BEAU PAPA. (2/2) - histoire érotique

Ou cela va-t-il me conduire ?
J’ai accueilli mon fils et sa compagne dans ma villa dans l’arrière-pays provençale et j’ai cédé à la petite qui m’a masturbé et qui vient même de me faire une fellation avalant mon sperme avec envie.

Comme la semaine précédente Lilian nous quitte le dimanche vers 17 heures.
Je le vois s’approcher de Véronique qui est mollement allongée au bord de la piscine dans la chaise longue où elle m’a masturbé puis sucé et il l’embrasse.
Contrairement au jour où nous sommes seules elle est en maillot et il me vient à l’esprit que tout le week-end elle l’a gardé sur son corps semblant vouloir le cacher à celui qu’elle est censée épouser.
Il vient de partir sur la route son sac à la main et j’entends la voiture de service qui vient le chercher, donner un coup d’avertisseur quand elle arrive à sa hauteur.
Cela semble être le signal attendu par ma bru qui délasse les ficelles de son slip et de son haut se montrant nue de nouveau devant moi.
Je m’approche et c’est moi qui m’assieds à ses pieds évitant ainsi d’exposer ma virilité à sa convoitise.

• Comment se sont passés vos moments d’intimité avec mon fils ?
• Je l’ai sucé comme tu m’as appris, il a beaucoup aimé.
• Et c’est tout.

En me disant cela elle me prend la main et la pose sur sa chatte.

• Oui, que pouvais-je faire d’autre.

Il semble que les connaissances sexuelles de Véronique avancent au gré de ce que je lui apprends.
La main qu’elle m’a saisie me permet de lui caresser sa toison.

• C’est agréable, caresse-moi.

Je continue à progresser et naturellement je lui caresse le clito.

• C’est bon, c’est la première fois que j’ai la chatte qui me brûle, que me fais-tu ?
• Avec ta main tu m’as masturbé avec mon doigt je te caresse le clito, depuis ta puberté, tu dois le stimuler.
• Je te l’ai dit, je me suis mis un doigt j’ai eu un peu mal alors je laisse mon sexe tranquille mais là, j’ai une sensation bizarre.
• Ton clito s’éveille à la sexualité, tu vas pouvoir commencer ta vie de femme, écarte tes cuisses, je vais te caresser.

Je reconnais que je suis fou, me faire masturber je peux le comprendre mais là, lui caresser le clito d’une main écartant ses grandes lèvres de l’autre passe encore mais que je me penche afin que ma langue remplace mon doigt quelle impertinence.
D’autant plus que son bouton réagit et comme je l’ai fait quand elle m’a sucé elle m’appuie sur la tête pour que ma langue entre jusqu’à son hymen que je me garde bien de lui enlever, réservant ce moment d’intimité à mon fils.
Dans les jours qui ont suivi c’est sur la pelouse que nous roulons fréquemment dans des 69 que j’apprécie et qu’elle apprécie de plus en plus.
Je vois arriver le week-end avec bien du plaisir car à mon âge les moments où je lui emplis la bouche finie par me fatiguer et ces deux jours vont me permettre de me requinquer.
C’est mal connaître la petite qui s’éveille au sexe car non contente de faire avec Lilian ce que j’ai fait avec elle dans la semaine profitant de ce que mon fils est allé au village me pompe comme la vraie salope encore vierge qu’elle est devenue.

Le dimanche et le lundi il pleut, je suis tranquille car nous restons habillés et j’arrive à éviter tout rapprochement mais après la pluie vient le beau temps et nous reprenons nos bonnes habitudes de relaxation sur les transats.
Est-ce le soleil qui décuple notre libido ?
Je broute sa chatte autant qu’elle me suce la queue.
Je sens qu’en moi quelque chose me manque et j’hésite à lui demander s’il en est de même pour elle, nous évitons de parler du week-end et de ce qu’elle a fait avec Lilian sachant l’un comme l’autre qu’elle l’a sucé et qu’elle lui a permis de mettre sa langue dans sa chatte comme je lui ai appris toute la semaine.

La chaleur aidant sans un mot nous plongeons dans l’eau fraîche.
Nous nageons de concert mais elle est jeune et bien vite je la regarde faire deux fois le bassin avant de me rejoindre sur les marches ou ma fatigue m’a conduite.
Elle s’approche et pour la première fois depuis que nous avons des rapports sexuels de plus en plus avancés, je l’embrasse me rendant mon baiser ce qui fait chavirer mon cœur.
Nus tous les deux son corps appuyé sur le mien je bande et c’est elle qui prend ma verge dans sa main et qui la place dans sa chatte.
Elle donne un joli coup de rein et quelques secondes après par-dessus son épaule je vois un filet de sang venir se perdre dans les litres d’eau de ma piscine.
Je devrais avoir des remords d’avoir défloré ma petite, j’allais dire bru, non, petite maîtresse et sans aucune retenue je la renverse et même si la position et les marches doivent lui briser le dos je plonge mon sexe au plus loin que je peux aller au fond de sa chatte.
Nos bouches restent soudées et c’est sur mes lèvres que je reçois son premier orgasme.
J’avais déjà défloré mon ex quand je l’ai connu mais dans ces temps-là j’étais un chien fou et il lui a fallu plusieurs coïts pour qu’elle atteigne le nirvana que j’apporte à cette jeune fille qui vient de jeter ses préjugés pour faire éclater son corps comme je lui avais dit de le faire avec mon fils pour éviter de devenir une jeune femme frustrée.

Dans les heures qui nous séparent du retour de Lilian elle vient couchée dans ma chambre et j’apprends à lui apporter tous les plaisirs que le sexe de l’autre peut lui procurer.
Rapidement elle prend des habitudes et des positions que je lui apprends pour se faire sauter.
Je contemple la petite chienne que j’ai mise au jour en l’ouvrant à sa sexualité.

Alors que les semaines précédentes nous attendions qu’elle ait fait avec mon fils la même chose que ce que je lui avais appris, en plus de son hymen en position du missionnaire je lui apprends à se faire mettre en levrette.
Ce que j’aime c’est quand elle se place sur moi et qu’elle s’empale me permettant de lui caresser les seins avec mes mains en même temps qu’elle me roule des pelles qui me font immédiatement bander comme un taureau.
Le matin du retour de celui que je cocufie elle a ses règles et le week-end aurait pu être calme si Lilian en arrivant nous donne deux éléments qui vont changer notre vie.
Nous sommes à table et au dessert il revient de la cuisine avec trois coupes et une bouteille de champagne.

• Que fêtes-tu ?
• Plusieurs choses, en premier, mon contrat en CDD est transformé en CDI et je vais partir travailler à l’international pour des contrats de longue durée qui vont nous permettre d’avoir une vie meilleure dans le futur.
Papa j’ai une demande à te faire, peux-tu garder Véronique chez toi car je pars pour une première mission de trois mois dans le golf avec retour pour deux semaines de vacances avant d’y retourner, je serais plus rassuré si je la savais protéger près de toi.
• Aucun problème fiston je te la garderai précieusement bien au chaud.
• Et notre mariage mon cœur.
• J’ai envoyé une demande de report pour nos bancs, est-ce nécessaire d’être marié pour s’aimer.

La phrase suivant qui sort de sa jolie bouche est dite en me regardant intensément.

• Tu as raison mon cœur, il faut savoir choisir quand une occasion se présente par les temps qui courent pour trouver un travail, je suis sûr que mon beau-papa prendra soin de moi, part tranquille.

Pour partir tranquille, il part tranquille, nous l’accompagnons même jusqu’à la route et le voyons monter dans la voiture avec sa grosse valise qu’elle lui a préparée pour qu’il ait tout ce qu’il lui faut jusqu’à son retour.
Aussitôt la voiture ayant tourné le coin et que nous soyons à l’abri des regards de voisins très peu nombreux il est vrai elle me saute au cou et nous nous embrassons toujours aussi avidement comme le font tous les amants du monde heureux de se retrouver.
Nous passons une nuit de folie où elle m’offre son anus, mais dès que je lui remplis la bouche ayant souhaité boire mon sperme une évidence se fait jour.

• Je croyais que tu avais tes règles.
• Reparlons-en dans deux ou trois jours.
• Salope, tu voulais éviter de baiser avec Lilian.
• Oui et maintenant nous sommes tranquilles trois mois avant de nous poser la question sur notre avenir.
Redonne-moi ta queue, je suis excité comme une pile électrique, tu vas voir comme on va être heureux, mon corps est entièrement à toi, je veux éviter de devenir la femme que tu m’as décrite quand tu as su qu’avec ton fils le sexe était tabou.

C’est comme cela qu’ayant la queue tendue je la pénètre pour une nouvelle partie de baise qu’elle semble particulièrement apprécier.
Je suis heureux d’avoir une telle pouliche à monter en course d’obstacles toute plus poussez les unes que les autres.

• Je peux te demander quelque chose.
• Oui si je peux te répondre.
• Comment faisais-tu avant de me connaître avec les femmes, tu avais des maîtresses ?
• Oui et non.

Une nouvelle fois je parle trop.

• J’allais dans un club échangiste où je trouvais des jeunes filles.
• Emmène-moi, je veux tout connaître de ton ancienne vie.
• Tu es trop jeune.
• Non emmène-moi, je suis majeur et sinon j’irai toute seule.

C’est ainsi que le lendemain soir je la vois se préparer et que la responsable à l’entrée du club fait celle qui m’a jamais vu quand nous arrivons.
Elle prend rapidement ses marques dans ce milieu libéré et alors qu’elle s’est empalée sur ma tige je vois s’avancer un des deux grands blacks qui avaient fait une double à la petite blonde et d’un geste de la tête me fait comprendre qu’il souhaite la sodomiser.
Ayant vu son geste je lui donne mon accord, je sens son gland entré dans l’anneau de Véronique et quand il parvient au fond de son conduit avance et recule me procurant une sensation étrange de sentir cette verge se frotter à la mienne.
Les libertins sont de plus en plus nombreux autour de nous et celle qui voulait garder sa virginité pour le soir de son mariage hurle son plaisir.
C’est cri son vite arrêté quand l’un des voyeurs dépassant ce stade vient lui mettre sa bite dans la bouche ce qui me permet vu ma position de voir cette verge entrer jusqu’au fond de sa gorge.
Sa trachée en est distendue sans que pour autant elle ait le moindre vomissement.
Toutes les semaines elle souhaite revenir alors pourquoi lui refuser ce plaisir tant qu’elle me fait participer.

Les trois mois passent très vite à la baiser et à partouzer même au moment de ses périodes ou sans aucune retenue elle m’offre son cul, j’ai perdu mes poignées d’amour et je suis affûté comme avant mon mariage ou j’avais un poids de masse corporelle parfait.
J’ai la meilleure aimante à ma disposition jusqu’au jour du retour de Lilian.
Si mon fils avait été observateur et perspicace il se serait aperçu que sa chambre et surtout son lit était dans le même état que le jour de son départ Véronique ayant couché avoir moi tout ce temps.
Mais au matin c’est moi qui suis jaloux car le couple se présente à moi très amoureux, Véronique est dans ses bras me montrant que ma salope de belle-fille après s’être tapé le père se tape le fils.
Deux semaines avant de retrouver nos bonnes habitudes quand la voiture a démarré pour trois nouveaux mois.

• Tu as l’air malheureux, je sais que tu as fait ceinture pendant deux semaines et je comprends que tu m’en veux, mais je vais t’annoncer une nouvelle qui va t’enchanter.
• Je t’écoute.
• Tu vas être papa.
• Tu débloques, le soleil t’a frappé sur la tête.
• Non, je le sais depuis trois semaines et c’est pour cela que je suis resté avec Lilian pendant ses vacances, dans quelques jours je lui enverrais un E-mail lui montrant l’écographie que tu vas m’emmener passer cette après-midi.
• Il croira que ton fils est son fils mais je te fais une promesse, j’ai annulé notre mariage et je te serai toujours fidèle à notre manière chaque fois qu’il sera de retour.