Soirée antillaise

Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Soirée antillaise
Élodie, 38 ans, venait de tourner une page difficile de sa vie. Tout juste sortie d'un divorce qui l'avait laissée épuisée émotionnellement, elle se sentait prête à renouer avec la joie de vivre. C'est alors que son amie Clara lui proposa une soirée antillaise, une invitation à s'évader, à danser et à oublier.
La soirée était en pleine effervescence quand elles arrivèrent. Les rythmes envoûtants des tambours et des mélodies antillaises emplissaient l'air, invitant chacun à se laisser porter par la musique. Élodie, avec sa longue chevelure châtain qui ondulait à chacun de ses mouvements, se fondit dans la danse. Ses hanches dessinaient des courbes sensuelles, attirant les regards admiratifs autour d'elle.
Quelques punchs plus tard, Élodie se sentait plus légère, plus libre. Les mains baladeuses des danseurs autour d'elle ajoutaient une touche de frisson à cette soirée déjà enivrante. C'est alors qu'elle croisa le regard d'un jeune Antillais, un homme de 24 ans aux yeux brillants comme des braises. Il s'approcha d'elle:
"Tu danses divinement," lui murmura-t-il, sa voix chaude et envoûtante.
"Merci," répondit Élodie, un peu surprise mais flattée. "Je me laisse juste porter par la musique."
"Moi, c'est César," dit-il en lui tendant la main. "Et si on dansait ensemble ?"
Élodie sourit et accepta sa main. "Avec plaisir, César."
Leurs corps se frôlaient, s'effleuraient, au rythme de la musique. Chaque mouvement était une invitation, une promesse. Les mains du jeune homme glissaient le long de son dos, attisant un feu qu'Élodie croyait éteint. Leurs regards se croisèrent, chargés de désir et de complicité.
"Tu es incroyable," murmura César à son oreille, sa voix à peine audible au-dessus de la musique.
"Toi aussi," répondit Élodie, se laissant aller contre lui.
Leurs regards se croisèrent, chargés de désir et de complicité. Sans un mot, César lui prit la main et l'invita à le suivre.
"On va où ?" demanda Élodie, un sourire espiègle aux lèvres.
"Chez moi," répondit César. "Si tu veux."
Élodie hésita un instant avant de hocher la tête. "Oui, je veux."
Elle entra dans l’appartement, le souffle court, les yeux brûlants de désir. À peine la porte refermée, leurs lèvres se trouvèrent avec une urgence animale. Ils s’embrassèrent avec fougue, leurs corps déjà aimantés par une tension électrique.
Sans un mot, il la guida jusqu’à la chambre. Les vêtements tombèrent au sol, témoins silencieux de leur impatience. Elle s’agenouilla devant lui avec lenteur, les yeux levés vers lui, pleine de curiosité et d’excitation. D’un geste assuré, elle fit glisser son pantalon, puis son boxer.
Ce qu’elle découvrit la laissa un instant muette une bite longue, épaisse : c’était la première fois qu’elle voyait un sexe de black, tendu, impressionnant. Son souffle s’accéléra. Elle le tenait doucement entre ses doigts, intriguée par sa chaleur, sa texture, sa puissance. Son souffle effleurait sa peau tendue, éveillant des frissons. Lentement, elle fit courir le bout de sa langue le long de sa longueur, goûtant d’abord du bout des lèvres.
Un goût inattendu lui parvint. Épicé. Intense. Un mélange presque envoûtant, comme si sa peau avait gardé le secret d’un pays chaud, d’un corps vibrant de force et d’arômes. Elle ferma les yeux un instant, savourant cette saveur singulière, presque musquée, relevée d’une pointe poivrée. Elle n’avait jamais goûté quelque chose d’aussi… vivant.
Elle recommença, plus lentement, explorant chaque veine, chaque courbe, le goût des épices dansant sur sa langue. Elle le prit plus profondément en bouche, guidée par l’odeur, le goût, le feu qui naissait en elle. Sa langue tournoyait, caressait, apprenait la forme de ce sexe tendu qu’elle voulait découvrir jusqu’à la dernière goutte. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas sucé un homme de cette façon.
Ses gémissements à lui la guidaient, et elle s’appliquait, s’abandonnant complètement à l’instant, aux sensations, à ce mélange de désir et de mystère qui la consumait lentement de l’intérieur.
Puis, elle se laissa doucement basculer sur le lit, les draps frais contrastant avec la chaleur qui irradiait de son corps. Il la rejoignit, ses gestes empreints d’une tendresse maîtrisée. D’un mouvement fluide, il ouvrit un préservatif, le déroula lentement sur sa verge encore luisante de sa salive. Elle le regardait faire, hypnotisée par ce mélange de contrôle et de désir brut.
Il se plaça entre ses cuisses qu’elle écarta sans hésiter, offerte, sa chatte impatiente. Il se pencha pour l’embrasser, leurs bouches se retrouvèrent avec une douceur fiévreuse pendant que ses hanches s’alignaient aux siennes.
Puis, lentement, il la pénétra.
Elle émit un souffle tremblant, mi-soupir mi-gémissement. La chair de son vagin s’ouvrait autour de son pénis, accueillant cette intrusion profonde, chaude, savamment dosée. Elle le sentait la remplir, centimètre après centimètre, et chaque avancée éveillait en elle une vague plus forte que la précédente. Il était large, dur, et elle sentit sa chatte se dilater autour de lui, délicieux mélange de tension et d’abandon.
Il entama de lents va-et-vient, leur rythme naturel trouvant sa cadence dans le langage muet de leurs souffles et de leurs frissons. À chaque poussée, elle le sentait toucher des zones plus sensibles, comme s’il connaissait déjà son corps mieux qu’elle-même. La sensation de sa peau contre la sienne, de cette pression brûlante en elle, lui faisait perdre la notion du temps.
Elle l’enlaça de ses jambes, l’encourageant à aller plus profond, plus fort. Le claquement doux de leurs corps, les gémissements étouffés, le parfum des épices encore sur ses lèvres… tout se mêlait dans une symphonie charnelle qui n’appartenait qu’à eux.
Elle ouvrit les yeux, haletante, enroulée autour de lui, le visage rougi par le plaisir et la chaleur. Sa voix, rauque et vibrante, fendit l’air entre deux gémissements :
— Plus fort… je te veux plus fort…
Il la regarda, un éclat sombre dans les yeux. Sans un mot, il se redressa, se retira un instant, puis la fit pivoter. Elle comprit aussitôt. Elle s’allongea sur le dos, les jambes relevées contre sa poitrine, ses cuisses bien ouvertes, sa chatte baveuse bien offerte , tandis qu’il s’agenouillait entre elles.
La position de l’enclume. Dominante. Profonde.
Il la pénétra à nouveau d’un seul coup de reins, plus fort, plus ancré. Elle cria presque, surprise par la profondeur, par la puissance de cette nouvelle pénétration. Il la tenait fermement par les hanches, puis ses mains glissèrent vers sa poitrine.
Ses seins, pleins, rebondissaient à chaque va-et-vient. Il les prit à pleines mains, les pétrissant avec gourmandise, ses pouces jouant avec ses tétons durcis. Elle se cambra sous lui, son plaisir attisé par cette prise complète de son corps.
Chaque poussée frappait plus loin, plus fort contre son utérus, la faisait vibrer au plus profond. Elle le sentait partout — en elle, sur elle, autour d’elle. Ses gémissements montaient en intensité, rythmés par le bruit charnel de leurs corps qui se heurtaient avec frénésie.
Il la regardait se perdre, ses mains toujours pleines de sa chair souple, ses reins claquant contre ses fesses, et chaque coup semblait plus précis, plus impérieux. Elle était à lui, totalement, et elle adorait cette sensation d’être prise, possédée avec une telle intensité. Elle se sentait femme et désirée.
Elle sentait la vague monter, irrésistible, brûlante, impossible à contenir. Son corps se tendit sous lui, ses ongles s’accrochèrent aux draps. Sa voix se brisa dans un cri étouffé quand l’orgasme la traversa de part en part. Elle jouit violemment, les muscles de son ventre et de son sexe se contractant autour de sa queue dans des spasmes délicieux.
Il la regarda jouir avec une fierté sombre et un désir renouvelé. Loin de ralentir, cette explosion le rendit plus dur, plus avide. Il se retira lentement, attrapa fermement ses hanches et, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, la retourna sur le ventre.
— Mets-toi à quatre, salope.
Sa voix était grave, tendue, rauque de domination.
Elle obéit sans discuter, offerte à lui, le cul tendu, les cuisses encore tremblantes. Il la reprit en levrette, d’un coup sec, brutal, qui la fit gémir de surprise et de plaisir mêlés. Sa main vint claquer contre sa fesse, avant de se refermer sur ses hanches pour mieux l’ancrer à lui.
Il se pencha, sa bouche frôlant son oreille :
— Tu aimes ça, hein ? Tu aimes ça les blacks, salope ?
Elle tourna la tête, haletante, un sourire effronté au coin des lèvres malgré l’intensité de la pénétration :
— Oui… j’adore ça… j’en veux encore… prends-moi comme une vraie salope.
Ces mots le rendirent fou. Il accéléra le rythme, ses coups de reins devenant plus profonds, plus violents, tandis que son autre main revenait malaxer sa croupe, puis glisser entre ses jambes pour la faire jouir encore.
Dans cette position, il avait une vue parfaite sur elle : son dos cambré, sa nuque offerte, et surtout… ce cul. Rond, large, ferme et incroyablement excitant. Il le regardait se balancer à chaque coup de rein, hypnotisé par le contraste entre sa peau claire et la sienne, plus sombre, qui claquait contre elle avec force.
Il grogna de plaisir, l’empoignant un peu plus fort, ses doigts marquant sa chair. Puis il leva la main et lui donna une première claque, sèche, sonore.
— T’aimes ça ?
Elle gémit, un mélange de surprise et de pur désir. La brûlure sur sa fesse l’enflamma encore plus.
— Oui… encore…
Il lui donna une autre fessée, puis une troisième, plus forte. Sa peau rougissait sous les coups, mais elle en redemandait, poussant ses hanches contre lui comme pour l’inciter à frapper plus fort, à la prendre plus profondément.
Il alternait les va-et-vient puissants avec les claques sur ses fesses rebondies, regardant leur chair vibrer à chaque impact. Elle haletait, mouillée, débridée, ses gémissements se mêlant aux claquements de leur chair. Il lui enfonçait sa queue dure jusqu’à la garde, et chaque fois, elle criait un peu plus fort, son plaisir gonflant à mesure qu’il devenait plus brutal, plus dominateur.
— Regarde-toi… à quatre pattes, ce cul bien ouvert… T’aimes ça te faire baiser par un noir, hein ?
— Oui… j’adore ça… continue, défonce-moi…
Ce jeu d’humiliation douce, mêlé à la tension animale entre eux, les poussait tous deux au bord de l’explosion.
Son corps tremblait à nouveau, son souffle saccadé. Il la pilonnait avec force, agrippé à ses hanches, ses coups de reins de plus en plus profonds, plus rapides. Le plaisir en elle devenait incontrôlable, ravageur. Ses doigts s’agrippaient aux draps, son visage enfoui dans l’oreiller.
— Je vais jouir… oh putain je jouis !
Et elle explosa. Son corps se cambra violemment, secoué par une décharge brûlante. Ses cris se perdirent dans les draps, ses muscles se contractant autour de lui avec une force telle qu’il faillit jouir sur le coup.
Serré dans cette chaleur palpitante, il sentit sa propre jouissance monter. Il se retira à temps, haletant, fébrile. D’un geste rapide, il arracha la capote, laissa son plaisir le submerger, et en quelques secondes, il jouit à son tour, dans un râle profond.
De longs jets chauds éclaboussèrent ses fesses, puis glissèrent jusqu’à la naissance de son anus. Le contraste entre le sperme épais et la peau rougie par les fessées le fit frissonner de satisfaction. Il le regarda couler lentement, s’étaler sur ses courbes encore tremblantes, comme une signature marquante de cette étreinte sauvage.
Elle tourna la tête, encore haletantes, satisfaite, soumise et conquise à la fois.
Elle sentit les derniers frissons de plaisir se dissiper doucement dans son ventre. Quand elle se retourna, il était encore là, debout, haletant, son sexe dur légèrement retombé, encore luisant du plaisir qu’ils venaient de partager.
Sans un mot, elle se redressa, se pencha vers lui, et le prit tendrement en bouche. Sa langue glissa doucement autour de lui, recueillant les dernières perles de plaisir, nettoyant avec une lenteur presque cérémonielle. Il la regardait, les paupières mi-closes, les muscles encore tendus de désir résiduel, caressant ses cheveux en silence.
Elle le fit doucement, avec soin, comme si elle voulait prolonger le lien, honorer ce qu’ils venaient de vivre. Puis elle releva la tête, un sourire doux au coin des lèvres.
— Je voulais pas qu’il reste une goutte ailleurs que sur moi…
Il se pencha, l’aida à se relever, puis la prit contre lui dans une étreinte chaude, protectrice. Ils s’allongèrent sur le lit, s’enroulant l’un autour de l’autre sous un drap léger. Son torse contre sa joue, sa main dans ses cheveux, il la caressait doucement du bout des doigts.
— T’as été parfaite…, souffla-t-il.
Elle leva les yeux vers lui, les siens brillants, apaisés.
— Toi aussi… c’était intense… mais là, dans tes bras… c’est encore mieux.
Il l’embrassa sur le front, puis sur le nez, doucement, comme pour calmer leur feu et le transformer en braise chaleureuse. Elle se serra un peu plus contre lui, glissant une jambe sur la sienne.
— Tu sais… j’ai jamais ressenti ça avec quelqu’un avant, murmura-t-elle.
— C’était pas juste du sexe… c’était… nous.
Elle ferma les yeux, un sourire paisible sur les lèvres, son souffle se calant sur le rythme du sien. Sa main dans son dos faisait de petits cercles, comme s’il voulait la garder ancrée dans cet instant.
Et lentement, bercés par leur chaleur, leurs cœurs encore connectés, ils s’endormirent l’un contre l’autre. Deux corps apaisés, deux âmes qui, pour un soir ou peut-être plus, s’étaient trouvées.
La soirée était en pleine effervescence quand elles arrivèrent. Les rythmes envoûtants des tambours et des mélodies antillaises emplissaient l'air, invitant chacun à se laisser porter par la musique. Élodie, avec sa longue chevelure châtain qui ondulait à chacun de ses mouvements, se fondit dans la danse. Ses hanches dessinaient des courbes sensuelles, attirant les regards admiratifs autour d'elle.
Quelques punchs plus tard, Élodie se sentait plus légère, plus libre. Les mains baladeuses des danseurs autour d'elle ajoutaient une touche de frisson à cette soirée déjà enivrante. C'est alors qu'elle croisa le regard d'un jeune Antillais, un homme de 24 ans aux yeux brillants comme des braises. Il s'approcha d'elle:
"Tu danses divinement," lui murmura-t-il, sa voix chaude et envoûtante.
"Merci," répondit Élodie, un peu surprise mais flattée. "Je me laisse juste porter par la musique."
"Moi, c'est César," dit-il en lui tendant la main. "Et si on dansait ensemble ?"
Élodie sourit et accepta sa main. "Avec plaisir, César."
Leurs corps se frôlaient, s'effleuraient, au rythme de la musique. Chaque mouvement était une invitation, une promesse. Les mains du jeune homme glissaient le long de son dos, attisant un feu qu'Élodie croyait éteint. Leurs regards se croisèrent, chargés de désir et de complicité.
"Tu es incroyable," murmura César à son oreille, sa voix à peine audible au-dessus de la musique.
"Toi aussi," répondit Élodie, se laissant aller contre lui.
Leurs regards se croisèrent, chargés de désir et de complicité. Sans un mot, César lui prit la main et l'invita à le suivre.
"On va où ?" demanda Élodie, un sourire espiègle aux lèvres.
"Chez moi," répondit César. "Si tu veux."
Élodie hésita un instant avant de hocher la tête. "Oui, je veux."
Elle entra dans l’appartement, le souffle court, les yeux brûlants de désir. À peine la porte refermée, leurs lèvres se trouvèrent avec une urgence animale. Ils s’embrassèrent avec fougue, leurs corps déjà aimantés par une tension électrique.
Sans un mot, il la guida jusqu’à la chambre. Les vêtements tombèrent au sol, témoins silencieux de leur impatience. Elle s’agenouilla devant lui avec lenteur, les yeux levés vers lui, pleine de curiosité et d’excitation. D’un geste assuré, elle fit glisser son pantalon, puis son boxer.
Ce qu’elle découvrit la laissa un instant muette une bite longue, épaisse : c’était la première fois qu’elle voyait un sexe de black, tendu, impressionnant. Son souffle s’accéléra. Elle le tenait doucement entre ses doigts, intriguée par sa chaleur, sa texture, sa puissance. Son souffle effleurait sa peau tendue, éveillant des frissons. Lentement, elle fit courir le bout de sa langue le long de sa longueur, goûtant d’abord du bout des lèvres.
Un goût inattendu lui parvint. Épicé. Intense. Un mélange presque envoûtant, comme si sa peau avait gardé le secret d’un pays chaud, d’un corps vibrant de force et d’arômes. Elle ferma les yeux un instant, savourant cette saveur singulière, presque musquée, relevée d’une pointe poivrée. Elle n’avait jamais goûté quelque chose d’aussi… vivant.
Elle recommença, plus lentement, explorant chaque veine, chaque courbe, le goût des épices dansant sur sa langue. Elle le prit plus profondément en bouche, guidée par l’odeur, le goût, le feu qui naissait en elle. Sa langue tournoyait, caressait, apprenait la forme de ce sexe tendu qu’elle voulait découvrir jusqu’à la dernière goutte. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas sucé un homme de cette façon.
Ses gémissements à lui la guidaient, et elle s’appliquait, s’abandonnant complètement à l’instant, aux sensations, à ce mélange de désir et de mystère qui la consumait lentement de l’intérieur.
Puis, elle se laissa doucement basculer sur le lit, les draps frais contrastant avec la chaleur qui irradiait de son corps. Il la rejoignit, ses gestes empreints d’une tendresse maîtrisée. D’un mouvement fluide, il ouvrit un préservatif, le déroula lentement sur sa verge encore luisante de sa salive. Elle le regardait faire, hypnotisée par ce mélange de contrôle et de désir brut.
Il se plaça entre ses cuisses qu’elle écarta sans hésiter, offerte, sa chatte impatiente. Il se pencha pour l’embrasser, leurs bouches se retrouvèrent avec une douceur fiévreuse pendant que ses hanches s’alignaient aux siennes.
Puis, lentement, il la pénétra.
Elle émit un souffle tremblant, mi-soupir mi-gémissement. La chair de son vagin s’ouvrait autour de son pénis, accueillant cette intrusion profonde, chaude, savamment dosée. Elle le sentait la remplir, centimètre après centimètre, et chaque avancée éveillait en elle une vague plus forte que la précédente. Il était large, dur, et elle sentit sa chatte se dilater autour de lui, délicieux mélange de tension et d’abandon.
Il entama de lents va-et-vient, leur rythme naturel trouvant sa cadence dans le langage muet de leurs souffles et de leurs frissons. À chaque poussée, elle le sentait toucher des zones plus sensibles, comme s’il connaissait déjà son corps mieux qu’elle-même. La sensation de sa peau contre la sienne, de cette pression brûlante en elle, lui faisait perdre la notion du temps.
Elle l’enlaça de ses jambes, l’encourageant à aller plus profond, plus fort. Le claquement doux de leurs corps, les gémissements étouffés, le parfum des épices encore sur ses lèvres… tout se mêlait dans une symphonie charnelle qui n’appartenait qu’à eux.
Elle ouvrit les yeux, haletante, enroulée autour de lui, le visage rougi par le plaisir et la chaleur. Sa voix, rauque et vibrante, fendit l’air entre deux gémissements :
— Plus fort… je te veux plus fort…
Il la regarda, un éclat sombre dans les yeux. Sans un mot, il se redressa, se retira un instant, puis la fit pivoter. Elle comprit aussitôt. Elle s’allongea sur le dos, les jambes relevées contre sa poitrine, ses cuisses bien ouvertes, sa chatte baveuse bien offerte , tandis qu’il s’agenouillait entre elles.
La position de l’enclume. Dominante. Profonde.
Il la pénétra à nouveau d’un seul coup de reins, plus fort, plus ancré. Elle cria presque, surprise par la profondeur, par la puissance de cette nouvelle pénétration. Il la tenait fermement par les hanches, puis ses mains glissèrent vers sa poitrine.
Ses seins, pleins, rebondissaient à chaque va-et-vient. Il les prit à pleines mains, les pétrissant avec gourmandise, ses pouces jouant avec ses tétons durcis. Elle se cambra sous lui, son plaisir attisé par cette prise complète de son corps.
Chaque poussée frappait plus loin, plus fort contre son utérus, la faisait vibrer au plus profond. Elle le sentait partout — en elle, sur elle, autour d’elle. Ses gémissements montaient en intensité, rythmés par le bruit charnel de leurs corps qui se heurtaient avec frénésie.
Il la regardait se perdre, ses mains toujours pleines de sa chair souple, ses reins claquant contre ses fesses, et chaque coup semblait plus précis, plus impérieux. Elle était à lui, totalement, et elle adorait cette sensation d’être prise, possédée avec une telle intensité. Elle se sentait femme et désirée.
Elle sentait la vague monter, irrésistible, brûlante, impossible à contenir. Son corps se tendit sous lui, ses ongles s’accrochèrent aux draps. Sa voix se brisa dans un cri étouffé quand l’orgasme la traversa de part en part. Elle jouit violemment, les muscles de son ventre et de son sexe se contractant autour de sa queue dans des spasmes délicieux.
Il la regarda jouir avec une fierté sombre et un désir renouvelé. Loin de ralentir, cette explosion le rendit plus dur, plus avide. Il se retira lentement, attrapa fermement ses hanches et, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, la retourna sur le ventre.
— Mets-toi à quatre, salope.
Sa voix était grave, tendue, rauque de domination.
Elle obéit sans discuter, offerte à lui, le cul tendu, les cuisses encore tremblantes. Il la reprit en levrette, d’un coup sec, brutal, qui la fit gémir de surprise et de plaisir mêlés. Sa main vint claquer contre sa fesse, avant de se refermer sur ses hanches pour mieux l’ancrer à lui.
Il se pencha, sa bouche frôlant son oreille :
— Tu aimes ça, hein ? Tu aimes ça les blacks, salope ?
Elle tourna la tête, haletante, un sourire effronté au coin des lèvres malgré l’intensité de la pénétration :
— Oui… j’adore ça… j’en veux encore… prends-moi comme une vraie salope.
Ces mots le rendirent fou. Il accéléra le rythme, ses coups de reins devenant plus profonds, plus violents, tandis que son autre main revenait malaxer sa croupe, puis glisser entre ses jambes pour la faire jouir encore.
Dans cette position, il avait une vue parfaite sur elle : son dos cambré, sa nuque offerte, et surtout… ce cul. Rond, large, ferme et incroyablement excitant. Il le regardait se balancer à chaque coup de rein, hypnotisé par le contraste entre sa peau claire et la sienne, plus sombre, qui claquait contre elle avec force.
Il grogna de plaisir, l’empoignant un peu plus fort, ses doigts marquant sa chair. Puis il leva la main et lui donna une première claque, sèche, sonore.
— T’aimes ça ?
Elle gémit, un mélange de surprise et de pur désir. La brûlure sur sa fesse l’enflamma encore plus.
— Oui… encore…
Il lui donna une autre fessée, puis une troisième, plus forte. Sa peau rougissait sous les coups, mais elle en redemandait, poussant ses hanches contre lui comme pour l’inciter à frapper plus fort, à la prendre plus profondément.
Il alternait les va-et-vient puissants avec les claques sur ses fesses rebondies, regardant leur chair vibrer à chaque impact. Elle haletait, mouillée, débridée, ses gémissements se mêlant aux claquements de leur chair. Il lui enfonçait sa queue dure jusqu’à la garde, et chaque fois, elle criait un peu plus fort, son plaisir gonflant à mesure qu’il devenait plus brutal, plus dominateur.
— Regarde-toi… à quatre pattes, ce cul bien ouvert… T’aimes ça te faire baiser par un noir, hein ?
— Oui… j’adore ça… continue, défonce-moi…
Ce jeu d’humiliation douce, mêlé à la tension animale entre eux, les poussait tous deux au bord de l’explosion.
Son corps tremblait à nouveau, son souffle saccadé. Il la pilonnait avec force, agrippé à ses hanches, ses coups de reins de plus en plus profonds, plus rapides. Le plaisir en elle devenait incontrôlable, ravageur. Ses doigts s’agrippaient aux draps, son visage enfoui dans l’oreiller.
— Je vais jouir… oh putain je jouis !
Et elle explosa. Son corps se cambra violemment, secoué par une décharge brûlante. Ses cris se perdirent dans les draps, ses muscles se contractant autour de lui avec une force telle qu’il faillit jouir sur le coup.
Serré dans cette chaleur palpitante, il sentit sa propre jouissance monter. Il se retira à temps, haletant, fébrile. D’un geste rapide, il arracha la capote, laissa son plaisir le submerger, et en quelques secondes, il jouit à son tour, dans un râle profond.
De longs jets chauds éclaboussèrent ses fesses, puis glissèrent jusqu’à la naissance de son anus. Le contraste entre le sperme épais et la peau rougie par les fessées le fit frissonner de satisfaction. Il le regarda couler lentement, s’étaler sur ses courbes encore tremblantes, comme une signature marquante de cette étreinte sauvage.
Elle tourna la tête, encore haletantes, satisfaite, soumise et conquise à la fois.
Elle sentit les derniers frissons de plaisir se dissiper doucement dans son ventre. Quand elle se retourna, il était encore là, debout, haletant, son sexe dur légèrement retombé, encore luisant du plaisir qu’ils venaient de partager.
Sans un mot, elle se redressa, se pencha vers lui, et le prit tendrement en bouche. Sa langue glissa doucement autour de lui, recueillant les dernières perles de plaisir, nettoyant avec une lenteur presque cérémonielle. Il la regardait, les paupières mi-closes, les muscles encore tendus de désir résiduel, caressant ses cheveux en silence.
Elle le fit doucement, avec soin, comme si elle voulait prolonger le lien, honorer ce qu’ils venaient de vivre. Puis elle releva la tête, un sourire doux au coin des lèvres.
— Je voulais pas qu’il reste une goutte ailleurs que sur moi…
Il se pencha, l’aida à se relever, puis la prit contre lui dans une étreinte chaude, protectrice. Ils s’allongèrent sur le lit, s’enroulant l’un autour de l’autre sous un drap léger. Son torse contre sa joue, sa main dans ses cheveux, il la caressait doucement du bout des doigts.
— T’as été parfaite…, souffla-t-il.
Elle leva les yeux vers lui, les siens brillants, apaisés.
— Toi aussi… c’était intense… mais là, dans tes bras… c’est encore mieux.
Il l’embrassa sur le front, puis sur le nez, doucement, comme pour calmer leur feu et le transformer en braise chaleureuse. Elle se serra un peu plus contre lui, glissant une jambe sur la sienne.
— Tu sais… j’ai jamais ressenti ça avec quelqu’un avant, murmura-t-elle.
— C’était pas juste du sexe… c’était… nous.
Elle ferma les yeux, un sourire paisible sur les lèvres, son souffle se calant sur le rythme du sien. Sa main dans son dos faisait de petits cercles, comme s’il voulait la garder ancrée dans cet instant.
Et lentement, bercés par leur chaleur, leurs cœurs encore connectés, ils s’endormirent l’un contre l’autre. Deux corps apaisés, deux âmes qui, pour un soir ou peut-être plus, s’étaient trouvées.
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