Cassette dédicacé à l’intention de beau papa.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cassette dédicacé à l’intention de beau papa.
Pendant que j’arme le camescope de sa cassette, ma femme se saisit de son gode. On s’installe dans les fauteuils accolés. Je suis nu sous mon peignoir et ma femme en nuisette et porte-jarretelles. J’ai choisis le scénario en fonction des goûts de ma femme que je connais par cœur depuis qu’elle m’a fait ses confidences.
Je propose à ma femme de lui donner mais devant l’objectif.
Elle me rit au nez, et se saisit de son vibro qu’elle pose sur la table basse, à portée de main. Elle ne s’en sert pas tout de suite, elle a besoin de bien s’exciter d’abord. Elle serre les cuisses sur sa chatte qui l’humecte. Son clitoris durcit le bout de ses seins sort.
Je la filme en me branlant en douceur avec ma main libre. Elle respire de plus en plus vite et mouille sur le siège sous ses fesses. Elle se renverse en arrière dans son fauteuil, et place ses jambes en grand écart sous les accoudoirs. L’immortalise la scène. Je distingue la fissure rose dans les poils noirs et me branle avec entrain.
Ma femme est simplement contente de se faire filmé. Et la cochonne se caresse à pleine main, en remontant. Sa fente bée jusqu’à l’anus. De son doigt en crochet, elle divise ses chairs délicates qui se gorgeant de sang, ruissellent de jus, s’écartant d’elles-mêmes et deviennent toutes flasques. L’entrée de son vagin qui s’élargit, s’échauffe, déborde, appel la pénétration. Elle s’introduit un doigt, lui imprime un mouvement de va-et-vient. Puis elle rajoute encore un doigt et se pistonne, son sexe émet des bruits mouillés. Mais elle ne fait qu’exaspérer son désir sans trouver la satisfaction. La tête du gode tourne autour de l’entrée du vagin qui s’ouvre en O. sous les vibrations, les chairs tremblent et se déforment.
Elle gémit, agitant le bassin. À deux doigts en fourchette, elle écarte sa fente en losange. Quand le gland de l’appareil s’y engouffre, elle se cabre en poussant un cri de gorge et en augmentant la vitesse. Ses jambes tressautent, son cul se décolle du siège. Elle ressort l’engin et le promène entre ses cuisses et ses fesses. La tête ronde qui bourdonne à pleine vitesse atteint son anus et sous la poussée la fait s’élargir. Ma femme pousse dans son ventre et s’encule en criant et titillant son clitoris du doigt.
- Oooooh ! Fit-elle.
-Oui salope! Encule-toi bien!
Un bon quart du gode à disparu dans ses entrailles. Centimètre après centimètre elle fait disparaître le phallus dans son cul. Ce fut long, infiniment long. Puis, la totalité du phallus fut absorbée. Après un temps d’immobilité, je lui demande de se mettre en action. Elle fait alors sortir la verge artificielle presque entièrement d’elle pour immédiatement y replonger, en ressortir, s’y renfoncer. Son mouvement est ample et la respiration de ma femme s’accélère, elle se cabre, alors qu’elle s’empale avec vigueur.
Ses mouvements se font même plus rapides, plus profonds. Puis, elle se met d’elle-même à bouger. Un mouvement étonnant, une sorte d’ondulation du bas du corps qui fait entrer et sortir le phallus. Un mouvement qui va en s’accélérant, tandis qu’elle se met à haleter et à geindre. Elle lâche d’une voix rauque.
-Oui…oui…oui !
Ma femme se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés.
-Salaud ! Salaud ! Tu sais que j’aime ça !
-Je le sais oui !
-Je suis sûr que toi aussi tu aimerais. Cela te dit d’essayer ?
-Tu me connais chérie, tu sais que je suis du genre aventurier.
-On va voir ça.
Elle se lève et se dirige tout droit vers son sac, où elle y sort un gode avec des sangles.
-C’est nouveau ça? Lui fais-je.
-Tout neuf, si tu veux savoir! Répond-telle en s’hanarchant le gode à sa taille.
Je prends position sur le fauteuil alors que ma femme se saisit le tube de lubrifiant. Sourire aux lèvres, elle le devise, et suite à cela, elle m’en enduit toute la raie.
Je ne quitte pas des yeux, ma femme et son gode. Qu’elle attrape et d’un mouvement de poignet, la brandit vers moi. Elle m’enfile l’index dans le cul pour bien faire pénétrer le gel. Elle est douce et je ne ressens aucune douleur.
Le doigt toujours enfoui dans mon cul, elle approche le gode de ma bouche. Je prends l’initiative de le sucer en fermant les yeux. D’un coup de reins, elle me le reprend, pour l’orienter contre mon anus. D’un bloc, elle m’obstrue le trou du cul. Je me raidis. Le bout du gode à disparu dans mon fondement. Seconde après seconde, et millimètre après millimètre l’objet s’enfonce encore et encore. L’envie d’aller aux toilettes me saisit. Je sens la peau de mon cul se tendre jusqu’à la limite du déchirement. Ça fait mal !
Le gode s’enterre dans mon cul. La douleur peu à peu diminue, laissant la place à du pure plaisir. Ma bouche laisse sortir des Oh!
Je sens le tuyau en silicone, aller et venir lentement. Ma femme me lime le cul devant l’objectif. Je suis impatient de revoir la scène. Je me surpris d’onduler lentement du bassin en suivant le rythme de ma sodomatrice. La douleur a presque totalement disparu. Je l’encourage d’aller plus vite, plus fort. Elle s’exécute, me mettant des coups de cul que j’encaisse avec contentement. Je finis par osciller de tout le corps, et c’est moi qui vais désormais au-devant de son gode. Je ne sens qu’un contact agréable. Je suis comme anesthésié de l’anus.
Je fais changer ma femme de position. Je la fais prendre place sur le fauteuil, moi au-dessus d’elle, face à l’objectif. Je me saisis du gode entre deux doigts et le guide dans la cible. Je n’ai pu qu’à me laisser tomber dessus. M'emmencher à fond pour la seconde fois.
Toujours devant l’objectif, j’enroule mes doigts autour de ma hampe, au sommet de son érection. J’entre joyeusement dans ce jeu trouble et fascinant. J’aime être maté pour les femmes et les hommes aussi.
Je prends un pied d’enfer à m’enculer sur le gode. Ma verge perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Ma main remonte sans cesse le long de ma hampe depuis la base où je n’oublie pas de caresser mes boules jusqu’au sommet de mon gland.
Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Ma verge est très tendue. Ça m’excite beaucoup de voir ma verge bander aussi vigoureusement. Les pieds en appui sur les accoudoirs du fauteuil je me soulève de ma main libre, et demande à ma femme de me bourrer le cul. Ce qu’elle fait à la perfection. On sent là l’experte !
Je me branle la verge, de lents va-et-vient. Mon plaisir est d’une intensité telle que je mouille beaucoup plus. Je suis au comble du bonheur de voir à quel point je passe un excellent moment. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus, et de mon pénis s’écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.
Les ondes de plaisir remontent tout le long de ma queue et se diffusent intensément dans mon gland tendu et gonflé à l’extrême par le plaisir. C’est merveilleusement beau et bon à la fois. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Encouragé ma femme accélère ses coups de reins.
Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne laissent aucun doute sur l’intense plaisir que je prends. Ma main descend et monte plus vite sur ma verge. Je sens mon sexe se contracter, les contractions sont plus longues, plus amples, et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. J’accélère mes caresses. Mes gémissements et mes râles s’intensifient. Tout mon corps est transi de plaisir, je suis au bord de l’orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais jouir, je vais éjaculer, je vais gicler, je vais me vider.
Mon gland se dilate, faisant s’ouvrir le méat, dont la béance annonce l’imminence de mon éjaculation. Je sens mon sperme brûlant monter et transpercer mon pénis. Je m’encule entièrement sur le gode, et je vois jaillir du méat béant de mon gland le premier jet de semence. Première giclée, j’aime regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche de mon pénis ! Je suis heureux ! Contempler les giclées de ma semence qui jaillissent en jets brûlants de mon bâton congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de la jouissance. Chaque jet de sperme giclé par ma verge m’arrache un long gémissement rauque.
Le plaisir m’a comme anesthésier. J’ai besoin de l’aide de ma femme pour m’extraire.
Le lendemain j’ai droit à la visite de ma belle-mère et pas moins, ma maîtresse dès le début de ma relation avec ma femme et donc sa fille.
-J’ai à te parler sérieusement ! Me fait-elle.
-Oui je t’écoute !
-Tu as couché avec ma fille ?
-Bien sûr, qu’elle question, puisque c’est ma femme.
-Je parle l’autre.
Là c’était pour moi un peu plus embarrassant.
-Bon, je ne vais pas te mentir, pas à toi ! Et bien la réponse est oui.
-Salaud !
-Je pense que tu es mal placé pour me traiter de la sorte, tu ne crois pas ?
-Je m’excuse.
-Ta fille est venue ce jour là me rendre une petite visite amicale à l’appartement. Comme elle le faisait souvent surtout quand j’étais seul. Malgré qu’elle est fait le trajet en mobylette elle porte une jupette plissée, comme tu le devines bien courte, chemisette et socquettes. Je remarque qu’elle a homie de se mettre un soutien-gorge. Donc je distingue les taches sombres de ses aréoles à travers son haut. Comme elle a une grosse poitrine, ils ballotent quand elle se déplace.
Je l’invite à prendre place sur le divan et je lui offre un soda. Tout en lui parlant, je ne peux m’empêcher à regarder sa petite culotte blanche en nylon qu’elle m’exhibe. Si étroite qu’elle lui rentre dans la fente. Au fil des secondes elle ne se prive pas d’écarter les genoux. Ce faisant, le tissu de son slip se plaque contre son sexe. il s’incruste dans les replis de sa vulve. Je peux sans problème deviner la forme de ses lèvres.
-Tu ne l’as pas mise dehors ? Me fait sa mère.
-Pour qu’elle raison l’aurais-je fais ?
Surtout qu’à cause de ses mouvements, l’élastique de sa culotte glisse laissant échapper des mèches de poils. La savoir velue cela m’a excité. Et la coquine dans tout ça, semble ne se rendre compte de rien. Moi j’ai un début d’érection.
Nous échangeons toujours, alors que je m’efforce de lui exhiber ma bandaison. Cela met un certain temps avant qu’elle s’en aperçoive. Je la sens alors très excitée. Elle ondule du bassin tout en me fixant. Le silence se fait dans la pièce. Seulement coupé par les bruits de vie dans le quartier. Une tache de mouille grandisse au fond de son slip.
Contre toute attente, la coquine prend l’initiative de poser sa main sur mon sexe.
-C’est moi la cause ? Me fait-elle, en refermant ses doigts autour de ma queue à travers l’étoffe de mon pantalon.
Je suis au bord de l’orgasme, cela suffit pour que j’éjacule dans mon slip.
-Pourquoi ne pas me l’avoir dit ? Lâche ma belle-mère, en se levant.
Je crois voir une lueur inhabituelle dans son regard. En silence le regard fixe, avec des gestes d’automate, elle ôte tout ce qui peut la gêner, et prend la pose sur le divan. De chaque côté de ses gros bourrelets roses, elle étire ses poils. Entre ses grandes lèvres béantes, les muqueuses luisent d’humidité. Puis elle montre son anus mauve aux bords striés entourés de petits poils.
-Tu m’as donné envie ! Me lâche-t-elle.
J’avance la main pour toucher sa fente du bout des doigts, elle gémi et lève le bassin pour m’encourager à la tripoter franchement. Je fouille dans ses poils à la cherche de son clitoris. Je le fais rouler entre mes doigts.
-Putain ! Il n’y a que toi pour me masser le bouton de la sorte…
- Dis-le à ton con de mari.
-Laisse-le celui-là !
Sans tendresse, je plonge mes doigts dans son large con. Son bouton se gonfle de sang et devient plus gros qu’une cerise. Elle coule sous mes doigts. Son odeur forte empeste la pièce.
Elle agite la tête de gauche à droite en laissant tomber :
-Oh oui… c’est bon !
-Merci mon gendre ! Vas-y, je veux te l’entendre dire.
-Qu’est-ce que je ferais sans toi mon gendre. Regarde ma chatte de salope ! Il coule sous tes caresses, mon gendre ! Elle veut ta queue, la salope ! Oui ta grosse queue, mon gendre ! Elle adore ta queue ma salope de chatte !
Après qu’elle est joui, j’attends quelques minutes, et lui dit :
-Suce-moi maintenant.
-Mmmm, elle est bien dure ta queue !
-Comme tu les aimes, non salope ?
-Comme je les aime…
-Mmmm, Colette, je n’ai jamais vu une telle salope que toi, tu suces comme une reine, tu sais ? Mieux que ta fille…
Je colle mon ventre au sien, frotte mon sexe contre sa fente qui, déjà mouillée, lubrifie le contact avec le clitoris. Elle gémit, et se tend. Elle prend ma verge en main, de l’autre écarte les lèves de sa chatte, et présente le gland à l’entrée du vagin.
-Allez, mets-la-moi maintenant, mets-moi ta grosse bite, vite !
-Demandé comme ça je ne peux pas refuser, tiens, la voilà !
-Mmm, Ohhhhh… j’ai cru que ma chatte ne tiendrait pas jusque-là.
Elle enserre mon dos à l’aide de ses jambes. Mon sexe commence à pénétré dans la douce et chaude coquille, mais elle donne un coup de ventre vers moi, s’empalant complètement à ma verge.
- Tu mouilles comme jamais, ma salope, on rentre comme dans du beurre, tu sais !
Je plante mon regard dans le sien. J’imprime à mes coups de reins une amplitude de plus en plus grande, et un rythme de plus en plus rapide. Elle répond à chaque coup par un gémissement, ponctuant ainsi mes mouvements de plus en plus violents.
- Mmm, plus fort, mets-moi plus viiite ! Baise-là, bien ta petite salope.
-Et si je lui mettais un doigt dans le cul en même temps ?
-Oh ouiiii, doigte-moi les fesses s’il te plaît.
-Demande le plus gentiment !
-S’il te plaît, mets-moi un doigt dans le cul pendant que tu me bourres la chatte, je t’en supplie… je serai une salope très… Mmmmm… très gentille si tu fais ça.
Ses gémissements deviennent plus forts, puis elle crie, se tendant, les yeux toujours dans les miens. Mon orgasme suit le sien presque immédiatement, et je répands ma semence dans sa coque.
Je me dégage ensuite, lentement.
-Je t’avais dit de me donner du plaisir, mais je ne m’attendais pas à tant de passion.
Elle me regarde longuement. Puis elle me sourit, puis se lève, se colle à moi et me donne un long baiser sur la bouche.
Et c’est devant une tasse de café, que je lui révèle l’expérience que j’ai eu la veille avec sa fille, je précise… ma femme ! Et là je lui dévoile mon plan. Bien sûr comme toujours elle accroche. Tout ce qui sort de ma bouche est pour elle du pain béni !
-Et tu veux que ça ce fasse quand ?
-Le plus tôt possible. D’ailleurs elle est prête. Fais-je en lui tendant la cassette VHS dans son coffret.
Je propose à ma femme de lui donner mais devant l’objectif.
Elle me rit au nez, et se saisit de son vibro qu’elle pose sur la table basse, à portée de main. Elle ne s’en sert pas tout de suite, elle a besoin de bien s’exciter d’abord. Elle serre les cuisses sur sa chatte qui l’humecte. Son clitoris durcit le bout de ses seins sort.
Je la filme en me branlant en douceur avec ma main libre. Elle respire de plus en plus vite et mouille sur le siège sous ses fesses. Elle se renverse en arrière dans son fauteuil, et place ses jambes en grand écart sous les accoudoirs. L’immortalise la scène. Je distingue la fissure rose dans les poils noirs et me branle avec entrain.
Ma femme est simplement contente de se faire filmé. Et la cochonne se caresse à pleine main, en remontant. Sa fente bée jusqu’à l’anus. De son doigt en crochet, elle divise ses chairs délicates qui se gorgeant de sang, ruissellent de jus, s’écartant d’elles-mêmes et deviennent toutes flasques. L’entrée de son vagin qui s’élargit, s’échauffe, déborde, appel la pénétration. Elle s’introduit un doigt, lui imprime un mouvement de va-et-vient. Puis elle rajoute encore un doigt et se pistonne, son sexe émet des bruits mouillés. Mais elle ne fait qu’exaspérer son désir sans trouver la satisfaction. La tête du gode tourne autour de l’entrée du vagin qui s’ouvre en O. sous les vibrations, les chairs tremblent et se déforment.
Elle gémit, agitant le bassin. À deux doigts en fourchette, elle écarte sa fente en losange. Quand le gland de l’appareil s’y engouffre, elle se cabre en poussant un cri de gorge et en augmentant la vitesse. Ses jambes tressautent, son cul se décolle du siège. Elle ressort l’engin et le promène entre ses cuisses et ses fesses. La tête ronde qui bourdonne à pleine vitesse atteint son anus et sous la poussée la fait s’élargir. Ma femme pousse dans son ventre et s’encule en criant et titillant son clitoris du doigt.
- Oooooh ! Fit-elle.
-Oui salope! Encule-toi bien!
Un bon quart du gode à disparu dans ses entrailles. Centimètre après centimètre elle fait disparaître le phallus dans son cul. Ce fut long, infiniment long. Puis, la totalité du phallus fut absorbée. Après un temps d’immobilité, je lui demande de se mettre en action. Elle fait alors sortir la verge artificielle presque entièrement d’elle pour immédiatement y replonger, en ressortir, s’y renfoncer. Son mouvement est ample et la respiration de ma femme s’accélère, elle se cabre, alors qu’elle s’empale avec vigueur.
Ses mouvements se font même plus rapides, plus profonds. Puis, elle se met d’elle-même à bouger. Un mouvement étonnant, une sorte d’ondulation du bas du corps qui fait entrer et sortir le phallus. Un mouvement qui va en s’accélérant, tandis qu’elle se met à haleter et à geindre. Elle lâche d’une voix rauque.
-Oui…oui…oui !
Ma femme se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés.
-Salaud ! Salaud ! Tu sais que j’aime ça !
-Je le sais oui !
-Je suis sûr que toi aussi tu aimerais. Cela te dit d’essayer ?
-Tu me connais chérie, tu sais que je suis du genre aventurier.
-On va voir ça.
Elle se lève et se dirige tout droit vers son sac, où elle y sort un gode avec des sangles.
-C’est nouveau ça? Lui fais-je.
-Tout neuf, si tu veux savoir! Répond-telle en s’hanarchant le gode à sa taille.
Je prends position sur le fauteuil alors que ma femme se saisit le tube de lubrifiant. Sourire aux lèvres, elle le devise, et suite à cela, elle m’en enduit toute la raie.
Je ne quitte pas des yeux, ma femme et son gode. Qu’elle attrape et d’un mouvement de poignet, la brandit vers moi. Elle m’enfile l’index dans le cul pour bien faire pénétrer le gel. Elle est douce et je ne ressens aucune douleur.
Le doigt toujours enfoui dans mon cul, elle approche le gode de ma bouche. Je prends l’initiative de le sucer en fermant les yeux. D’un coup de reins, elle me le reprend, pour l’orienter contre mon anus. D’un bloc, elle m’obstrue le trou du cul. Je me raidis. Le bout du gode à disparu dans mon fondement. Seconde après seconde, et millimètre après millimètre l’objet s’enfonce encore et encore. L’envie d’aller aux toilettes me saisit. Je sens la peau de mon cul se tendre jusqu’à la limite du déchirement. Ça fait mal !
Le gode s’enterre dans mon cul. La douleur peu à peu diminue, laissant la place à du pure plaisir. Ma bouche laisse sortir des Oh!
Je sens le tuyau en silicone, aller et venir lentement. Ma femme me lime le cul devant l’objectif. Je suis impatient de revoir la scène. Je me surpris d’onduler lentement du bassin en suivant le rythme de ma sodomatrice. La douleur a presque totalement disparu. Je l’encourage d’aller plus vite, plus fort. Elle s’exécute, me mettant des coups de cul que j’encaisse avec contentement. Je finis par osciller de tout le corps, et c’est moi qui vais désormais au-devant de son gode. Je ne sens qu’un contact agréable. Je suis comme anesthésié de l’anus.
Je fais changer ma femme de position. Je la fais prendre place sur le fauteuil, moi au-dessus d’elle, face à l’objectif. Je me saisis du gode entre deux doigts et le guide dans la cible. Je n’ai pu qu’à me laisser tomber dessus. M'emmencher à fond pour la seconde fois.
Toujours devant l’objectif, j’enroule mes doigts autour de ma hampe, au sommet de son érection. J’entre joyeusement dans ce jeu trouble et fascinant. J’aime être maté pour les femmes et les hommes aussi.
Je prends un pied d’enfer à m’enculer sur le gode. Ma verge perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Ma main remonte sans cesse le long de ma hampe depuis la base où je n’oublie pas de caresser mes boules jusqu’au sommet de mon gland.
Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Ma verge est très tendue. Ça m’excite beaucoup de voir ma verge bander aussi vigoureusement. Les pieds en appui sur les accoudoirs du fauteuil je me soulève de ma main libre, et demande à ma femme de me bourrer le cul. Ce qu’elle fait à la perfection. On sent là l’experte !
Je me branle la verge, de lents va-et-vient. Mon plaisir est d’une intensité telle que je mouille beaucoup plus. Je suis au comble du bonheur de voir à quel point je passe un excellent moment. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus, et de mon pénis s’écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.
Les ondes de plaisir remontent tout le long de ma queue et se diffusent intensément dans mon gland tendu et gonflé à l’extrême par le plaisir. C’est merveilleusement beau et bon à la fois. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Encouragé ma femme accélère ses coups de reins.
Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne laissent aucun doute sur l’intense plaisir que je prends. Ma main descend et monte plus vite sur ma verge. Je sens mon sexe se contracter, les contractions sont plus longues, plus amples, et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. J’accélère mes caresses. Mes gémissements et mes râles s’intensifient. Tout mon corps est transi de plaisir, je suis au bord de l’orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais jouir, je vais éjaculer, je vais gicler, je vais me vider.
Mon gland se dilate, faisant s’ouvrir le méat, dont la béance annonce l’imminence de mon éjaculation. Je sens mon sperme brûlant monter et transpercer mon pénis. Je m’encule entièrement sur le gode, et je vois jaillir du méat béant de mon gland le premier jet de semence. Première giclée, j’aime regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche de mon pénis ! Je suis heureux ! Contempler les giclées de ma semence qui jaillissent en jets brûlants de mon bâton congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de la jouissance. Chaque jet de sperme giclé par ma verge m’arrache un long gémissement rauque.
Le plaisir m’a comme anesthésier. J’ai besoin de l’aide de ma femme pour m’extraire.
Le lendemain j’ai droit à la visite de ma belle-mère et pas moins, ma maîtresse dès le début de ma relation avec ma femme et donc sa fille.
-J’ai à te parler sérieusement ! Me fait-elle.
-Oui je t’écoute !
-Tu as couché avec ma fille ?
-Bien sûr, qu’elle question, puisque c’est ma femme.
-Je parle l’autre.
Là c’était pour moi un peu plus embarrassant.
-Bon, je ne vais pas te mentir, pas à toi ! Et bien la réponse est oui.
-Salaud !
-Je pense que tu es mal placé pour me traiter de la sorte, tu ne crois pas ?
-Je m’excuse.
-Ta fille est venue ce jour là me rendre une petite visite amicale à l’appartement. Comme elle le faisait souvent surtout quand j’étais seul. Malgré qu’elle est fait le trajet en mobylette elle porte une jupette plissée, comme tu le devines bien courte, chemisette et socquettes. Je remarque qu’elle a homie de se mettre un soutien-gorge. Donc je distingue les taches sombres de ses aréoles à travers son haut. Comme elle a une grosse poitrine, ils ballotent quand elle se déplace.
Je l’invite à prendre place sur le divan et je lui offre un soda. Tout en lui parlant, je ne peux m’empêcher à regarder sa petite culotte blanche en nylon qu’elle m’exhibe. Si étroite qu’elle lui rentre dans la fente. Au fil des secondes elle ne se prive pas d’écarter les genoux. Ce faisant, le tissu de son slip se plaque contre son sexe. il s’incruste dans les replis de sa vulve. Je peux sans problème deviner la forme de ses lèvres.
-Tu ne l’as pas mise dehors ? Me fait sa mère.
-Pour qu’elle raison l’aurais-je fais ?
Surtout qu’à cause de ses mouvements, l’élastique de sa culotte glisse laissant échapper des mèches de poils. La savoir velue cela m’a excité. Et la coquine dans tout ça, semble ne se rendre compte de rien. Moi j’ai un début d’érection.
Nous échangeons toujours, alors que je m’efforce de lui exhiber ma bandaison. Cela met un certain temps avant qu’elle s’en aperçoive. Je la sens alors très excitée. Elle ondule du bassin tout en me fixant. Le silence se fait dans la pièce. Seulement coupé par les bruits de vie dans le quartier. Une tache de mouille grandisse au fond de son slip.
Contre toute attente, la coquine prend l’initiative de poser sa main sur mon sexe.
-C’est moi la cause ? Me fait-elle, en refermant ses doigts autour de ma queue à travers l’étoffe de mon pantalon.
Je suis au bord de l’orgasme, cela suffit pour que j’éjacule dans mon slip.
-Pourquoi ne pas me l’avoir dit ? Lâche ma belle-mère, en se levant.
Je crois voir une lueur inhabituelle dans son regard. En silence le regard fixe, avec des gestes d’automate, elle ôte tout ce qui peut la gêner, et prend la pose sur le divan. De chaque côté de ses gros bourrelets roses, elle étire ses poils. Entre ses grandes lèvres béantes, les muqueuses luisent d’humidité. Puis elle montre son anus mauve aux bords striés entourés de petits poils.
-Tu m’as donné envie ! Me lâche-t-elle.
J’avance la main pour toucher sa fente du bout des doigts, elle gémi et lève le bassin pour m’encourager à la tripoter franchement. Je fouille dans ses poils à la cherche de son clitoris. Je le fais rouler entre mes doigts.
-Putain ! Il n’y a que toi pour me masser le bouton de la sorte…
- Dis-le à ton con de mari.
-Laisse-le celui-là !
Sans tendresse, je plonge mes doigts dans son large con. Son bouton se gonfle de sang et devient plus gros qu’une cerise. Elle coule sous mes doigts. Son odeur forte empeste la pièce.
Elle agite la tête de gauche à droite en laissant tomber :
-Oh oui… c’est bon !
-Merci mon gendre ! Vas-y, je veux te l’entendre dire.
-Qu’est-ce que je ferais sans toi mon gendre. Regarde ma chatte de salope ! Il coule sous tes caresses, mon gendre ! Elle veut ta queue, la salope ! Oui ta grosse queue, mon gendre ! Elle adore ta queue ma salope de chatte !
Après qu’elle est joui, j’attends quelques minutes, et lui dit :
-Suce-moi maintenant.
-Mmmm, elle est bien dure ta queue !
-Comme tu les aimes, non salope ?
-Comme je les aime…
-Mmmm, Colette, je n’ai jamais vu une telle salope que toi, tu suces comme une reine, tu sais ? Mieux que ta fille…
Je colle mon ventre au sien, frotte mon sexe contre sa fente qui, déjà mouillée, lubrifie le contact avec le clitoris. Elle gémit, et se tend. Elle prend ma verge en main, de l’autre écarte les lèves de sa chatte, et présente le gland à l’entrée du vagin.
-Allez, mets-la-moi maintenant, mets-moi ta grosse bite, vite !
-Demandé comme ça je ne peux pas refuser, tiens, la voilà !
-Mmm, Ohhhhh… j’ai cru que ma chatte ne tiendrait pas jusque-là.
Elle enserre mon dos à l’aide de ses jambes. Mon sexe commence à pénétré dans la douce et chaude coquille, mais elle donne un coup de ventre vers moi, s’empalant complètement à ma verge.
- Tu mouilles comme jamais, ma salope, on rentre comme dans du beurre, tu sais !
Je plante mon regard dans le sien. J’imprime à mes coups de reins une amplitude de plus en plus grande, et un rythme de plus en plus rapide. Elle répond à chaque coup par un gémissement, ponctuant ainsi mes mouvements de plus en plus violents.
- Mmm, plus fort, mets-moi plus viiite ! Baise-là, bien ta petite salope.
-Et si je lui mettais un doigt dans le cul en même temps ?
-Oh ouiiii, doigte-moi les fesses s’il te plaît.
-Demande le plus gentiment !
-S’il te plaît, mets-moi un doigt dans le cul pendant que tu me bourres la chatte, je t’en supplie… je serai une salope très… Mmmmm… très gentille si tu fais ça.
Ses gémissements deviennent plus forts, puis elle crie, se tendant, les yeux toujours dans les miens. Mon orgasme suit le sien presque immédiatement, et je répands ma semence dans sa coque.
Je me dégage ensuite, lentement.
-Je t’avais dit de me donner du plaisir, mais je ne m’attendais pas à tant de passion.
Elle me regarde longuement. Puis elle me sourit, puis se lève, se colle à moi et me donne un long baiser sur la bouche.
Et c’est devant une tasse de café, que je lui révèle l’expérience que j’ai eu la veille avec sa fille, je précise… ma femme ! Et là je lui dévoile mon plan. Bien sûr comme toujours elle accroche. Tout ce qui sort de ma bouche est pour elle du pain béni !
-Et tu veux que ça ce fasse quand ?
-Le plus tôt possible. D’ailleurs elle est prête. Fais-je en lui tendant la cassette VHS dans son coffret.
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