’excite à mort.
Je prends autant de plaisir de regarder, qu’à être vu. Je me masturbe frénétiquement.
- Si c’était pour faire cela, on n’avait pas besoin d’être deux ! Me fait-elle en soutenant mon regard amusé.
- Je le pense aussi.
Elle se lève et laisse tomber son manteau sur le sol. Elle a vraiment, mais assurément, une poitrine gigantesque qui distend le tissu. Je devine la trace des coutures de son énorme soutien-gorge. Je le vois osciller avec la masse de ses seins quand elle bouge. Je suis absolument fasciné, comme jamais devant une poitrine. Elle s’arrange pour m’exhiber le haut de ses seins par le décolleté de son chandail, pressés l’un contre l’autre, puis le haut d’un soutien-gorge avec de la dentelle blanche. Deux globes blancs apparurent peu à peu, comprimés dans des bonnets de tissu satiné, brillant. Finalement, pour mon plus grand contentement, elle se sépare ce son haut. Sa poitrine gigantesque apparaît, prisonnière du soutien-gorge qui la soutenait fermement.
Avec un grand sourire, elle presse ses mains sur les côtés de ses seins. Puis elle place ses mains par-dessous et les remonte, poussant la masse ferme de sa poitrine lentement vers le haut. Ses nichons paraissent encore plus ronds, et leur volume est incroyable. Ils retombent et semblent rebondir, toujours prisonniers de ce sous-vêtement à la tenue incroyable. Finalement, elle comprime ses seins entre les pouces et les doigts. Ses mains sont bien trop petites pour presser entièrement ses rondeurs, mais elles paraissent dilater encore plus le soutien-gorge vers l’avant, comme si elles voulaient s’avancer vers moi.
J’ai du mal à respirer.
- C’est bien pour ça que tu m’as choisi, non ?
Elle a un sacré culot la vieille, de se mystifier à ce point-là.
-Libère les maintenant !
-Tu voudrais bien les voir libres ? Hein ?
- Pas qu’un peu !
- Alors fais-le toi-même.
J'entends bien là, ce que je désirais entendre. Je passe mes mains derrière son dos et ne dégrafe pas son mal, tant c’est tendu, son soutien-gorge. Très vite, je pose mes mains sur sa poitrine. Je sens contre ma paume et mes doigts sa chair élastique, ferme et tiède. Je mets mon autre main sous l’autre sein et appuie un peu vers le haut, les doigts ouverts. Je sens maintenant tout le poids de son énorme poitrine. Je ferme un peu les doigts, pour palper la chair de ses globes incroyables. Je les caresse légèrement le dessous et le côté. J’entends sa respiration devenir profonde et forte. Me contentant d’appuyer légèrement pour sentir le poids et la fermeté de ses seins. Il me semble qu’elle respire encore plus fort.
La coquine, ne manque pas de fixer mon phallus.
- Avec le physique que tu as, me lance-t-elle, je ne comprends pas pourquoi tu fais appel aux petites annonces.
- Et toi ?
- Moi, je n’ai guère le choix !
Je fais glisser mes doigts sur la face antérieure de sa cuisse. Je sens le contact de sa peau sous la pulpe de mes doigts. Ils pulsent lentement à l’unisson à mesure qu’ils s’aventurent sur l’épiderme. Elle écarte franchement les cuisses pour m’inviter à poursuivre mon exploration.
Ma main remonte telle une araignée de volupté, chaque phalange avançant, glissant, caressant, centimètre après centimètre, dessinant des arabesques et des volutes sur la chair.
Je me concentre sur ce que je sens sous la pulpe de mes doigts. Cette humidité glissante qui s’accentue à mesure que j’appuie mes caresses. La deuxième chose que je perçois, c’est le parfum musqué qui envahit mes narines. Les effluves de son sexe m’enivrent totalement, décuplent ma propre excitation.
Entre la découverte que je sens sous mes doigts, perdus entre ses cuisses, et les senteurs étourdissantes qui s'échappent de ce sexe, mon cerveau est totalement éparpillé. Une sorte d’instinct primaire, animal et antique, prend possession de moi et avec une hardiesse ma main s’enhardit à venir pétrir la chair gonflée du sexe de la femme, ce qui arrache un gémissement à la Dame.
- C’est bon, continue, continue !
Mes doigts se perdent d’abord dans l’épaisse toison brune. Bien que dense, mais étonnamment douce. Puis mes doigts découvrent la merveilleuse géographie du mont de Vénus bombé d’abord, pour le dévaler et ouvrir délicatement les grandes puis les petites lèvres. Un premier passage de mon index sur son clitoris dressé provoque immédiatement un premier orgasme foudroyant. Je concentre mes attentions sur le bourgeon. Je joue avec la pulpe de mon doigt pour dégager le petit capuchon et dessiner des petits cercles qui provoquent immédiatement un nouvel orgasme. Ivre de désir et emporté par le sentiment de pouvoir donner autant de plaisir à cette femme qui lui offre son intimité, je répète une nouvelle fois les mouvements qui viennent par deux fois de propulser la femme aux cimes du plaisir, ce qui provoque un nouvel orgasme, plus puissant, en même temps que je sens un jet chaud couler et inonder ma main.
Je m’agenouille devant elle. J’enfouis ma bouche dans les chairs odorantes et les lèche. Prenant ses genoux dans ses mains, elle se laisse aller en arrière sur le bidet, ramenant ses cuisses sur son ventre.
- Vas-y, oui, bouffe-moi la chatte, mon trou du cul aussi, j’aime ça !
J’écarte pour ça à deux mains, je lui lèche l’anus odorant. Les poils qui débordent de sa raie me permettent à peine de voir son orifice. Au bout de quelques minutes, elle me tire par les cheveux.
- Baise-moi maintenant !
Je me redresse et me penchant au-dessus de la table, j’enfonce mon sexe jusqu’aux couilles. Elle émet un roucoulement satisfait. Couché sur elle, me tenant ses hanches, j’écrase ma bouche sur ses mamelles.
Je la besogne à grands coups, mes couilles se fracassent contre ses fesses avec des bruits mous. Le ventre et ses seins se soulèvent et s’abaissent, ses soupirs deviennent rauques.
- Encore… Plus fort… Plus loin… Au fond.
Je la lime.
- Oui… Oui ! Défonce-moi à fond !
Elle s’agite comme un ver coupé. Les pointes de ses mamelons sont monstrueusement allongées, comme des doigts tendus. Je me mets à lui ramoner rageusement la chatte. Elle a soudain comme un spasme qui la secoue des pieds à la tête, puis elle s’évanouit.
- Oh, comme tu sais bien y prendre ! C’est merveilleux comme ce traitement me fait du bien. Je me sens toute détendue.
Je jouis à mon tour, le corps tendu en avant, fessant une fesse de la baisée sous la violence de mon plaisir. Alors que je me retire son vagin ouvert perds des liquides. Mais avant de nous quitté, la voilà qui m'avoue.
-En fait, l'annonce ce n'était pas moi!
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