Besoin de toi!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Besoin de toi!
Il se trouve que ce matin-là je passe chez moi à l’improviste pour prendre quelques cassettes vidéo que j’ai promises à un pote. Au bout d’un moment j’entends comme des gémissements venant des chambres à l’étage. Je me demande bien qui peut se trouver là. Ma première pensée va pour une nouvelle aventure de ma femme.
Elle doit se taper un copain, un voisin... Je monte les marches en faisant attention de ne pas faire grincer les marches. J'approche de la chambre d’où viennent les plaintes. Je fais légèrement tourner la porte sur ses gonds. J’y trouve Zoé, la baby-sitter. Elle est de dos. Assise sur le fauteuil devant son ordinateur. Elle ne peut me voir.
Elle se caresse, devant mon ordinateur. Elle a dû trouver ma disquette avec toutes mes histoires de cul. Ma verge commence à faire des siennes dans mon slip. Je décide pourtant de quitter les lieux.
Mais voilà, arrivée devant la porte d’entrée, je suis submergé par une drôle d’envie. Et c’est pour cela que je claque la porte et m’annonce. Tout de suite j’entends du remue-ménage à l’étage. Avant de trouver la fameuse Zoé devant moi. Je la salue. J’échange quelques banalités. Je lui demande qu’est-ce qu’elle fait chez moi, surtout seule. Elle me fait savoir qu'elle est venue récupérer un bouquin de poche qu’elle avait oublié lors de son dernier passage. Et comme elle avait la clé, elle s’est permis
-Cela ne te gêne pas !
-Bien sûr que non ! Et tu la trouvais.
-Quoi ?
-Eh bien ton bouquin !
-Oui…oui, il se trouvait dans la chambre.
-Laquelle ?
-Celle de ta fille.
-Et il est où là.
-Merde, je l’ai oublié.
-Allant le chercher, veux-tu.
Elle semble gênée que je l’accompagne. Bien sûr, pas de bouquin dans la chambre de ma fille. Par contre, dans la mienne l’ordinateur est en fonction, et sur l’écran mes écrits.
-À ce que je vois, tu as trouvé ma planque.
-Je m’excuse. Je n'aurais pas dû !
-Je le confirme. Je sais à présent que je dois lui trouver une nouvelle planque. Tant pis pour toi ! Tu n’auras plus l’occasion de te cajoler en me lisant.
-Oh ! J’ai honte !
-N'ai pas honte, il n'y a rien de mal !
-Tu n’en parles à personne. J’aurais trop honte !
-Non, t'inquiète. Tu as joui ?
Elle laisse tomber un timide, oui.
-Montre-moi tes fesses !
Choquée par une telle demande, elle laisse tomber.
-Non, ne gâche pas cet instant merveilleux !
-Fais-moi voir ton cul !
Elle me tourne le dos et remonte l’ourlet de sa jupe. Elle porte en dessous une adorable culotte. Les joues en feu, elle baisse son slip à mi-cuisses, les jambes serrées par honte.
-Penche-toi maintenant.
Elle se plie en deux. Cette position ouvre ses fesses et dévoile aussi sa chatte. Je m’avance jusqu’à me tenir maintenant contre elle. Le contact des poils rêches. Je promène mes doigts sur les globes lisses et ronds. Je pose ma main sur le haut de sa cuisse. Elle me surveille du coin de l’œil. Sa peau est aussi douce que la soie. J’entrebâille les petites lèvres. Je vois l’intérieur du vagin. Mes doigts parcourent les poils. Elle tressaille sans bouger. La cochonne aime se faire toucher. Mon doigt titille doucement une petite lèvre. Je la sens s’écarter plus encore. Son odeur forte monte à mes narines. Epicée, poivrée, elle est enivrante. Du coin de l’œil, je surveille sa réaction.
-Bon, tu peux te retirer maintenant, et jurer que cela restera entre nous.
-C’est tout ce que tu voulais de moi ? Ton cul ne te plaît pas ?
-Non, je le trouve charmant.
-Et cela ne te dit pas de faire connaissance avec lui.
-C’est une invitation à consommer ?
-Va savoir.
-Tu veux peut-être que je téléphone à ma femme pour savoir si elle est d’accord ?
-Tu ne vas pas me dire que tu lui demandes toujours son autorisation pour consommer.
-Ça veut dire quoi cela ?
-Que ça fait longtemps que je lis ta biographie.
-Tout n’est pas que du vécu dans ce que j’écris !
-Et c’est quoi le vrai du faux !
-Bon, cela te dit que je te la lèche ?
Elle ne dit rien. Alors je m’agenouille. Je tends ma langue et goûte l’entrée de son vagin. Un délice, légèrement acidulé. Je me mets à laper. Elle est trempée. D’une main ferme, elle m’appuie sur la nuque.
-Fais-moi jouir !
Je me jette sur son con comme un mort de faim. Je l’entends ronronner. Sans pudeur, elle s’abandonne, les cuisses grandes ouvertes. Je saisis son cul à deux mains. Lui palpe les fesses. Elles sont fermes. Je me contente de les malaxer, de les tripoter. Je sens qu’elle aime ça, la cochonne. Elle se donne de plus en plus. Ma langue pénètre plus encore, aspirant son jus. Je m’en abreuve jusqu’à plus soif ; tirant sur les petites lèvres. Je les gobe.
Poussant ma tête, elle commence à couiner. Encouragé, je réussis à m’infiltrer plus encore. Son orgasme vient. Je l’abandonne quelques instants. Elle se laisse tomber sur mon fauteuil.
-Eh bien, tu sais y faire avec une chatte.
-Je te branche ?
-Oui, tu me branches !
Elle se déboutonne le haut. Son corps aux rondeurs menace de faire éclater la lingerie. Elle pose sa main sur ma nuque et me pousse vers sa poitrine. Je remonte ses bonnets sur ses seins, mettant à nu deux beaux melons aux bouts grenus. Elle écarte les cuisses au maximum, dans une position vulgaire, abandonnée, qui décuple mon désir.
Entre les cuisses, je vois aisément les lèvres roses de la vulve écarquillée qui laissent saillir les petites crêtes écarlates de la chatte. Un peu plus bas, boursouflé par la position, le trou du cul bistre palpite. Mon regard converge là. C’est terriblement excitant. Je la vois qui place ses pouces de part et d’autre de son anus.
Je lui fouille la fente avec un sourire gourmand. Je réunis trois doigts et les plonge dans le vagin bien lubrifié. Ça fait un bruit humide. Elle ondule du cul comme si elle quémandait à nouveau des doigts fureteurs. Sa chatte est encore plus ouverte que tout à l’heure. Je pointe mon index au centre du cratère plissé et force. Elle pousse un cri strident, vite étouffé.
Elle ne résiste pas bien longtemps, mon doigt glisse dans son rectum jusqu’à la dernière phalange. Une fois en place, je la lime sans ménagement, faisant de larges mouvements circulaires à l’intérieur du trou, comme pour l’élargir. Elle glousse.
Le trou ridé se met à palpiter avant de se clore hermétiquement. Ensuite, après avoir généreusement enduit mes phalanges de mouille, j’introduits l’index dans le trou du cul qui se détend aussitôt et je peux bientôt enfoncer plusieurs doigts en même temps. Elle gémit, n’arrive plus à se concentrer assez pour continuer à pomper. Je la branle enfonçant les mains en alternance dans chacun des orifices.
-Prends-moi maintenant ! Par-derrière !
Sans la lâcher, je me relève, me cale sur mes
Genou agrippe ses hanches. Dès la première poussée, je parviens à franchir le barrage du sphincter. Très doucement, je fais avancer mon gland à l’intérieur de l’anus. Puis-je me retire afin de contempler mon œuvre. Un trou béant. Puis je m’introduis de nouveau ma queue, cette fois plus profonde.
La tête dans les couvertures, elle lève son cul aussi haut qu’elle le peut, se soumet avec patience à l’épreuve. Elle se mord le poing pour éviter de hurler. Ma queue va et vient plus librement à l’intérieur du trou élargi. Elle veut changer de position. Je lui prends les jambes, les écarte en les soulevant pour les caler sur mes épaules. Je l’encule tout en lui astiquant le clitoris à l’aide du pouce. Je glisse ma main sous l’ourlet de sa jupe. Quelle plaisir de sentir cette chatte chaude.
-Je peux te sucer un peu?
Je m’installe et approche ma bouche. Elle gémit et finit par jouir. C'est divin. Je sors ma queue. Que je lui enfonce dans la bouche. Je lui baisse littéralement la bouche. Elle aime ça car il y met beaucoup d'entrain et de génie aussi. Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche à mon tour.
Elle doit se taper un copain, un voisin... Je monte les marches en faisant attention de ne pas faire grincer les marches. J'approche de la chambre d’où viennent les plaintes. Je fais légèrement tourner la porte sur ses gonds. J’y trouve Zoé, la baby-sitter. Elle est de dos. Assise sur le fauteuil devant son ordinateur. Elle ne peut me voir.
Elle se caresse, devant mon ordinateur. Elle a dû trouver ma disquette avec toutes mes histoires de cul. Ma verge commence à faire des siennes dans mon slip. Je décide pourtant de quitter les lieux.
Mais voilà, arrivée devant la porte d’entrée, je suis submergé par une drôle d’envie. Et c’est pour cela que je claque la porte et m’annonce. Tout de suite j’entends du remue-ménage à l’étage. Avant de trouver la fameuse Zoé devant moi. Je la salue. J’échange quelques banalités. Je lui demande qu’est-ce qu’elle fait chez moi, surtout seule. Elle me fait savoir qu'elle est venue récupérer un bouquin de poche qu’elle avait oublié lors de son dernier passage. Et comme elle avait la clé, elle s’est permis
-Cela ne te gêne pas !
-Bien sûr que non ! Et tu la trouvais.
-Quoi ?
-Eh bien ton bouquin !
-Oui…oui, il se trouvait dans la chambre.
-Laquelle ?
-Celle de ta fille.
-Et il est où là.
-Merde, je l’ai oublié.
-Allant le chercher, veux-tu.
Elle semble gênée que je l’accompagne. Bien sûr, pas de bouquin dans la chambre de ma fille. Par contre, dans la mienne l’ordinateur est en fonction, et sur l’écran mes écrits.
-À ce que je vois, tu as trouvé ma planque.
-Je m’excuse. Je n'aurais pas dû !
-Je le confirme. Je sais à présent que je dois lui trouver une nouvelle planque. Tant pis pour toi ! Tu n’auras plus l’occasion de te cajoler en me lisant.
-Oh ! J’ai honte !
-N'ai pas honte, il n'y a rien de mal !
-Tu n’en parles à personne. J’aurais trop honte !
-Non, t'inquiète. Tu as joui ?
Elle laisse tomber un timide, oui.
-Montre-moi tes fesses !
Choquée par une telle demande, elle laisse tomber.
-Non, ne gâche pas cet instant merveilleux !
-Fais-moi voir ton cul !
Elle me tourne le dos et remonte l’ourlet de sa jupe. Elle porte en dessous une adorable culotte. Les joues en feu, elle baisse son slip à mi-cuisses, les jambes serrées par honte.
-Penche-toi maintenant.
Elle se plie en deux. Cette position ouvre ses fesses et dévoile aussi sa chatte. Je m’avance jusqu’à me tenir maintenant contre elle. Le contact des poils rêches. Je promène mes doigts sur les globes lisses et ronds. Je pose ma main sur le haut de sa cuisse. Elle me surveille du coin de l’œil. Sa peau est aussi douce que la soie. J’entrebâille les petites lèvres. Je vois l’intérieur du vagin. Mes doigts parcourent les poils. Elle tressaille sans bouger. La cochonne aime se faire toucher. Mon doigt titille doucement une petite lèvre. Je la sens s’écarter plus encore. Son odeur forte monte à mes narines. Epicée, poivrée, elle est enivrante. Du coin de l’œil, je surveille sa réaction.
-Bon, tu peux te retirer maintenant, et jurer que cela restera entre nous.
-C’est tout ce que tu voulais de moi ? Ton cul ne te plaît pas ?
-Non, je le trouve charmant.
-Et cela ne te dit pas de faire connaissance avec lui.
-C’est une invitation à consommer ?
-Va savoir.
-Tu veux peut-être que je téléphone à ma femme pour savoir si elle est d’accord ?
-Tu ne vas pas me dire que tu lui demandes toujours son autorisation pour consommer.
-Ça veut dire quoi cela ?
-Que ça fait longtemps que je lis ta biographie.
-Tout n’est pas que du vécu dans ce que j’écris !
-Et c’est quoi le vrai du faux !
-Bon, cela te dit que je te la lèche ?
Elle ne dit rien. Alors je m’agenouille. Je tends ma langue et goûte l’entrée de son vagin. Un délice, légèrement acidulé. Je me mets à laper. Elle est trempée. D’une main ferme, elle m’appuie sur la nuque.
-Fais-moi jouir !
Je me jette sur son con comme un mort de faim. Je l’entends ronronner. Sans pudeur, elle s’abandonne, les cuisses grandes ouvertes. Je saisis son cul à deux mains. Lui palpe les fesses. Elles sont fermes. Je me contente de les malaxer, de les tripoter. Je sens qu’elle aime ça, la cochonne. Elle se donne de plus en plus. Ma langue pénètre plus encore, aspirant son jus. Je m’en abreuve jusqu’à plus soif ; tirant sur les petites lèvres. Je les gobe.
Poussant ma tête, elle commence à couiner. Encouragé, je réussis à m’infiltrer plus encore. Son orgasme vient. Je l’abandonne quelques instants. Elle se laisse tomber sur mon fauteuil.
-Eh bien, tu sais y faire avec une chatte.
-Je te branche ?
-Oui, tu me branches !
Elle se déboutonne le haut. Son corps aux rondeurs menace de faire éclater la lingerie. Elle pose sa main sur ma nuque et me pousse vers sa poitrine. Je remonte ses bonnets sur ses seins, mettant à nu deux beaux melons aux bouts grenus. Elle écarte les cuisses au maximum, dans une position vulgaire, abandonnée, qui décuple mon désir.
Entre les cuisses, je vois aisément les lèvres roses de la vulve écarquillée qui laissent saillir les petites crêtes écarlates de la chatte. Un peu plus bas, boursouflé par la position, le trou du cul bistre palpite. Mon regard converge là. C’est terriblement excitant. Je la vois qui place ses pouces de part et d’autre de son anus.
Je lui fouille la fente avec un sourire gourmand. Je réunis trois doigts et les plonge dans le vagin bien lubrifié. Ça fait un bruit humide. Elle ondule du cul comme si elle quémandait à nouveau des doigts fureteurs. Sa chatte est encore plus ouverte que tout à l’heure. Je pointe mon index au centre du cratère plissé et force. Elle pousse un cri strident, vite étouffé.
Elle ne résiste pas bien longtemps, mon doigt glisse dans son rectum jusqu’à la dernière phalange. Une fois en place, je la lime sans ménagement, faisant de larges mouvements circulaires à l’intérieur du trou, comme pour l’élargir. Elle glousse.
Le trou ridé se met à palpiter avant de se clore hermétiquement. Ensuite, après avoir généreusement enduit mes phalanges de mouille, j’introduits l’index dans le trou du cul qui se détend aussitôt et je peux bientôt enfoncer plusieurs doigts en même temps. Elle gémit, n’arrive plus à se concentrer assez pour continuer à pomper. Je la branle enfonçant les mains en alternance dans chacun des orifices.
-Prends-moi maintenant ! Par-derrière !
Sans la lâcher, je me relève, me cale sur mes
Genou agrippe ses hanches. Dès la première poussée, je parviens à franchir le barrage du sphincter. Très doucement, je fais avancer mon gland à l’intérieur de l’anus. Puis-je me retire afin de contempler mon œuvre. Un trou béant. Puis je m’introduis de nouveau ma queue, cette fois plus profonde.
La tête dans les couvertures, elle lève son cul aussi haut qu’elle le peut, se soumet avec patience à l’épreuve. Elle se mord le poing pour éviter de hurler. Ma queue va et vient plus librement à l’intérieur du trou élargi. Elle veut changer de position. Je lui prends les jambes, les écarte en les soulevant pour les caler sur mes épaules. Je l’encule tout en lui astiquant le clitoris à l’aide du pouce. Je glisse ma main sous l’ourlet de sa jupe. Quelle plaisir de sentir cette chatte chaude.
-Je peux te sucer un peu?
Je m’installe et approche ma bouche. Elle gémit et finit par jouir. C'est divin. Je sors ma queue. Que je lui enfonce dans la bouche. Je lui baisse littéralement la bouche. Elle aime ça car il y met beaucoup d'entrain et de génie aussi. Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche à mon tour.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
sublimement raconté. ça m'à fait bander comme un fou

