Cette pute de grosse Monique

- Par l'auteur HDS Momonique -
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Récit libertin : Cette pute de grosse Monique Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Cette pute de grosse Monique
Nous étions chez des amis de longue date. Trois couples, réunis autour d’un bon dîner, entre rires, verres de vin et souvenirs salés. L’ambiance était détendue, complice. Après le repas, l’un de nous avait sorti un vieux jeu de société : Risk. Une idée banale à première vue… sauf qu’on avait décidé de corser un peu les règles.

« Allez, on se fait une partie chaude ? » avait proposé Léo en souriant, son regard brillant de malice.

« Chaude comment ? » avait lancé Julie, verre à la main.

C’est là que les choses avaient pris un tournant.

« Celle qui perd devra s’habiller en vraie petite pute… mini-jupe, talons, maquillage de traînée, et descendre devant l’immeuble. Vingt minutes, pas une de moins. »
« Et pour les mecs ? » avait demandé Tom.
« Même chose. Travesti. Perte totale de dignité. »

Tout le monde avait éclaté de rire. Mais on avait tous accepté. Excités par ce défi osé.

La partie avait duré des heures, rythmée par les cris, les trahisons, les alliances de courte durée. Et puis, j’avais perdu.
Moi, en Putain !

Julie m’avait regardée avec un sourire en coin. Elle me dévisageait. On avait à peu près la même taille, ce qui rendait la suite encore plus naturelle, presque inévitable.

« Viens. Tu vas être parfaite. »

Elle m’avait entraînée dans la chambre. Elle avait fouillé dans son placard et sorti les fringues sans la moindre hésitation : une mini-jupe noire, moulante, si courte qu’on devinait la naissance des fesses, une veste cintrée en faux cuir, et rien d’autre qu’un soutien-gorge noir en dentelle, à peine capable de contenir mes gros seins.

Elle s’était tournée vers moi et m’avait observée sans filtre.

« T’as des formes… putain, t’es bandante comme ça. »

J’avais souri, malgré la nervosité. J’étais très ronde, avec des seins lourds, une taille marquée, et un cul rebondi que la jupe peinait à cacher. Je me sentais à la fois vulgaire et terriblement exposée. Mais l’excitation était bien là.

Julie avait insisté pour m’aider. Elle avait ajusté la veste sur mes bras, ouverte juste assez pour faire ressortir mes seins qui débordaient presque du soutien-gorge.

« Voilà. Là t’es parfaite. »

Elle m’avait ensuite maquillée, lourdement : rouge à lèvres baveux, yeux charbonnés. Le miroir ne me renvoyait plus mon image. J’étais une autre. Une caricature. Une salope.

Les autres étaient restés dans le salon, mais j’entendais leurs rires étouffés, leurs commentaires. Léo avait même glissé en me voyant arriver :
« Bordel… j’crois que je bande. »

Ils m’avaient fait sortir dans la rue, en talons, le cœur battant, les cuisses frottant sous la jupe trop serrée. Vingt minutes à jouer la pute, sous les regards indiscrets… ou affamés.

Et derrière les rideaux, je savais qu’ils regardaient. Qu’ils n’en perdaient pas une miette.
Il faisait nuit, mais la rue n’était pas complètement déserte. Malgré l’heure, quelques voitures passaient encore, les phares balayant les trottoirs humides, faisant briller mes talons et la peau nue de mes cuisses.

Je me tenais là, devant l’immeuble, en pleine lumière, perchée sur mes hauts talons, la mini-jupe remontant un peu plus à chaque pas. Ma veste était toujours ouverte, laissant voir la dentelle noire tendue sur mes seins trop pleins. Le soutien-gorge ne cachait rien — au contraire, il soulignait tout : les formes, la lourdeur, les tétons qui pointaient déjà à travers la fine matière.

Derrière la fenêtre du salon, je les devinais tous. Des ombres immobiles... Mon mari. Léo. Je les voyaient. Collés à la vitre. Leurs regards me transperçaient. Ils me mataient comme une salope de vitrine.

Je sentais cette chaleur monter en moi, bouillante, incontrôlable. J’aurais dû me cacher, baisser les yeux, rentrer vite… mais je me suis surprise à marcher plus lentement. À cambrer les reins. À écarter les jambes en m’arrêtant près d’un lampadaire. La lumière blanche caressait mes courbes, exposait mes fesses énormes moulées dans cette jupe trop courte. Je tirais sur le bas, pour la forme. Juste pour la forme.

Une voiture est passée. Puis une autre. Et une troisième très lentement.

Des phares aveuglants m’ont scannée de bas en haut. Je n’ai pas bougé. J’ai même souri, lèvres rouges, bouche entrouverte. J’ai reculé contre le mur, les seins presque dehors, et j’ai laissé ma main glisser le long de ma cuisse nue, remontant vers l’ourlet.
Une voiture a ralenti. Presque imperceptiblement d’abord, comme si elle hésitait. Puis elle s’est arrêtée net, à quelques mètres de moi. Phares allumés. Moteur ronronnant. Seul le conducteur à l’intérieur.

Un homme. Seul. La quarantaine. Visage rasé de près, bras posé nonchalamment sur la portière ouverte. Il ne disait rien, mais son regard parlait pour lui. Lent, intense, lourd. Il me déshabillait déjà des yeux.

J’ai baissé les paupières, cambré un peu plus le dos, poussant ma poitrine vers l’avant. Mes seins débordaient presque du soutien-gorge noir, prisonniers d’un tissu bien trop fin pour les cacher. Ma veste, toujours ouverte, glissait doucement sur mes épaules. Et ma jupe… n’était plus qu’un prétexte. À chaque mouvement, elle remontait, dévoilant un peu plus le galbe de mes fesses massives, mes cuisses épaisses à la peau luisante sous les réverbères.

Je me suis avancée d’un pas lent. Sensuel. La rue était silencieuse, mais je savais qu’ils étaient là, derrière le rideau. Léo ne me quittait pas des yeux. Sa silhouette était toujours là, immobile, mais son excitation était palpable. Il était collé à la vitre, main dans le pantalon, incapable de détacher son regard de mon corps offert.

Je me suis arrêtée à quelques pas de la voiture. L’homme n’avait toujours rien dit.

« Vous cherchez quelque chose ? » ai-je lancé, voix basse, un peu rauque.

Un sourire a traversé ses lèvres.

« Je sais pas… je passais, et j’ai vu… vous. »

Il m’a détaillée, sans la moindre gêne. J’ai senti son regard s’attarder sur ma poitrine, sur mes hanches pleines, sur mes talons. Il a inspiré longuement, comme pour imprimer l’image dans son esprit.

Je me suis penchée légèrement, mains sur les genoux, jambes serrées, les seins presque à l’air. Ma jupe a remonté sur mes fesses, découvrant le bas de mes hanches, la naissance de mes fesses, et plus encore si l’on regardait bien. L’homme est resté figé.

Et moi… je me prenais au jeu.

Je sentais l’humidité naissante entre mes cuisses. L’excitation, la tension, le pouvoir que j’avais, là, dans cette rue, devant un inconnu et sous les yeux de mon mari.

Et je savais qu’à cet instant précis, mon mari se touchait derrière le rideau. Les autres aussi, peut-être. Qui sait ? Peut-être qu’ils étaient tous là, hypnotisés.

Et moi, j’étais devenue leur spectacle.
L’homme m’a regardée un instant, silencieux, les yeux plantés dans mon décolleté. Puis, sans détour, il a soufflé :

« C’est combien la pipe ? »

Le frisson qui m’a traversée m’a coupé le souffle. Une seconde de vide. Puis, presque malgré moi, mes lèvres se sont entrouvertes :

« Vingt. »

Il a haussé un sourcil. Son regard est descendu plus bas, entre mes cuisses, là où ma jupe avait depuis longtemps abandonné toute pudeur.

« Et dans la chatte ? »

J’ai souri, un sourire sale, presque insolent. Et j’ai dit :

« Cinquante. »

Il a marqué une pause, puis, d’une voix posée, il a répondu :

« Alors je prends la chatte. Monte. »

J’ai hésité. Une seconde. Deux. Mon cœur battait si fort qu’il couvrait presque le bruit de la ville. C’était un jeu. Un putain de jeu… Et pourtant, j’ouvrais déjà la portière.

Je me suis hissée sur le siège passager, les talons s’enfonçant dans le tapis de la voiture. Mon cul énorme s’est calé contre le simili cuir, mes gros seins toujours à peine couverts débordaient du soutien-gorges , les pointes du rouge à lèvres légèrement bavées. Il a démarré sans dire un mot.

La voiture a roulé doucement, puis s’est engagée dans une rue plus sombre, un peu à l’écart. À travers la vitre arrière, je pouvais encore deviner l’immeuble. Et derrière le rideau… ils étaient là. Immobiles. Bouche bée.

Mon mari,.Léo, sa femme. Les autres.

Ils venaient de me voir monter dans une voiture pour « vendre ma chatte » à un inconnu. Ce n’était plus un simple gage. C’était réel. Brutal. Et terriblement excitant.

J’avais chaud. Le cœur en feu. Je sentais ma culotte — si j’en portais encore une — trempée. J’étais là, maquillée comme une traînée, les cuisses ouvertes dans le siège, jupe trop courte, dévoilant le triangle de ma culotte à un inconnu qui croyait vraiment avoir trouvé une pute plantureuse en pleine nuit.

Et la vérité, c’est que je me prenais au jeu.

Et peut-être… que j’en avais envie.
Il s’était garé dans une ruelle sombre, entre deux bâtiments silencieux, là où personne ne viendrait déranger. Moteur coupé. Lumières éteintes. Seul restait le souffle lourd de nos respirations.

Sans un mot, il a sorti une capote de la boîte à gants. Ce geste précis, habituel, m’a figée une seconde. Il croyait vraiment que j’étais une pute. Une vraie. Et moi, je n’avais rien fait pour le détromper.

Il a basculé le siège avant pour me faire de la place.

« Monte derrière. À quatre pattes. »

Sa voix était grave, calme, mais autoritaire.

J’ai obéi. Tremblante. Excitée. Humide comme jamais.

J’ai grimpé sur la banquette arrière, posant mes mains sur le cuir glacé, mes genoux écartés. Mes grosses fesses bien en l’air, offertes. Mon cœur battait à tout rompre.

Il a ouvert la porte arrière, il a baissé ses affaires. Je me suis retournée un instant. Il me matait. Les yeux plantés dans mon cul, la bite raide, fasciné.

D’un geste lent, j’ai baissé ma culotte, la faisant glisser le long de mes cuisses épaisses, jusqu’à mes chevilles. Puis je me suis penchée un peu plus dévoilant ma vulve gonflée. Il a soulevé ma jupe, l’a rabattue sur mes reins, découvrant la rondeur de mon cul. Ma chatte était trempée, offerte, entre mes cuisses ouvertes.

« Putain t’es bonne… », a-t-il soufflé, avant d’enfiler la capote sur sa queue raide.


J’étais en levrette j ‘attendais, et dans un coin de ma tête, malgré la situation qui me faisait perdre pied, je revoyais la fenêtre.

Je savais qu’ils attendaient. Peut-être encore là, dans le noir, choqués, excités, incrédules.
Ils avaient lancé un jeu.
Et moi… j’étais devenue la pute du quartier.
Il était derrière moi, puissant, prêt. Ses mains caressaient mes hanches fermement comme s’il voulait me briser. Mon cul large bien cambré, ma chatte trempée ouverte sous ses yeux, offerte, sale.

« Mmm magnifique … t’as un de ces culs… », a-t-il grogné en se frottant un instant entre mes fesses.
« On dirait une truie en chaleur. »

Je n’ai rien dit. Juste gémi, gorge nouée, souffle court.
Il s’est glissé entre mes cuisses J’ai senti sa main sur mes hanches, forte, possessive. Puis la pression de son sexe contre mes lèvres vaginales. Il n’a pas hésité, il m’a enfoncé sa queue d’un coup sec. Brutal. D’un seul mouvement, entier, profond. Un choc violent, presque douloureux, qui m’a fait crier.

« Aahh… putain ! »

Ma chatte s’est étirée, remplie d’un coup. Il n’a pas attendu. Il a commencé à me prendre comme un chien monte une chienne, sans tendresse, sans pause. Ses coups de reins claquaient contre mes fesses épaisses, le cuir de la banquette grinçait sous nos mouvements. C’était sale, intense, animal.

« Vas-y, salope, couine comme une truie », a-t-il soufflé en me tirant les cheveux.
« J’veux t’entendre geindre, j’veux que tu me supplies de continuer. »

Et moi… j’ai gémi. Fort. Humide. Sale.

« Oui… baise-moi… je suis une putain …. c’est bon… continue… »

Il me martelait la chatte, sa queue entrant si profondément que je sentais chaque pulsation dans mon ventre. Chaque coup m’ouvrait davantage, me faisait couler sur ses couilles. Il s’enfonçait jusqu’au bout, jusqu’à cogner mon col, sans retenue.

« Tu kiffes ça, hein ? D’être une chienne dans une voiture ? T’aimes qu’on t’prenne, sale pute? »

Je hurlais presque, perdue entre honte et jouissance. Ma jupe retroussée sur mon dos, ma culotte autour des chevilles, les seins qui ballottaient à chaque coup… je n’étais plus moi.

J’étais juste un corps, un trou, un gros cul qu’il pilonnait sans relâche.

« Putain t’as un gros cul, j’pourrais t’baiser toute la nuit là-dedans », a-t-il craché, haletant, les doigts enfoncés dans ma chair.

Je sentais la voiture bouger, mes genoux glisser, mes cuisses trembler. La sueur, les gémissements, l’odeur de sexe lourd… et toujours, dans ma tête, cette image : la fenêtre. Les autres. Mon mari. Léo. Sa main sûrement en train de se branler en silence pendant que sa femme m’imaginait me faire défoncer.

Et moi, je prenais tout. Je jouissais presque déjà. Comme une truie. Comme une pute.
Il cognait fort. De plus en plus fort. Chaque coup de reins faisait trembler la voiture, mon cul claquait contre son bassin avec un bruit obscène, humide, incontrôlable. Et moi, à quatre pattes, secouée comme une chienne, j’étais au bord.

Je ne pensais plus à rien. Juste à ça. À lui. À ma chatte pleine. À la scène. À ceux qui m’attendaient.

Et d’un coup, ça m’a pris.

J’ai joui.

Mon dos s’est arqué, mes doigts se sont crispés sur la banquette, et un cri m’a échappé — guttural, presque animal. Ma chatte s’est contractée violemment autour de sa queue. Elle s’est serrée, serrée fort, comme si elle voulait le retenir à l’intérieur, ne plus le lâcher.

Il a grogné.

« Oh putain… tu jouis ? T’jouis comme une chienne que j’baise dans une bagnole ? »

Il s’est arrêté net, planté au fond de moi. Je le sentais pulser à l’intérieur. Il luttait. Il ne voulait pas jouir tout de suite.

« Putain… t’es trop bonne… ta chatte m’serre comme une folle… », a-t-il soufflé entre ses dents, haletant. « Reste comme ça… j’veux pas jouir maintenant… »

Je tremblais, encore secouée de spasmes, ma jupe retroussée sur mes reins, le cul toujours bien offert, la culotte lâchée au fond de la voiture. Mon orgasme battait encore dans mon ventre, mais lui n’en avait pas fini.

Il a posé ses deux mains sous le haut de ma jupe, glissant ses doigts puissants sous l’élastique, juste au-dessus de mes fesses. Et là, il s’est agrippé. Fort. Il m’a tirée contre lui, m’enfonçant encore plus sa queue au fond du ventre.

« Maintenant, tu vas m’la rendre. Tu vas m’faire jouir comme une salope. »

Il a repris. Encore plus brutal. Plus profond. Il me faisait reculer sur sa bite à chaque coup de reins, en tirant sur ma jupe comme une poignée. Ma chatte était trempée, ouverte, offerte, encore plus sensible après l’orgasme. Chaque pénétration me faisait haleter, sursauter, gémir.

« T’aimes ça, hein ? Te faire baiser comme une truie ? Regarde-toi… grosse pute en chaleur… »

Je n’étais plus qu’un corps. Une chatte. Un cul énorme qu’il défonçait sans répit, sans filtre. Et dehors, dans la nuit… ils savaient..
Il me tenait toujours fermement par la taille, ses doigts enfoncés juste sous la ceinture de ma jupe, m’attirant contre lui à chaque coup de reins. Son souffle était rauque, tendu, presque désespéré. Je sentais sa queue gonflée au fond de moi, plus dure, plus vivante.

« Putain… j’vais jouir… »

Un dernier coup, brutal, profond, et il est resté planté en moi. Son corps tremblait contre le mien, haletant, ses mains crispées sur mes hanches. Je l’ai senti venir, son gros gland faisait des spasmes . Une chaleur soudaine, sourde, qui a traversé tout mon ventre. Et pendant qu’il vidait ses couilles , il a gémi dans un souffle grave :

« Bordel… cette chatte… »

Il est resté quelques secondes là, immobile, encore en moi, avant de se retirer lentement. Un léger bruit mouillé a brisé le silence. Il a glissé la capote hors de lui, gonflée, chaude, et l’a nouée d’un geste. Puis il a lâché un petit rire, presque surpris de la quantité.

« Putain… ce cul. J’en ai pas baisé un comme ça depuis des années. »

Je me suis laissée tomber sur le côté, les cuisses tremblantes, le souffle court, le corps en vrac. Ma jupe froissée autour de ma taille, mon maquillage un peu coulé, ma bouche entrouverte. Il m’a regardée quelques secondes encore, puis a ajouté, avec un sourire :

« Dommage que j’ai plus d’fric… Si j’en avais eu un peu plus, j’t’aurais défoncée la rondelle et prise comme une vraie cochonne. »

Je n’ai rien répondu. Juste un sourire au coin des lèvres. J’étais encore dans un état second, entre le choc, le plaisir, et une étrange fierté d’avoir été désirée pour mon cul. Une chaleur profonde m’irradiait.

Il a démarré la voiture en silence. Et moi, j’ai remonté ma culotte d’un geste lent, presque sensuel. J’allais rentrer. Les autres m’attendaient.

Mais moi… j’avais tout pris.
La voiture s’est arrêtée doucement au coin de la rue, juste devant l’immeuble. Il ne m’a pas dit un mot. Pas besoin. Il m’a regardée une dernière fois, un sourire aux lèvres, et j’ai ouvert la portière.

L’air frais de la nuit m’a frappée d’un coup. Mes cuisses encore humides. Ma culotte remise à la hâte, collée à moi. Ma jupe froissée, tordue, trop courte. Ma bouche sèche, mon maquillage un peu abîmé.

Je marchais lentement. Talons claquants sur le trottoir vide. À peine éclairée. Comme une fille qui revient de “travailler”.

Et moi, dans ma tête, je tournais en boucle.

Je viens vraiment de faire ça.

Pas pour de l’argent. Pas vraiment. Pas pour survivre.

Pour le jeu. Pour le regard. Pour cette sensation… d’être vue, désirée, utilisée.

Et la vérité, nue, brutale, honteuse et exaltante : j’ai aimé ça.

J’ai passé l’entrée de l’immeuble, sans même croiser un voisin. L’ascenseur était encore en panne. Je montais les marches une à une. Chaque pas faisait battre mon cœur un peu plus fort. Mon corps vibrait encore. Mes jambes tremblaient légèrement. Pas de fatigue. Non. Juste ce frisson au creux du ventre.

Quand je suis arrivée à l’étage, la porte de l’appartement s’est ouverte avant même que je n’aie le temps de frapper.

Ils étaient là. Tous les cinq. Le silence pesait.

Leur regard sur moi, c’était comme une caresse électrique. Je savais ce qu’ils avaient vu. Ce qu’ils savaient. J’étais partie pour jouer la pute.

Et j’étais revenue après l’avoir été.

Léo, mon mari, avait les yeux rouges. Pas de honte. Pas de colère. Juste… quelque chose d’incompréhensible. De la fascination ? Du désir ? Peut-être même de la jalousie.

Je suis restée dans l’embrasure, droite, le regard fier malgré ma tenue. Malgré la jupe remontée, les cheveux en bataille, l’odeur de sexe qui me collait à la peau.

Personne ne parlait.

Et dans ma tête, une seule question tournait :
Qui suis-je, maintenant ?

La bonne copine d’une soirée entre couples ?
Une traînée qui se fait prendre par un inconnu en pleine rue ?
Ou une femme libre, brûlante, qui vient de découvrir un pouvoir nouveau ?

Je ne savais pas.

Mais ce que je savais, c’est que j’avais aimé ça. Terriblement.

Et qu’au fond d’eux… eux aussi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Tu es une femme extraordinaire...
Merci pour tes partages bandants...


Cyrille

Histoire Erotique
qui suis-je ?????
Tout simplement une femme ADORABLE !



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