La grosse Monique s’envoie en l’air

- Par l'auteur HDS Momonique -
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Récit libertin : La grosse Monique s’envoie en l’air Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La grosse Monique s’envoie en l’air
Le ciel était pâle encore, juste avant le coucher du soleil. Ce moment suspendu, entre jour et nuit, où les couleurs s’étirent, où tout semble plus lent. Monique gara sa voiture sur le petit chemin de terre, là où il lui avait dit. À une centaine de mètres, elle le vit : Marc, debout près de la nacelle, concentré, les bras tendus vers le tissu encore flasque de l’enveloppe.

Il leva les yeux en l’apercevant et lui sourit. Ce sourire-là, elle le connaissait déjà. Il ne disait rien, mais il voulait tout.

Monique marcha lentement dans l’herbe haute, sa robe légère collant un peu à ses cuisses. Elle sentait encore, en elle, les traces de la dernière fois où il l’avait prise dans l’un de ces gîtes de campagne où ils se retrouvaient. Le souvenir de ses mains sur ses hanches, de sa bouche chaude sur ses seins, de son sexe enfoncé profond… tout ça flottait encore en elle.

Mais là, il y avait quelqu’un d’autre.

Une femme, plus petite, cheveux noués en queue basse, tournait autour du brûleur, vérifiant les attaches. Elle était méthodique. Discrète. Pas une expression. Marc fit un signe vers elle.

— Je te présente Claire, dit-il. Ma femme. Elle m’aide pour la mise en place. Et elle fera la récup’, après l’atterrissage.
— Enchantée, répondit Monique, presque trop polie.

Claire hocha la tête, sans plus. Ses yeux glissèrent sur Monique comme s’ils ne s’arrêtaient nulle part.

Il avait dit que Monique était une cliente. Une passionnée de montgolfière. Curieuse de voler pour la première fois.

Mais l’écho de leurs corps ensemble vibrait encore fort entre eux. Il avait posé sa main dans son dos dès qu’il avait pu, effleurant ses reins comme un code secret. Claire le vit. Elle ne dit rien.

Marc monta dans la nacelle, tendit une main vers Monique. Elle le rejoignit, le cœur battant. Le brûleur siffla, un jet de feu illumina le tissu, qui se mit à gonfler peu à peu. La toile prenait forme, majestueuse, colorée, comme une immense bête qui s’éveillait.

Le ballon se dressait maintenant, prêt à quitter le sol.

Claire s’approcha une dernière fois. Elle regarda son mari sans un mot, lui tendit un talkie-walkie.

— Je vous suis sur la route. Appelle quand t’as le visuel, dit-elle simplement.

Puis elle recula, croisa le regard de Monique. Il y avait quelque chose dans ses yeux — pas de colère. Pas même de jalousie. Plutôt… une acceptation froide. Ou un jeu qu’elle connaissait trop bien.

Marc appuya à nouveau sur le brûleur. La nacelle vibra doucement, les cordes se tendirent. Il lança un regard à Monique, cette lueur qu’elle connaissait bien.

— Prête pour le grand saut ?

Elle hocha la tête, un frisson dans le ventre.

Et le ballon quitta le sol, doucement. La terre s’éloignait. L’air devenait plus frais. Le silence du ciel les enveloppa. Les arbres devenaient de petites ombres vertes, les routes des rubans effacés. Là-haut, le monde semblait plus lent. Plus silencieux. Juste le souffle régulier du brûleur et le bruissement léger du vent contre l’enveloppe.

Monique s’appuya contre la nacelle, les mains posées sur le bord, le regard perdu à l’horizon. Le soleil tombait doucement, d’un orange cuivré qui faisait luire ses épaules. Marc s’approcha dans son dos. Il posa ses mains sur ses hanches, doucement, sans parler. Elle ne bougea pas. Elle accueillait déjà ce geste, cette chaleur, ce contact familier.

Il glissa son nez dans sa nuque, l’embrassa à peine, juste un souffle chaud contre sa peau. Elle pencha légèrement la tête, l’invitant, les yeux mi-clos. Là-haut, ils étaient seuls. Aucun témoin. Aucune attente. Juste eux deux et le silence du ciel.

Ses mains remontèrent lentement sur son ventre, ses doigts s’attardant sur la naissance de ses seins. Elle bascula son bassin en arrière, lentement, sentant son érection contre elle, déjà présente, déjà pressée. Elle sourit.

— Tu crois qu’elle nous voit, ta femme ? murmura-t-elle, la voix basse.

— Je m’en fous, souffla-t-il dans son cou. Ici, t’es à moi.

Elle se retourna lentement pour lui faire face, les yeux plantés dans les siens. Elle le fixa un instant, puis s’agenouilla, là, dans la nacelle. Le vent jouait avec ses cheveux. Le silence les enveloppait.

Elle défit son pantalon, sans hâte. Pas besoin de mots. Tout était déjà écrit dans leurs gestes.
Monique s’agenouilla dans la nacelle, son regard planté dans le sien, profond, affirmé. Le ballon glissait silencieusement au-dessus des bois sombres. Là-haut, dans cette capsule de rotin et d’air chaud, le temps était suspendu.

Elle descendit doucement son boxer, le tissu cédant sous ses doigts lents. Son sexe se libéra, tendu, gonflé de désir retenu. Elle posa ses mains autour, le tenant avec une attention presque dévotionnelle. Il était chaud, palpitant, vibrant d’attente.

Elle pencha la tête et fit courir sa langue lentement sur la longueur, depuis la base jusqu’au gland, comme si elle léchait une crème glacée. Elle ne se pressait pas. Elle le découvrait encore, même après plusieurs nuits partagées.

Il ferma les yeux, ses mains cherchant ses cheveux, ses épaules. Elle alternait, taquinait du bout de la langue, encerclait de ses lèvres, glissant sur lui avec une lenteur exquise. Il se tendait sous elle, chaque muscle de son ventre contracté, chaque souffle plus court.

Elle le prenait en bouche avec rythme, profondeur et tendresse, en jouant parfois juste avec le sommet, en le caressant de la paume, en s’arrêtant pour poser un baiser sur son bas-ventre. Son regard montait parfois vers lui, interrogatif, brûlant. Il ne disait rien — seul un gémissement rauque lui échappa.

— Tu vas me rendre fou…, murmura-t-il.

Elle sourit sans s’arrêter, absorbée par l’acte, entièrement donnée à lui. Le ballon poursuivait son chemin au-dessus des collines, solitaire dans le ciel doré. Ils étaient seuls. Hors du monde.

Et là, dans le creux d’un soir presque irréel, elle le conduisait lentement vers un plaisir intense — un plaisir que seule la hauteur, le secret, l’interdit rendaient aussi chargé.
Le silence au-dessus du monde avait quelque chose d’irréel. Monique, encore agenouillée, se redressa lentement. Le regard qu’elle échangea avec Marc était sans détour. Il ne restait plus d’ambiguïté, ni d’hésitation.

Il la saisit par la taille et la fit pivoter, doucement mais avec cette autorité contenue qu’elle connaissait bien. Elle se laissa faire, presque impatiente. D’un geste sûr, il la guida vers le bord de la nacelle. Elle s’y appuya, les mains à plat sur le rebord tressé, la poitrine soulevée par sa respiration rapide. Le ciel face à elle, l’homme derrière. Le frisson du vent sur ses jambes nues.

Il releva sa robe, lentement, en la caressant au passage, découvrant ses cuisses, puis la courbe ronde de ses fesses. Elle portait toujours sa culotte — fine, noire, dessinant parfaitement le galbe de son corps.

Marc s’attarda un instant, les yeux fixés sur cette vision. Puis, d’un geste maîtrisé, il glissa les doigts sous l’élastique et fit descendre lentement le tissu, le long de ses cuisses, jusqu’à ses genoux. Monique écartait déjà légèrement les jambes, prête, le bassin en arrière, tendue d’attente.

Il se positionna derrière elle, sa main sur sa hanche, l’autre guidant son sexe jusqu’à elle.

Et puis il la pénétra.

Doucement d’abord, comme s’il testait la profondeur de leur complicité. Il sentit son corps l’envelopper, chaud, accueillant, vivant. Elle s’arqua légèrement sous lui, ses ongles s’agrippant au rebord du panier. Sa respiration se coupa l’espace d’un instant, puis reprit, plus bruyante, plus irrégulière.

— Comme ça, souffla-t-elle, les yeux perdus dans le ciel. Ne t’arrête pas.

Il obéit. Il la prit ainsi, penchée vers l’avant, soutenue par la nacelle, rythmant ses mouvements sur le balancement léger du ballon. Chaque poussée réveillait un gémissement contenu, chaque va-et-vient la faisait basculer un peu plus dans ce vertige unique : celui du plaisir suspendu, au sens propre comme au figuré.

Le rythme s’accéléra.

Marc la tenait fermement par la taille maintenant, ses doigts s’enfonçant dans sa chair alors que son bassin cognait contre le sien avec une vigueur croissante. Leurs corps claquaient l’un contre l’autre dans un tempo urgent, brut, mais parfaitement accordé. Chaque poussée soulevait Monique, chaque va-et-vient la ramenait contre lui avec une précision presque animale.

Ses seins, libres sous la robe remontée, rebondissaient à chaque coup, lourds, offerts, frémissants dans le vent du soir. Par moments, sa poitrine glissait hors du tissu, dévoilée, tendue, vibrant au rythme du plaisir. Il les regardait, fasciné, enfoncé jusqu’à la garde, et grognait doucement, comme si son désir ne tenait plus dans son corps.

Monique, le souffle coupé, sentait tout. L’ampleur de son sexe en elle, le choc de leurs bassins, les secousses de plaisir qui montaient, insatiables. Elle s’agrippait au bord de la nacelle, les jambes écartées, cambrée pour mieux le sentir, pour mieux le prendre. C’était une jouissance sans retenue, mais jamais sans tendresse.

Et soudain, tout bascula.

Marc s’enfonça plus fort, plus profondément. Son corps se tendit entièrement. Il lâcha un râle, un cri presque sauvage, porté par l’altitude, emporté par l’espace.

— Monique…

Il se vida en elle dans un dernier coup de reins puissant, ses mains crispées sur ses hanches, le souffle haletant. Son cri résonna dans le ciel, emporté par le vent chaud du ballon. Elle, à bout de souffle, se redressa doucement, encore tremblante, la nuque moite, les joues rosies, les jambes fléchies.

Un instant, ils restèrent là. Silencieux. Haletants. Le corps encore en écho du plaisir.

Tout autour, le ciel s’assombrissait peu à peu. En dessous, la terre semblait bien loin. Le monde en bas pouvait attendre.

Monique resta quelques secondes appuyée au bord de la nacelle, le souffle encore court, les jambes légèrement fléchies, la tête penchée. Elle sentait son corps battre à l’unisson du sien, encore chaud, encore envahi. Puis lentement, elle se redressa, tirant sa robe vers le bas avec pudeur, comme si elle venait de se souvenir que le monde existait.

Elle remit sa culotte en place d’un geste discret, mais le tissu était gorgé, trempé de leur plaisir commun. La sensation était à la fois intime et dérangeante. L’air du soir, plus frais maintenant, passa entre ses jambes et fit frissonner tout son bas-ventre, comme un rappel immédiat de ce qu’ils venaient de faire — de ce qu’ils s’étaient permis, là-haut, seuls au monde.

Marc, de son côté, avait retrouvé son calme. Il replaça sa ceinture, passa la main dans ses cheveux, un demi-sourire aux lèvres. Il la regarda du coin de l’œil, sans rien dire. Le silence entre eux était devenu complice.

La nacelle entama sa descente.

Au sol, la silhouette familière de Claire, sa femme, apparut, debout près du 4x4, les bras croisés, impassible. Elle les regarda approcher sans expression, comme si tout cela n’avait été qu’un vol de routine.

Le ballon atterrit doucement dans un champ dégagé. Le choc léger du panier sur l’herbe les ramena au sol comme un réveil.

Claire s’approcha.

— Beau vol, dit-elle simplement, sans regarder Monique.
— Parfait, répondit Marc. Le vent a été avec nous.
— Tant mieux. Je vous aide à plier ?

Monique descendit en premier, prenant soin de remettre ses cheveux en place, de lisser sa robe, de masquer tout indice. Mais elle sentait encore, entre ses jambes, la trace vivante de leur étreinte. Et elle savait. Claire aussi savait. Pas par preuve, pas par mot. Mais par ce silence précis, cette politesse tendue, cette manière de ne pas poser certaines questions.

Ils plièrent la toile ensemble, tous trois, dans une lumière qui virait au bleu profond. Un échange de regards, quelques mots banals sur les paysages, le vent, la lumière. Claire, toujours impeccable, ne montra rien. Peut-être qu’elle ne voulait pas voir. Peut-être qu’elle avait déjà vu cent fois.

Quand tout fut rangé, Marc accompagna Monique à sa voiture. Ils échangèrent un dernier regard, plus chargé que n’importe quel mot.

— Je te recontacte, murmura-t-il.

Elle acquiesça. Puis elle monta dans sa voiture, l’odeur de l’air frais, du feu du brûleur… et de lui, encore partout sur elle.

Elle démarra sans se retourner. La route était droite, tranquille. Mais en elle, ça remuait encore. Un souvenir chaud, épais, vibrant entre ses cuisses. Une scène suspendue au ciel.

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