La grosse Monique et le fétichiste des pieds 2

- Par l'auteur HDS Momonique -
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Récit libertin : La grosse Monique et le fétichiste des pieds 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La grosse Monique et le fétichiste des pieds 2
Deux jours plus tard, je franchis à nouveau la porte du magasin de chaussures, le carillon annonçant mon arrivée. Le propriétaire, un homme d'une élégance discrète, leva les yeux de son travail et me sourit en me voyant. J'avais choisi avec soin ma tenue pour l'occasion : une jupe qui épousait mes formes, des bas soyeux et les chaussures qu'il m'avait offertes, des escarpins noirs vernis qui cliquetaient sur le sol en marbre.

Il semblait s'attendre à ce que je prenne les rênes de la situation comme la dernière fois, et sans un mot, il se précipita pour fermer la porte de la boutique à clé. Je l'observais, amusée par son empressement, et le retenais derrière le comptoir d'un geste de la main.

"Pas si vite," dis-je, un sourire énigmatique jouant sur mes lèvres. "Tu crois quoi petite lopette ?"

Mon genou, enveloppé dans la soie des bas, remonta lentement le long de sa jambe, chaque mouvement délibéré et sensuel. La texture du bas contre le tissu de son pantalon créait une friction subtile, amplifiant la tension entre nous. D'un coup sec, mais calculé pour ne pas lui infliger une douleur excessive, je frappai ses testicules. Un "ouch" étouffé s'échappa de ses lèvres, ses yeux se plissant sous l'effet de la surprise et d'une douleur contenue.

"Tout ce que vous voudrez, maîtresse," murmura-t-il, sa voix tremblante de soumission et d'un désir inavoué.
-Mais pas ça.
-C’est moi qui commande dis-je.
-Accordez-moi une faveur, supplia-t-il, sa voix empreinte d'un mélange de désir et de soumission. Offrez-moi un collant porté et souillé par vous toute une journée.


Je souris, amusée par sa tentative de reprise de contrôle, un sourire qui se jouait sur mes lèvres comme une promesse non dite. "Une telle demande se mérite," répondis-je, levant lentement ma jupe pour faciliter mon mouvement. Le tissu de ma jupe glissa contre mes cuisses, révélant davantage de ma peau et des bas qui épousaient mes formes.

Mon pied, chaussé de l'escarpin noir verni, remonta le long de sa jambe jusqu'à ses testicules. Avec une précision délicate, je glissai la pointe de mon escarpin derrière ses boules, chaque mouvement calculé pour le maintenir dans un état de tension exquise. Je commençai à jongler avec ses couilles, la pointe de mon escarpin effleurant son sac avec une légèreté taquine.


Je continuai à jouer avec lui, savourant chaque instant de ce jeu de pouvoir et de désir.
Sans hésiter, il s'agenouilla derrière le comptoir du magasin, le marbre froid sous ses genoux. Ses mains tremblèrent légèrement alors qu'il enlevait mon escarpin noir verni, le posant délicatement sur le sol à côté de lui.

Il souleva mon pied, ses doigts effleurant le nylon de mes bas. Je sentis son souffle chaud à travers le tissu fin, un contraste délicieux avec la fraîcheur de l'air ambiant. Puis, lentement, il approcha ses lèvres de mes orteils, sa langue traçant des cercles sensuels à travers le tissu.

Chaque mouvement était empreint d'une soumission totale, chaque léchage une promesse de plus en plus envoûtante. Je sentais son désir à travers chaque geste, chaque souffle, et je savourais chaque instant de ce moment de domination et de soumission.

Puis, avec une audace grandissante, il prit mon orteil dans sa bouche, suçant doucement à travers le tissu de mes bas. La sensation était à la fois étrange et exquise, un mélange de douceur et de tension qui me faisait frissonner de plaisir. Ses lèvres se refermaient autour de mon orteil, sa langue jouant avec une habileté surprenante, chaque mouvement calculé pour maximiser mon plaisir.

Mon sexe devenait humide, chaque sensation amplifiant mon désir. "Assez," dis-je d'une voix ferme, mais empreinte d'un désir croissant.

-Tu vas me lécher le cul.

-Oui, maîtresse, répondit-il sans hésiter, sa voix tremblante d'anticipation. "Je ferai tout ce que vous désirez, tout ce qui vous plaît."

Je me retournai, lui tendant mon gros cul, le tissu de ma jupe ample tombant autour de nous comme un rideau de soie. Il glissa sa tête sous ma robe, le contact de ses cheveux contre mes cuisses me faisant frissonner. Avec des doigts tremblants, il baissa ma culotte, le tissu glissant le long de mes jambes avec un froissement à peine audible.

"Vos fesses sont si belles, si généreuses, maîtresse," murmura-t-il, sa voix étouffée par le tissu de ma robe. "Je veux les adorer, les satisfaire."

Puis, sans attendre, il se mit à l'œuvre, il écarta mes deux miches, sa langue traçant des cercles sensuels autour de mon anus. Chaque mouvement était empreint d'une dévotion totale, chaque léchage une promesse de plaisir. Ses mains se joignirent à la danse, caressant mes fesses avec une tendresse qui contrastait avec l'audace de sa langue.

"Est-ce que cela vous plaît, maîtresse ?" demanda-t-il, sa voix empreinte d'une sincère inquiétude. "Je veux vous donner du plaisir, vous faire sentir bien."

Je sentais son souffle chaud contre ma peau, chaque expiration un rappel de sa soumission totale. Ses doigts s'enfonçaient légèrement dans ma chair, chaque pression un écho de son désir de me satisfaire.

"Oui, c'est bon, ta gueule" répondis-je, ma voix tremblante de plaisir. "Continue comme ça, ne t'arrête pas. Ma bonne petite salope."

Soudain, la porte du magasin s'ouvrit avec un tintement de clochette, interrompant notre moment d'intimité. Une cliente entra, ses talons cliquetant sur le sol en marbre. Je me redressai rapidement, ajustant ma robe pour retrouver une apparence présentable.

"Bonjour, bienvenue," dis-je à la cliente avec un sourire poli, ma voix trouvant un ton professionnel. Elle me salua en retour et se dirigea vers les étalages de chaussures, son attention déjà captée par les dernières collections.

Pendant ce temps, il se retira discrètement de sous ma jupe, son visage marqué par une expression de regret et de désir inassouvi. Je me rechaussai rapidement, glissant mes pieds dans mes escarpins noirs vernis, tandis qu'il observait chaque mouvement avec une admiration silencieuse.

Je pris ma culotte et la glissai discrètement dans mon sac à main, un sourire énigmatique jouant sur mes lèvres. "Tu as gagné ton petit cadeau, petite merde" murmurai-je, ma voix suffisamment basse pour que seule lui puisse m'entendre. "Je te le donnerai plus tard."

Il hocha la tête, ses yeux brillants de gratitude et d'anticipation. "Merci, maîtresse," murmura-t-il, sa voix empreinte d'une sincère reconnaissance.

Je me tournai vers la cliente, lui offrant un dernier sourire avant de me diriger vers la sortie. "Bonne journée," dis-je en passant devant elle, ma voix légère et amicale.

Puis, je sortis du magasin, le carillon de la porte résonnant derrière moi. L'air frais de la rue me frappa le visage, me ramenant à la réalité. Je sentais l'air sous ma jupe sur ma peau nue,. Ma chatte et mon cul, encore humides, étaient exposés à l'air libre, chaque brise légère rafraîchissait ma raie, me rappelant l'intensité de notre échange.

Le lendemain, je m'affairais à lui confectionner son petit cadeau : un collant que j'avais porté toute une journée. Dès le matin, je l'enfilai, choisissant délibérément de ne pas mettre de culotte en dessous. Le tissu fin du collant épousait chaque courbe de mon corps, chaque mouvement amplifiant la sensation de nudité sous le tissu.

Tout au long de la journée, je tirai sur le collant sans cesse, m'assurant qu'il s'insère bien dans ma raie. Je m'acquittai de mes tâches quotidiennes avec une rapidité calculée, mes déplacements rapides et mes mouvements vifs conçus pour faire suer mon corps, pour que le collant imprègne l'odeur de ma chatte, de mon cul et de mes pieds.

Chaque pas, chaque geste était une danse sensuelle, une chorégraphie de désir et d'anticipation. Je sentais le tissu devenir de plus en plus humide, chaque sensation une promesse de plaisir à venir. L'odeur de mon corps, mêlée à celle de mon excitation, imprégnait le collant, chaque fibre devenant un témoin silencieux de ma journée.

Le soir venu, je retirai enfin le collant, la cerise sur le gâteau étant les quelques pertes vaginales qui y étaient visibles. Je le pliai soigneusement, savourant chaque instant de cette journée, chaque sensation, chaque souvenir. Le collant, maintenant imprégné de mon essence, était prêt à être offert, un cadeau unique et intime.

Le lendemain, je retournai au magasin, le carillon de la porte annonçant mon arrivée. Il leva les yeux, son visage s'illuminant à ma vue. Je m'approchai du comptoir, un sourire énigmatique jouant sur mes lèvres.

Je sortis une petite boîte de mon sac, la posant délicatement sur le comptoir entre nous. "Pour toi," dis-je, ma voix douce mais ferme. "Tu vas te branler tous les jours pendant une semaine en sentant mon collant, et je veux la preuve."

Ses yeux s'écarquillèrent de surprise et d'excitation, ses doigts tremblant légèrement alors qu'il prenait la boîte. "Oui, maîtresse," murmura-t-il, sa voix empreinte d'une soumission totale.

Je glissai un morceau de papier dans sa main, mon numéro de téléphone griffonné dessus. "Je veux une photo tous les jours," continuai-je, ma voix ne laissant aucune place à la négociation. "Et peut-être, si tu es digne, je déciderai si tu peux me pénétrer et peut-être lâcher ton jus inutile en moi. Compris, petite lope ?"

"Oui, maîtresse," répondit-il sans hésiter, ses yeux brillants de gratitude et d'anticipation.

Je tournai les talons et sortis du magasin, le carillon résonnant derrière moi. Chaque jour, à vingt heures précises, il m'envoyait les photos, chaque image un témoignage de sa soumission et de son désir. Je savourais chaque instant de cette semaine, chaque photo, chaque souvenir, tandis que je décidais de son sort, le sourire aux lèvres.

Le dimanche suivant, je l'attendais dans une chambre d'hôtel, vêtue d'une robe en latex qui moulait chaque courbe de mon corps. Le tissu brillant épousait mes formes, mettant en valeur mon énorme cul, chaque détail accentué par la texture serrée du latex. Deux ouvertures sur le haut de la tenue laissaient passer mes gros seins, les exposant à l'air, fermes et provocants.La porte s'ouvrit enfin, et il entra sans tarder, ses yeux s'écarquillant à la vue de ma tenue. Je le regardai avec un sourire énigmatique, ma voix ferme et claire. "Déshabille-toi," ordonnai-je, chaque mot résonnant dans le silence de la chambre.

Il obéit sans hésiter, enlevant rapidement ses vêtements pour révéler son corps frêle et nu. Sa petite bite, déjà en érection, témoignait de son excitation et de sa soumission. Je le contemplai un instant, savourant la vue de son corps vulnérable et désirant.

"Approche," dis-je, ma voix douce mais impérieuse. Il s'avança vers moi, chaque pas empreint d'une obéissance totale. Je sentais son désir, son anticipation, chaque souffle un rappel de sa soumission.J’etai devant lui, mes seins énormes à sa hauteur. "Maintenant, montre-moi à quel point tu les désires," dis-je en lui tendant mes seins.

Il les prit avec avidité, les malaxant et les suçant avec une passion presque désespérée. Je sentis ses mains puissantes et sa bouche vorace, chaque mouvement un hommage à ma domination. Mais après quelques instants, je le repoussai doucement, un sourire satisfait aux lèvres.

"C'est assez pour l'instant," murmurai-je, savourant le moment. "Tu as bien travaillé."

Il se tenait devant moi, son corps frêle et nu exposé à mon regard. Je commençai à faire le tour de lui, une cravache à la main, chaque pas calculé pour maintenir une tension palpable entre nous. La cravache sifflait dans l'air avant de frapper ses fesses, chaque coup un rappel de ma domination, chaque impact un écho de son soumission.

Je m'arrêtai derrière lui, mon corps collé au sien, chaque courbe de mon latex moulant épousant les contours de son dos. Je sentais son souffle court, chaque expiration un témoignage de son excitation et de son désir. Ma main glissa le long de son corps, chaque mouvement lent et délibéré, jusqu'à ce que je saisis son sexe dans ma main.

Je commençai à le branler énergiquement, chaque mouvement de ma main un mélange de fermeté et de rapidité. Je sentais son excitation grandir, chaque souffle, chaque gémissement un rappel de sa soumission totale.

Je m'arrêtai violemment, le poussant sur le lit avec une force calculée. Il tomba sur le dos, son corps frêle et nu contrastant avec les draps de soie. Sans hésiter, je grimpai sur le lit, me tenant debout au-dessus de lui, chaque mouvement empreint d'une autorité incontestable.

"Lèche mes pieds, petite salope" ordonnai-je, ma voix ferme et claire. "Et fais-le bien, sinon tu sais ce qui t'attend."

"Oui, maîtresse," murmura-t-il, ses yeux brillants d'une excitation mêlée de soumission. Ses lèvres se refermèrent autour de mes pieds gainés de bas, chaque léchage un témoignage de son obéissance totale.

Je me tenais au-dessus de lui, mes jambes légèrement écartées, offrant une vue imprenable sur ma chatte sans culotte.
"Est-ce que cela te plaît, de lécher mes pieds comme ça ?" demandai-je, ma voix douce mais impérieuse.

"Oui, maîtresse," répondit-il, sa voix étouffée par son adoration. "C'est un honneur de vous servir ainsi."

Je sentais son souffle chaud contre mes pieds, chaque expiration un écho de son excitation et de son adoration. "Tu es ma chose, maintenant, ma pute" dis-je, chaque mot résonnant dans le silence de la chambre. "Et tu feras tout ce que je te demande, compris ?"

"Oui, maîtresse, je comprends," répondit-il, sa voix tremblante de désir et de soumission.Je baissai lentement mon pied, glissant mes orteils le long de sa joue, le caressant avec une douceur cruelle. Il frissonna sous le contact, ses paupières mi-closes trahissant le plaisir qu’il y trouvait. Je fis glisser mes bas jusqu’à mi-mollet, révélant ma peau nue centimètre par centimètre, observant ses yeux suivre chaque geste comme un animal affamé guette sa proie.

“Tu veux plus ?” soufflai-je, un sourire énigmatique aux lèvres.

“Oui, maîtresse, je vous en supplie.”
Je le repoussai doucement du pied, glissant ma plante contre sa poitrine, puis plus bas, jusqu’à ce qu’il bascule de nouveau sur le dos, offert, vulnérable, les bras le long du corps. Son regard chercha le mien, incertain, haletant, déjà à la merci de ce que j’allais décider.

Sans un mot, je posai mes pieds sur son bas-ventre, les glissant lentement jusqu’à sa queue tendu. Je sentis un frisson traverser tout son corps. Puis, avec une lenteur calculée, je resserrai mes orteils autour de lui. Il émit un gémissement rauque, surpris, submergé.

“Ne bouge pas,” ordonnai-je doucement, ma voix un murmure de velours chargé de menace.

Je commençai à lui caresser la bite ainsi, le talon pivotant légèrement, la plante glissant contre sa peau sensible, les orteils enserrant son désir avec une maîtrise cruelle. Je mis un coup de pied sur phalus érigé comme un menhir. Ses yeux s’écarquillèrent, celui-ci rebondit puis reprit directement sa position, témoignant de sa puissante érection. Je décidai de le branler avec mes pieds. Chaque mouvement était précis, maîtrisé, comme une danse rituelle où je dictais le tempo de son plaisir.
Sentant son corps prêt à céder, je stoppai net mes mouvements. Son gémissement de frustration fut presque un cri étouffé, une supplique silencieuse. Je le regardai de haut, dominant, savourant l’instant où il comprenait qu’il n’aurait rien… pas encore.

Sans un mot, je me redressai et relevai lentement ma jupe en latex, le bruit subtil du tissu ajoutant à l’intensité de notre silence. Mes hanches nues apparurent, brillantes, offertes, et je m’agenouillai au-dessus de lui, mes cuisses encadrant son visage.

Son regard monta jusqu’à moi, ébloui, implorant, déjà dévoué avant même que je n’ouvre la bouche.

“Lèche-moi,” ordonnai-je, ma voix ferme, grave, indiscutable. “Explore. Chaque recoin, bouffe. Tu es là pour me servir, et tu ne t’arrêteras que quand je te le dirai.”
Je le sentis hésiter une fraction de seconde, sa langue encore timide contre ma chatte. Ce n’était pas suffisant.

Je tirai brutalement sur ses cheveux, le forçant à lever les yeux vers moi. Mon regard brûlait d’exigence.
“Regarde-moi quand tu me lèches,” ordonnai-je, la voix sèche, tranchante. “Je veux voir la soumission dans tes yeux pendant que tu goûtes chaque goutte de mon jus de chatte.”
Il obéit aussitôt, ses pupilles dilatées, noyées dans le désir et la crainte.
Je me plaçai mieux sur son visage, écrasant un peu plus ma vulve charnue contre sa bouche.

“Plus profond. Tu entends ? Mets-y ta langue, explore-moi comme si ta vie en dépendait.”

Il s’exécuta, son souffle court contre ma peau nue, sa langue avide essayant d’entrée dans mon vagin. Je gérai chaque mouvement de son visage, guidé par mes hanches et la poigne ferme de mes mains dans ses cheveux.

“Tu n’as pas le droit de respirer tant que je ne te l’autorise pas.” Ma voix claquait comme un fouet.

Il suffoquait légèrement, mais ne s’arrêtait pas. Et moi, je savourais cette sensation de puissance, de contrôle absolu.

“N’utilise pas seulement ta langue. Aspire mon jus, goûte-moi. Je veux que ton visage dégouline de moi.”

Il redoubla d’efforts, désespéré de bien faire, de m’entendre gémir — mais je restai impassible, froide reine sur son trône de chair.

“Si tu ralentis, je t’attache. Si tu me déçois, je te pisse dessus. Tu vis à travers mon plaisir, compris ?”

“Oui, maîtresse… non pas de s’il vous plait ” répondit-il, la voix déformée, tremblante mais exaltée, ses mots se perdant contre moi.

Je souris, le souffle plus court désormais, sentant la vague monter.

“Tu veux ta récompense ?” soufflai-je en l’enserrant plus fort entre mes cuisses. “Alors fais-moi jouir. Immédiatement. Sinon, je pisse, sans un mot, sans une caresse.”
Son visage était noyé dans mon fluide corporel , sa peau luisante, maculée, témoin de l’explosion que je venais de lui offrir. J’étais encore haletante, dominant son souffle sous moi, mes cuisses serrées autour de sa tête comme une étreinte finale.

Je me redressai lentement, le regard toujours fixé sur lui, conquérante, le souffle court mais le regard implacable.

“Regarde dans quel état tu es,” dis-je en le toisant. “Et tu crois que je vais te laisser là, sans te tester davantage ?”

Je me replaçai , la jupe de latex glissant contre mes hanches. Je le regardai de haut, son corps tendu, incapable de bouger, prêt à tout.

“Relève-toi. Maintenant. Et viens me prendre… si tu en es capable.”

Il obéit, hésitant, presque tremblant. Son excitation était visible, mais dérisoire, presque touchante. Je souris cruellement.

“Montre-moi ce que tu crois pouvoir m’offrir. Et fais-le bien. Sinon… je t’attache, et tu me regarderas en silence pendant que je prends mon plaisir ailleurs.”

Il s’approcha, maladroit mais obéissant, son regard plongé dans le mien, à la fois honteux et suppliant.

Je me tournai sans prévenir, me penchant légèrement vers l’avant me mettant en levrette, lui exposant mon cul imposant, mes orifices tendus avec une froide provocation.

“Maintenant. Possède-moi. Mais souviens-toi… ce n’est pas toi qui prends. C’est moi qui te laisse entrer.”

Il s’exécuta, guidé plus par l’instinct que par la force, avec une retenue fébrile.Il me pénétra sans effort ma chatte lubrifée de désir avec sa petite bite. Je fermai les yeux un instant, captant chaque frisson, chaque mouvement incertain, chaque soupir. Il commençait à s’agiter dans mon vagin.

“Plus lentement,” ordonnai-je, reprenant le contrôle sans effort. “Ce corps est à moi. Tu n’y fais que ce que je t’autorise.”

Et dans le silence tendu de la chambre, le pouvoir ne faisait que changer de forme, il me fourrait soigneusement.
-aller cogne !.
Je sentis son rythme changer. Ses gestes devenaient plus rapides, plus désespérés, comme s’il avait enfin osé se libérer, mais toujours dans les frontières que je traçais pour lui.

Je me redressai légèrement, cambrant le dos, m’offrant, écartant davantage, et sans me retourner, je grondai :

“Plus vite. Plus fort. C’est moi qui décide quand ça finit, compris ?”

Il obéissait, haletant, chaque mouvement chargé d’une urgence animale. Mais je n’étais pas une amante douce. J’étais une reine cruelle, exigeante, implacable.

“Tu veux jouir ? Tu veux que je te laisse venir ?” lançai-je, moqueuse, presque rieuse. “Fais-le en moi. Maintenant. Vide-toi comme un chien bien dressé.”

Ses mains s’agrippèrent à mes hanches, ses râles étouffés trahissant la vague qui montait en lui, incontrôlable.

“Jouis, pauvre chose… crache tout. Tu n’es bon qu’à ça, n’est-ce pas ? Te vider pour ta maîtresse.”

Et il céda, dans un long gémissement étranglé, s’effondrant presque contre moi, le corps secoué, les doigts crispés, vidé de toute retenue.

Je restai immobile, impassible, le laissant reprendre son souffle contre ma peau.

Puis, froide, je me détournai lentement.

“Tu vois ce que tu es, maintenant ?” murmurai-je, sans le regarder. “Un jouet. Un récipient. Rien de plus.”
Il était encore haletant, vidé, agenouillé, incapable de parler, ses mains posées à plat sur le lit comme un animal puni. Je me retournai lentement vers lui, mes hanches nues, mes jambes gainées de noir brillant. J’approchai sans un mot, le regard froid, calculé, presque dédaigneux.

Je saisis son menton d’une main ferme et le forçai à lever les yeux vers moi.

“Tu crois que c’est fini ?” dis-je d’une voix glaciale, presque lasse. “Tu m’as salie. Tu crois vraiment que je vais te laisser comme ça, pauvre chose ?”

Il voulut répondre, mais je plaquai deux doigts sur ses lèvres.

“Silence.”

Je me redressai, me tenant debout devant lui. Puis, lentement, je me rassis, écartant les cuisses sans pudeur, exposant sans honte l’œuvre de son plaisir encore chaude sur ma peau.

“Tu regardes bien ce que tu as fait ? Voilà ce que tu laisses derrière toi. Une reine souillée par un esclave mal éduqué.”

Il déglutit, tremblant, les joues rouges.

“Approche.” Mon ton ne souffrait aucune hésitation.

Il rampa vers moi, lentement, les yeux fixés sur ce que je lui montrais. J’attrapai une poignée de ses cheveux, le forçant à se pencher.

“Tu vas nettoyer ça. Chaque trace. Avec la langue. Et si tu oses reculer, même d’un souffle, je t’enferme pour la nuit, nu et seul, avec le goût de ta propre honte sur la langue.”

Je sentis son souffle sur moi, hésitant, tremblant. Il obéit.

“Voilà,” murmurai-je, presque avec tendresse, mais sans chaleur. “Rappelle-toi à chaque coup de langue que tu n’es rien de plus qu’un outil. Ma propriété. Mon réceptacle.”

Et pendant qu’il s’exécutait, le visage brûlant d’humiliation, je posai la main sur sa nuque, le maintenant là, à sa place.
Il était encore haletant, vidé, agenouillé, incapable de parler, ses mains posées à plat sur le sol comme un animal puni. Je me retournai lentement vers lui, mes hanches nues, mes jambes gainées de noir brillant. J’approchai sans un mot, le regard froid, calculé, presque dédaigneux.
Quand il releva les yeux vers moi, le visage rougi et brillant, je vis l’imploration dans son regard. Il cherchait une validation, un mot, un geste. Une récompense.

Je le laissai à genoux quelques instants, le silence devenant presque cruel.

Puis je me penchai légèrement, attrapai son visage entre mes mains et murmurai d’un ton bas, presque caressant :

“Tu veux être récompensé pour ça ?”

Il hocha la tête, les lèvres entrouvertes.

“Très bien.”

Je me levai lentement, marchant vers la table basse sur laquelle reposaient quelques accessoires soigneusement sélectionnés. Je pris l’un d’eux — un collier de cuir noir, simple mais marqué d’un anneau central, symbole clair de son statut.

Je revins vers lui et, sans lui demander son avis, je lui passai le collier autour du cou, le bouclant d’un geste lent, presque cérémoniel.

“Voilà ta récompense, sale chose. À partir d’aujourd’hui, tu le porteras chaque fois que tu es avec moi. Il ne te donnera aucun droit… seulement la grâce d’exister sous mon regard.”

Puis, je me plaçai derrière lui. Je fis glisser mes doigts le long de son dos, jusqu’à son bassin, et murmurai :

“Et ce soir, puisque tu t’es montré obéissant… je vais t’ouvrir. Moi. Avec ce que je choisis. Et tu vas apprendre ce que ça veut dire, vraiment, être à moi.”

Il frissonna, tendu, à la fois terrifié et désespérément excité.

“Tu vois, parfois la punition et la récompense se ressemblent. Mais moi seule décide de la différence.”

Et ce soir-là, son offrande ne fut pas son plaisir. Mais sa reddition totale.Il était à quatre pattes, le dos cambré, les mains tremblantes contre le lit.

Je portais toujours ce sourire impassible, glacé, celui qui disait : Tu n’es plus rien d’autre qu’un corps entre mes mains.

“Tu vas comprendre ce que signifie être possédé jusqu’au fond,” soufflai-je en m’accroupissant derrière lui, mes gants de cuir crissant doucement.

Je pris un gode soigneusement choisi, un prolongement de ma volonté, long, lisse, impitoyable. J’approchai de lui, pressant le froid du jouet contre sa peau.

“Respire.” Ma voix était calme, presque tendre, mais chaque mot était une injonction gravée au fer.

Il obéit, tendu, les muscles déjà crispés par l’anticipation. Je fis glisser lentement l’objet contre lui, le préparant avec soin, mais sans douceur. Ce n’était pas un acte d’amour, mais un rituel de possession.

Quand je le fis entrer a sec, centimètre par centimètre dans son trou du cul, je le sentis haleter, surpris par l’intensité, par la sensation de n’être plus maître de rien. Je posai une main ferme contre son bas du dos pour le maintenir en place.

“Tu sens ça ?” murmurai-je à son oreille. “C’est moi, à l’intérieur de toi. C’est moi qui décide de ton plaisir maintenant.”

Puis, lentement, je commençai à explorer, chaque pression calculée, chaque mouvement destiné à lui arracher des gémissements qu’il ne savait même pas pouvoir produire. Je cherchai, avec précision, le point exact de sa prostate, là où son corps se trahissait, se livrait, se tordait sous la jouissance interdite.

Et quand je l’atteignis, quand je le sentis trembler malgré lui, les doigts crispés contre les draps …

“Voilà,” soufflai-je. “Voilà le petit secret de ton corps. Et maintenant qu’il est à moi… je vais en faire ce que je veux.”
Il était toujours à quatre pattes, offert, le souffle erratique, le jouet toujours profondément enfoncé en lui, chaque pulsation de son corps trahissant sa vulnérabilité. Son dos était arqué, ses bras tremblants sous l’effort, le front presque collé au lit. Un pantin vidé, tendu, mais vivant — vivant uniquement pour mon contrôle.

Je me penchai lentement, une main glissant entre ses jambes, attrapant sans ménagement son sexe encore sensible, son poids, son humiliation. Je tirai légèrement, avec juste assez de fermeté pour qu’il comprenne que même dans l’après, il n’avait aucun répit.

“Tu ne regardes pas,” dis-je d’un ton sec, presque las. “Tu n’as pas ce droit. Garde la tête baissée comme le bon petit chien que tu es.”

Je tirai encore, un peu plus fort cette fois, ma poigne sur lui soulignant ce qu’il n’était plus : un homme.

Je me redressai ensuite, lentement, méthodiquement. Je pris ma robe en latex et la fis glisser sur mes hanches. Chaque geste était pour moi. Pas pour lui. Il ne verrait rien, il ne méritait rien. Le froissement du tissu, le bruit précis de la fermeture, le son de mes escarpins… tout cela était devenu un opéra cruel qu’il devait écouter sans jamais lever les yeux.

Je jetai un dernier regard à son corps nu, marqué par moi. Le jouet était toujours planté en lui, discret mais imposant, rappel constant de mon passage, de ma volonté.

Je m’approchai de la porte, mes clés en main.

Avant de partir, je lâchai, d’une voix calme, tranchante comme une lame :

“Reste comme ça. Ne bouge pas. Réfléchis à ce que tu es. Quand je te reverrai , tu n’auras plus besoin de mots. Juste d’obéir.”

Et je sortis, sans un regard, laissant la porte se refermer dans un silence presque sacré — le silence d’un trône déserté, d’un esclave oublié.
Il resta là, nu, seul, à genoux, le souffle court, le corps tremblant, le gode encore ancré en lui, pesant comme une marque d’appartenance. Le silence était devenu oppressant, presque bruyant, entre les battements sourds de son cœur et l’écho de ses propres gémissements encore suspendus dans l’air.

Puis, le bruit sec de son téléphone vibra contre le sol froid.

Un message.

Il tourna lentement la tête, tendit la main avec hésitation, comme si briser l’ordre donné pouvait déclencher une nouvelle punition. Il regarda l’écran.

Un simple message. Une phrase. Sévère. Impitoyable.

« Espèce de petite loque. Tu pensais que c’était la fin ? Ce n’était que le début. Tu vas apprendre ce que signifie vraiment m’appartenir. La prochaine fois, tu supplieras que ça s’arrête. Et je te rirai au visage. À bientôt. »

Signé simplement d’un M. — comme une sentence, un sceau, une menace.

Il sentit une vague glaciale lui remonter l’échine. Un mélange terrifiant d’humiliation, d’excitation… et de dépendance.

Et sans un mot, sans même oser s’asseoir, il reposa le téléphone… et attendit.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
bjr hate de voir la suite etant fetichiste aussi des pieds gainer de nylons

j'ai hâte de la suite Monique,je ne vous savais pas fétichiste .
Le mari de Titi



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