Titi à besoin d’autre chose

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Titi à besoin d’autre chose Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2025 dans la catégorie Plus on est
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Titi à besoin d’autre chose
Elle avait cru que c’était un accident, une parenthèse, une pulsion qu’on enterre au réveil. Mais non. Ce que ce jeune inconnu avait réveillé en elle ne voulait plus dormir. Une faim, sourde et nouvelle. Un besoin. Pas seulement de plaisir — de liberté, d’abandon, de vérité dans la chair.

Et chaque soir, en retrouvant son mari, elle sentait le vide. Il ne la regardait plus. Il ne la touchait que par devoir. Deux corps côte à côte, jamais mêlés. Sa main à lui sur sa cuisse ressemblait à une poignée de porte : mécanique, absente.

Alors elle décida.

Un samedi soir, sans prévenir, elle enfila une robe noire près du corps. Sans culotte. Sans soutien-gorge. Juste elle, nue sous l’envie. Elle mit du rouge profond, un parfum chaud. Et elle partit.

Le club était discret. Une façade banale, une lumière tamisée. Mais à l’intérieur… la chaleur, les regards, la tension suspendue entre les murs.

On la guida jusqu’au vestiaire. Puis vers le bar. Elle s’assit, croisa les jambes lentement, exposant la naissance de sa cuisse nue à la lumière diffuse.

Un homme s’approcha. Plus âgé. Expérimenté, visiblement. Il ne perdit pas de temps.

— C’est ta première fois ici ?

Elle hocha la tête.

— Et t’as envie de quoi, ce soir ? T’as l’air d’avoir la chatte en feu, à te mordre la lèvre comme ça.

Elle ne baissa pas les yeux.
— J’ai envie qu’on me rappelle ce que c’est. D’être désirée. D’être prise pour de vrai.

Il sourit, lentement.

— Alors t’es venue au bon endroit, salope en rodage.

Elle sentit une chaleur entre ses jambes. Il avait dit ça sans agressivité, sans poser les mains. Juste avec cette assurance crue qui lui manquait tant.

Il lui tendit la main.
Elle le suivit sans poser de questions. Le couloir était tamisé, le sol moelleux sous ses talons, et à chaque pas, son cœur battait un peu plus vite. Il poussa une porte. Une chaleur soudaine, moite, lui monta au visage.

La pièce était grande, feutrée, éclairée par des lumières rouges et dorées. Des banquettes, des rideaux, quelques lits, et surtout… des corps.

Des couples, des trios, des groupes. Des bouches occupées, des mains partout, des souffles rauques. Des femmes qui gémissaient sans honte, des hommes qui grognaient de plaisir, des regards qui ne se cachaient pas.

Titi resta figée quelques secondes. Une part d’elle voulait fuir. Mais une autre — plus forte, plus basse — voulait s’approcher.

L’homme à ses côtés se pencha vers elle.

— Regarde bien. Ici, personne ne triche. Tout est vrai. Tu veux être touchée ? Tu demandes. Tu veux juste regarder ? T’as le droit. Tu veux être baisée devant tout le monde ? Personne te jugera.

Elle déglutit. Ses cuisses étaient moites, sa robe collait à sa peau. Une femme à genoux avalait lentement le sexe d’un inconnu, les yeux mi-clos, comme dans une transe. Juste à côté, un couple faisait l’amour debout, contre le mur, la jupe remontée, les mains agrippées à la taille.

Titi sentit une chaleur monter dans son ventre. Une vague lente, profonde. Elle n’avait jamais rien vu d’aussi cru… ni d’aussi vrai.

— T’en penses quoi ? murmura l’homme en lui effleurant le bras.

Elle tourna la tête vers lui, les joues rouges, le souffle court.

— J’en pense que j’ai jamais été aussi mouillée… sans qu’on m’ait même touchée.

Il éclata de rire, bas, rauque.

— T’es prête à t’y noyer, alors.

Et il la guida vers un coin plus sombre, où deux fauteuils étaient vides.
Elle s’assit lentement dans le fauteuil, sa robe noire remontant légèrement sur ses cuisses épaisses. Sa poitrine lourde, sans soutien, respirait sous le tissu tendu. Elle sentait tous les regards. Certains directs. D’autres furtifs. Et au lieu de la gêner… cela l’excitait.

L’homme ne disait rien. Il s’assit à côté d’elle, mais ne bougea pas tout de suite. Il la regardait. Lui laissait le temps.

Puis, doucement, il posa sa main sur son genou nu.

— T’es belle comme ça. Pleine, généreuse. T’as un corps qui donne envie de mordre, de t’écraser contre un mur, de te faire gémir jusqu’à ce que tu t’effondres.

Titi ferma les yeux, frissonna. Personne ne lui avait parlé comme ça depuis longtemps.

Ses jambes s’écartèrent d’elles-mêmes.

Il remonta la main, lentement. Sa paume caressa l’intérieur de sa cuisse, sa chair douce et chaude. Il murmura :

— T’as pas de culotte, hein… j’le savais. J’ai vu ta robe coller à ta chatte dès que t’as traversé la pièce.

Elle sourit, les joues rouges, le souffle saccadé.

Il glissa deux doigts entre ses lèvres intimes, déjà trempées. Elle sursauta, mais ne le repoussa pas. Au contraire, elle écarta davantage.

— Putain… t’es trempée comme une fontaine… t’attendais que ça, qu’on te touche comme une vraie femme.
Ses gros doigts baisaient sa chatte, lentement, calmement, lui faisant monter le désir.
Autour, quelques regards s’étaient tournés vers eux. Un homme s’était arrêté de pénétrer sa partenaire pour mieux les observer. Une femme se caressait lentement les seins, les yeux sur Titi.

Elle sentit ses joues brûler. Pas de honte. De chaleur. D’ivresse.

Il ajouta un troisième doigt .Il la faisait doucement s’ouvrir à lui. Elle haletait, les mains agrippées aux accoudoirs, les hanches mouvantes, offertes, le bassin basculé.

— Dis-le… dis-moi ce que tu veux, grosse cochonne…

— Je veux que tu me baises… là, devant eux… j’en peux plus… fais-moi jouir comme une salope.

Et elle savait qu’il allait obéir.
Il se leva lentement, sortit un préservatif de sa poche intérieure, le déchira du bout des dents, sans la quitter des yeux.

— T’es trempée, prête à tout… Tu va y goûter à mon dard, salope.

Titi hocha la tête, haletante. Elle n’en pouvait plus. Le voir dérouler le latex sur son sexe tendu la rendait encore plus avide.

Elle écarta davantage ses cuisses, assise dans le fauteuil, la robe noire remontée à la taille, ses formes généreuses exposées, sa chatte déjà ouverte, offerte à cette queue inconnue et aux regards tout autour.

Il s’agenouilla entre ses jambes, le préservatif bien en place, et la pénétra d’un seul coup, profond.

— Putain… t’es bien ouverte, bien chaude… c’est un régal de te remplir.

Elle cria. De surprise, de plaisir, de ce mélange de honte et d’excitation d’être baisée ainsi, devant tous ces gens, possédée, mais sans aucune autre barrière.

Il la tenait fermement par les hanches, ses reins frappant ses cuisses épaisses dans un rythme brut, assumé. Titi se laissait faire, se cambrait, l’accueillait.

— Continue… arrête pas… prends-moi… montre-leur que c’est moi que t’as choisie…

Elle sentait les regards. Certains s’étaient rapprochés. Un couple les regardait en se caressant mutuellement, silencieux, fascinés par cette scène crue. Une femme s’était mise à genoux, non loin, jouant avec son propre jouet, le regard rivé sur les fesses rebondies de Titi qui bougeaient à chaque coup de bassin.

Il grogna, ses mains glissant sous sa poitrine, attrapant ses seins lourds, les pressant comme des gros pamplemousses.

— J’vais te faire jouir comme t’as jamais joui. Et quand j’me viderai, ce sera dans le capuchon. Mais toi, t’auras plus de fondation… juste des jambes qui flanchent.

Elle rit, haletante, le plaisir montant en elle comme une vague brûlante. Il accéléra, son corps claquant contre le sien, le latex glissant parfaitement dans cette chatte humide et délicieuse.

Et elle jouit, fort, gémissant sans filtre, les jambes tremblantes, le dos cambré, les yeux mi-clos.

Lui aussi finit, peu après, le souffle rauque, planté au plus profond, dans la sécurité du latex tendu.

Il resta en elle quelques secondes, puis se retira, ôta la protection avec soin, la noua, la jeta dans une poubelle discrète. Puis il revint vers elle, l’embrassa sur l’épaule.

— T’es une sacrée salope, Titi… et je crois que t’as trouvé ton terrain de jeu.

Elle sourit. Elle le savait aussi.
Elle reprenait à peine son souffle, encore étourdie de plaisir, quand il lui murmura à l’oreille, le ton plus bas, plus chaud :

— T’as aimé ? Tu veux plus ? Parce qu’ils t’ont tous regardée comme un festin. Et là-bas… ils attendent.

Il lui désigna un coin de la salle, derrière un rideau à moitié ouvert. Une grande banquette, un matelas au sol, plusieurs corps mêlés, lents, explorateurs. Une femme à quatre pattes se faisait pénétrer par un homme, tout en embrassant une autre qui la caressait. À côté, deux hommes alternaient entre des baisers et la fellation d’une partenaire déjà noyée de plaisir.

Titi se mordit la lèvre. Son cœur battait fort. Tout en elle criait “vas-y”.

Elle se leva, remit un peu sa robe en place, essuya entre ses cuisses, encore frémissante.

— Je suis prête. Mais toujours protégée, hein ?

Il sourit.

— Évidemment. Ici, c’est le jeu… pas le danger.

Il lui tendit la main, l’amena jusqu’au matelas. Plusieurs têtes se tournèrent vers elle. Des sourires. Des regards curieux, affamés, mais jamais pressants. Une femme, brune, pulpeuse, l’accueillit d’un regard doux.

— Première fois ? demanda-t-elle en glissant la main sur sa hanche.

— Oui… et j’en veux.

Titi était nue, allongée sur le grand matelas, la peau encore marquée de frissons, les cuisses ouvertes, le souffle erratique. Son corps généreux attirait. Et elle le sentait. Tous ces regards posés sur elle ne la gênaient plus. Au contraire, elle en tirait une excitation nouvelle, profonde.

Elle entendit des préservatifs qu’on déchirait à côté d’elle, gestes précis, habituels. Les hommes ne se précipitaient pas. Chacun attendait son moment. Ils se parlaient d’un regard, d’un hochement de tête. Comme une chorégraphie silencieuse.

Le premier s’approcha, la caressa d’abord doucement, lui demandant d’un murmure :

— Tu veux que je te prenne maintenant ? Ou que je te chauffe encore ?

Titi hocha la tête, haletante.
— Prends-moi… doucement, mais maintenant.

Il s’agenouilla entre ses jambes, le latex déjà en place, la pénétra lentement, dans une fluidité presque tendre. Il bougeait en elle avec une régularité chaude, stable, pendant qu’un autre homme lui baisait la bouche avec son gros chibre.

— T’es délicieuse, putain… t’es en train de t’ouvrir à tout ce que t’as jamais osé demander.

Quand le premier se retira, le suivant prit sa place, lui aussi protégé, lui aussi attentif. Chaque corps qui se glissait entre ses cuisses lui offrait autre chose : un rythme, une voix, un contact.

Titi ne savait plus combien d’hommes étaient venus, ni combien de fois elle avait joui. Elle n’avait plus de pensées, juste des sensations, du plaisir brut qui s’enchaînait, fluide, naturel. Elle s’abandonnait, entourée, soutenue, honorée.

À aucun moment elle ne se sentit objet. Elle était le centre. Le feu autour duquel on dansait.

Et quand elle demanda à ce qu’on arrête, épuisée mais comblée, tous reculèrent. Une femme lui tendit un drap chaud. Un autre lui apporta de l’eau.

— Tu vas bien ? demanda l’un, la main posée doucement sur sa cheville.

Elle sourit, essoufflée, encore rougie de désir.

— Je crois que je viens de renaître.

Alors qu’elle pensait avoir atteint ses limites, encore allongée sur le matelas, son souffle lent, bercée par l’euphorie collective, une voix grave et douce se pencha à son oreille.

— Je t’ai regardée toute la soirée… Tu rayonnes. T’as envie de plus ?

Elle ouvrit les yeux. C’était un homme d’un calme magnétique, musclé sans arrogance, les yeux sombres, posés sur elle comme une promesse.

Elle hésita. Puis murmura, presque pour elle-même :

— J’aimerai réessayé … par derrière. Mais ça fait longtemps. Trop longtemps. Mon mari me faisait mal. Il forçait ma petite rondelle.

Il hocha lentement la tête.

— Si tu veux réessayer… on prend le temps. Je vais te faire redécouvrir ça sans douleur. Juste du plaisir.

Ce respect-là, cette assurance tranquille, la fit fondre. Elle se redressa un peu, son corps encore offert, encore ouvert. Elle le regarda et hocha la tête.

— Oui. Mais doucement… vraiment doucement.

Il s’agenouilla derrière elle, sortit un petit flacon d’huile intime et un préservatif. Tout dans ses gestes disait je suis là pour te faire du bien, pas pour me servir.

Il lui massa les reins d’abord, puis les fesses. Ses mains chaudes, enveloppantes, firent fondre toutes ses dernières tensions. Il embrassa le creux de son dos, la nuque, murmurant :

— Tu me dis si je fais trop vite. C’est toi qui guides.

Il lubrifia doucement l’entrée de l’anus, joua d’abord avec un doigt, à peine, en cercle, en respectant les réactions de Titi, qui respirait profondément. Elle se relâchait, il enfonça son doigt. Il lui travailla doucement son petit trou.

Quand il la sentit prête, il mit le préservatif, ajouta du lubrifiant, et entra lentement son gland, par à-coups, centimètre par centimetre, en la tenant par les hanches.

Titi gémit, non de douleur… mais d’étonnement. C’était bon. Lent. Plein. Et cette sensation si oubliée, si intime… remontait dans tout son corps.

— Comme ça… reste comme ça… c’est bon, c’est bon, je sens bien ton trou du cul serré…

Il bougea de toute la longueur de sa bite en elle à un rythme doux, profond, précis. Rien n’était brusqué. Elle se sentait comblée, touchée dans un endroit à la fois physique et profondément émotif.

Elle jouit lentement, par vagues. Ce n’était pas explosif. C’était… libérateur.

Quand il se retira, elle resta là, les joues mouillées, pas de honte, juste de la gratitude.

— Merci… j’avais oublié que je pouvais aimer ça.

Il l’enveloppa dans ses bras, lui baisa les cheveux.

— Ton corps mérite de tout sentir. Sans douleur. Juste du vrai plaisir.
Il était plus de deux heures du matin quand Titi referma doucement la porte de la maison. Les talons à la main, elle avançait pieds nus sur le carrelage frais, sa robe légèrement froissée, ses cuisses encore moites d’empreintes invisibles.

Le silence du pavillon contrastait violemment avec le club vibrant qu’elle venait de quitter. Ici, tout était feutré, rangé, endormi. Comme sa vie, depuis des années.

Son mari ronflait dans la chambre. Toujours du même côté, toujours les bras en croix. Elle s’arrêta sur le pas de la porte, l’observa quelques secondes. Il n’avait rien vu venir. Il ne voyait plus rien depuis longtemps, d’ailleurs. Ni son corps, ni ses silences, ni ses envies.

Elle n’éprouvait ni haine, ni tristesse. Juste… une distance calme.

Titi alla dans la salle de bain. Elle s’assit sur le rebord de la baignoire, alluma la lumière tamisée. Dans le miroir, elle vit autre chose que d’habitude : ses cheveux en désordre, sa peau rougie par les caresses, ses yeux brillants.

Elle avait joui. Elle s’était offerte. Et, surtout, elle s’était retrouvée.

Elle se lava doucement, en prenant le temps, comme pour dire à son corps : tu comptes, tu existes, tu mérites. Puis elle passa une crème hydratante, enfila un long t-shirt, et se glissa dans le lit, de son côté, sans bruit.

Elle ne dormit pas tout de suite.

Son ventre vibrait encore. Pas seulement de plaisir, mais de l’intuition que quelque chose venait de commencer. Qu’elle ne pourrait plus faire semblant, ou revenir entièrement en arrière.

Demain, elle reprendrait sa routine. Peut-être.

Mais maintenant, elle savait. Son corps avait parlé. Et elle comptait bien l’écouter.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Alors la suite !!! Changez de robe aussi !!!

Histoire Erotique
Merci Monique pour ces deux textes pleins d'érotisme et de sensualité...
Ton écriture est une invitation aux caresses intimes

Cyrille

Merci à tous

c'est juste superbement dit, merci

Histoire Erotique
Très bien ecrite, toute en douceur. Bravo

Histoire Libertine
Très beau récit... j'adore

énorme ,titi ramasse bien ,j'adore ,très bien écrtite

Histoire Erotique
Très beau et superbement bien écrit !
En espérant une suite ??



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