Cap ou pas cap ? (1ère partie)

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Récit libertin : Cap ou pas cap ? (1ère partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Cap ou pas cap ? (1ère partie)
Douzième et dernier épisode de la saison 1 de notre libertinage. Et de la même façon qu’une saison de « Downtown Abbey » finit par les agapes de Noël et de « Sex Education » par la fête de l’école, une saison de libertinage se doit de finir par un séjour au Cap d’Agde. Dans son centre naturiste pour être précis. Après quasiment une année à en entendre parler comme le « rendez-vous ultime des libertins », nous ne pouvions que suivre la grande migration libertine qui s’y effectue chaque année. Bon nous n’étions pas trop gourmands. Pas question d’y penser plusieurs semaines comme certains. Une semaine nous paraissait déjà largement suffisant. Et voilà comment nous nous trouvons un samedi de la mi-août à chercher un bout de plage libre au milieu de milliers de nudistes. Pas de bol, une fois installés, sous le regard goguenard des 100% d’hommes présents, nous nous rendons compte que nous avons un peu dépassé la limite hétéro pour entrer en domaine homo. « Désolé, on ne voulait pas déranger », nous excusons nous.
Retour en arrière où nous trouvons heureusement un couple accueillant qui nous indique la limite : « Au début de la plage c’est soft, des couples avec des enfants ou très sages, ensuite les hétéros, après les homos. Et là derrière dans les dunes tout est possible mais je ne vous conseille pas de vous y rendre. Il y a 100 mecs pour une fille parfois ».
L’experte qui nous parle s’appelle Victorine. Elle a clairement dépassé les 50 ans maintenant que nous la voyons pour la première fois au soleil. Très sympa elle nous a fait rencontrer pas mal de monde, sans que jamais nous ne coquinions avec elle et ses multiples amants. Nous sommes nettement plus intéressés par un autre couple. Il est noir, Martiniquais, bien de sa personne, correctement pourvu sans excès, pas très grand, énormément de charme. Elle est blanche, grande, autant que lui et possède une belle poitrine bien qu’un peu tombante. Lioran et Fabienne. 35 / 40 ans ?

« Tu les trouves comment ?
- Canons ! », répond une Chrystèle assez motivée en paressant plus tard sur le balcon de leur studio situé au-dessus d’une des boites les plus célèbres du cap. « Et l’avantage du naturisme c’est qu’on voit à qui on a affaire tout de suite.
- Tu veux parler des bites des mecs », rigole Léopold en regardant son propre sexe d’un air toujours un peu déçu.
- Et des seins des filles non ? Là aussi on a des surprises.
- Effectivement. Ici tout est transparent. »
Leur studio est minuscule mais bien meublé. Un peu cher pour ce que c’est mais le concept est plutôt d’y passer le moins de temps possible. Ils ont hâte d’être le soir pour revoir le couple de l’après-midi qui les a tant marqués. Et justement ils donnent une petite soirée dans un appartement situé sur la grande barre centrale du camp naturiste. Quand il y arrivent il est 23 h. Comme tout le monde ils se sont rhabillés. Très sexy Chrystèle porte une robe noire ultra courte avec un profond décolleté qui met en valeur sa poitrine, son 95C qu’elle porte avec fierté, de même que ses immenses jambes et son mètre 80 avec talons. A ses côté Léopold paraît bien banal : 1 m 80 sans talons, mince, très mince même, très peu poilu, mignon mais pas très viril.
Si la fête aura lieu à l’intérieur beaucoup d’invité discutent dehors en sirotant des cocktails. Lioran et Fabienne les accueillent. Ils n’ont plus grand chose à voir avec les banals estivants de l’après midi. Il porte un pantalon de cuir noir qui doit lui tenir très chaud. Torse nu il arbore également une large croix en acier. Fabienne préfère elle une tête de mort, également en acier, qui plonge entre ses seins. Elle aussi est torse nu et ne porte qu’un minuscule short. Forcément en cuir noir. La quinzaine d’autres invités est également super lookée. Tous la trentaine ou la jeune quarantaine ils semblent bien normaux dans leur conversation sinon dans leur look. On est loin de l’ambiance dépravée attendue. « Mais Léopold, on a toute la nuit », répond Lioran, tout en disant à Chrystéle d’un air coquin : « Même si j’ai bien du mal à attendre ». Et il lui caresse les fesses, un peu surpris de voir qu’elle ne porte pas de culotte. « J’en ai marre d’en perdre. Ou qu’un fétichiste me les vole en douce. »

Deux heures plus tard l’ambiance a bien changé. Chrystèle est aux prises avec trois hommes qui lui caressent les seins, les fesses, la doigtent. Elle a un sexe dans chaque main au milieu du salon dans lequel tout le monde baise. Léopold s’est éclipsé avec Fabienne dans une des chambres. Elle le suce assise devant lui dans un large fauteuil en velours verre. Il lui caresse les seins. Elle se place en levrette et il la prend. « Vas-y bourre moi. » Il préférerait y aller plus doucement pour tenir plus longtemps mais ce femme veut… Il accélère le rythme, prend ses seins à pleine main. Un homme fait le tour du fauteuil pour qu’elle le suce. Elle refuse. Il lui caresse les seins. Léopold lui demande gentiment de les laisser. Il adore prendre Fabienne. Son cul est sublime. Ses seins admirables. Elle l’encourage : « Oui, oui, c’est bon ! » Elle jouit. Se retourne : « Jouit sur mes seins. J’adore ça ». C’est gentiment dit et Léopold obtempère. La tête de mort dégouline se sperme…
Quand il revient au salon Chrystèle se fait prendre par Lioran. Un grand mec balèze qu’il ne se souvient pas avoir vu avant se fait sucer. Un coup d’œil et il se rend compte qu’en fait il y a de plus en plus de mecs. « Oui lui explique Fabienne. Ce sont des amis qui s’emmerdaient un peu. On leur a dit de venir nous voir. » Et parce que Chrystèle, Fabienne et quatre autres femmes sont seules à pouvoir répondre aux attentes d’une bonne vingtaine d’hommes elles vont subir leurs assauts jusqu’à l’aube.
« Je me suis fait prendre au moins par dix mecs. J’ai mal partout mais j’ai vraiment pris mon pied, raconte Chrystèle. Et toi ?
- Seulement Fabienne.
- Elle doit bien te plaire avec ses gros seins.
- Je ne dirai pas le contraire. Et toi, quel mec t’a le mieux baisée.
- Je dirai Lioran. Il sait être doux. Pas bestial comme d’autres qui te donnent l’impression d’être un morceau de viande qu’on secoue. Non lui il sait s’y prendre. Comme la plupart des Noirs tu as remarqué. »

Dimanche nous choisissons de faire un break libertin. Réveillés vers midi et passablement fatigués nous nous rendons sur la plage où certains nous saluent. Le grand balèze que nous avons vu hier – et qui a longuement pris Chrystèle sans grande délicatesse – nous fait signe : « Venez avec nous. Quelle soirée hier ». De jour il est plutôt mieux que de nuit. Un bon mètre 90 de muscle assis sur une serviette motif tour de Londres. Mais ce que regardent Chrystèle et Léopold c’est surtout le gros boudin qui traine entre ses jambes. Assez impressionnant même à vide. « Tu regardes ma bite, remarque-t-il. Tu peux toucher tu sais. Hier soir, dit-il aux six autres personnes présentes, quatre hommes et deux femmes, elle m’a sucé, je l’ai prise mais tu ne m’as pas touché non ? »
Chrystèle rit jaune. Ne se démonte pas. « Non mais ça peut s’arranger. » Elle se rapproche. Le prend en mains. Il bande vite. Encore plus impressionnant. Un bon 20 centimètres très épais. « Tu peux aussi me sucer si tu veux.
- Non ça c’est déjà fait…
- Oh tu sais ça ne s’abime pas. C’est du bon matos. On touche, on lèche, on se fait prendre. »
Chrystèle commence à être troublée. D’autant qu’il la pénètre de ses doigts : « Ca je ne te l’avais pas fait hier non ? » Un doigt, deux doigts, elle soupire. « Ca te dérange su je t’emprunte ta femme. » Il se lève, la soulève. Ils partent dans les dunes sous les yeux ébahis de Léopold. Ses mains sont sur ses fesses. Inquiet de ce qu’on lui a dit hier Léopold les suit. Un homme lui tend des préservatifs « Christian a oublié son matériel. »
Dans les dunes les hommes se précipitent derrière le couple. Christian ne perd pas de temps. Quand Léopold arrive, les préservatifs à la main, Christian s’en empare. Positionne Chrystèle à quatre pattes. Lui écarte les jambes et la pénètre. « Elle est bien mouillée ta salope de femme. Soit gentil, demande aux autres mecs de ne pas approcher. Ni de prendre de photo surtout. » Autour une dizaines de mecs, tous nus, se masturbent. Léopold repousse ceux qui veulent approcher. Christian se conduit comme s’il était le mec de Chrystèle. Qui, voyant que Léopold veut se faire sucer demande d’une petite voix au male qui la baise : « Je peux.
- Tu peux », accepte Christian, magnanime.
Une heure plus tard ils sont de retour dans leur studio. « Christian veut me voir ce soir. Seul. Ca ne te dérange pas si je te laisse ? » Léopold hallucine : « Il veut te baisser seul ?
- Pas me parler de Proust je le crains. Oh soit gentil. Laisse nous. Tu sais combien je jouis plus quand tu n’es pas là. Je me lâche complétement. Et je te raconterai tout. »
Et voilà comment Léopold passe la soirée seul à se balader dans le camp naturiste. A regarder des mecs tenus en laisse et beaucoup de femmes très sexy pendant que Chrystèle vit sa vie.

Lundi. Chrystèle est revenue vers trois heures du matin. Léopold dormait. Il a voulu qu’elle lui raconte sa soirée mais elle lui a dit qu’elle était trop crevée. Le lendemain il s’est réveillée bien avant elle et est parti faire un tour sur la plage. Passablement déprimé. Quand il revient elle l’attend : « Tu es fâché ?
- A ton avis. » Elle est superbe. Entièrement nue. Son ventre est plat. Ses seins arrogants. Il a envie d’elle. Il bande. « Attends. Je vais te raconter ma soirée d’abord. Ca va t’exciter ! Bon. Je suis allé chez lui. Il a pas mal de fric et il loue une petite maison sur la plage. Il y passe un mois chaque année. A baiser. Et les onze autres mois il bosse comme un fou dans sa boite. Je crois qu’il est dans le bois. Il a commencé en bas de l’échelle et s’est construit ces muscles incroyables en transportant des planches de bois. Et maintenant il a sa propre entreprise, sa Porsche, trois enfants et une femme divorcée.
- Passionnant. Et sa mère va bien ?
- Oui désolé. Tu voulais que je te raconte. Eh bien on a beaucoup parlé. Puis il m’a proposé de prendre une douche. Il a une superbe douche. Immense. On s’est savonnés. On s’est embrassés. Je mouillais comme une folle. Je l’ai sucé. J’adore sa bite. Je passerais mes soirées à le sucer. Il m’a soulevée comme une plume et prise sur son canapé. Puis on est sortis. Il m’a emmené en boite. Et là tu vois c’est le mec qui commande une bouteille de champagne pour tous ses potes. Tout le monde le connaît. Il m’a présenté à plein de monde.
- Et plein de monde t’a baisé.
- Mais non. Tu es bête. Il était tard. Il m’a raccompagné. Très gentleman.
- Tu vas l’épouser ?
- Mais non. On n’aurait pas grand chose à nous dire.
- Mais il te baise bien !
- Ah ça oui. Allez à ton tour. Et ce soir on reste tous les deux. »
Et il la prend. La reprend. Excité. Jaloux. Amoureux.

Mardi soir. Christian n’a plus donné de ces nouvelles. Ils n’ont pourtant pas bougé de la journée. Exténués par le rythme de ces trois premiers jours. Chrystèle fait semblant de ne pas s’en formaliser mais Léopold sent bien qu’elle est triste de ne pas avoir e nouvelles de son amant. « Bon si on allait à la petite fête où on nous a invité ? » lui propose-t-il. Elle accepte. Sans enthousiasme. On est loin du luxe de la maison de Christian.
Ceux qui invitent sont cinq hommes qui viennent chaque année louer un appartement. Très sympas. Plutôt bière que champagne. Ils se pressent autour de Chrystèle. Qui apprécie toujours d’être désirée et se refuse rarement pour peu que les hommes lui plaisent. Léopold les regarde se presser autour de sa belle avec un certain soulagement. Bien sûr il est ravi que Christian ne réapparaisse pas mais elle fait la gueule toute la journée. Alors là elle revit un peu. Se laisse emmener par un homme qui doit bien avoir la cinquantaine. Cheveux gris. Mince. Il l’emmène. Lui enlève la petite robe qu’il portait et entreprend de la lécher. Ce qu’elle aime plus ou moins. Là moins apparemment car elle lui demande de la prendre assez vite.
Il officie assez vite. Il a un sexe normal qui entre vite entre elle. Deux autres hommes se masturbent en les regardant.
« Ca t’a plu ?
- Pas vraiment. Ils étaient sympas mais ils ne m’excitaient pas beaucoup.
- Pas comme Chrstian quoi. »

Mercredi. Ses yeux pétillent. Christian l’a rappelée. Il veut l’emmener déjeuner dans une abbaye à quelques kilomètres de là. « Désolé. Tu ne peux pas venir. Il n’y a que deux places dans sa Porsche », fait seulement de regretter Chrystèle. « Ca ne te fais pas trop mal si j’y vais. De toute façon on devait revoir Fabienne et Lioran. Tu peux y aller sans loi. » Et voilà comment Léopold se repait de nouveau des incroyables seins de Fabienne dans leur appartement, après un déjeuner rapide, pendant que Chrystèle déguste une cote de taureau dans le restaurant de l’abbaye. Sortis du camp ils sont habillés civilement mais Christian n’en a pas moins tenu à ce qu’elle porte une robe assez sexy. Un fourreau or et marron fendu sur le côté qui montre ses jambes pratiquement jusqu’en haut. S’il y avait encore des moines ils en « renieraient leurs vœux » rit Christian tout en promenant sous leur table une main propriétaire sur ses jambes. Elle en frémit. Il lui a demandé de ne pas mettre de culotte et sent bien qu’elle dégouline d’envie qu’il la prenne là, contre un pilier. Pendant la visite du matin il l’a constamment caressée. A la limite de l’indécence ils se sont attardés dans toutes les pièces quand les autres visiteurs étaient déjà sortis. Il l’a embrassée, pénétrée de ses doigts. Elle s’est retenue de ne pas hurler.
« Cette après-midi je te propose d’allez chez des amis. » Elle est surprise. « Près d’ici ?
- Non au Cap. Mais pas dans le camp naturiste. Ils ont une belle maison pas loin. »
Sur le cuir de la Porsche 911 et alors qu’il la caresse entre deux changements de vitesse Chrystèle se demande ce qui se cache derrière cette invitation. A suivre…

Les avis des lecteurs

Léopold ne joue pas avec le feu. Christèle oui. où est l'amour et la confiance?

C'est clair. Léopold joue avec le feu. Mais non Chrystèle n'est pas amoureuse de Christian.
De David oui !

Du candaulisme à l'adultère? Chrystelle tombe-t-elle amoureuse de Christian? Léopold a-t-il
joué avec le feu?



Texte coquin : Cap ou pas cap ? (1ère partie)
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