Titi cette grosse salope cachée

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Titi cette grosse salope cachée Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Titi cette grosse salope cachée
Titi était une femme aux formes généreuses, toujours élégante et soignée. Ce matin-là, vêtue d’une robe estivale qui mettait en valeur sa silhouette, elle était arrêtée à un feu rouge sur le chemin du travail, plongée dans ses pensées. Le regard perdu au loin, elle songeait à sa vie. Fidèle à son mari, elle n'avait jamais envisagé de le tromper. Pourtant, elle ressentait une certaine monotonie dans son quotidien. Elle aspirait à un peu plus d'excitation, à un grain de folie qui viendrait pimenter son existence.

Soudain, un bruit sourd la tira de ses rêveries. Un jeune conducteur, distrait ou inexpérimenté, venait de rater son freinage et de percuter l'arrière de sa voiture.

Titi sortit de son véhicule, gardant son calme malgré la situation. Elle s'approcha du jeune homme qui sortait de sa voiture, l'air complètement affolé. Grand et mince, il avait les cheveux roux ébouriffés et des taches de rousseur parsemaient son visage.

— Mon père va me tuer ! s'exclama-t-il, les mains tremblantes. Ça fait seulement 15 jours que j'ai le permis !

Titi lui adressa un sourire rassurant.

— Calmez-vous, dit-elle d'une voix douce. Ce n'est pas grave. Allons nous garer un peu plus loin pour voir les dégâts, d'accord ?

Le jeune homme hocha la tête, encore sous le choc. Ils déplacèrent leurs voitures sur le bas-côté. En examinant les véhicules, Titi constata qu'il n'y avait que quelques traces de peinture provenant du véhicule du jeune homme.

— Ce n'est rien de grave, le rassura-t-elle. Juste un peu de peinture. Écoutez, j'habite à cinquante mètres d'ici. Que diriez-vous d'aller chez moi pour faire le constat au calme ?

Le jeune homme, visiblement soulagé par cette proposition, acquiesça.

— Merci, madame. Je suis vraiment désolé.

— Ne vous en faites pas, répondit Titi avec un sourire. Ça arrive à tout le monde. Allons-y.
Ils entrèrent chez elle et s'installèrent côte à côte sur le canapé pour remplir le constat. Le jeune homme, toujours nerveux, ne cessait de répéter :

— Mon père va me tuer. Il va être furieux quand il va savoir ça.

Titi posa une main rassurante sur son bras.

— Tout va bien se passer, dit-elle doucement. Les accidents, ça arrive. L'important, c'est que personne ne soit blessé. Concentrons-nous sur le constat, d'accord ?

Le jeune homme hocha la tête, essayant de se calmer, mais il continuait d'insister :

— Vous ne comprenez pas, mon père est très strict. Il ne va pas me pardonner cet accident.

Soudain, sans savoir ce qui lui traversa l'esprit, Titi se tourna vers lui, ses yeux plongeant dans les siens. Elle sentit une étrange audace l'envahir, un désir de briser la routine. Elle se pencha légèrement, sa voix se faisant plus douce, presque murmurée :

— Et si on oubliait le constat ? dit-elle, ses lèvres esquissant un sourire mystérieux. Le jeune homme la regarda, surpris, ne sachant pas s'il avait bien entendu. Titi se rapprocha encore un peu, son parfum délicat emplissant l'air entre eux.

— Embrasse-moi, souffla-t-elle, ses yeux brillant d'une lueur nouvelle.

Le jeune homme, pris au dépourvu, hésita un instant avant de se pencher vers elle, ses lèvres rencontrant les siennes dans un baiser inattendu.

Après ce baiser, il lui dit : Vous êtes une femme imprévisible.
Alors, leurs visages se frôlèrent avant que leurs lèvres ne se joignent dans un baiser langoureux, chargé de tension et de désir contenu.
Elle murmura, le souffle court : « Appelle-moi Titi. »
Il hocha la tête, un peu troublé, et répondit dans un souffle : « Oui, Titi… »
Avec lenteur, elle fit glisser les boutons du haut de sa robe, dévoilant un soutien-gorge blanc délicat, sous lequel explosait sa poitrine généreuse, ses tétons érectiles se dessinaient, offerte à son regard.
Elle sortit ses lourdes mamelles de leurs bonnets qui tombèrent sous leurs poids.
Les mains du jeune homme glissèrent timidement contre la peau nue de Titi, encore hésitantes, comme s’il découvrait un secret. Elle guida doucement son visage contre elle, l’invitant avec une tendresse maternelle à la tétée.

— Là… tout doucement, souffla-t-elle.

Ses lèvres frôlèrent la courbe de sa poitrine, effleurant l’aréole comme un aveu silencieux. Titi ferma les yeux, le souffle suspendu, laissant ce moment de proximité s’installer sans précipitation. Il suça a pleine bouche son téton, à la fois curieux et émerveillé, bercé par la chaleur de son corps et la douceur de son parfum.

Elle glissa ses doigts dans ses cheveux, le tenant contre elle, sans mot dire. Ce n’était plus une simple audace — c’était une parenthèse, une brèche dans leur quotidien.

— Tu apprends vite, murmura-t-elle, un sourire flottant sur ses lèvres.
Titi se redressa légèrement, les mains posées contre la ceinture du jeune homme. Elle hésita une seconde, comme pour lui laisser le choix. Son regard interrogea le sien, intense, brûlant.

— Tu veux continuer ? demanda-t-elle, sa voix à peine un souffle.
— Oui Titi, j’ai un gros sucre d’orge dans mon pantalon, veux tu y goûter ?
Elle acquiesça, le souffle court .Titi releva les yeux vers lui, son regard chargé de désir brut. Ses doigts, fermes, pressèrent son érection à travers le tissu. Elle sentit la chaleur, la pulsation, la rigidité. Il était dur comme jamais. Elle le regardait, sûre d’elle, et lentement, elle ouvrit son pantalon, le baissa jusqu’à mi-cuisses.

Son sexe jaillit, tendu, gonflé d’envie. Sans attendre, elle le prit en main, le serra à la base, et le guida jusqu’à sa bouche. Ses lèvres s’écartèrent, chaudes, mouillées, prêtes. Elle l’engloutit d’un coup souple, jusqu’à sentir le bout lui frôler la gorge. Il grogna, la main posée sur sa tête.

Elle suça avec lenteur au début, tirant la peau, dégageant le gland, sa salive glissant déjà le long de sa hampe. Puis elle accéléra, plus gourmande, plus avide, sa tête allant et venant dans un rythme de plus en plus pressé. Chaque bruit humide, chaque gémissement qu’il laissait échapper, la faisait vibrer un peu plus.
Elle le pipait avec une certaine assurance, la main ferme mais douce, un éclat d’amusement dans les yeux.
— Je te préviens, murmura-t-elle en souriant, ce bonbon-là… s’il fond trop vite dans ma gorges, je pourrais bien le croquer.
Le jeune homme déglutit, à la fois troublé et captivé.
— Ne t’inquiète pas , dit-il dans un souffle.
Le silence s’étira entre eux, chargé d’un mélange de tension et de jeu. Elle le pompa de haut en bas , effleurant ses couilles, qu’elle s’apprêtait à goûter le jus, dans un rituel presque sacré, presque interdit.
Titi se releva lentement.
— Viens, dit-elle dans un murmure, presque une invitation au secret. On sera mieux là-haut… sur le lit.

Il la suivit sans un mot, le cœur battant, l’esprit submergé par une réalité qui semblait irréelle. En montant les marches, il remarqua la lenteur volontaire du balancement des ses fesses, la fluidité de son corps qui se mouvait avec grâce.

Dans la chambre, baignée d’une lumière tamisée, Titi se tint un instant au pied du lit conjugal. Elle tourna la tête vers lui, les yeux brillants d’un mélange de défi et de tendresse.

Sans un mot, elle fit glisser les bretelles de sa robe. Le tissu tomba dans un bruissement discret, révélant son corps dans toute sa maturité assumée : des rondeurs pleines, une peau douce légèrement hâlée, marquée par le temps mais magnifiée par l’assurance.

— Tu me regardes comme si c’était la première fois que tu voyais une femme, souffla-t-elle, amusée.

Il hocha la tête, incapable de répondre. Elle était belle, autrement. Une beauté qui ne se cache pas, une sensualité tranquille, nourrie d’années, d’envies longtemps contenues.

Titi s’approcha du lit, se coucha lentement sur les draps blancs, les bras ouverts.
— Viens, dit-elle simplement.
Lorsqu’il la rejoignit sur le lit, Titi prit un instant pour l’observer, comme si elle voulait graver chaque détail dans sa mémoire. Il était grand, presque dégingandé, avec cette allure encore adolescente, toute en angles et en timidité.
Mais ce qui frappait, c’était le contraste. Son corps fin trahissait une virilité inattendue — une énorme bite. Il y avait dans ce décalage entre ce corps filiforme et ce colosse érigé, quelque chose de troublant, d’inattendu, presque irréel.
— On dirait que la nature a décidé de bien te doter, souffla-t-elle, mi-souriante, mi-étonnée.
Il rougit, baissant brièvement les yeux.
— C’est souvent ce qu’on me dit…
Elle l’attira à elle, ses mains glissant le long de ses flancs.
— Alors laisse-le entrer en moi.
Il se trouvait maintenant entre ses cuisses en missionnaire. Il la pénétra.
Titi ferma les yeux. Elle ne pensait plus. Elle ressentait se membre la dilatée progressivement.
Des gémissements lui échappèrent. Il s’était mis en mouvement avec une ardeur nerveuse, presque précipitée — comme s’il craignait que le moment lui échappe. Ses gestes étaient vifs, désordonnés, emportés par un feu maladroit.

Titi le sentit, et sourit doucement. Elle posa ses mains sur ses hanches pour le ralentir, comme on freine un cheval fougueux.
— Doucement… chuchota-t-elle. Ce n’est pas une course. Savoure l’intérieur de ma chatte avec ton gland.
Il s’arrêta, haletant, un peu confus, les yeux cherchant les siens.
— Je… désolé. Je croyais…
Elle glissa ses doigts dans ses cheveux, le ramenant doucement contre elle.
— Continu, voila , comme ça .
Ses mains couraient sur son dos, cherchant un point d’ancrage, tandis que le lit grinçait doucement, discret témoin de leur union. Elle se laissait aller à la sensation, au rythme lent, au poids de lui sur elle — à cette chaleur animale, déroutante.
Un soupir lui échappa, une petite jouissance, presque un remerciement silencieux.
Le jeune homme, encouragé par ses murmures, reprit son mouvement, cette fois avec plus d’assurance. Il semblait avoir trouvé un rythme, une écoute nouvelle, guidé par l’attention qu’elle lui avait apprise. Il la ramonait vaillamment , son glaive tendu s’enfouissait comme pour l’achevée.
Puis, avec une certaine audace, il la prit sous les hanches, soulevant légèrement son bassin, positionnant ses chevilles sur ses épaules l’invitant à un changement de posture. Titi se laissa faire, surprise par cette initiative venue de lui — un mélange d’instinct et de désir brut, encore un peu maladroit mais sincère.
Leurs corps s’ajustèrent, imbriqués différemment, dans la position de l’enclume où elle se sentait à la fois offerte et contenue. Le mouvement devint plus franc, plus profond, mais toujours dans cette tension partagée où le plaisir se construisait pas à pas. Il la tamponnait fort ses couilles claquant sur la peau de ses fesses.

Elle s’accrocha à ses bras, sentant sa force nouvelle, et le regarda avec une intensité qu’elle ne croyait plus pouvoir offrir.

— Oui… comme ça, souffla-t-elle. Maintenant tu apprends vraiment.
Le rythme s’intensifia peu à peu, comme une vague qui monte, irrésistible. Titi sentit ce feu qui désormais les emportait tous les deux. Il n’était plus hésitant, ni trop brusque — juste porté, mû par quelque chose de plus profond qu’un simple désir.

Elle ferma les yeux. Tout son corps vibrait à l’unisson du sien. Une tension douce et lancinante montait en elle, jusqu’à ne plus lui laisser de répit. Elle jouissait fort au rythme de cette union, oubliant les murs, les années, son nom même. Il n’y avait plus qu’eux.

Et soudain, ce fut l’éclat. Un hurlement fulgurant, comme si son être s’était ouvert d’un coup, emporté par la chaleur, le tumulte, la vérité brute du moment.

Elle l’enlaça fort, presque pour ne pas s’éparpiller, tandis qu’il se laissait aller à son tour, dans un souffle retenu, éjaculant en elle. Son corps entier se tendit une dernière fois, puis se reposa, calme, battant encore fort dans le silence retrouvé.
Ils restèrent là, accouplés, leurs souffles se cherchant encore, comme deux cœurs qui venaient de se comprendre pour la première fois.
Alors qu’ils reprenaient leur souffle, encore enlacés dans la moiteur douce de l’après, Titi ouvrit les yeux et jeta un regard furtif autour d’elle.
Le lit. Ce lit.
C’était celui sur lequel elle avait partagé tant de nuits tranquilles, de gestes prévisibles, de silences conjugaux. Et maintenant… ce même lit vibrait encore du tumulte d’un moment défendu, d’un feu qu’elle n’aurait jamais imaginé allumer ici.
Une part d’elle en était troublée. Mais l’autre — plus vive, plus lucide, plus libre — frissonnait d’excitation à l’idée d’avoir transgressé, ici même, au cœur de l’espace conjugal. Comme si, dans ce renversement, elle s’était enfin réapproprié un lieu, un désir, une part d’elle-même oubliée.

Elle tourna la tête vers lui, encore étendu à ses côtés, jeune, perdu dans ses pensées.

— Tu sais ce qui est fou ? dit-elle dans un souffle.

— Quoi donc ? murmura-t-il, la regardant.

Elle sourit, presque mutine.

— Que je n’aie jamais ressenti ça… ici.

Un silence lourd de sens s’installa. Elle savait que ce qu’ils venaient de vivre allait laisser une trace — sur les draps souillés sous ses fesses, dans son vagin désormais rempli du liquide de son jeune amant, et bien plus encore, dans sa mémoire.
Ils restèrent un moment encore, allongés dans le silence, chacun ramené peu à peu à la surface. Puis, sans un mot, Titi se leva, cherchant sa robe abandonnée au pied du lit. Lui aussi s’habilla, maladroitement, un peu lentement, comme si les vêtements étaient devenus étrangers à leurs corps.

Titi boutonna son corsage avec soin, presque avec un frisson de pudeur retrouvée. En redescendant au salon, elle aperçut le constat, toujours posé sur la table basse, à moitié rempli. Une trace de l’accident, de la raison officielle de leur rencontre.

Elle le saisit, le regarda un instant. Puis, dans un geste calme mais irrévocable, elle le déchira lentement en deux, puis encore, jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une poignée de morceaux qu’elle laissa retomber dans la corbeille.

Le jeune homme la regardait, sans oser poser de questions.

— C’est comme s’il n’y avait jamais eu d’accident, murmura-t-elle. Pas celui de la voiture, en tout cas.

Il sourit faiblement. Elle s’approcha de lui, et le serra dans ses bras. Une dernière fois. Ni précipitée, ni brûlante — une étreinte douce, enveloppante, avec ce soupçon d’adieu qui serre un peu la gorge.

— Merci, dit-elle simplement.

— C’est moi… qui devrais dire ça, répondit-il, sans savoir vraiment ce que ces mots contenaient.

Elle l’accompagna jusqu’à la porte. Lorsqu’il sortit, une étrange lumière filtrait à travers les rideaux. Titi referma doucement derrière lui, puis resta là un instant, dos à la porte, le vagin nostalgique, le reste de leur union coulant le long de sa jambe. Elle serra les cuisses pour garder un peu de lui dans son ventre.

Elle savait que rien ne serait plus vraiment comme avant.

Elle n’aimait pas son mari moins qu’hier. Elle ne l’aimait pas plus non plus. Mais elle savait désormais que quelque chose en elle avait bougé — une faille, ou peut-être une ouverture.

Les avis des lecteurs

La suite est en cours

Histoire Libertine
Et alors qu’est devenu Titi ?

Comme je te le disais par mail, c’est très bien écrit!
Je changerai juste le titre et le prénom…😜

Histoire Erotique
Bravo Monique, très belle écriture et très belle histoire…
Jef



Texte coquin : Titi cette grosse salope cachée
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