Cap ou pas cap ? (2ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Couple-subtil ont reçu un total de 174 897 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 934 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Cap ou pas cap ? (2ème partie)
Elle aurait dû se rendre compte que la suite des opérations ne pouvait passer que par son partage. Avec un prédateur sexuel comme Christian cela n’allait pas être le grand amour. « Oui c’est une belle femelle aux seins lourds, grande, un "bel objet de plaisir" que je vous amène. » Comme dans un rêve il l’entendait la présenter comme cela au téléphone, les deux mains sur le volant de sa Porsche. Si imposant. « Oui elle m’écoute. Je te décris bien ? » Elle regardait devant elle la route défiler. Comme un lapin pris dans les phares elle se disait qu’il fallait qu’elle lui dise d’aller se faire voir, mais elle n’y arrivait pas.
Voilà comment ils étaient arrivés dans la belle propriété d’un certain Vincent, à Agde. La cinquantaine. Beau mec. Vincent avait même dû être très beau. Le sourire engageant il lui présenta ses amis, Jean-Seb – ce devait être un Jean-Sébastien -, et Lila, une petite brune au très joli visage dont la présence avait tout de suite déplu à Chrystèle, qui essaya un : « Je suis désolée je crois que je vais y aller. Je ne me sens pas bien. » Christian lui avait alors pincé les seins, pour la « rappeler à ses devoirs » : « Tu dis oui à tout ce que propose. Oui maître. C’est tout ce que je t’autorise à dire ». A cet instant elle s’était bin sentie l’esclave de Vincent. C'est vrai qu'il la faisait jouir comme rarement elle avait joui. Elle s'était sentie tout de suite sentie fondre devant sa carrure de boxer. Ses grandes mains. Sa certitude facile que les femmes étaient à ses pieds.
« Oui maître. » Il lui palpa sa lourde poitrine, propriétaire : « Vous vous en servirez aussi », indiqua-t-il à ses amis. « Sers-nous à boire. Mais avant enlève ta robe. » Chrystèle obéit, mettant juste une paire de chaussures noires que lui donna Christian et qui mettait en valeurs « Superbe », dit Vincent en promenant ses mains sur ses fesses et en effleurant son sexe épilé.
« Oui mais pas on ne la touche pas tant que je ne vous en donnerai pas l’autorisation », rappela Christian. « Elle va d'abord nous servir à boire. Comme la soubrette docile qu’elle est.
- Oui maître. » Chrystèle se prenait au jeu. Etre nue devant ces trois hommes, tous habillés, et cette femme si belle, qui la fixaient comme devant une proie, était l’une des expériences les plus excitantes qu’il lui ait été donné de vivre. Elle se sentait littéralement ruisseler et espérait que cela ne se voyait pas.
Elle leur servit donc du champagne, un excellent Bollinger, s’appliquant à faire ressortir sa poitrine, tout en regardant plus longuement les « invité ». Vincent était, sûr de lui et de son humour. Jean-Séb était imposant, un grand Noir pas très bavard qui ne semblait n'être là que pour le moment où il la prendrait enfin. Et Lila qui la regardait, ironique. Chrystèle se demandait de qui elle était la maîtresse. Elle espérait que ce n’était pas de Christian, qui demanda soudain : « Vous connaissez la spécialité de Chrystèle ? Elle va nous le dire. Hein Chrystèle ? Elle fait des pipes au champagne divines. Hein Chrystèle. Montre-leur. Sortez vos bites les amis. » Comment il savait ça ? Elle lui en avait parlé. Confiante. Sans savoir qu’il allait en faire état devant d’autres.
Il ne fallut bien sûr pas leur demander deux fois. Vincent sortit un sexe somme toute de taille classique pendant que Jean-Séb arborait un monstre : pas très long mais incroyablement large. « Commence par Vincent », intima Vincent.
Chrystèle était ravie maintenant de sucer ces trois mâles tout en buvant du champagne pour mieux les exciter. Elle était agenouillée devant le large canapé sur lequel Vincent leur avait dit de s'installer tous les trois. Vincent, question d’âge ?, n'était pas si excité mais elle eut vite fait de le dégeler. Mais c'était Jean-Séb qui l'impressionnait. Déjà érigé son sexe semblait l'attendre, le gland décalotté, indécent, énorme. Lorsqu'Chrystèle s'en rapprocha à la demande de Vincent, elle eut d'abord un moment de recul puis le huma avant de le prendre en bouche autant qu'elle le pouvait. Vincent en profitait pour lui malaxer les seins quand elle entendit Lila se rapprocher d'elle pour appuyer sur sa tête - « Prends le bien en bouche,» - et pénétrer son sexe : « Vous verriez comme elle mouille. » Et Chrystèle se sentait complètement passive avec la main de Lila qui la faisait descendre et monter sur le sexe de Stéphane.
Les minutes commencèrent à lui sembler longues tant sa bouche était distendue. Heureusement Christian dit que c'était son tour. Elle le prit, le renifla de haut en bas, s'attardant sur les couilles, remontant doucement, se resservant du champagne pour mieux l'emboucher. « Quelle salope hein », s'exclama-t-il. Les autres semblaient pétrifiés devant le spectacle, la façon dont Christian affirmait sa propriété.
Puis il en eut assez : « Allons dans sa chambre. Oui voilà, mets-toi sur le lit en levrette. On va te prendre chacun notre tour. Tu ne verras pas qui. Et tu lécheras Lila. » Chrystèle s'installa dans une grande chambre aux murs blancs. Avec quelques tableaux de femmes nues. Sur le côté, l'armoire avait des glaces mais ils lui avaient vite mis un bandeau sur les yeux. Elle était offerte totalement. Ils lui avaient mis un collier et elle était attachée aux pieds du lit. Les mains dans le dos étaient également attachées.
Bientôt, Lila lui prit la tête pour qu'elle la lèche. Son sexe était rasé, délicieux. Elle aimait aussi les femmes mais rien ne valait le sexe qu'elle attendait, frémissante. Les mains qui allaient prendre sa croupe, peut être lui tirer les cheveux. « Toi d'abord. » Elle eut à peine le temps d'entendre Christian fixer l'ordre de passage qu'un sexe s'enfonça en elle. D'un coup. A la taille c'était Vincent. Il savait s'y prendre et la besognait avec talent, sans pour autant lui empêcher de lécher une Vanessa qui semblait apprécier : « Oui vas-y, lèche salope, salope. » Chrystèle eut plaisir à attendre Christian répliquer : « Cette chienne croit que Chrystèle est à son service. Tout à l'heure elle aussi devra y passer. » Et tout de suite : « A toi Jean-Séb. »Là on changeait de registre. Chrystèle se sentit instantanément remplie comme elle ne l'avait jamais été. Une sensation indescriptible. « Tu aimes ça, dis-le.
- Oui, j'aime ça. »Dis « j'aime ta bite- J'aime ta bite.
- Bien. »Et Jean-Séb de partir dans un délire en la prenant à une vitesse indescriptible qui la fit hurler. Elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que Vincent était de nouveau en elle. Devant ses yeux, Vanessa était partie et le sexe de Jean-Séb avait remplacé son buisson quasi dégarni. Il lui jouit sur le visage, les seins. Elle détestait ça mais il ne lui avait pas demandé don avis.
« Jouis salope, je te le permets. » Chrystèle n'attendait que l'autorisation de Christian. Elle partit dans un grand feulement rauque au moment où Vincent lui infligeait quelques délicieuses claques sur les fesses.
Quelques minutes plus tard, elle se rendit compte qu'ils étaient repartis dans le salon, la laissant vivre sa jouissance, repue. Mais Lila était derrière elle avec un martinet. « Mets-toi bien en levrette oui, mieux cambrée que ça, oui. » Et les coups pleuvaient, pas trop fort. « Ramène-la. » La voix de Christian retentit. Lila la détacha et la ramena dans le salon, en laisse. Le couloir était long et Chrystèle eut le temps d'admirer la plastique de Lila maintenant qu'ils lui avaient enlevé son bandeau. Elle avait de longs cheveux bruns mais était plutôt plate. Plus jeune que Chrystèle. Très belle indiscutablement.
Le temps semblait arrêté quand Vincent leur intima l'ordre de se mettre à quatre pattes cote à cote. « Voilà, présentez vos culs. Je ne sais pas qui je vais prendre. Dites-moi. » Presque instantanément elles s'écrièrent « moi ». « Bon pour choisir je vais prendre celle qui donnera son petit trou. » Chrystèle craignait cette intromission qu’elle n’avait que peu pratiquée. Mais quand il ajouta : « Avec Jean-Séb », elle frémit. Se faire enfin prendre par Christian au prix d'une enculade par le monstrueux sexe de Stéphane? Elle ne réfléchit pas longtemps avant de dire « OK ». Prudente, Lila, dit qu'elle préférait regarder. A cet instant, Chrystèle eut le sentiment que Christian la regardait avec fierté : « Bien, je vais te préparer », dit-il en sortant un tube de gel. Puis un godemiché qu'il lui enfourna dans le sexe : « Après je te prendrai par là, ce sera une double dont tu te souviendras longtemps. Ton petit mari n’en pourra plus quand tu lui raconteras », rit-il.
Elle se sentait comme une esclave au moment du sacrifice quand elle sentit les immenses mains de Jean-Séb, rapidement de nouveau oprétationnel, lui agripper les fesses. Elle avait la tête par terre, les bras devant comme pour prier. Elle sentait son sexe qui approchait. Maintenant elle avait envie de dire non mais n'osait pas. Puis il commença à s'introduire. Il était doux. Bien préparée elle sentit ses résistances céder peu à peu. Puis tout d'un coup le géant entra entièrement, la clouant au sol où elle tomba. Il s'activait. Puis s'arrêta. « Retourne-la. » Jean-Séb la transporta sur la canapé où il s'assit, lui écartant les cuisses. Vincent arriva, la verge dressée, et la prit enfin. Elle sentait les deux hommes s'activer en elle. Une sensation unique, enfin la jouissance.
Puis Christian l'emmena dans la chambre pour lui faire enfin l'amour. De l'autre côté elle entendait Vanessa se faire aussi prendre par les deux hommes mais elle savait qu'elle avait la meilleure part.
Voilà comment ils étaient arrivés dans la belle propriété d’un certain Vincent, à Agde. La cinquantaine. Beau mec. Vincent avait même dû être très beau. Le sourire engageant il lui présenta ses amis, Jean-Seb – ce devait être un Jean-Sébastien -, et Lila, une petite brune au très joli visage dont la présence avait tout de suite déplu à Chrystèle, qui essaya un : « Je suis désolée je crois que je vais y aller. Je ne me sens pas bien. » Christian lui avait alors pincé les seins, pour la « rappeler à ses devoirs » : « Tu dis oui à tout ce que propose. Oui maître. C’est tout ce que je t’autorise à dire ». A cet instant elle s’était bin sentie l’esclave de Vincent. C'est vrai qu'il la faisait jouir comme rarement elle avait joui. Elle s'était sentie tout de suite sentie fondre devant sa carrure de boxer. Ses grandes mains. Sa certitude facile que les femmes étaient à ses pieds.
« Oui maître. » Il lui palpa sa lourde poitrine, propriétaire : « Vous vous en servirez aussi », indiqua-t-il à ses amis. « Sers-nous à boire. Mais avant enlève ta robe. » Chrystèle obéit, mettant juste une paire de chaussures noires que lui donna Christian et qui mettait en valeurs « Superbe », dit Vincent en promenant ses mains sur ses fesses et en effleurant son sexe épilé.
« Oui mais pas on ne la touche pas tant que je ne vous en donnerai pas l’autorisation », rappela Christian. « Elle va d'abord nous servir à boire. Comme la soubrette docile qu’elle est.
- Oui maître. » Chrystèle se prenait au jeu. Etre nue devant ces trois hommes, tous habillés, et cette femme si belle, qui la fixaient comme devant une proie, était l’une des expériences les plus excitantes qu’il lui ait été donné de vivre. Elle se sentait littéralement ruisseler et espérait que cela ne se voyait pas.
Elle leur servit donc du champagne, un excellent Bollinger, s’appliquant à faire ressortir sa poitrine, tout en regardant plus longuement les « invité ». Vincent était, sûr de lui et de son humour. Jean-Séb était imposant, un grand Noir pas très bavard qui ne semblait n'être là que pour le moment où il la prendrait enfin. Et Lila qui la regardait, ironique. Chrystèle se demandait de qui elle était la maîtresse. Elle espérait que ce n’était pas de Christian, qui demanda soudain : « Vous connaissez la spécialité de Chrystèle ? Elle va nous le dire. Hein Chrystèle ? Elle fait des pipes au champagne divines. Hein Chrystèle. Montre-leur. Sortez vos bites les amis. » Comment il savait ça ? Elle lui en avait parlé. Confiante. Sans savoir qu’il allait en faire état devant d’autres.
Il ne fallut bien sûr pas leur demander deux fois. Vincent sortit un sexe somme toute de taille classique pendant que Jean-Séb arborait un monstre : pas très long mais incroyablement large. « Commence par Vincent », intima Vincent.
Chrystèle était ravie maintenant de sucer ces trois mâles tout en buvant du champagne pour mieux les exciter. Elle était agenouillée devant le large canapé sur lequel Vincent leur avait dit de s'installer tous les trois. Vincent, question d’âge ?, n'était pas si excité mais elle eut vite fait de le dégeler. Mais c'était Jean-Séb qui l'impressionnait. Déjà érigé son sexe semblait l'attendre, le gland décalotté, indécent, énorme. Lorsqu'Chrystèle s'en rapprocha à la demande de Vincent, elle eut d'abord un moment de recul puis le huma avant de le prendre en bouche autant qu'elle le pouvait. Vincent en profitait pour lui malaxer les seins quand elle entendit Lila se rapprocher d'elle pour appuyer sur sa tête - « Prends le bien en bouche,» - et pénétrer son sexe : « Vous verriez comme elle mouille. » Et Chrystèle se sentait complètement passive avec la main de Lila qui la faisait descendre et monter sur le sexe de Stéphane.
Les minutes commencèrent à lui sembler longues tant sa bouche était distendue. Heureusement Christian dit que c'était son tour. Elle le prit, le renifla de haut en bas, s'attardant sur les couilles, remontant doucement, se resservant du champagne pour mieux l'emboucher. « Quelle salope hein », s'exclama-t-il. Les autres semblaient pétrifiés devant le spectacle, la façon dont Christian affirmait sa propriété.
Puis il en eut assez : « Allons dans sa chambre. Oui voilà, mets-toi sur le lit en levrette. On va te prendre chacun notre tour. Tu ne verras pas qui. Et tu lécheras Lila. » Chrystèle s'installa dans une grande chambre aux murs blancs. Avec quelques tableaux de femmes nues. Sur le côté, l'armoire avait des glaces mais ils lui avaient vite mis un bandeau sur les yeux. Elle était offerte totalement. Ils lui avaient mis un collier et elle était attachée aux pieds du lit. Les mains dans le dos étaient également attachées.
Bientôt, Lila lui prit la tête pour qu'elle la lèche. Son sexe était rasé, délicieux. Elle aimait aussi les femmes mais rien ne valait le sexe qu'elle attendait, frémissante. Les mains qui allaient prendre sa croupe, peut être lui tirer les cheveux. « Toi d'abord. » Elle eut à peine le temps d'entendre Christian fixer l'ordre de passage qu'un sexe s'enfonça en elle. D'un coup. A la taille c'était Vincent. Il savait s'y prendre et la besognait avec talent, sans pour autant lui empêcher de lécher une Vanessa qui semblait apprécier : « Oui vas-y, lèche salope, salope. » Chrystèle eut plaisir à attendre Christian répliquer : « Cette chienne croit que Chrystèle est à son service. Tout à l'heure elle aussi devra y passer. » Et tout de suite : « A toi Jean-Séb. »Là on changeait de registre. Chrystèle se sentit instantanément remplie comme elle ne l'avait jamais été. Une sensation indescriptible. « Tu aimes ça, dis-le.
- Oui, j'aime ça. »Dis « j'aime ta bite- J'aime ta bite.
- Bien. »Et Jean-Séb de partir dans un délire en la prenant à une vitesse indescriptible qui la fit hurler. Elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que Vincent était de nouveau en elle. Devant ses yeux, Vanessa était partie et le sexe de Jean-Séb avait remplacé son buisson quasi dégarni. Il lui jouit sur le visage, les seins. Elle détestait ça mais il ne lui avait pas demandé don avis.
« Jouis salope, je te le permets. » Chrystèle n'attendait que l'autorisation de Christian. Elle partit dans un grand feulement rauque au moment où Vincent lui infligeait quelques délicieuses claques sur les fesses.
Quelques minutes plus tard, elle se rendit compte qu'ils étaient repartis dans le salon, la laissant vivre sa jouissance, repue. Mais Lila était derrière elle avec un martinet. « Mets-toi bien en levrette oui, mieux cambrée que ça, oui. » Et les coups pleuvaient, pas trop fort. « Ramène-la. » La voix de Christian retentit. Lila la détacha et la ramena dans le salon, en laisse. Le couloir était long et Chrystèle eut le temps d'admirer la plastique de Lila maintenant qu'ils lui avaient enlevé son bandeau. Elle avait de longs cheveux bruns mais était plutôt plate. Plus jeune que Chrystèle. Très belle indiscutablement.
Le temps semblait arrêté quand Vincent leur intima l'ordre de se mettre à quatre pattes cote à cote. « Voilà, présentez vos culs. Je ne sais pas qui je vais prendre. Dites-moi. » Presque instantanément elles s'écrièrent « moi ». « Bon pour choisir je vais prendre celle qui donnera son petit trou. » Chrystèle craignait cette intromission qu’elle n’avait que peu pratiquée. Mais quand il ajouta : « Avec Jean-Séb », elle frémit. Se faire enfin prendre par Christian au prix d'une enculade par le monstrueux sexe de Stéphane? Elle ne réfléchit pas longtemps avant de dire « OK ». Prudente, Lila, dit qu'elle préférait regarder. A cet instant, Chrystèle eut le sentiment que Christian la regardait avec fierté : « Bien, je vais te préparer », dit-il en sortant un tube de gel. Puis un godemiché qu'il lui enfourna dans le sexe : « Après je te prendrai par là, ce sera une double dont tu te souviendras longtemps. Ton petit mari n’en pourra plus quand tu lui raconteras », rit-il.
Elle se sentait comme une esclave au moment du sacrifice quand elle sentit les immenses mains de Jean-Séb, rapidement de nouveau oprétationnel, lui agripper les fesses. Elle avait la tête par terre, les bras devant comme pour prier. Elle sentait son sexe qui approchait. Maintenant elle avait envie de dire non mais n'osait pas. Puis il commença à s'introduire. Il était doux. Bien préparée elle sentit ses résistances céder peu à peu. Puis tout d'un coup le géant entra entièrement, la clouant au sol où elle tomba. Il s'activait. Puis s'arrêta. « Retourne-la. » Jean-Séb la transporta sur la canapé où il s'assit, lui écartant les cuisses. Vincent arriva, la verge dressée, et la prit enfin. Elle sentait les deux hommes s'activer en elle. Une sensation unique, enfin la jouissance.
Puis Christian l'emmena dans la chambre pour lui faire enfin l'amour. De l'autre côté elle entendait Vanessa se faire aussi prendre par les deux hommes mais elle savait qu'elle avait la meilleure part.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Couple-subtil
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...