Cap ou pas cap (3ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Couple-subtil ont reçu un total de 174 852 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 343 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Cap ou pas cap (3ème partie)
Le retour de Chrystèle fut compliqué. Elle avait honte, très honte, d’avoir ainsi cédé à tous les fantasmes de Christian. Dans la voiture qui les ramenait elle était partagée entre le plaisir et la honte. « Etre humiliée, est-ce que j’aime vraiment ça ? Etre présentée nue à des inconnus ? Me faire baiser sans discuter ? » Elle n’en revenait pas de l’univers personnel qu’elle avait découvert. « Et il ne t’a rien dit de plus en te laissant ? » De retour face à son compagnon, Léopold, elle ne lui a pas raconté tout ce qui s’était passé. « Non Christian m’a juste ramenée. Une petite bise.
- Vous avez fait du tourisme toute la journée ? Tu te fous de moi. » Léopold ne croit pas trop à la jolie histoire que lui a raconté Chrystèle d’un bon déjeuner suivi d’un long passage à la plage. Surtout en voyant les cernes qu’elle a sous les yeux. Et d’ailleurs il préfère savoir qu’elle a baisé sans discuter que le contraire. Ce qu’il apprécie dans le libertinage c’est le sexe. Pas la séduction. Rien ne peut le rendre plus jaloux que de voir Chrystèle discuter avec un mec qui la câline après avoir fait l’amour. Alors imaginer qu’elle a passé la journée avec son amant à discuter…Jeudi. Bientôt une semaine que nous sommes au Cap d’Agde. Chrystèle a multiplié les amants et, après une soirée très sage, où elle a demandé à Léopold d’être très doux ils sont de nouveau en chasse d’une belle soirée. Elle se profile vite sous la forme d’une invitation d’un couple qu’ils ont déjà rencontré à Paris. Comme Chrystèle, Eva est assez grande, un bon mètre 75, comme Chrystèle elle a des jambes superbes. La différence est qu’elle a beaucoup moins de poitrine qu’elle : un bon 95C pour Chrystèle quand Eva doit se contenter d’un 90B. Quant à Lionel il ressemble beaucoup à une version plus large et plus musclée de Léopold : 1m80 pour 80 kilos quand Léopold n’a jamais dépassé les 70 kgs et n’est pas passionné par la muscu comme leur ami.
Voilà pour les présentations. Ils se retrouvent pour diner au bord de la piscine du meilleur restaurant du camp naturiste. Les retrouvailles entre ces dames sont tendres mais tout le monde se tient bien à table ; enfin ces dames n’ont pas de culotte et s’amusent à bien écarter les cuisses sur leur tabouret ce qui, même dans un espace naturiste, fait toujours de l’effet. « Vous êtes ici depuis longtemps ? » demande Lionel tout en flattant les fesses de sa femme.
« Samedi et on repart samedi. Et vous êtes dans un hôtel en dehors du camp ?
- Oui. On ne veut pas être dans le jeu à fond. On vient faire des rencontres quand on en a envie mais pas 24/24. Vous vous êtes bien amusés ?
- Surtout Chrystèle… »Une demi-heure plus tard ils sont tous les quatre dans le studio de Chrystèle et Léopold. Pas très grand mais suffisant pour que ces dames s’amusent. « Regarde ces deux chiennes, rit Lionel. » Chrystèle et Eva sont A quatre pattes toutes les deux. Fesse à fesse. Réunies par un long double plug que Lionel a introduit dans leurs deux sexes. « Allez bougez, baisez vous. » Le spectacle est superbe. Auparavant ils ont pu les regarder s’embrasser, se déshabiller, se pénétrer habilement. Leur 69 a été de toute beauté. Leurs doigts s'activaient, leurs langues.
Ils bandaient comme des fous. Les deux femmes se baisent, chacune semblant vouloir mieux pénétrer l'autre. A ce petit jeu, Chrystèle semble l'emporter et Eva jouit dans un grand cri.
« Oui, baisez vous, allez. Et sucez-nous. » Léopold et Lionel se sont approchées chacun de la femme de l’autre et leur tendent leurs sexes. Là aussi la comparaison est au bénéfice de Lionel. Son bâton est assez impressionnant, très veiné avec un gland énorme, quand celui de Léopold a des proportions plus modestes. « Venez nous prendre maintenant ! » La demande vient d’Eva mais Chrystèle y souscrit volontiers. Elles sont toutes les deux à quatre pattes à les attendre. Elles se tiennent la main, s’embrassent. Enfin Lionel prend Chrystèle pendant que Léopold entreprend Eva. Les deux femmes en redemandent. La nuit est courte. Elles boivent pas mal. Amusé de l’ivresse d’Eva, Léopold lui demande : « Combien de doigts ?
- Cinq bien sûr ! »
Vendredi. Chrystèle était partagée entre une haine tenace pour Christian à cause de la manière dont il l'avait traitée et le souvenir délicieux des coups de queue qu'elle avait subis. Si la soirée avec leurs deux amis avait été plaisante, si elle avait adoré la douceur d’Eva elle frémissait au souvenir de la vigueur de Christian. Mais pas au moins de le rappeler quand même. Dubitatif Léopold l’a regardait manger la baguette viennoise qu’il lui avait ramenée pour prendre un petit déjeuner tardif. Il était 12 h. c’était leur dernier jour au Cap. Qu’allaient-ils faire ? Les propositions ne manquaient pas. Mais Chrsytèle les repoussait l’une après l’autre. « On part demain. Tu ne veux rien faire ce soir ? » Plus tard sur la plage ils revirent quelques amis de soirée. Splendide avec sa lourde poitrine à peine tombante, Chrystèle parcourait la plage d’un air de reine. Et bien sur elle espérait revoir Christian. Déçue de ne pas le voir elle préféra ne pas s’attarder. Léopold suivait. De plus en plus à la remorque d’une Chrystèle que ses sens semblaient complétement dominer.
Il est 20 h quand il appelle. Christian : « Des amis donnent une petite soirée dans un des riads. Vous voulez vous joindre à nous. Amène ton petit mari.
- Christian nous invite. Une petite soirée. On y va ? » Elle laisse à peine Léopold répondre : « Compte sur nous. Il y a un dress code ? » Trois heures plus tard c’est vêtue d’un corset noir, d’une robe noire apparemment assez sage mais qu’elle peut plus ou moins rendre indécente, d’escarpins noirs aux talons de huit centimètres et sans culotte qu’elle fait son entrée dans le riad. Léopold a quant à lui choisi une chemise noire sur pantalon noir.
A l’entrée il y a foule. Tout le Cap semble s’être donné rendez-vous là mais tout le monde ne peut pas entrer. Ils sont sur une liste. Ils entrent. A l’intérieur tout est encore très sage. Les hommes draguent les femmes. Elles se font remarquer, sourient aux males qui leur plaisent, détournent les yeux des autres. Mais il y a également pas mal d’homos qui jettent des coups d’œil intéressés sur Léopold ; pas malheureux de plaire aussi alors que Chrystèle est en grande conversation avec un Italien – ils abondent au Cap et savent parler aux femmes – qui lui raconte qu’il possède une boite de fabrication de yachts.
Mytho pas mytho ? En fait elle s’en fout. Elle n’a d’yeux que pour Christian qui s’approche d’elle, l’embrasse, les emmène : « Allons dans le salon VIP mes amours ». Il les prend chacun d’un côté, laisse ses mains trainer sur les fesses de Chrystèle. Mais aussi de Léopold assez surpris. La VIP room est une grande pièce dans laquelle une femme est attachée à une croix. Pas spécialement belle elle a d’énormes seins au bout desquels sont attachés des pinces. Les hommes, mais aussi d’autres femmes, s’amusent à titiller ses tétons. Christian annonce à la dizaine de convives qui sont là : « Je vous l’avais promis. Je vous ramène une femme superbe. Et son petit mari qui aime tant la voir se faire prendre. » Il s’installe dans un large fauteuil et indique à Chrystèle de venir le sucer. Elle obtempère. Sans broncher. Pendant ce temps un homme s’est placé derrière Léopold : « Alors ça te plait vraiment de voir ta femme se faire prendre ? Tu ne serais pas un peu gay ? » Il ne peut pas se retourner. Il lui a mis les deux bras dans le dos et le tient serré. Dans l’oreille il lui susurre : « Ca ne te plairait pas d’aller aussi sucer Christian ». Un autre homme est maintenant devant Léopold. Il l’embrasse, le caresse. Léopold bande. « Ca lui plait. On dirait. » Les deux hommes ont la quarantaine. Plutôt baraqués. Ils déshabillent Léopold. « Beau petit cul. Allez viens. » Ils l’amènent à Christian. « A genou viens le sucer comme ta salope de femme. » Et les voilà tous les deux, elle toujours en corset, lui complètement nu, à sucer le superbe sexe de Christian. Ils montent, descendent, lèchent ses couilles – « Oui mes lapins, allez-y » - s’embrassent. Derrière eux les deux hommes les pénètrent de leurs doigts. Puis le premier pénètre Chrystèle. Puis le second pénètre Léopold. La baise dure longtemps. Ils perdent le sens du temps.
Deux heures plus tard ils dorment aux côtés de Christian qui les a ramenés dans sa maison. Chacun d’un côté de leur imposant ils dorment sur son torse. Ses mains sont posées sur leurs fesses. Le matin ils le suceront de nouveau. Appuyés sur le bar il les prendra de nouveau. Les faisant gémir cote à cote. Doigtant Chrystèle pendant qu’il prend Léopold.
« Ca t’a plu notre séjour ?
- Oui et toi ?
- On reviendra ?
- Dans un an »
- Vous avez fait du tourisme toute la journée ? Tu te fous de moi. » Léopold ne croit pas trop à la jolie histoire que lui a raconté Chrystèle d’un bon déjeuner suivi d’un long passage à la plage. Surtout en voyant les cernes qu’elle a sous les yeux. Et d’ailleurs il préfère savoir qu’elle a baisé sans discuter que le contraire. Ce qu’il apprécie dans le libertinage c’est le sexe. Pas la séduction. Rien ne peut le rendre plus jaloux que de voir Chrystèle discuter avec un mec qui la câline après avoir fait l’amour. Alors imaginer qu’elle a passé la journée avec son amant à discuter…Jeudi. Bientôt une semaine que nous sommes au Cap d’Agde. Chrystèle a multiplié les amants et, après une soirée très sage, où elle a demandé à Léopold d’être très doux ils sont de nouveau en chasse d’une belle soirée. Elle se profile vite sous la forme d’une invitation d’un couple qu’ils ont déjà rencontré à Paris. Comme Chrystèle, Eva est assez grande, un bon mètre 75, comme Chrystèle elle a des jambes superbes. La différence est qu’elle a beaucoup moins de poitrine qu’elle : un bon 95C pour Chrystèle quand Eva doit se contenter d’un 90B. Quant à Lionel il ressemble beaucoup à une version plus large et plus musclée de Léopold : 1m80 pour 80 kilos quand Léopold n’a jamais dépassé les 70 kgs et n’est pas passionné par la muscu comme leur ami.
Voilà pour les présentations. Ils se retrouvent pour diner au bord de la piscine du meilleur restaurant du camp naturiste. Les retrouvailles entre ces dames sont tendres mais tout le monde se tient bien à table ; enfin ces dames n’ont pas de culotte et s’amusent à bien écarter les cuisses sur leur tabouret ce qui, même dans un espace naturiste, fait toujours de l’effet. « Vous êtes ici depuis longtemps ? » demande Lionel tout en flattant les fesses de sa femme.
« Samedi et on repart samedi. Et vous êtes dans un hôtel en dehors du camp ?
- Oui. On ne veut pas être dans le jeu à fond. On vient faire des rencontres quand on en a envie mais pas 24/24. Vous vous êtes bien amusés ?
- Surtout Chrystèle… »Une demi-heure plus tard ils sont tous les quatre dans le studio de Chrystèle et Léopold. Pas très grand mais suffisant pour que ces dames s’amusent. « Regarde ces deux chiennes, rit Lionel. » Chrystèle et Eva sont A quatre pattes toutes les deux. Fesse à fesse. Réunies par un long double plug que Lionel a introduit dans leurs deux sexes. « Allez bougez, baisez vous. » Le spectacle est superbe. Auparavant ils ont pu les regarder s’embrasser, se déshabiller, se pénétrer habilement. Leur 69 a été de toute beauté. Leurs doigts s'activaient, leurs langues.
Ils bandaient comme des fous. Les deux femmes se baisent, chacune semblant vouloir mieux pénétrer l'autre. A ce petit jeu, Chrystèle semble l'emporter et Eva jouit dans un grand cri.
« Oui, baisez vous, allez. Et sucez-nous. » Léopold et Lionel se sont approchées chacun de la femme de l’autre et leur tendent leurs sexes. Là aussi la comparaison est au bénéfice de Lionel. Son bâton est assez impressionnant, très veiné avec un gland énorme, quand celui de Léopold a des proportions plus modestes. « Venez nous prendre maintenant ! » La demande vient d’Eva mais Chrystèle y souscrit volontiers. Elles sont toutes les deux à quatre pattes à les attendre. Elles se tiennent la main, s’embrassent. Enfin Lionel prend Chrystèle pendant que Léopold entreprend Eva. Les deux femmes en redemandent. La nuit est courte. Elles boivent pas mal. Amusé de l’ivresse d’Eva, Léopold lui demande : « Combien de doigts ?
- Cinq bien sûr ! »
Vendredi. Chrystèle était partagée entre une haine tenace pour Christian à cause de la manière dont il l'avait traitée et le souvenir délicieux des coups de queue qu'elle avait subis. Si la soirée avec leurs deux amis avait été plaisante, si elle avait adoré la douceur d’Eva elle frémissait au souvenir de la vigueur de Christian. Mais pas au moins de le rappeler quand même. Dubitatif Léopold l’a regardait manger la baguette viennoise qu’il lui avait ramenée pour prendre un petit déjeuner tardif. Il était 12 h. c’était leur dernier jour au Cap. Qu’allaient-ils faire ? Les propositions ne manquaient pas. Mais Chrsytèle les repoussait l’une après l’autre. « On part demain. Tu ne veux rien faire ce soir ? » Plus tard sur la plage ils revirent quelques amis de soirée. Splendide avec sa lourde poitrine à peine tombante, Chrystèle parcourait la plage d’un air de reine. Et bien sur elle espérait revoir Christian. Déçue de ne pas le voir elle préféra ne pas s’attarder. Léopold suivait. De plus en plus à la remorque d’une Chrystèle que ses sens semblaient complétement dominer.
Il est 20 h quand il appelle. Christian : « Des amis donnent une petite soirée dans un des riads. Vous voulez vous joindre à nous. Amène ton petit mari.
- Christian nous invite. Une petite soirée. On y va ? » Elle laisse à peine Léopold répondre : « Compte sur nous. Il y a un dress code ? » Trois heures plus tard c’est vêtue d’un corset noir, d’une robe noire apparemment assez sage mais qu’elle peut plus ou moins rendre indécente, d’escarpins noirs aux talons de huit centimètres et sans culotte qu’elle fait son entrée dans le riad. Léopold a quant à lui choisi une chemise noire sur pantalon noir.
A l’entrée il y a foule. Tout le Cap semble s’être donné rendez-vous là mais tout le monde ne peut pas entrer. Ils sont sur une liste. Ils entrent. A l’intérieur tout est encore très sage. Les hommes draguent les femmes. Elles se font remarquer, sourient aux males qui leur plaisent, détournent les yeux des autres. Mais il y a également pas mal d’homos qui jettent des coups d’œil intéressés sur Léopold ; pas malheureux de plaire aussi alors que Chrystèle est en grande conversation avec un Italien – ils abondent au Cap et savent parler aux femmes – qui lui raconte qu’il possède une boite de fabrication de yachts.
Mytho pas mytho ? En fait elle s’en fout. Elle n’a d’yeux que pour Christian qui s’approche d’elle, l’embrasse, les emmène : « Allons dans le salon VIP mes amours ». Il les prend chacun d’un côté, laisse ses mains trainer sur les fesses de Chrystèle. Mais aussi de Léopold assez surpris. La VIP room est une grande pièce dans laquelle une femme est attachée à une croix. Pas spécialement belle elle a d’énormes seins au bout desquels sont attachés des pinces. Les hommes, mais aussi d’autres femmes, s’amusent à titiller ses tétons. Christian annonce à la dizaine de convives qui sont là : « Je vous l’avais promis. Je vous ramène une femme superbe. Et son petit mari qui aime tant la voir se faire prendre. » Il s’installe dans un large fauteuil et indique à Chrystèle de venir le sucer. Elle obtempère. Sans broncher. Pendant ce temps un homme s’est placé derrière Léopold : « Alors ça te plait vraiment de voir ta femme se faire prendre ? Tu ne serais pas un peu gay ? » Il ne peut pas se retourner. Il lui a mis les deux bras dans le dos et le tient serré. Dans l’oreille il lui susurre : « Ca ne te plairait pas d’aller aussi sucer Christian ». Un autre homme est maintenant devant Léopold. Il l’embrasse, le caresse. Léopold bande. « Ca lui plait. On dirait. » Les deux hommes ont la quarantaine. Plutôt baraqués. Ils déshabillent Léopold. « Beau petit cul. Allez viens. » Ils l’amènent à Christian. « A genou viens le sucer comme ta salope de femme. » Et les voilà tous les deux, elle toujours en corset, lui complètement nu, à sucer le superbe sexe de Christian. Ils montent, descendent, lèchent ses couilles – « Oui mes lapins, allez-y » - s’embrassent. Derrière eux les deux hommes les pénètrent de leurs doigts. Puis le premier pénètre Chrystèle. Puis le second pénètre Léopold. La baise dure longtemps. Ils perdent le sens du temps.
Deux heures plus tard ils dorment aux côtés de Christian qui les a ramenés dans sa maison. Chacun d’un côté de leur imposant ils dorment sur son torse. Ses mains sont posées sur leurs fesses. Le matin ils le suceront de nouveau. Appuyés sur le bar il les prendra de nouveau. Les faisant gémir cote à cote. Doigtant Chrystèle pendant qu’il prend Léopold.
« Ca t’a plu notre séjour ?
- Oui et toi ?
- On reviendra ?
- Dans un an »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Couple-subtil
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...