La grosse Monique et le routier 2

Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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La grosse Monique et le routier 2
Je roulais tranquillement sur l’autoroute, direction chez ma sœur à deux cents kilomètres de là. Il faisait chaud, ma robe collait un peu à ma peau, et chaque mouvement révélait mes formes généreuses. Tout allait bien, jusqu’à ce que le voyant de crevaison s’allume.
Heureusement, une aire de repos n’était pas loin. J’y tourne, je gare la voiture, et je descends, un peu agacée. Je fais le tour : pneu crevé, évidemment. Je me baisse tant bien que mal pour regarder ça, la jupe de ma robe remonte un peu sur mes cuisses rebondies. J’essaie de sortir le cric du coffre, mais c’est pas mon truc, j’ai jamais changé une roue de ma vie.
Et là, je l’entends.
— « Un souci, madame ? »
C’est là qu’il est apparu.
Grand, musclé, bronzé, en débardeur. Le genre de gars qui porte des palettes à main nue et qui transpire la virilité. Il descendait de son poids lourd et s’est dirigé vers moi, tranquille, un sourire un peu canaille au coin des lèvres.
— « Ouais, pneu crevé… et zéro compétence en mécanique. »
— « Laissez-moi faire. Vous allez vous salir pour rien. »
Je n’ai pas protesté. J’ai regardé ses bras puissants soulever la voiture comme si elle pesait rien. Il bossait avec aisance, précis, concentré. Moi, j’étais là, à le mater sans trop de discrétion, à sentir une drôle de chaleur me monter entre les jambes. Il dégageait un truc… brut, animal.
En moins de dix minutes, c’était réglé.
— « Et voilà. Vous pouvez reprendre la route. »
— « Merci beaucoup… vraiment. Je sais pas comment vous remercier. »
Il me jeta un coup d’œil, un peu intense.
— « Si vous insistez… je dirais pas non à un café. »
Je souris.
— « C’est la moindre des choses. »
On alla jusqu’à la petite cafétéria de l’aire. Je lui payai un expresso bien serré. On s’assit dehors, à l’ombre. Il me regardait, parfois longuement, sans gêne. Moi, je me sentais comme une gamine sous le regard d’un homme qui sait exactement ce qu’il veut.
— « Vous voyagez souvent seule ? » demanda-t-il.
— « Assez souvent, ouais. Mais j’avoue, aujourd’hui je suis contente que t’aies été là. »
Il hocha la tête, pensif:
— « Tu veux monter voir mon camion ? Juste deux minutes. Il fait plus frais dedans… et j’ai un vrai bon café, si tu veux te faire pardonner un peu plus. »
Je le regardai, mon cœur battait plus fort.
— « T’as un frigo aussi ? Parce que je crois que j’aurais bien besoin d’un truc frais… » soufflai-je.
Il se leva, m’ouvrit la porte côté passager, galant mais avec cette lueur de désir au fond des yeux.
— « Monte. T’es déjà bien assez chaude comme ça. »
Il referme la portière derrière moi. La cabine sent le cuir, le café… et lui. Un mélange chaud, masculin, un peu sauvage. Il monte de son côté, s’installe tout près. Je sens déjà la tension monter entre nous, électrique.
— « Tu veux un vrai café ou t’es venue chercher autre chose ? » me glisse-t-il, le regard planté dans le mien.
Je souris, joueuse. Ma robe est remontée sur mes cuisses rondes. Il les mate sans se cacher. J’écarte un peu les jambes, juste assez pour attiser. Son regard devient plus sombre.
— « Pour être honnête… je sais toujours pas comment vraiment te remercier. »
Je marque une pause. Mon cœur bat vite. J’adore ce moment, juste avant que tout bascule.
— « Et mon mari adorerait savoir que je suis là, avec toi. »
Il hausse un sourcil, surpris.
— « Ton mari ? »
Je m’approche un peu plus, ma voix devient plus basse, plus intime.
— « Il est candauliste. Il aime quand je me fais prendre par d’autres hommes… surtout quand je lui raconte tout, en détail. »
Un silence tendu s’installe. Il me fixe, et je vois très clairement l’effet que ça lui fait dans son jean. Il bande, fort.
— « Putain… t’es sérieuse ? »
— « Très sérieuse. Il veut même que je prenne des photos. Il dit que je suis trop bonne salope pour être gardée juste pour lui. »
Je pose ma main sur sa cuisse. Je sens la chaleur, la tension. Il grogne un peu, se penche vers moi, sa main glisse sous ma robe sans demander la permission.
— « J’vais te baiser comme une salope, si c’est ça que tu veux. Et tu vas tout lui raconter, chaque sale détail. »
— « C’est exactement ce que je veux, » je souffle, haletante.
En un geste rapide, il fait glisser ma culotte sur le côté. Ses doigts se glissent entre mes lèvres, trempées.
— « Putain… t’étais déjà mouillée en montant dans le camion. »
— « Tu m’as rendue dingue à changer ma roue, torse tendu, les bras pleins de cambouis… Tu sais pas ce que ça me fait. »
— « T’inquiète pas, je vais te faire grimper si fort que t’auras plus jamais peur de crever un pneu. »
Il défait sa ceinture, sort sa queue. Elle est large, veineuse, tendue à bloc. Mon souffle se coupe. J’ai faim de lui.
Je me penche, la prends dans ma bouche. Il gémit, m’attrape les cheveux et me guide. Mon cul bouge, ma robe retroussée sur mes hanches. Il me fait me retourner, me met à quatre pattes sur la couchette.
— « Garde les jambes bien écartées… ton mari va avoir un putain de show. »
Il enfile rapidement un capuchon. Je sens sa queue me pénétrer d’un coup sec. Je crie, surprise et déjà prise. Il me baise comme il a promis : fort, sale, sans retenue.
— « Dis-moi que t’es qu’une salope à ton mari. Dis-lui que t’adores te faire défoncer ton gros cul par un inconnu dans un camion crade. »
— « J’suis une putain de grosse salope… ta salope… et je vais tout lui raconter… »
Il m’empoigne par les hanches, sa queue claque contre mes fesses larges alors qu’il s’enfonce encore plus profond. La cabine du camion tremble sous nos coups de reins, et moi je gémis, à moitié étouffée contre le coussin de la couchette, la bouche entrouverte, baveuse de plaisir.
— « Tu veux que ton mari voie comment je te prends, hein ? »
— « Oui… filme… filme tout… »
Il sort son téléphone, le tient d’une main pendant qu’il continue de me baiser violemment. Je jette un coup d’œil en arrière, le voyant cadrer ma croupe bien large, offerte, les giclées de cyprine qui coulent le long de mes cuisses.
— « Regarde-moi cette chatte… trempée comme une chienne, prête à exploser. Elle supplie pour une vraie queue, mec. T’as bien fait de la partager mon cocu. »
Il se penche, me crache entre les fesses, étale avec sa main large sur ma rondelle, me claque la fesse droite, bien sonore.
— « Tu filmes ? » j’halète, hors d’haleine, mes gros seins ballotant sous moi.
— « Tout. Et t’as intérêt à crier bien fort quand tu jouis. »
Il glisse un doigt dans mon cul en même temps qu’il me pilonne, précis, bestial. La vidéo capte tout : mes cris, les bruits mouillés, les claquements de peau contre peau, les mots crus qu’il me crache à l’oreille.
— « Dis-lui. Dis à ton mari ce que t’es. »
Je lève la tête, la voix brisée par le plaisir.
— «J’suis une pute… j’suis ta grosse salope. Et là… j’me fais défoncer par un routier qui bande comme un taureau… »
Il donne un coup de reins brutal. Je hurle, l’orgasme me traverse comme un éclair, incontrôlable, sauvage. Il continue de filmer pendant que je jouis, tremblante, secouée, en sueur.
Il grogne, ses mains serrent mes hanches. Il se retire au dernier moment, enlève sa capote, m’asperge le bas du dos de sa chaude giclée, bien épaisse. La vidéo capte tout : le sperme qui coule, mes fesses offertes, le foutre brillant sur ma peau.
— « Voilà. Cadeau pour ton cocu de mari, » dit-il en enregistrant.
Il m’aide à me redresser doucement, m’essuie un peu, puis me montre la vidéo.
— « Tu veux lui envoyer maintenant ou tu veux que je l’appelle ? »
Je souris, les jambes encore flageolantes. Je prends son téléphone, et d’un doigt tremblant, j’appuie sur “envoyer”.
— « Il va la mater en boucle toute la nuit. »
Le silence retombe doucement dans la cabine. Juste nos souffles courts, les odeurs de sexe, de sueur, de cuir. Je suis étalée sur la couchette, les cuisses encore ouvertes, le sperme tiède qui sèche lentement sur ma peau. Lui, assis en face, torse nu, son jean entrouvert, il sirote son café froid avec un petit sourire en coin.
— « T’as assuré, » je souffle en remontant un peu ma robe, encore essoufflée.
— « Toi aussi, salope. Tu t’es donnée comme si t’attendais ça depuis des semaines. »
Je ris doucement, les joues encore brûlantes. Il me tend une petite bouteille d’eau fraîche. Je bois à longues gorgées, ma gorge sèche, puis je me penche vers lui pour lui voler une gorgée de son café à même le gobelet.
— « Mon mari va sûrement vouloir que je l’appelle ce soir. Il adore entendre ma voix juste après… quand j’suis encore trempée de foutre. »
Il me regarde, l’œil pétillant, un brin fier de lui.
— « Il doit être bien tordu, ton mec. »
— « Il l’est. Et il me rend aussi complètement salope. C’est lui qui m’a donné goût à ça. Avant, j’étais plus sage… »
Je croise ses yeux, un peu plus tendre cette fois.
— « Et toi ? C’est la première fois que tu baises une inconnue sur une aire d’autoroute ? »
— « La première fois que j’la filme pour envoyer ça à son mari, ouais. Mais j’peux pas dire que ça me déplaît. T’as une vraie belle énergie. T’as faim, t’as le feu au cul. Et ce corps pulpeux… »
Il pose sa main sur ma cuisse nue, fait lentement glisser ses doigts le long de ma peau.
— « Faut qu’on s’en refasse un, si t’as pas peur de t’écrouler en reprenant la route. »
— « J’ai le temps. Et la chatte encore brûlante. »
Je me redresse un peu, mon regard plus intense.
— « T’as bien bossé tout à l’heure… mais là, j’veux te chevaucher. Te faire gémir. »
— « Tu crois pouvoir prendre tout ça en toi, hein ? »
Il ressort sa queue, encore luisante, déjà en train de se regonfler.
— « Tu verras bien. Garde ton téléphone pas loin. On va lui envoyer la suite. »
Je grimpe lentement sur lui, à califourchon, mes seins lourds frôlant son torse, ma bouche accrochée à la sienne. Sa queue pointe contre mon entrée, chaude et impatiente.
Et doucement, je m’empale sur lui à cru … les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, prête à recommencer.
Je suis à califourchon sur lui, mes mains posées sur ses épaules larges, ses cuisses solides sous les miennes. Sa queue bien dure frotte contre mes lèvres, encore trempées du premier round. Je prends mon temps cette fois. Je le regarde droit dans les yeux pendant que je m’abaisse lentement, centimètre par centimètre, jusqu’à ce qu’il soit complètement en moi.
— « Putain… » je souffle, la tête renversée.
— « T’as un trou fait pour ça, salope. »
Ses mains se posent sur mes hanches, me maintiennent, mais il me laisse le rythme. Je commence à onduler doucement, à me l’enfiler à fond, à chaque va-et-vient. Je sens chaque pulsation, chaque veine. Il est large, je suis ouverte, offerte, mais j’en redemande.
Je me penche vers lui, mes seins lourds écrasés contre son torse nu, mes lèvres frôlant son oreille.
— « Tu crois qu’il bande en regardant la vidéo, mon mari ? »
— « Il se branle comme un chien, c’est sûr. Il va gicler avant même que t’aies fini le deuxième round. »
Je souris, je m’accroche à sa nuque, et j’accélère. Je le prends plus fort, plus vite, mes fesses claquent contre ses cuisses. Il grogne, mord un peu mon cou.
— « Vas-y, baise-moi… monte comme une vraie chienne… »
Je me redresse, mes mains sur son torse, et je commence à vraiment le chevaucher. Chaque coup de reins me fait gémir plus fort. La cabine du camion grince, se balance légèrement. Sa queue me défonce profondément, mes seins rebondissent à chaque mouvement.
Il glisse une main entre mes jambes, frotte mon clito, ses doigts rugueux mais précis.
— « J’vais te faire gicler sur ma bite, devant ton mari. Tu veux qu’on filme ? »
— « Oui… filme, maintenant… »
Il chope son téléphone d’une main, commence à filmer du dessous, ma chatte qui l’avale et qui brille de mouille, mes fesses ouvertes qui montent et descendent comme une vraie salope en chaleur.
— « Regarde ça, mec, ta femme elle suce ma queue avec sa chatte. Elle veut pas que j’me retire. Elle veut TOUT. »
Je le regarde, hors d’haleine.
— « Vas-y, filme-moi en train de jouir sur ta bite… »
Je serre, je tremble, je crie son nom sans même le connaître. Mon corps s’écroule contre lui pendant que l’orgasme me traverse d’un coup, violent, chaud, incontrôlable. Ma chatte palpite autour de lui, je me cambre, je perds le contrôle.
Il grogne, me bascule en arrière sur le siège, remonte mes jambes, et recommence à me pilonner en profondeur.
— « C’est pas fini. J’veux gicler dans ta bouche, et tu vas lui montrer comment tu lèches ça. »
Je souris, épuisée, mais excitée comme jamais.
— « Vas-y… fous moi ta bite dans la gorge. J’veux goûter ton jus… »
Il me retire de sous lui d’un geste ferme, sa queue encore bien dure, brillante de mes jus. Il me tire doucement par les cheveux, me fait descendre entre ses jambes pendant qu’il se cale confortablement contre le dossier.
— « Ouvre la bouche, salope. Je veux que ton mari voie comment tu suces un vrai mec. »
Je me mets à genoux entre ses cuisses, ma robe froissée autour de ma taille, mes seins nus, la peau moite, les lèvres tremblantes d’envie. Il tient toujours son téléphone, prêt à filmer chaque seconde.
J’ouvre grand la bouche, tire la langue, et je le prends lentement, profondément, jusqu’à la gorge. Il est gros, je l’étire à fond, je gémis, salive partout.
— « Regarde-moi cette goulue… t’as vu ça, mec ? Elle m’engloutit comme si elle avait jamais eu de queue avant. »
Je le suce avec envie, les yeux dans les siens, mes doigts autour de sa base. Ma salive coule le long de son membre, je vais lentement, puis plus vite, avec des petits bruits bien sales, bien mouillés. Je veux qu’il sente tout. Qu’il n’en puisse plus.
— « Regarde la caméra, » il dit d’une voix rauque.
Je relève les yeux vers l’objectif, sa queue toujours en bouche. Je tire un peu ma langue, lui frotte le bout sur le visage, puis je replonge sur lui, profonde, chaude, vorace.
— « Ton mari doit crever de jalousie, putain… »
Il m’attrape la tête, commence à guider, plus fort, plus profond. Je me laisse faire, me laisse baiser la gorge. Mes yeux pleurent un peu, le mascara coule, mais je continue. C’est crade. C’est excitant. C’est ce que j’adore.
Il grogne, son bassin se tend, sa main se crispe dans mes cheveux.
— « Putain… j’vais gicler. Avale tout, montre-lui bien. »
Et là, il jouit. Fort. Un premier jet brutal me claque la gorge. Je tousse un peu, mais je serre mes lèvres autour de lui, avale tout sans en perdre une goutte. Il filme mon visage qui se gorge de foutre, mes yeux levés, mes mains qui le caressent pendant que je nettoie chaque centimètre de sa queue à la langue.
Je tire un peu la langue vers la caméra, une goutte de sperme sur la lèvre inférieure.
— « C’est bon, chéri… tu peux te branler en paix. J’te raconterai tout . »
Il coupe la vidéo, souffle, me regarde avec un sourire satisfait.
— « Tu veux rester un peu… ou t’as d’autres maris à rendre jaloux aujourd’hui ? »
Je ris doucement, m’essuie la bouche du revers de la main.
— « Toi, t’as peut-être pas fini avec moi non plus. »
Je reste là un moment, la tête posée sur sa cuisse, le souffle lent, le corps encore engourdi par les vagues de plaisir. Il joue distraitement avec une mèche de mes cheveux, ses doigts glissant sur ma nuque. Le silence est doux. Il n’y a plus besoin de mots.
On a tout dit avec les corps.
Je me redresse lentement, tire un peu sur ma robe, m’essuie discrètement entre les cuisses. Mes jambes sont lourdes, mon ventre encore tendu. Lui, il range calmement son téléphone, me lance un regard un peu plus tendre, un coin de sourire aux lèvres.
— « J’crois qu’on va devoir en rester là, princesse. Faut que je reparte, j’suis déjà en retard sur ma tournée. »
— « Et moi j’ai deux cents kilomètres à faire… et un mari qui attend mon appel. »
Il remet son t-shirt, referme son jean, ajuste sa ceinture. Moi, je remets un peu d’ordre dans mes cheveux, mes fringues… sans trop y croire. Y’a des marques partout. Et j’ai le goût de lui encore au fond de la gorge.
— « Merci pour le pneu, » je souffle en ouvrant la porte du camion.
Il sourit plus large.
— « Merci pour le reste. C’était… inattendu. Mais putain, t’es un cadeau. »
Je ris doucement, descend de la cabine. L’air frais me frappe un peu, contraste avec la chaleur étouffante du moment qu’on vient de vivre. Je marche jusqu’à ma voiture, encore un peu bancale.
Il descend juste derrière, me rattrape une dernière fois.
— « Tu veux la vidéo ? Je peux te l’envoyer. »
— « Envoie-la direct à mon mari. Il saura quoi en faire. »
Il me regarde, comme s’il allait dire autre chose, puis il se contente d’un petit hochement de tête.
Je monte dans ma voiture, démarre lentement. Je le vois dans mon rétro, appuyé contre son camion, bras croisés, toujours ce petit sourire satisfait au coin des lèvres.
Et pendant que l’autoroute s’ouvre à nouveau devant moi, je sens une chaleur familière au creux du ventre, et l’envie déjà folle de raconter chaque détail à mon mari.
Heureusement, une aire de repos n’était pas loin. J’y tourne, je gare la voiture, et je descends, un peu agacée. Je fais le tour : pneu crevé, évidemment. Je me baisse tant bien que mal pour regarder ça, la jupe de ma robe remonte un peu sur mes cuisses rebondies. J’essaie de sortir le cric du coffre, mais c’est pas mon truc, j’ai jamais changé une roue de ma vie.
Et là, je l’entends.
— « Un souci, madame ? »
C’est là qu’il est apparu.
Grand, musclé, bronzé, en débardeur. Le genre de gars qui porte des palettes à main nue et qui transpire la virilité. Il descendait de son poids lourd et s’est dirigé vers moi, tranquille, un sourire un peu canaille au coin des lèvres.
— « Ouais, pneu crevé… et zéro compétence en mécanique. »
— « Laissez-moi faire. Vous allez vous salir pour rien. »
Je n’ai pas protesté. J’ai regardé ses bras puissants soulever la voiture comme si elle pesait rien. Il bossait avec aisance, précis, concentré. Moi, j’étais là, à le mater sans trop de discrétion, à sentir une drôle de chaleur me monter entre les jambes. Il dégageait un truc… brut, animal.
En moins de dix minutes, c’était réglé.
— « Et voilà. Vous pouvez reprendre la route. »
— « Merci beaucoup… vraiment. Je sais pas comment vous remercier. »
Il me jeta un coup d’œil, un peu intense.
— « Si vous insistez… je dirais pas non à un café. »
Je souris.
— « C’est la moindre des choses. »
On alla jusqu’à la petite cafétéria de l’aire. Je lui payai un expresso bien serré. On s’assit dehors, à l’ombre. Il me regardait, parfois longuement, sans gêne. Moi, je me sentais comme une gamine sous le regard d’un homme qui sait exactement ce qu’il veut.
— « Vous voyagez souvent seule ? » demanda-t-il.
— « Assez souvent, ouais. Mais j’avoue, aujourd’hui je suis contente que t’aies été là. »
Il hocha la tête, pensif:
— « Tu veux monter voir mon camion ? Juste deux minutes. Il fait plus frais dedans… et j’ai un vrai bon café, si tu veux te faire pardonner un peu plus. »
Je le regardai, mon cœur battait plus fort.
— « T’as un frigo aussi ? Parce que je crois que j’aurais bien besoin d’un truc frais… » soufflai-je.
Il se leva, m’ouvrit la porte côté passager, galant mais avec cette lueur de désir au fond des yeux.
— « Monte. T’es déjà bien assez chaude comme ça. »
Il referme la portière derrière moi. La cabine sent le cuir, le café… et lui. Un mélange chaud, masculin, un peu sauvage. Il monte de son côté, s’installe tout près. Je sens déjà la tension monter entre nous, électrique.
— « Tu veux un vrai café ou t’es venue chercher autre chose ? » me glisse-t-il, le regard planté dans le mien.
Je souris, joueuse. Ma robe est remontée sur mes cuisses rondes. Il les mate sans se cacher. J’écarte un peu les jambes, juste assez pour attiser. Son regard devient plus sombre.
— « Pour être honnête… je sais toujours pas comment vraiment te remercier. »
Je marque une pause. Mon cœur bat vite. J’adore ce moment, juste avant que tout bascule.
— « Et mon mari adorerait savoir que je suis là, avec toi. »
Il hausse un sourcil, surpris.
— « Ton mari ? »
Je m’approche un peu plus, ma voix devient plus basse, plus intime.
— « Il est candauliste. Il aime quand je me fais prendre par d’autres hommes… surtout quand je lui raconte tout, en détail. »
Un silence tendu s’installe. Il me fixe, et je vois très clairement l’effet que ça lui fait dans son jean. Il bande, fort.
— « Putain… t’es sérieuse ? »
— « Très sérieuse. Il veut même que je prenne des photos. Il dit que je suis trop bonne salope pour être gardée juste pour lui. »
Je pose ma main sur sa cuisse. Je sens la chaleur, la tension. Il grogne un peu, se penche vers moi, sa main glisse sous ma robe sans demander la permission.
— « J’vais te baiser comme une salope, si c’est ça que tu veux. Et tu vas tout lui raconter, chaque sale détail. »
— « C’est exactement ce que je veux, » je souffle, haletante.
En un geste rapide, il fait glisser ma culotte sur le côté. Ses doigts se glissent entre mes lèvres, trempées.
— « Putain… t’étais déjà mouillée en montant dans le camion. »
— « Tu m’as rendue dingue à changer ma roue, torse tendu, les bras pleins de cambouis… Tu sais pas ce que ça me fait. »
— « T’inquiète pas, je vais te faire grimper si fort que t’auras plus jamais peur de crever un pneu. »
Il défait sa ceinture, sort sa queue. Elle est large, veineuse, tendue à bloc. Mon souffle se coupe. J’ai faim de lui.
Je me penche, la prends dans ma bouche. Il gémit, m’attrape les cheveux et me guide. Mon cul bouge, ma robe retroussée sur mes hanches. Il me fait me retourner, me met à quatre pattes sur la couchette.
— « Garde les jambes bien écartées… ton mari va avoir un putain de show. »
Il enfile rapidement un capuchon. Je sens sa queue me pénétrer d’un coup sec. Je crie, surprise et déjà prise. Il me baise comme il a promis : fort, sale, sans retenue.
— « Dis-moi que t’es qu’une salope à ton mari. Dis-lui que t’adores te faire défoncer ton gros cul par un inconnu dans un camion crade. »
— « J’suis une putain de grosse salope… ta salope… et je vais tout lui raconter… »
Il m’empoigne par les hanches, sa queue claque contre mes fesses larges alors qu’il s’enfonce encore plus profond. La cabine du camion tremble sous nos coups de reins, et moi je gémis, à moitié étouffée contre le coussin de la couchette, la bouche entrouverte, baveuse de plaisir.
— « Tu veux que ton mari voie comment je te prends, hein ? »
— « Oui… filme… filme tout… »
Il sort son téléphone, le tient d’une main pendant qu’il continue de me baiser violemment. Je jette un coup d’œil en arrière, le voyant cadrer ma croupe bien large, offerte, les giclées de cyprine qui coulent le long de mes cuisses.
— « Regarde-moi cette chatte… trempée comme une chienne, prête à exploser. Elle supplie pour une vraie queue, mec. T’as bien fait de la partager mon cocu. »
Il se penche, me crache entre les fesses, étale avec sa main large sur ma rondelle, me claque la fesse droite, bien sonore.
— « Tu filmes ? » j’halète, hors d’haleine, mes gros seins ballotant sous moi.
— « Tout. Et t’as intérêt à crier bien fort quand tu jouis. »
Il glisse un doigt dans mon cul en même temps qu’il me pilonne, précis, bestial. La vidéo capte tout : mes cris, les bruits mouillés, les claquements de peau contre peau, les mots crus qu’il me crache à l’oreille.
— « Dis-lui. Dis à ton mari ce que t’es. »
Je lève la tête, la voix brisée par le plaisir.
— «J’suis une pute… j’suis ta grosse salope. Et là… j’me fais défoncer par un routier qui bande comme un taureau… »
Il donne un coup de reins brutal. Je hurle, l’orgasme me traverse comme un éclair, incontrôlable, sauvage. Il continue de filmer pendant que je jouis, tremblante, secouée, en sueur.
Il grogne, ses mains serrent mes hanches. Il se retire au dernier moment, enlève sa capote, m’asperge le bas du dos de sa chaude giclée, bien épaisse. La vidéo capte tout : le sperme qui coule, mes fesses offertes, le foutre brillant sur ma peau.
— « Voilà. Cadeau pour ton cocu de mari, » dit-il en enregistrant.
Il m’aide à me redresser doucement, m’essuie un peu, puis me montre la vidéo.
— « Tu veux lui envoyer maintenant ou tu veux que je l’appelle ? »
Je souris, les jambes encore flageolantes. Je prends son téléphone, et d’un doigt tremblant, j’appuie sur “envoyer”.
— « Il va la mater en boucle toute la nuit. »
Le silence retombe doucement dans la cabine. Juste nos souffles courts, les odeurs de sexe, de sueur, de cuir. Je suis étalée sur la couchette, les cuisses encore ouvertes, le sperme tiède qui sèche lentement sur ma peau. Lui, assis en face, torse nu, son jean entrouvert, il sirote son café froid avec un petit sourire en coin.
— « T’as assuré, » je souffle en remontant un peu ma robe, encore essoufflée.
— « Toi aussi, salope. Tu t’es donnée comme si t’attendais ça depuis des semaines. »
Je ris doucement, les joues encore brûlantes. Il me tend une petite bouteille d’eau fraîche. Je bois à longues gorgées, ma gorge sèche, puis je me penche vers lui pour lui voler une gorgée de son café à même le gobelet.
— « Mon mari va sûrement vouloir que je l’appelle ce soir. Il adore entendre ma voix juste après… quand j’suis encore trempée de foutre. »
Il me regarde, l’œil pétillant, un brin fier de lui.
— « Il doit être bien tordu, ton mec. »
— « Il l’est. Et il me rend aussi complètement salope. C’est lui qui m’a donné goût à ça. Avant, j’étais plus sage… »
Je croise ses yeux, un peu plus tendre cette fois.
— « Et toi ? C’est la première fois que tu baises une inconnue sur une aire d’autoroute ? »
— « La première fois que j’la filme pour envoyer ça à son mari, ouais. Mais j’peux pas dire que ça me déplaît. T’as une vraie belle énergie. T’as faim, t’as le feu au cul. Et ce corps pulpeux… »
Il pose sa main sur ma cuisse nue, fait lentement glisser ses doigts le long de ma peau.
— « Faut qu’on s’en refasse un, si t’as pas peur de t’écrouler en reprenant la route. »
— « J’ai le temps. Et la chatte encore brûlante. »
Je me redresse un peu, mon regard plus intense.
— « T’as bien bossé tout à l’heure… mais là, j’veux te chevaucher. Te faire gémir. »
— « Tu crois pouvoir prendre tout ça en toi, hein ? »
Il ressort sa queue, encore luisante, déjà en train de se regonfler.
— « Tu verras bien. Garde ton téléphone pas loin. On va lui envoyer la suite. »
Je grimpe lentement sur lui, à califourchon, mes seins lourds frôlant son torse, ma bouche accrochée à la sienne. Sa queue pointe contre mon entrée, chaude et impatiente.
Et doucement, je m’empale sur lui à cru … les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, prête à recommencer.
Je suis à califourchon sur lui, mes mains posées sur ses épaules larges, ses cuisses solides sous les miennes. Sa queue bien dure frotte contre mes lèvres, encore trempées du premier round. Je prends mon temps cette fois. Je le regarde droit dans les yeux pendant que je m’abaisse lentement, centimètre par centimètre, jusqu’à ce qu’il soit complètement en moi.
— « Putain… » je souffle, la tête renversée.
— « T’as un trou fait pour ça, salope. »
Ses mains se posent sur mes hanches, me maintiennent, mais il me laisse le rythme. Je commence à onduler doucement, à me l’enfiler à fond, à chaque va-et-vient. Je sens chaque pulsation, chaque veine. Il est large, je suis ouverte, offerte, mais j’en redemande.
Je me penche vers lui, mes seins lourds écrasés contre son torse nu, mes lèvres frôlant son oreille.
— « Tu crois qu’il bande en regardant la vidéo, mon mari ? »
— « Il se branle comme un chien, c’est sûr. Il va gicler avant même que t’aies fini le deuxième round. »
Je souris, je m’accroche à sa nuque, et j’accélère. Je le prends plus fort, plus vite, mes fesses claquent contre ses cuisses. Il grogne, mord un peu mon cou.
— « Vas-y, baise-moi… monte comme une vraie chienne… »
Je me redresse, mes mains sur son torse, et je commence à vraiment le chevaucher. Chaque coup de reins me fait gémir plus fort. La cabine du camion grince, se balance légèrement. Sa queue me défonce profondément, mes seins rebondissent à chaque mouvement.
Il glisse une main entre mes jambes, frotte mon clito, ses doigts rugueux mais précis.
— « J’vais te faire gicler sur ma bite, devant ton mari. Tu veux qu’on filme ? »
— « Oui… filme, maintenant… »
Il chope son téléphone d’une main, commence à filmer du dessous, ma chatte qui l’avale et qui brille de mouille, mes fesses ouvertes qui montent et descendent comme une vraie salope en chaleur.
— « Regarde ça, mec, ta femme elle suce ma queue avec sa chatte. Elle veut pas que j’me retire. Elle veut TOUT. »
Je le regarde, hors d’haleine.
— « Vas-y, filme-moi en train de jouir sur ta bite… »
Je serre, je tremble, je crie son nom sans même le connaître. Mon corps s’écroule contre lui pendant que l’orgasme me traverse d’un coup, violent, chaud, incontrôlable. Ma chatte palpite autour de lui, je me cambre, je perds le contrôle.
Il grogne, me bascule en arrière sur le siège, remonte mes jambes, et recommence à me pilonner en profondeur.
— « C’est pas fini. J’veux gicler dans ta bouche, et tu vas lui montrer comment tu lèches ça. »
Je souris, épuisée, mais excitée comme jamais.
— « Vas-y… fous moi ta bite dans la gorge. J’veux goûter ton jus… »
Il me retire de sous lui d’un geste ferme, sa queue encore bien dure, brillante de mes jus. Il me tire doucement par les cheveux, me fait descendre entre ses jambes pendant qu’il se cale confortablement contre le dossier.
— « Ouvre la bouche, salope. Je veux que ton mari voie comment tu suces un vrai mec. »
Je me mets à genoux entre ses cuisses, ma robe froissée autour de ma taille, mes seins nus, la peau moite, les lèvres tremblantes d’envie. Il tient toujours son téléphone, prêt à filmer chaque seconde.
J’ouvre grand la bouche, tire la langue, et je le prends lentement, profondément, jusqu’à la gorge. Il est gros, je l’étire à fond, je gémis, salive partout.
— « Regarde-moi cette goulue… t’as vu ça, mec ? Elle m’engloutit comme si elle avait jamais eu de queue avant. »
Je le suce avec envie, les yeux dans les siens, mes doigts autour de sa base. Ma salive coule le long de son membre, je vais lentement, puis plus vite, avec des petits bruits bien sales, bien mouillés. Je veux qu’il sente tout. Qu’il n’en puisse plus.
— « Regarde la caméra, » il dit d’une voix rauque.
Je relève les yeux vers l’objectif, sa queue toujours en bouche. Je tire un peu ma langue, lui frotte le bout sur le visage, puis je replonge sur lui, profonde, chaude, vorace.
— « Ton mari doit crever de jalousie, putain… »
Il m’attrape la tête, commence à guider, plus fort, plus profond. Je me laisse faire, me laisse baiser la gorge. Mes yeux pleurent un peu, le mascara coule, mais je continue. C’est crade. C’est excitant. C’est ce que j’adore.
Il grogne, son bassin se tend, sa main se crispe dans mes cheveux.
— « Putain… j’vais gicler. Avale tout, montre-lui bien. »
Et là, il jouit. Fort. Un premier jet brutal me claque la gorge. Je tousse un peu, mais je serre mes lèvres autour de lui, avale tout sans en perdre une goutte. Il filme mon visage qui se gorge de foutre, mes yeux levés, mes mains qui le caressent pendant que je nettoie chaque centimètre de sa queue à la langue.
Je tire un peu la langue vers la caméra, une goutte de sperme sur la lèvre inférieure.
— « C’est bon, chéri… tu peux te branler en paix. J’te raconterai tout . »
Il coupe la vidéo, souffle, me regarde avec un sourire satisfait.
— « Tu veux rester un peu… ou t’as d’autres maris à rendre jaloux aujourd’hui ? »
Je ris doucement, m’essuie la bouche du revers de la main.
— « Toi, t’as peut-être pas fini avec moi non plus. »
Je reste là un moment, la tête posée sur sa cuisse, le souffle lent, le corps encore engourdi par les vagues de plaisir. Il joue distraitement avec une mèche de mes cheveux, ses doigts glissant sur ma nuque. Le silence est doux. Il n’y a plus besoin de mots.
On a tout dit avec les corps.
Je me redresse lentement, tire un peu sur ma robe, m’essuie discrètement entre les cuisses. Mes jambes sont lourdes, mon ventre encore tendu. Lui, il range calmement son téléphone, me lance un regard un peu plus tendre, un coin de sourire aux lèvres.
— « J’crois qu’on va devoir en rester là, princesse. Faut que je reparte, j’suis déjà en retard sur ma tournée. »
— « Et moi j’ai deux cents kilomètres à faire… et un mari qui attend mon appel. »
Il remet son t-shirt, referme son jean, ajuste sa ceinture. Moi, je remets un peu d’ordre dans mes cheveux, mes fringues… sans trop y croire. Y’a des marques partout. Et j’ai le goût de lui encore au fond de la gorge.
— « Merci pour le pneu, » je souffle en ouvrant la porte du camion.
Il sourit plus large.
— « Merci pour le reste. C’était… inattendu. Mais putain, t’es un cadeau. »
Je ris doucement, descend de la cabine. L’air frais me frappe un peu, contraste avec la chaleur étouffante du moment qu’on vient de vivre. Je marche jusqu’à ma voiture, encore un peu bancale.
Il descend juste derrière, me rattrape une dernière fois.
— « Tu veux la vidéo ? Je peux te l’envoyer. »
— « Envoie-la direct à mon mari. Il saura quoi en faire. »
Il me regarde, comme s’il allait dire autre chose, puis il se contente d’un petit hochement de tête.
Je monte dans ma voiture, démarre lentement. Je le vois dans mon rétro, appuyé contre son camion, bras croisés, toujours ce petit sourire satisfait au coin des lèvres.
Et pendant que l’autoroute s’ouvre à nouveau devant moi, je sens une chaleur familière au creux du ventre, et l’envie déjà folle de raconter chaque détail à mon mari.
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