La grosse Monique et le fétichiste des pieds

Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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La grosse Monique et le fétichiste des pieds
Ce jour-là, j’avais pris soin de moi.
Vêtue d’un tailleur élégant gris perle, la jupe légèrement fendue laissant entrevoir mes bas noirs autofixants, j’arpentais les rues pavées du centre de Nancy, les talons claquant fièrement.
Mon opulente silhouette attirait quelques regards furtifs, certains admiratifs, d’autres plus lubriques.
Je savourais secrètement cette sensation de puissance charnelle.
Après quelques emplettes légères, mon regard fut attiré par une vitrine brillante.
Un magasin de chaussures de luxe.
Deux sublimes paires m’y faisaient de l’œil : des escarpins rouges vernis au talon aiguille et des bottines noires sophistiquées.
Sans hésiter, je poussai la porte.
Un léger tintement de clochette accompagna mon entrée.
À l’intérieur, l’atmosphère était feutrée, presque intime.
L’éclairage tamisé mettait en valeur les cuirs précieux.
Et derrière le comptoir, seul, se tenait un homme d’une cinquantaine d’années.
Le genre de patron solide, soigné, avec des cheveux poivre et sel impeccablement coiffés et un regard qui scrutait tout avec attention.
Il releva la tête en m’apercevant et son sourire poli trahit une lueur d’intérêt un peu plus appuyée.
Je n’étais pas son client habituel : trop ronde, trop pulpeuse, trop outrageusement féminine pour cette boutique snob.
Mais il s’approcha avec professionnalisme.
— « Bonjour madame. Que puis-je faire pour vous ? »
Sa voix grave résonna agréablement.
Je désignai les deux paires en vitrine.
— « J’aimerais essayer celles-ci, s’il vous plaît. »
Il hocha la tête et s’empressa d’aller chercher les modèles dans ma pointure.
Je pris place sur un fauteuil en cuir crème, croisant les jambes avec lenteur pour laisser glisser un peu ma jupe et dévoiler le haut satiné de mes bas.
Je vis bien son regard accroché brièvement à cette vue interdite.
Quand il revint, légèrement essoufflé, je lui tendis mon pied avec un sourire innocent.
Sans hésiter, il s’agenouilla devant moi pour m’enfiler la première chaussure.
Ses doigts calleux frôlèrent mes chevilles, remontant imperceptiblement sur ma jambe, sous prétexte d’ajuster la lanière.
Un frisson me parcourut.
Je ne bougeai pas.
J’écartai légèrement les genoux, par inadvertance, laissant ma jupe remonter d’un cran supplémentaire.
Son regard s’assombrit légèrement.
Il attacha la chaussure lentement, comme s’il savourait chaque seconde de cette proximité.
Puis il murmura, d’une voix plus rauque :
— « C’est… très flatteur sur vous. »
Un silence lourd s’installa.
Je répondis d’une voix douce, presque provocante :
— « Peut-être ai-je besoin d’un… deuxième avis ? »
Il me regarda droit dans les yeux, un instant suspendu.
Puis, sans demander davantage, ses mains glissèrent un peu plus haut sur mes mollets, caressant doucement la peau satinée sous le bas.
Je ne protestai pas.
J’écartai encore davantage mes jambes, lui offrant une vue sans ambiguïté sur ma culotte fine, tendue sur mes lèvres épaisses.
Il posa ses grandes mains sur mes genoux et, sans un mot, me força doucement à ouvrir plus largement.
Je sentis l’air frais de la boutique effleurer ma chatte déjà mouillée.
— « Vous êtes… parfaite. » grogna-t-il
Son regard brillait d’une lueur fiévreuse, presque démente, lorsqu’il aperçut mes pieds chaussés dans les escarpins vernis.
Il se releva précipitamment, tourna la clé dans la serrure d’un geste sec, et baissa la lumière de la boutique, n’allumant qu’une petite lampe discrète près de nous.
L’ambiance devint plus intime, plus dangereuse.
Il se posta à mes pieds, s’agenouillant humblement devant moi comme un chien obéissant.
Ses yeux ne me regardaient même plus dans les yeux.
Ils étaient fixés, hypnotisés, sur mes chaussures, sur mes pieds cambrés dans les bas noirs.
Il murmura d’une voix tremblante :
— « Mon Dieu… Vous êtes… divine… »
Je souris, satisfaite de son état.
Je croisai lentement les jambes, faisant crisser le nylon contre lui, le narguant.
Je le sentis frémir.
Alors, délicatement, il posa ses grandes mains sur mes mollets, caressant la matière tendue du bas.
Ses doigts remontaient avec adoration, frôlant la couture jusqu’à mon genou, puis redescendaient, comme s’il effleurait une icône sacrée.
Puis, dans un geste presque révérencieux, il ôta l’escarpin de mon pied gauche.
Il laissa échapper un soupir rauque en découvrant mes orteils gainés de nylon fin, vernis d’un rouge éclatant visible sous la transparence.
Avec une infinie lenteur, il porta mon pied à ses lèvres et commença à sucer mes orteils à travers le bas, glissant sa langue avec une frénésie honteuse contre le tissu tendu.
Je laissai échapper un petit rire cruel :
— « Mmmh… Ça te plaît, hein, sale petit fétichiste ? »
Il gémit contre mon pied, hochant la tête sans oser parler.
Je bougeai mes orteils contre sa bouche affamée, sentant son excitation monter.
Il tira doucement sur le bas avec les dents, dévoilant petit à petit mes orteils nus, tremblants de plaisir sous ses attentions.
Puis, sans attendre, il entreprit de les lécher un par un, introduisant mes orteils dans sa bouche, les suçant avidement comme un affamé.
Je sentais sa langue chaude glisser entre eux, fouiller chaque repli avec dévotion.
Il n’était plus qu’un esclave léchant mes pieds, m’adorant comme une déesse de chair et de luxure.
Il prit mon autre pied, fit glisser lentement l’autre chaussure, recommença le même rituel : baisers, langue, succion, servilité.
Son sexe tendait dangereusement son pantalon.
Il n’avait pas encore osé y toucher.
Je souris, cruelle.
Il n’osait pas, sans mon ordre.
Je ramenai mes deux pieds contre son visage, l’écrasant doucement entre mes semelles puis entre mes orteils.
— « Humilie-toi encore… Tu n’es qu’un jouet à mes pieds… »
Il grogna d’extase, me léchant plus férocement, aspirant mes orteils comme des bonbons sucrés.
Son souffle devenait erratique, incontrôlable.
A genoux devant moi, il était à bout.
La sueur perlait sur son front, et son regard, embué de désir, ne quittait pas mes pieds.
Alors, comme mû par une pulsion irrépressible, il glissa ses mains tremblantes à sa ceinture et fit tomber son pantalon et son caleçon d’un seul geste maladroit.
Je laissai échapper un petit rire méprisant.
Là, tendue pitoyablement entre ses cuisses, se dressait une bite minuscule, ridicule.
Raide certes, mais pathétique.
— « Oh putain… c’est ça ton engin ? », lançai-je d’une voix moqueuse.
Il baissa la tête, honteux, son visage rougissant jusqu’aux oreilles.
Je tendis mon pied droit et, sans douceur, je vins frapper légèrement plusieurs fois sa verge dressée du bout de mes orteils, la faisant tressauter lamentablement.
— « Une bite pareille… Même mes orteils sont plus gros que ta queue, pauvre con ! »
Je lui mis un léger coup de pied sur ses testicules pendants. Il gémit, les yeux révulsés sous l’humiliation et. La douleur.
Je ne lui laissai pas le choix.
Plaquant mes deux pieds contre son sexe tendu, je commençai à le branler lentement, frottant la pointe de sa queue contre la plante de mes pieds, la serrant entre mes orteils, jouant avec ses couilles comme pour le broyées.
— « Regarde-moi pendant que je t’écrase les burnes. » lui ordonnai-je.
Il obéit, haletant, les yeux noyés de honte et d’extase.
Je sentais son gland ruisseler déjà de liquide pré-séminal, dégoulinant contre ma peau.
Sentant qu’il était sur le point de craquer, je m’arrêtai brusquement.
Il poussa un gémissement plaintif.
Je retirai mes pieds lentement.
— « Pas si vite, minus. »
Je me relevai, rajustant ma jupe, le dominant de toute ma hauteur.
Je fis lentement glisser ma culotte, la laissant tomber au sol entre nous.
Puis je saisis ses boules en serrant la main, d’un ton ferme, sans appel :
— « Maintenant, tu me baises. Là. Debout. »
Il hoqueta de surprise, cligna des yeux, n’y croyant pas.
— « Mais écoute-moi bien, connard : si tu jouis DANS moi la moindre goutte… je t’éclate ta putain de gueule contre ton propre comptoir. Pigé ? »
Il hocha la tête, terrifié et excité à la fois.
Ses mains hésitantes agrippèrent mes hanches larges.
Je me penchai contre le fauteuil, cambrant mes grosses fesses devant lui, écartant juste assez mes jambes pour l’inviter.
Il approcha sa minuscule bite tremblante de ma chatte ruisselante.
Je sentis à peine la pénétration tant il était insignifiant, mais la sensation de son abandon, de son obéissance, me fit bander le clitoris de fierté.
Je le sentais trembler, geindre, incapable de se contrôler. Son asticot gesticulait en moi, cela n’était pas indiffèrent. Ma chatte mouillait et je feignait le désintérêt.
Je me retournai légèrement, plantant mon regard dur dans le sien.
— « T’as intérêt à ne pas vider tes couilles, petite merde. »
Il enfonça ses ongles dans ma peau, haletant, s’agitant,comme un lapin, se battant pour ne pas éjaculer trop vite.
Je sentis qu’il luttait de toutes ses forces pour ne pas exploser en moi.
Son souffle était court, son corps tremblait, sa petite bite ridicule vibrait au creux de mes lèvres humides.
Je souris avec cruauté.
— « Retire-toi, larbin. Maintenant. », ordonnai-je sèchement.
Aussitôt, il obéit, sa queue dégoulinante de ma cyprine glissant hors de moi dans un bruit mouillé et pathétique.
Je me retournai lentement, dominant de toute ma hauteur sa silhouette, pitoyable.
Je tendis mon pied vers lui, appuyant mes orteils contre son gland congestionné.
Il gémit, son corps se contractant sous la frustration.
— « Tu vas te branler sur mes pieds, sale merde. Et tu vas tout lécher comme un bon chien. »
Je pressai un peu plus fort, pinçant sa queue entre mon gros orteil et mon deuxième orteil, la masturbant avec un mépris affiché.
Il ferma les yeux, hoqueta, et sans même pouvoir lutter, il éjacula violemment.
De grosses giclées épaisses et abondantes jaillirent de son sexe minable, éclaboussant mes mollets mes orteils, la plante de mes pieds.
Je le laissai jouir jusqu’à la dernière goutte, mes pieds souillés de son foutre.
Puis, d’un ton glacial :
— « Maintenant, lèche. Chaque centimètre. »
Il se jeta presque au sol, rampant à mes pieds, sa langue fébrile léchant le sperme répandu sur mes bas, glissant entre mes orteils avec une adoration abjecte.
Il suçait mes orteils couverts de foutre, nettoyait mes pieds comme s’il buvait un nectar sacré.
Je l’observai avec un sourire cruel, le dominant complètement. Je m’avouai que j aurai aimé goutter son sperme.
— « Voilà… À ta place, sous mes pieds, comme il se doit. »
Il gémissait contre ma peau, incapable de cacher son plaisir même dans l’humiliation.
Alors qu’il finissait d’astiquer mes pieds, la langue avide et sale, je me redressai, remettant ma jupe bien en place avec un geste d’une lenteur exagérée.
Je le regardai de haut, croisant les bras sous ma poitrine opulente.
— « Maintenant, tu vas me rhabiller correctement. Comme une bonne petite esclave. », lui lançai-je, glaciale.
Le regard embué, il se redressa maladroitement, remonta son pantalon sans même refermer sa braguette, puis alla chercher, à quatre pattes presque, une paire de bas de sa boutique.
Il choisit des bas sublimes, d’un nylon fin, avec une couture arrière, parfaits pour gainer mes jambes épaisses avec une touche délicieusement rétro et vulgaire.
Tremblant d’excitation, il déroula le premier bas sur mes orteils encore humides, prenant soin de caresser mes chevilles, mes mollets, remontant lentement sur ma cuisse.
Je le laissai faire, royale.
Il prit le second bas, répétant le rituel avec une dévotion quasi-religieuse.
Chaque geste était maladroit, fébrile, comme s’il avait peur de déchirer le précieux tissu en effleurant ma peau.
Quand mes jambes furent entièrement gainées, je croisai à nouveau les jambes avec lenteur, le faisant presque baver devant moi.
Sans un mot, il alla chercher les deux paires de chaussures que j’étais venue essayer au départ.
Avec un soin extrême, il me chaussa, refermant les brides autour de mes chevilles dodues.
Puis, timidement, il murmura en relevant les yeux :
— « Je… Je vous les offre… Ces chaussures… Je vous en prie… »
Un sourire de triomphe étira mes lèvres.
Je le toisant comme on regarde un insecte.
— « Évidemment que tu me les offres, pauvre tâche. Tu devrais même me supplier de les accepter. »
Il acquiesça, baissant la tête, visiblement prêt à tout pour que je daigne les garder.
Avant que je franchisse la porte, superbe dans mon tailleur, mes bas neufs et mes escarpins brillants, il osa demander, d’une voix toute petite :
— « Est-ce que… est-ce que vous reviendrez, Madame… ? »
Je souris cruellement, me penchant juste assez pour que mon décolleté déborde outrageusement devant lui.
— « Peut-être, si tu es bien sage… et si tu continues à bien nettoyer mes pieds. »
Puis, sans un regard de plus, j’ouvris la porte et sortis dans la rue, triomphante, laissant derrière moi ce pauvre larbin humilié, le sexe toujours dur, l’âme complètement écrasée sous mon talon.
Vêtue d’un tailleur élégant gris perle, la jupe légèrement fendue laissant entrevoir mes bas noirs autofixants, j’arpentais les rues pavées du centre de Nancy, les talons claquant fièrement.
Mon opulente silhouette attirait quelques regards furtifs, certains admiratifs, d’autres plus lubriques.
Je savourais secrètement cette sensation de puissance charnelle.
Après quelques emplettes légères, mon regard fut attiré par une vitrine brillante.
Un magasin de chaussures de luxe.
Deux sublimes paires m’y faisaient de l’œil : des escarpins rouges vernis au talon aiguille et des bottines noires sophistiquées.
Sans hésiter, je poussai la porte.
Un léger tintement de clochette accompagna mon entrée.
À l’intérieur, l’atmosphère était feutrée, presque intime.
L’éclairage tamisé mettait en valeur les cuirs précieux.
Et derrière le comptoir, seul, se tenait un homme d’une cinquantaine d’années.
Le genre de patron solide, soigné, avec des cheveux poivre et sel impeccablement coiffés et un regard qui scrutait tout avec attention.
Il releva la tête en m’apercevant et son sourire poli trahit une lueur d’intérêt un peu plus appuyée.
Je n’étais pas son client habituel : trop ronde, trop pulpeuse, trop outrageusement féminine pour cette boutique snob.
Mais il s’approcha avec professionnalisme.
— « Bonjour madame. Que puis-je faire pour vous ? »
Sa voix grave résonna agréablement.
Je désignai les deux paires en vitrine.
— « J’aimerais essayer celles-ci, s’il vous plaît. »
Il hocha la tête et s’empressa d’aller chercher les modèles dans ma pointure.
Je pris place sur un fauteuil en cuir crème, croisant les jambes avec lenteur pour laisser glisser un peu ma jupe et dévoiler le haut satiné de mes bas.
Je vis bien son regard accroché brièvement à cette vue interdite.
Quand il revint, légèrement essoufflé, je lui tendis mon pied avec un sourire innocent.
Sans hésiter, il s’agenouilla devant moi pour m’enfiler la première chaussure.
Ses doigts calleux frôlèrent mes chevilles, remontant imperceptiblement sur ma jambe, sous prétexte d’ajuster la lanière.
Un frisson me parcourut.
Je ne bougeai pas.
J’écartai légèrement les genoux, par inadvertance, laissant ma jupe remonter d’un cran supplémentaire.
Son regard s’assombrit légèrement.
Il attacha la chaussure lentement, comme s’il savourait chaque seconde de cette proximité.
Puis il murmura, d’une voix plus rauque :
— « C’est… très flatteur sur vous. »
Un silence lourd s’installa.
Je répondis d’une voix douce, presque provocante :
— « Peut-être ai-je besoin d’un… deuxième avis ? »
Il me regarda droit dans les yeux, un instant suspendu.
Puis, sans demander davantage, ses mains glissèrent un peu plus haut sur mes mollets, caressant doucement la peau satinée sous le bas.
Je ne protestai pas.
J’écartai encore davantage mes jambes, lui offrant une vue sans ambiguïté sur ma culotte fine, tendue sur mes lèvres épaisses.
Il posa ses grandes mains sur mes genoux et, sans un mot, me força doucement à ouvrir plus largement.
Je sentis l’air frais de la boutique effleurer ma chatte déjà mouillée.
— « Vous êtes… parfaite. » grogna-t-il
Son regard brillait d’une lueur fiévreuse, presque démente, lorsqu’il aperçut mes pieds chaussés dans les escarpins vernis.
Il se releva précipitamment, tourna la clé dans la serrure d’un geste sec, et baissa la lumière de la boutique, n’allumant qu’une petite lampe discrète près de nous.
L’ambiance devint plus intime, plus dangereuse.
Il se posta à mes pieds, s’agenouillant humblement devant moi comme un chien obéissant.
Ses yeux ne me regardaient même plus dans les yeux.
Ils étaient fixés, hypnotisés, sur mes chaussures, sur mes pieds cambrés dans les bas noirs.
Il murmura d’une voix tremblante :
— « Mon Dieu… Vous êtes… divine… »
Je souris, satisfaite de son état.
Je croisai lentement les jambes, faisant crisser le nylon contre lui, le narguant.
Je le sentis frémir.
Alors, délicatement, il posa ses grandes mains sur mes mollets, caressant la matière tendue du bas.
Ses doigts remontaient avec adoration, frôlant la couture jusqu’à mon genou, puis redescendaient, comme s’il effleurait une icône sacrée.
Puis, dans un geste presque révérencieux, il ôta l’escarpin de mon pied gauche.
Il laissa échapper un soupir rauque en découvrant mes orteils gainés de nylon fin, vernis d’un rouge éclatant visible sous la transparence.
Avec une infinie lenteur, il porta mon pied à ses lèvres et commença à sucer mes orteils à travers le bas, glissant sa langue avec une frénésie honteuse contre le tissu tendu.
Je laissai échapper un petit rire cruel :
— « Mmmh… Ça te plaît, hein, sale petit fétichiste ? »
Il gémit contre mon pied, hochant la tête sans oser parler.
Je bougeai mes orteils contre sa bouche affamée, sentant son excitation monter.
Il tira doucement sur le bas avec les dents, dévoilant petit à petit mes orteils nus, tremblants de plaisir sous ses attentions.
Puis, sans attendre, il entreprit de les lécher un par un, introduisant mes orteils dans sa bouche, les suçant avidement comme un affamé.
Je sentais sa langue chaude glisser entre eux, fouiller chaque repli avec dévotion.
Il n’était plus qu’un esclave léchant mes pieds, m’adorant comme une déesse de chair et de luxure.
Il prit mon autre pied, fit glisser lentement l’autre chaussure, recommença le même rituel : baisers, langue, succion, servilité.
Son sexe tendait dangereusement son pantalon.
Il n’avait pas encore osé y toucher.
Je souris, cruelle.
Il n’osait pas, sans mon ordre.
Je ramenai mes deux pieds contre son visage, l’écrasant doucement entre mes semelles puis entre mes orteils.
— « Humilie-toi encore… Tu n’es qu’un jouet à mes pieds… »
Il grogna d’extase, me léchant plus férocement, aspirant mes orteils comme des bonbons sucrés.
Son souffle devenait erratique, incontrôlable.
A genoux devant moi, il était à bout.
La sueur perlait sur son front, et son regard, embué de désir, ne quittait pas mes pieds.
Alors, comme mû par une pulsion irrépressible, il glissa ses mains tremblantes à sa ceinture et fit tomber son pantalon et son caleçon d’un seul geste maladroit.
Je laissai échapper un petit rire méprisant.
Là, tendue pitoyablement entre ses cuisses, se dressait une bite minuscule, ridicule.
Raide certes, mais pathétique.
— « Oh putain… c’est ça ton engin ? », lançai-je d’une voix moqueuse.
Il baissa la tête, honteux, son visage rougissant jusqu’aux oreilles.
Je tendis mon pied droit et, sans douceur, je vins frapper légèrement plusieurs fois sa verge dressée du bout de mes orteils, la faisant tressauter lamentablement.
— « Une bite pareille… Même mes orteils sont plus gros que ta queue, pauvre con ! »
Je lui mis un léger coup de pied sur ses testicules pendants. Il gémit, les yeux révulsés sous l’humiliation et. La douleur.
Je ne lui laissai pas le choix.
Plaquant mes deux pieds contre son sexe tendu, je commençai à le branler lentement, frottant la pointe de sa queue contre la plante de mes pieds, la serrant entre mes orteils, jouant avec ses couilles comme pour le broyées.
— « Regarde-moi pendant que je t’écrase les burnes. » lui ordonnai-je.
Il obéit, haletant, les yeux noyés de honte et d’extase.
Je sentais son gland ruisseler déjà de liquide pré-séminal, dégoulinant contre ma peau.
Sentant qu’il était sur le point de craquer, je m’arrêtai brusquement.
Il poussa un gémissement plaintif.
Je retirai mes pieds lentement.
— « Pas si vite, minus. »
Je me relevai, rajustant ma jupe, le dominant de toute ma hauteur.
Je fis lentement glisser ma culotte, la laissant tomber au sol entre nous.
Puis je saisis ses boules en serrant la main, d’un ton ferme, sans appel :
— « Maintenant, tu me baises. Là. Debout. »
Il hoqueta de surprise, cligna des yeux, n’y croyant pas.
— « Mais écoute-moi bien, connard : si tu jouis DANS moi la moindre goutte… je t’éclate ta putain de gueule contre ton propre comptoir. Pigé ? »
Il hocha la tête, terrifié et excité à la fois.
Ses mains hésitantes agrippèrent mes hanches larges.
Je me penchai contre le fauteuil, cambrant mes grosses fesses devant lui, écartant juste assez mes jambes pour l’inviter.
Il approcha sa minuscule bite tremblante de ma chatte ruisselante.
Je sentis à peine la pénétration tant il était insignifiant, mais la sensation de son abandon, de son obéissance, me fit bander le clitoris de fierté.
Je le sentais trembler, geindre, incapable de se contrôler. Son asticot gesticulait en moi, cela n’était pas indiffèrent. Ma chatte mouillait et je feignait le désintérêt.
Je me retournai légèrement, plantant mon regard dur dans le sien.
— « T’as intérêt à ne pas vider tes couilles, petite merde. »
Il enfonça ses ongles dans ma peau, haletant, s’agitant,comme un lapin, se battant pour ne pas éjaculer trop vite.
Je sentis qu’il luttait de toutes ses forces pour ne pas exploser en moi.
Son souffle était court, son corps tremblait, sa petite bite ridicule vibrait au creux de mes lèvres humides.
Je souris avec cruauté.
— « Retire-toi, larbin. Maintenant. », ordonnai-je sèchement.
Aussitôt, il obéit, sa queue dégoulinante de ma cyprine glissant hors de moi dans un bruit mouillé et pathétique.
Je me retournai lentement, dominant de toute ma hauteur sa silhouette, pitoyable.
Je tendis mon pied vers lui, appuyant mes orteils contre son gland congestionné.
Il gémit, son corps se contractant sous la frustration.
— « Tu vas te branler sur mes pieds, sale merde. Et tu vas tout lécher comme un bon chien. »
Je pressai un peu plus fort, pinçant sa queue entre mon gros orteil et mon deuxième orteil, la masturbant avec un mépris affiché.
Il ferma les yeux, hoqueta, et sans même pouvoir lutter, il éjacula violemment.
De grosses giclées épaisses et abondantes jaillirent de son sexe minable, éclaboussant mes mollets mes orteils, la plante de mes pieds.
Je le laissai jouir jusqu’à la dernière goutte, mes pieds souillés de son foutre.
Puis, d’un ton glacial :
— « Maintenant, lèche. Chaque centimètre. »
Il se jeta presque au sol, rampant à mes pieds, sa langue fébrile léchant le sperme répandu sur mes bas, glissant entre mes orteils avec une adoration abjecte.
Il suçait mes orteils couverts de foutre, nettoyait mes pieds comme s’il buvait un nectar sacré.
Je l’observai avec un sourire cruel, le dominant complètement. Je m’avouai que j aurai aimé goutter son sperme.
— « Voilà… À ta place, sous mes pieds, comme il se doit. »
Il gémissait contre ma peau, incapable de cacher son plaisir même dans l’humiliation.
Alors qu’il finissait d’astiquer mes pieds, la langue avide et sale, je me redressai, remettant ma jupe bien en place avec un geste d’une lenteur exagérée.
Je le regardai de haut, croisant les bras sous ma poitrine opulente.
— « Maintenant, tu vas me rhabiller correctement. Comme une bonne petite esclave. », lui lançai-je, glaciale.
Le regard embué, il se redressa maladroitement, remonta son pantalon sans même refermer sa braguette, puis alla chercher, à quatre pattes presque, une paire de bas de sa boutique.
Il choisit des bas sublimes, d’un nylon fin, avec une couture arrière, parfaits pour gainer mes jambes épaisses avec une touche délicieusement rétro et vulgaire.
Tremblant d’excitation, il déroula le premier bas sur mes orteils encore humides, prenant soin de caresser mes chevilles, mes mollets, remontant lentement sur ma cuisse.
Je le laissai faire, royale.
Il prit le second bas, répétant le rituel avec une dévotion quasi-religieuse.
Chaque geste était maladroit, fébrile, comme s’il avait peur de déchirer le précieux tissu en effleurant ma peau.
Quand mes jambes furent entièrement gainées, je croisai à nouveau les jambes avec lenteur, le faisant presque baver devant moi.
Sans un mot, il alla chercher les deux paires de chaussures que j’étais venue essayer au départ.
Avec un soin extrême, il me chaussa, refermant les brides autour de mes chevilles dodues.
Puis, timidement, il murmura en relevant les yeux :
— « Je… Je vous les offre… Ces chaussures… Je vous en prie… »
Un sourire de triomphe étira mes lèvres.
Je le toisant comme on regarde un insecte.
— « Évidemment que tu me les offres, pauvre tâche. Tu devrais même me supplier de les accepter. »
Il acquiesça, baissant la tête, visiblement prêt à tout pour que je daigne les garder.
Avant que je franchisse la porte, superbe dans mon tailleur, mes bas neufs et mes escarpins brillants, il osa demander, d’une voix toute petite :
— « Est-ce que… est-ce que vous reviendrez, Madame… ? »
Je souris cruellement, me penchant juste assez pour que mon décolleté déborde outrageusement devant lui.
— « Peut-être, si tu es bien sage… et si tu continues à bien nettoyer mes pieds. »
Puis, sans un regard de plus, j’ouvris la porte et sortis dans la rue, triomphante, laissant derrière moi ce pauvre larbin humilié, le sexe toujours dur, l’âme complètement écrasée sous mon talon.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hummm magnifique j'adorerais être votre jouet
magnifique comme d'habiture ,on se régale

