Celle qui ne savait pas dire non (3)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2019 dans la catégorie Plus on est
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Celle qui ne savait pas dire non (3)
JE ME DECOUVRE CANDAULISTE
Moi, Corinne, 52 ans, mère de famille, assistante de direction, cheveux blonds (faux) séparés par une raie sur le côté et tombant sur mes épaules, jambes longues et seins en pomme, fière de son cul, maitresse occasionnelle de mon patron mais fidèle (à ma façon) à mon mari Christophe, je ne sais pas dire non à une forte envie de baiser extra conjugale. Je l'ai déjà raconté dans les deux précédents épisodes. Mais mon manque de résistance s'applique parfois à d'autres circonstances, comme je vais le raconter ici.
Cet été, comme chaque année depuis trois ans, j'ai passé une semaine en Corse sur le bateau de mes amis Manuella et Michel. Manuella, c'est une relation de gymnastique avec laquelle j'ai sympathisé tout de suite. Il est à peu près de mon âge (55 ans), elle est ronde alors que je suis toujours mince, elle a un imposant casque de cheveux tellement blonds qu'ils en paraissent blancs et elle est toujours gaie, ce qui l'a rend très sympa. Son mari est un grand gaillard un peu trop ventru à mon goût, pas le genre de type qui stimule mon envie de baiser mais il est très sympa lui aussi. C'est un navigateur hors pair, ce qui fait qu'on se sent toujours en sécurité dans son bateau, un ketch doté de quatre couchettes, ce qui permet du cabotage auprès de la magnifique côte corse.
Quand nous sommes au large, Manuella et moi, on bronze à poil sur le pont avant de nous rafraichir en plongeant dans la Méditerranée sous la bonne garde de nos maris. Moments délicieux. Un après-midi pendant que nous nous rôtissions les fesses, Manuella me glissa :- Tu sais que j'aime beaucoup Christophe.
- J'aime beaucoup Michel aussi.
- Que dirais-tu si on échangeait nos maris un petit moment pour une partie de jambes en l'air ?
- Comment ? Tu me proposes de faire de l'échangisme ?
- Ou mélangisme si tu préfères. Oui mais juste comme ça en passant, pour une expérience. On fait ça parfois avec Michel et des amis communs. C'est très fun et ça n'engage à rien.
- Tu as envie de Christophe à ce point ?
- Ben oui. C'est un très bel homme, tu le sais bien.
- Je ne suis pas aussi excitée par Michel, désolée. Et puis, est-ce que Christophe accepterait de coucher avec toi ?
- Je crois que oui. J'ai l'impression qu'il aime mon corps, mes rondeurs. Et il m'aime bien aussi. Allez, dit oui et je me charge de Christophe.
- Et Michel dans tout ça ?
- Il serait ravi de coucher avec toi. Et toi tu serais ravie de lui faire plaisir, non ?
Sur le moment, je n'ai rien répondu. La situation était délicate. Comment refuser quelque chose à nos amis qui nous accueillaient si gentiment sur leur bateau ? Il me fallait d'abord sonder Christophe.
- Bon, je vais réfléchir à ta proposition mais je ne dis ni oui ni non pour le moment.
J'ai pris Christophe en aparté alors que nous nous baignions tous les deux et je lui ai parlé de la proposition de Manuella. Il a eu l'air surpris mais nullement choqué. Sa réponse ne m'a qu'à moitié étonné.
- C'est toi qui décide. Si c'est non, c'est non. Si c'est oui, c'est oui.
Or, vous le savez, je ne sais pas dire non. Quand je suis remontée ruisselante et nue sur le bateau, j'ai glissé à l'oreille de Manuella :- C'est oui mais je tiens à te dire que je n'ai pas très envie de faire l'amour avec Michel.
- Vous ferez ce que vous voudrez. En tout cas, lui, il a envie de toi.
Et c'est ainsi que le soir venu, alors que la nuit tombait doucement sur la mer, le bateau amarré légèrement à l'écart de la côte et après avoir dîné dans une ambiance légèrement érotique, Manuella prit Christophe par la main pour l'entrainer vers le coin couchette tandis que je restais avec Michel sans trop savoir sur quel pied danser.
*******Mon regard s'attardait depuis plusieurs minutes sur le sublime coucher de soleil sur la mer, glissant quelques banalités à Michel assis à mes côtés, quand surgit de la couchette un contrebas un "ouiiiiiiii" parfaitement explicite. Selon toute vraisemblance, après quelques préliminaires silencieux, Manuella venait d'être pénétrée par Christophe. Suivit une mélopée de femme qui baise, les "ahoo, ahoo, ahoo" succédant aux "mmmhhh, mmmhh" et aux "ouiii, ouiii". Je me sentais de plus en plus tendue. Michel ne bougeait pas d'une oreille. Mais quand Manuella lâche un "ah quelle est bonne ta bite !" , ce fut plus fort que moi. Je me précipitai à l'entrée de l'habitacle pour voir. Christophe vrillait son petit cul bronzé entre les cuisses dodues de Manuella qui lui tenait fermement les fesses comme pour le maintenir en elle. Ses pieds battaient l'air en cadence des coups de queue que lui assénait mon cher et tendre avec un plaisir palpable. C'est à peine si je sentis la main de Michel qui me relevait la robe en direction de ma chatte, à l'évidence trempée. Je me retrouvais dans la position inattendue d'une candauliste femelle qui regardait son mari faire l'amour avec une autre femme sans éprouver une jalousie particulière mais une curiosité teintée de plaisir.
Le couple avait changé de position et Christophe possédait Manuella en levrette à même le sol, leurs regards dans notre direction. Ses gros seins ballottaient entre ses bras et elle remuait son vaste postérieur pour bien s'enfoncer la bite qui la fouillait. C'est alors qu'elle nous interpella :- Au lieu de jouer les voyeurs, vous ne pourriez pas faire la même chose ?
La main de Michel avait justement atteint ma chatte et la caressait avec habileté. Je me laissai pousser vers une couchette et écarter les jambes afin qu'il y plonge son mufle, la robe troussée jusqu'au nombril. Je dois admettre que sa langue était assez habile et je me laissai lécher sans déplaisir en regardant l'autre couple forniquer avec ardeur. Toujours au sol, Manuella chevauchait Christophe en se tenant les seins, il est vrai très chahutés. L'extase se lisait sur son visage rond tandis que Christophe, concentré, lui renvoyait la balle en décollant les fesses avec vigueur. Est-ce la langue de Michel qui me faisait de plus en plus d'effet, ou bien cette position candauliste qui m'excitait ? Toujours est-il que quand Michel se décida à me pénétrer, je ne marquai aucun recul, aucune opposition. Je fis juste passer ma robe par-dessus ma tête car je ne baise qu'à poil et je lui talonnai illico les reins, sans le regarder mais en matant l'autre couple en pleine euphorie sexuelle. Subjuguée par la raideur et l'endurance de Christophe, et peut-être aussi par la situation dans le bateau, Manuella clamait son plaisir en termes les plus crus, sans crainte d'être entendue du voisinage. Ecartelée sur la couchette, elle suppliait mon mari de se retenir tandis que celui-ci se gavait du spectacle de ses seins en mouvement sur l'effet de ses coups de queue, spectacle que mes nichons en pomme ne risquaient pas de lui offrir.
Entre mes propres cuisses, Michel faisait de son mieux pour me faire jouir mais il était loin de la raideur de mon mari. Je l'encourageai néanmoins en lui griffant les fesses, "allez, vas-y, plus fort, encore" mais malgré son désir évident, il peinait. Afin de hâter son éjaculation, je m'agitai frénétiquement sous lui, cherchant ses couilles, lâchant moi aussi quelques mots crus mais je faisais pâle figure à côté de Manuella, déchaînée, qui s'exclama à ma grande stupeur :- Encule-moi maintenant, jouis dans mon gros cul, s'il te plait.
Inutile de vous dire que Christophe s'empressa de s'exécuter et je pus assister, à quelques centimètres de moi, à l'introduction de son pénis dans l'anus bien ouvert de Manuella, aux claquements de peaux qui suivirent, aux cris d'enthousiasme qui en résultèrent et enfin à l'éjaculation de mon mari, laquelle coïncida presque avec celle de Michel, enfin satisfait par mes initiatives, à moins que ce ne soit par le spectacle contigu, allez savoir. L'affaire était terminée. La soirée s'acheva par un bain de minuit durant lequel Manuella me glissa à l'oreille :- Ton mari est un baiseur formidable, quelle chance tu as.
Je me gardai de lui retourner le compliment. Je lui dis néanmoins :- C'était une situation inhabituelle, très jouissive, j'ai bien aimé.
- J'espère qu'on remettra ça.
- On verra. Profitons déjà du temps présent.
********Il restait deux jours à passer sur le bateau. La partie à quatre ne fut pas renouvelée. En revanche, j'exigeai que Christophe me fasse l'amour sur la couchette pendant que l'autre couple se tenait sur le pont. D'abord parce que j'en avais envie vu que je n'avais pas vraiment joui avec Michel et qu'il me restait une frustration; ensuite parce que c'était une manière de montrer à Manuella que Christophe était encore mon mâle; et enfin à mettre celui-ci fasse à ses responsabilités de mari, à savoir honorer sa femme de sa virilité. Je m'égosillai tant et plus pendant qu'il me pilonnait, j'en rajoutai même un peu mais j'eus l'orgasme auquel j'avais droit. Quand je remontai sur le pont, pleinement satisfaite, Michel faisait une léchouille à Manuella, preuve que celle-ci avait été émoustillée par nos ébats. Mais cette fois, Christophe ne vint pas en renfort, asséché qu'il était par mes soins. Notre hôtesse n'attendait pourtant que ça. Une frustrée partout, balle au centre...
Nous nous sommes quittés bons amis, enchantés de notre périple aquatique. Reviendrons-nous l'an prochain ? Je n'en sais rien mais sans doute. Si Manuella me le propose, j'accepterai sûrement. Que voulez-vous, je ne sais pas dire non...
(A suivre)
Moi, Corinne, 52 ans, mère de famille, assistante de direction, cheveux blonds (faux) séparés par une raie sur le côté et tombant sur mes épaules, jambes longues et seins en pomme, fière de son cul, maitresse occasionnelle de mon patron mais fidèle (à ma façon) à mon mari Christophe, je ne sais pas dire non à une forte envie de baiser extra conjugale. Je l'ai déjà raconté dans les deux précédents épisodes. Mais mon manque de résistance s'applique parfois à d'autres circonstances, comme je vais le raconter ici.
Cet été, comme chaque année depuis trois ans, j'ai passé une semaine en Corse sur le bateau de mes amis Manuella et Michel. Manuella, c'est une relation de gymnastique avec laquelle j'ai sympathisé tout de suite. Il est à peu près de mon âge (55 ans), elle est ronde alors que je suis toujours mince, elle a un imposant casque de cheveux tellement blonds qu'ils en paraissent blancs et elle est toujours gaie, ce qui l'a rend très sympa. Son mari est un grand gaillard un peu trop ventru à mon goût, pas le genre de type qui stimule mon envie de baiser mais il est très sympa lui aussi. C'est un navigateur hors pair, ce qui fait qu'on se sent toujours en sécurité dans son bateau, un ketch doté de quatre couchettes, ce qui permet du cabotage auprès de la magnifique côte corse.
Quand nous sommes au large, Manuella et moi, on bronze à poil sur le pont avant de nous rafraichir en plongeant dans la Méditerranée sous la bonne garde de nos maris. Moments délicieux. Un après-midi pendant que nous nous rôtissions les fesses, Manuella me glissa :- Tu sais que j'aime beaucoup Christophe.
- J'aime beaucoup Michel aussi.
- Que dirais-tu si on échangeait nos maris un petit moment pour une partie de jambes en l'air ?
- Comment ? Tu me proposes de faire de l'échangisme ?
- Ou mélangisme si tu préfères. Oui mais juste comme ça en passant, pour une expérience. On fait ça parfois avec Michel et des amis communs. C'est très fun et ça n'engage à rien.
- Tu as envie de Christophe à ce point ?
- Ben oui. C'est un très bel homme, tu le sais bien.
- Je ne suis pas aussi excitée par Michel, désolée. Et puis, est-ce que Christophe accepterait de coucher avec toi ?
- Je crois que oui. J'ai l'impression qu'il aime mon corps, mes rondeurs. Et il m'aime bien aussi. Allez, dit oui et je me charge de Christophe.
- Et Michel dans tout ça ?
- Il serait ravi de coucher avec toi. Et toi tu serais ravie de lui faire plaisir, non ?
Sur le moment, je n'ai rien répondu. La situation était délicate. Comment refuser quelque chose à nos amis qui nous accueillaient si gentiment sur leur bateau ? Il me fallait d'abord sonder Christophe.
- Bon, je vais réfléchir à ta proposition mais je ne dis ni oui ni non pour le moment.
J'ai pris Christophe en aparté alors que nous nous baignions tous les deux et je lui ai parlé de la proposition de Manuella. Il a eu l'air surpris mais nullement choqué. Sa réponse ne m'a qu'à moitié étonné.
- C'est toi qui décide. Si c'est non, c'est non. Si c'est oui, c'est oui.
Or, vous le savez, je ne sais pas dire non. Quand je suis remontée ruisselante et nue sur le bateau, j'ai glissé à l'oreille de Manuella :- C'est oui mais je tiens à te dire que je n'ai pas très envie de faire l'amour avec Michel.
- Vous ferez ce que vous voudrez. En tout cas, lui, il a envie de toi.
Et c'est ainsi que le soir venu, alors que la nuit tombait doucement sur la mer, le bateau amarré légèrement à l'écart de la côte et après avoir dîné dans une ambiance légèrement érotique, Manuella prit Christophe par la main pour l'entrainer vers le coin couchette tandis que je restais avec Michel sans trop savoir sur quel pied danser.
*******Mon regard s'attardait depuis plusieurs minutes sur le sublime coucher de soleil sur la mer, glissant quelques banalités à Michel assis à mes côtés, quand surgit de la couchette un contrebas un "ouiiiiiiii" parfaitement explicite. Selon toute vraisemblance, après quelques préliminaires silencieux, Manuella venait d'être pénétrée par Christophe. Suivit une mélopée de femme qui baise, les "ahoo, ahoo, ahoo" succédant aux "mmmhhh, mmmhh" et aux "ouiii, ouiii". Je me sentais de plus en plus tendue. Michel ne bougeait pas d'une oreille. Mais quand Manuella lâche un "ah quelle est bonne ta bite !" , ce fut plus fort que moi. Je me précipitai à l'entrée de l'habitacle pour voir. Christophe vrillait son petit cul bronzé entre les cuisses dodues de Manuella qui lui tenait fermement les fesses comme pour le maintenir en elle. Ses pieds battaient l'air en cadence des coups de queue que lui assénait mon cher et tendre avec un plaisir palpable. C'est à peine si je sentis la main de Michel qui me relevait la robe en direction de ma chatte, à l'évidence trempée. Je me retrouvais dans la position inattendue d'une candauliste femelle qui regardait son mari faire l'amour avec une autre femme sans éprouver une jalousie particulière mais une curiosité teintée de plaisir.
Le couple avait changé de position et Christophe possédait Manuella en levrette à même le sol, leurs regards dans notre direction. Ses gros seins ballottaient entre ses bras et elle remuait son vaste postérieur pour bien s'enfoncer la bite qui la fouillait. C'est alors qu'elle nous interpella :- Au lieu de jouer les voyeurs, vous ne pourriez pas faire la même chose ?
La main de Michel avait justement atteint ma chatte et la caressait avec habileté. Je me laissai pousser vers une couchette et écarter les jambes afin qu'il y plonge son mufle, la robe troussée jusqu'au nombril. Je dois admettre que sa langue était assez habile et je me laissai lécher sans déplaisir en regardant l'autre couple forniquer avec ardeur. Toujours au sol, Manuella chevauchait Christophe en se tenant les seins, il est vrai très chahutés. L'extase se lisait sur son visage rond tandis que Christophe, concentré, lui renvoyait la balle en décollant les fesses avec vigueur. Est-ce la langue de Michel qui me faisait de plus en plus d'effet, ou bien cette position candauliste qui m'excitait ? Toujours est-il que quand Michel se décida à me pénétrer, je ne marquai aucun recul, aucune opposition. Je fis juste passer ma robe par-dessus ma tête car je ne baise qu'à poil et je lui talonnai illico les reins, sans le regarder mais en matant l'autre couple en pleine euphorie sexuelle. Subjuguée par la raideur et l'endurance de Christophe, et peut-être aussi par la situation dans le bateau, Manuella clamait son plaisir en termes les plus crus, sans crainte d'être entendue du voisinage. Ecartelée sur la couchette, elle suppliait mon mari de se retenir tandis que celui-ci se gavait du spectacle de ses seins en mouvement sur l'effet de ses coups de queue, spectacle que mes nichons en pomme ne risquaient pas de lui offrir.
Entre mes propres cuisses, Michel faisait de son mieux pour me faire jouir mais il était loin de la raideur de mon mari. Je l'encourageai néanmoins en lui griffant les fesses, "allez, vas-y, plus fort, encore" mais malgré son désir évident, il peinait. Afin de hâter son éjaculation, je m'agitai frénétiquement sous lui, cherchant ses couilles, lâchant moi aussi quelques mots crus mais je faisais pâle figure à côté de Manuella, déchaînée, qui s'exclama à ma grande stupeur :- Encule-moi maintenant, jouis dans mon gros cul, s'il te plait.
Inutile de vous dire que Christophe s'empressa de s'exécuter et je pus assister, à quelques centimètres de moi, à l'introduction de son pénis dans l'anus bien ouvert de Manuella, aux claquements de peaux qui suivirent, aux cris d'enthousiasme qui en résultèrent et enfin à l'éjaculation de mon mari, laquelle coïncida presque avec celle de Michel, enfin satisfait par mes initiatives, à moins que ce ne soit par le spectacle contigu, allez savoir. L'affaire était terminée. La soirée s'acheva par un bain de minuit durant lequel Manuella me glissa à l'oreille :- Ton mari est un baiseur formidable, quelle chance tu as.
Je me gardai de lui retourner le compliment. Je lui dis néanmoins :- C'était une situation inhabituelle, très jouissive, j'ai bien aimé.
- J'espère qu'on remettra ça.
- On verra. Profitons déjà du temps présent.
********Il restait deux jours à passer sur le bateau. La partie à quatre ne fut pas renouvelée. En revanche, j'exigeai que Christophe me fasse l'amour sur la couchette pendant que l'autre couple se tenait sur le pont. D'abord parce que j'en avais envie vu que je n'avais pas vraiment joui avec Michel et qu'il me restait une frustration; ensuite parce que c'était une manière de montrer à Manuella que Christophe était encore mon mâle; et enfin à mettre celui-ci fasse à ses responsabilités de mari, à savoir honorer sa femme de sa virilité. Je m'égosillai tant et plus pendant qu'il me pilonnait, j'en rajoutai même un peu mais j'eus l'orgasme auquel j'avais droit. Quand je remontai sur le pont, pleinement satisfaite, Michel faisait une léchouille à Manuella, preuve que celle-ci avait été émoustillée par nos ébats. Mais cette fois, Christophe ne vint pas en renfort, asséché qu'il était par mes soins. Notre hôtesse n'attendait pourtant que ça. Une frustrée partout, balle au centre...
Nous nous sommes quittés bons amis, enchantés de notre périple aquatique. Reviendrons-nous l'an prochain ? Je n'en sais rien mais sans doute. Si Manuella me le propose, j'accepterai sûrement. Que voulez-vous, je ne sais pas dire non...
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