Les seins pleins de lait de la grosse Monique

Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Les seins pleins de lait de la grosse Monique
Mon mari ne se sentait vraiment vivant que lorsqu’il me savait entre les bras d’un autre. Candauliste assumé, il trouvait un plaisir intense à me voir m’abandonner, à regarder mon corps se faire posséder sous ses yeux.
Le top pour lui, c’était ça : me voir les cuisses écartées, le chatte encore ouverte, et la semence d’un autre homme couler lentement hors de moi. C’était son fantasme ultime, le moment où il jouissait le plus fort — sans même qu’on le touche. Il rêvait de me voir enceinte d’un autre, fécondée par un mâle Alpha, puissant, dominant, capable de me prendre comme lui ne le faisait pas.
Il me l’a dit un jour, les yeux brillants : “Tu te rends compte ? Porter l’enfant d’un autre… Le sentir grandir en toi pendant que moi, je suis là, à vous regarder.”
Sauf que ce n’était pas mon fantasme, c’était le sien. Moi, je jouais le jeu, parce que j’aimais le pouvoir que ça me donnait. Jusqu’au jour où je suis tombée enceinte.
Mais les dates… les dates ne collaient pas. Aucun de mes rapports non protégés avec mes amants ne correspondait. J’ai fait les calculs. J’ai repassé chaque rendez-vous, chaque orgasme volé. Et j’ai dû me rendre à l’évidence : malgré tout ce qu’il fantasmait, malgré tout ce qu’il espérait, c’était lui le père.
L’ironie était délicieuse : il rêvait que je sois prise, remplie, fécondée par un autre. Mais au final, c’est lui qui m’avait mise enceinte, lui que mon corps avait choisi malgré ses fantasmes de soumission.
Cela faisait maintenant six mois que j’avais accouché. Mon corps portait encore les traces de cette maternité. Ma taille de soutien-gorge, déjà généreuse — un 105E — avait explosé. Mes seins, lourds, tendus, avaient pris deux tailles supplémentaires. Ils débordaient littéralement de lait. Ils étaient gorgés, gonflés au point d’en être douloureux si je ne les soulageais pas.
Je produisais tellement que j’étais obligée de me tirer le lait plusieurs fois par jour, comme une vraie vache à lait. Parfois, je remplissais des biberons entiers, que j’allais porter à une maternité voisine. Une part de moi trouvait ça presque obscène : cette abondance, cette capacité animale à nourrir. Et pourtant… il y avait aussi quelque chose de profondément sensuel dans cette sensation. La chaleur, la pression, le soulagement quand le lait jaillissait…
Mon mari, lui, ne perdait pas une miette du spectacle. Il adorait me regarder me traire. Parfois, il se branlait en silence pendant que mes mains pressaient mes seins lents, jusqu’à faire gicler de longs jets blancs. Il murmurait que j’étais belle, que j’étais une vraie femelle, faite pour enfanter, nourrir… et être prise.
Il faisait encore jour quand mon mari est rentré du supermarché. J’ai entendu la porte s’ouvrir, des sacs qu’on posait dans l’entrée… puis une voix. Grave. Étrangère mais familière. Celle de Christopher.
L’un de mes amants. Celui qui m’avait prise brutalement un soir, sans protection, sans un mot tendre. Juste du désir brut. Une pulsion animale. C’était avant que je tombe enceinte… et pendant un moment, j’avais même cru que c’était peut-être lui, le père.
Je me suis levée, un peu tendue, le t-shirt mouillé par une montée de lait récente. Je portais un legging noir moulant, et un soutien-gorge d’allaitement que je n’avais même pas refermé complètement. Mes seins débordaient presque, lourds et pleins, les tétons sensibles à chaque frottement du tissu.
Mon mari est entré avec un petit sourire étrange, presque complice.
— Regarde qui j’ai croisé en faisant les courses, a-t-il lancé d’un ton léger. Christopher avait envie d’un café. Je lui ai dit que tu serais ravie de le revoir.
Christopher m’a regardée longuement. Il n’avait pas changé. Toujours ce regard franc, presque provocant. Il s’est installé, comme s’il avait toujours été chez lui.
— T’as changé, m’a-t-il dit avec un sourire en coin. T’as l’air… plus femme encore. T’as eu ton gosse, hein ?
J’ai acquiescé. Mon mari, silencieux, préparait le café. C’était lui qui avait ramené l’homme qui m’avait prise. Volontairement. Il voulait ça. Il en avait besoin.
— Et t’allaites ? a demandé Christopher, sans détour.
— Je tire mon lait. Trop de production, ai-je murmuré, consciente de l’évidence. Mon t-shirt était tendu sur ma poitrine gonflée. Le tissu mouillé trahissait mes montées.
— Tu veux voir ? ai-je lâché, sans vraiment y réfléchir.
Le silence a été lourd une seconde. Puis mon mari a simplement posé les tasses sur la table et s’est assis. Il m’a regardée et a hoché doucement la tête, presque avec fierté.J’ai relevé lentement mon t-shirt, puis déboutonné un côté du soutien-gorge. Mon sein a rebondi, lourd, tendu, l’aréole large, le téton déjà brillant de quelques gouttes de lait.
Christopher n’a pas détourné les yeux. Pas une seconde.
— Je peux… ? demanda Christopher en fixant mon sein nu, tendu, luisant de quelques gouttes. Sa voix était rauque, presque fêlée par le désir.
Je n’ai pas répondu tout de suite. J’ai regardé mon mari. Il ne disait rien. Il observait la scène avec cette lueur dans les yeux que je connaissais trop bien. Celle de l’homme qui se délecte de voir sa femme offerte à un autre. Il a juste fait un petit signe de tête, discret, mais clair.
Alors j’ai acquiescé.
Christopher s’est approché lentement, ses mains grandes, chaudes, un peu calleuses. Il a posé une paume sur ma poitrine, l’a soulevée doucement, la pesant, admirant le poids, la chaleur, la fermeté. Puis il a glissé son pouce sur mon téton gonflé, et une goutte de lait a perlé. Il s’est penché et a tiré doucement avec sa bouche.
Ma tête est tombée en arrière.
La sensation était électrique, animale. Mon sein vidé, tété, comme si j’étais à la fois une mère et une amante. Et lui, un prédateur tendre mais avide. Il suçait avec lenteur, savourant chaque jet, chaque soupir qui m’échappait. Mon autre sein, toujours enfermé dans le tissu, palpitait de jalousie, réclamant sa part d’attention.
Mon mari, assis à quelques mètres, les jambes croisées, respirait plus vite. Il ne se touchait pas encore, mais ses yeux disaient tout. Il aimait ça. Il m’aimait comme ça.
— Putain… t’es une vraie déesse, murmura Christopher contre ma peau, le lait encore tiède sur ses lèvres.
Christopher ne lâchait plus mon sein, il le suçait avec une envie presque primitive. Puis, après un moment, il se redressa, le regard brûlant, et sans même demander cette fois, il dégrafa l’autre côté de mon soutien-gorge. Mon second sein jaillit, aussi gonflé que le premier, l’aréole sombre, tendue, prête à être vidée.
— Laisse-moi goûter l’autre, grogna-t-il.
Il prit le sein dans sa bouche avec avidité, ses lèvres humides, sa langue chaude. Je gémissais doucement, les jambes légèrement écartées sous le legging qui collait à ma peau. Le lait giclait à chaque succion, et lui le buvait comme si c’était un nectar sacré.
Puis, sans cesser de me fixer, il glissa une main entre mes cuisses et tira le legging vers le bas. Lentement, sans précipitation. Il découvrit ma chatte, encore chaude, encore moite, pas rasée. Les poils légèrement bouclés, sombres, épais, étalés sans honte. Je n’avais rien préparé. Je ne m’étais pas attendue à ça.
— T’es pas rasée… souffla-t-il, un sourire en coin. J’aime ça. Ça fait vrai. Naturel.
Il s’agenouilla entre mes jambes, colla son visage contre mon sexe, inspira profondément.
— Putain… tu sens bon. T’as l’odeur d’une vraie salope. Tu sens le jus, la sueur… un peu la pisse. Pas une pucelle, non. Une vraie femelle. Une qui a porté un môme, une qui sert encore.
Je frissonnais. Ces mots crus me traversaient de part en part. Mon mari, toujours silencieux, s’était décalé sur le canapé, une main désormais posée sur son entrejambe, sans oser aller plus loin. Il observait, fasciné, comme s’il regardait un film tourné pour lui.
Christopher écartait mes lèvres du bout des doigts, explorait, goûtait, me reniflait comme une bête en rut. Sa langue glissait, rapide, chaude, rugueuse sur ma fente, et je sentais déjà mon ventre se contracter, mon lait couler à nouveau tout seul.
— Tu veux que je continue ? grinça-t-il, la bouche luisante. T’as envie qu’on te bouffe la chatte comme ça, devant ton mari ?
Christopher avait le visage plongé entre mes cuisses, sa langue agile dessinant des cercles précis sur mon clitoris, jusqu’à ce que mes jambes tremblent et que mes gémissements deviennent incontrôlables. Il savait exactement comment faire monter la pression, comment jouer de sa bouche comme d’un instrument parfaitement accordé à mon corps.
Je sentais mon lait recommencer à couler, mes seins lourds balancés au rythme de ma respiration. Mon mari, assis à quelques pas, se caressait sans un mot, hypnotisé. Son regard allait de ma bouche entrouverte à mes seins dégoulinants, puis à Christopher, toujours en train de m’engloutir avec une gourmandise animale.
Puis, dans un geste fluide, Christopher se redressa, ouvrit sa braguette, et sortit une capote qu’il avait gardée dans la poche de son jean. Il la déroula sur sa queued’un coup de poignet, sans quitter mes yeux. Son sexe était tendu, lourd, palpitant.
— T’es prête ? souffla-t-il, la voix rauque.
Je n’ai rien dit. J’ai juste bien écarté les cuisses, mes hanches déjà basculées vers lui, le corps tendu vers l’instant, ma chatte totalement offerte.
Il m’a prise là, sur le canapé, avec une vigueur qui ne laissait aucune place au doute. Chaque coup de rein était profond, brutal, précis. Mon corps s’arquait sous lui, mes mains agrippaient le tissu du canapé, et mes cris résonnaient dans la pièce, sans retenue. J’étais prise, remplie, offerte — et je le voulais.
Mon mari s’était levé. Il se tenait à quelques pas, la main en mouvement sur sa verge raide, les yeux rivés sur la scène. Il haletait, fasciné, perdu entre excitation et soumission. Il vivait son fantasme jusqu’au bout.
Je hurlais à chaque poussée, mes seins ballottaient, éclaboussés parfois de quelques gouttes de lait, mes hanches répondaient aux siennes. Je n’étais plus qu’un corps pris entre deux désirs — le mien, enfin libéré, et celui de mon mari, voyeur comblé.
Il se redressa un instant, puis me fit pivoter, posant mes mains et mes genoux sur le canapé. D’un geste sûr, il recommença, cette fois en levrette, ses coups de bassin marqués mais contrôlés. Chaque mouvement était un mélange de force et de précision, et je sentais toute la profondeur de son désir taper dans le fond.
Je laissai échapper un gémissement plus intense, mon corps vibrant à chaque impulsion. La pièce résonnait de nos souffles entrecoupés et de mes cris de plaisir, tandis que mon mari restait debout un peu en retrait, fasciné. Il observait la scène, les yeux mi-clos, caressant lentement son côté en silence.
Sous l’effet de cette nouvelle position, mon plaisir monta encore d’un cran. Je sentis une vague de chaleur m’envahir, mes muscles se nouer : je jouissais, sans retenue, emportée par la cadence de ses mouvements.
Il redoubla d’intensité, comme s’il voulait graver chaque seconde dans ma chair. Ses grosses couilles frappaient mes fesses .Je hurlais son nom:
— Christopher ! Christopher !
À chaque appel, il cognait un peu plus, comme enragé par ma voix, mes mots se perdant dans la fièvre de l’instant, tandis qu’il continuait, inarrêtable et maîtrisé, jusqu’au point où tout mon corps bascula dans un dernier sursaut d’extase, emporté par la puissance de son désir.
Puis, dans un dernier mouvement profond, il éjacula. Il libéra toute son envie mettant encore quelques coups lent et appuyés. Mon corps tressaillit, et je sentis, plus qu’autre chose, la chaleur de son abandon. Il murmura à mon oreille, voix basse : « Ta chatte est irrésistible… »
Lentement, il se redressa et, d’un geste presque possessif retira sa capote, la vida de son sperme tiède sur mes seins, effleurant ma peau dans un frisson délicieux. Je restais accrochée au canapé, le souffle court, tandis que mon mari s’approchait et, sans un mot, posait ses lèvres contre ma poitrine, pour lécher chaque goutte et sceller ce moment à trois.
Le silence après l’orage était presque irréel. Ma respiration ralentissait doucement, mes muscles encore tremblants de ce qui venait de se passer. Christopher se redressa, passa une main dans ses cheveux, puis attrapa son t-shirt posé en boule sur le dossier du canapé. Il me regarda avec ce même sourire un peu moqueur, un peu admiratif.
— T’es incroyable, lâcha-t-il en remontant lentement son pantalon. J’avais oublié à quel point tu pouvais hurler mon nom comme ça.
Je ris doucement, en enfilant mon legging d’une main encore tremblante, puis je refermai mon soutien-gorge d’allaitement sans grande pudeur. Mon mari, lui, s’était assis à côté, encore un peu sonné. Il nous regardait tous les deux comme s’il avait assisté à une scène d’un film trop réel.
Christopher attrapa sa tasse de café laissée tiède sur la table.
— Il est encore chaud, plaisanta-t-il. Pas autant que toi, mais ça ira.
Il but une gorgée, puis leva les yeux vers moi, plus sérieux, presque tendre.
— Franchement… tu rayonnes. T’es encore plus belle qu’avant.
Je baissai les yeux, un peu troublée malgré tout. Ce n’était pas juste du désir dans sa voix, c’était autre chose. Une forme de respect, même si tout chez lui restait brut.
Mon mari brisa le silence :
— Tu repasses quand tu veux. T’as vu, elle n’a pas tant changé que ça… sauf peut-être pour les seins.
Ils échangèrent un regard complice, comme deux hommes qui viennent de partager un secret.
Christopher termina son café, puis se leva en attrapant ses clés. Il s’approcha de moi, déposa un baiser léger sur ma tempe.
— Merci pour tout… Et soigne bien tes seins, hein. Ils méritent de l’attention.
Il se tourna vers mon mari, lui tendit la main. Un geste simple, presque amical.
— Prends soin d’elle. T’as une sacrée femme.
Et puis il sortit, laissant derrière lui une odeur de café et de désir évaporé. La porte se referma dans un souffle. Le calme revint, mais dans mon corps, tout vibrait encore.
Le top pour lui, c’était ça : me voir les cuisses écartées, le chatte encore ouverte, et la semence d’un autre homme couler lentement hors de moi. C’était son fantasme ultime, le moment où il jouissait le plus fort — sans même qu’on le touche. Il rêvait de me voir enceinte d’un autre, fécondée par un mâle Alpha, puissant, dominant, capable de me prendre comme lui ne le faisait pas.
Il me l’a dit un jour, les yeux brillants : “Tu te rends compte ? Porter l’enfant d’un autre… Le sentir grandir en toi pendant que moi, je suis là, à vous regarder.”
Sauf que ce n’était pas mon fantasme, c’était le sien. Moi, je jouais le jeu, parce que j’aimais le pouvoir que ça me donnait. Jusqu’au jour où je suis tombée enceinte.
Mais les dates… les dates ne collaient pas. Aucun de mes rapports non protégés avec mes amants ne correspondait. J’ai fait les calculs. J’ai repassé chaque rendez-vous, chaque orgasme volé. Et j’ai dû me rendre à l’évidence : malgré tout ce qu’il fantasmait, malgré tout ce qu’il espérait, c’était lui le père.
L’ironie était délicieuse : il rêvait que je sois prise, remplie, fécondée par un autre. Mais au final, c’est lui qui m’avait mise enceinte, lui que mon corps avait choisi malgré ses fantasmes de soumission.
Cela faisait maintenant six mois que j’avais accouché. Mon corps portait encore les traces de cette maternité. Ma taille de soutien-gorge, déjà généreuse — un 105E — avait explosé. Mes seins, lourds, tendus, avaient pris deux tailles supplémentaires. Ils débordaient littéralement de lait. Ils étaient gorgés, gonflés au point d’en être douloureux si je ne les soulageais pas.
Je produisais tellement que j’étais obligée de me tirer le lait plusieurs fois par jour, comme une vraie vache à lait. Parfois, je remplissais des biberons entiers, que j’allais porter à une maternité voisine. Une part de moi trouvait ça presque obscène : cette abondance, cette capacité animale à nourrir. Et pourtant… il y avait aussi quelque chose de profondément sensuel dans cette sensation. La chaleur, la pression, le soulagement quand le lait jaillissait…
Mon mari, lui, ne perdait pas une miette du spectacle. Il adorait me regarder me traire. Parfois, il se branlait en silence pendant que mes mains pressaient mes seins lents, jusqu’à faire gicler de longs jets blancs. Il murmurait que j’étais belle, que j’étais une vraie femelle, faite pour enfanter, nourrir… et être prise.
Il faisait encore jour quand mon mari est rentré du supermarché. J’ai entendu la porte s’ouvrir, des sacs qu’on posait dans l’entrée… puis une voix. Grave. Étrangère mais familière. Celle de Christopher.
L’un de mes amants. Celui qui m’avait prise brutalement un soir, sans protection, sans un mot tendre. Juste du désir brut. Une pulsion animale. C’était avant que je tombe enceinte… et pendant un moment, j’avais même cru que c’était peut-être lui, le père.
Je me suis levée, un peu tendue, le t-shirt mouillé par une montée de lait récente. Je portais un legging noir moulant, et un soutien-gorge d’allaitement que je n’avais même pas refermé complètement. Mes seins débordaient presque, lourds et pleins, les tétons sensibles à chaque frottement du tissu.
Mon mari est entré avec un petit sourire étrange, presque complice.
— Regarde qui j’ai croisé en faisant les courses, a-t-il lancé d’un ton léger. Christopher avait envie d’un café. Je lui ai dit que tu serais ravie de le revoir.
Christopher m’a regardée longuement. Il n’avait pas changé. Toujours ce regard franc, presque provocant. Il s’est installé, comme s’il avait toujours été chez lui.
— T’as changé, m’a-t-il dit avec un sourire en coin. T’as l’air… plus femme encore. T’as eu ton gosse, hein ?
J’ai acquiescé. Mon mari, silencieux, préparait le café. C’était lui qui avait ramené l’homme qui m’avait prise. Volontairement. Il voulait ça. Il en avait besoin.
— Et t’allaites ? a demandé Christopher, sans détour.
— Je tire mon lait. Trop de production, ai-je murmuré, consciente de l’évidence. Mon t-shirt était tendu sur ma poitrine gonflée. Le tissu mouillé trahissait mes montées.
— Tu veux voir ? ai-je lâché, sans vraiment y réfléchir.
Le silence a été lourd une seconde. Puis mon mari a simplement posé les tasses sur la table et s’est assis. Il m’a regardée et a hoché doucement la tête, presque avec fierté.J’ai relevé lentement mon t-shirt, puis déboutonné un côté du soutien-gorge. Mon sein a rebondi, lourd, tendu, l’aréole large, le téton déjà brillant de quelques gouttes de lait.
Christopher n’a pas détourné les yeux. Pas une seconde.
— Je peux… ? demanda Christopher en fixant mon sein nu, tendu, luisant de quelques gouttes. Sa voix était rauque, presque fêlée par le désir.
Je n’ai pas répondu tout de suite. J’ai regardé mon mari. Il ne disait rien. Il observait la scène avec cette lueur dans les yeux que je connaissais trop bien. Celle de l’homme qui se délecte de voir sa femme offerte à un autre. Il a juste fait un petit signe de tête, discret, mais clair.
Alors j’ai acquiescé.
Christopher s’est approché lentement, ses mains grandes, chaudes, un peu calleuses. Il a posé une paume sur ma poitrine, l’a soulevée doucement, la pesant, admirant le poids, la chaleur, la fermeté. Puis il a glissé son pouce sur mon téton gonflé, et une goutte de lait a perlé. Il s’est penché et a tiré doucement avec sa bouche.
Ma tête est tombée en arrière.
La sensation était électrique, animale. Mon sein vidé, tété, comme si j’étais à la fois une mère et une amante. Et lui, un prédateur tendre mais avide. Il suçait avec lenteur, savourant chaque jet, chaque soupir qui m’échappait. Mon autre sein, toujours enfermé dans le tissu, palpitait de jalousie, réclamant sa part d’attention.
Mon mari, assis à quelques mètres, les jambes croisées, respirait plus vite. Il ne se touchait pas encore, mais ses yeux disaient tout. Il aimait ça. Il m’aimait comme ça.
— Putain… t’es une vraie déesse, murmura Christopher contre ma peau, le lait encore tiède sur ses lèvres.
Christopher ne lâchait plus mon sein, il le suçait avec une envie presque primitive. Puis, après un moment, il se redressa, le regard brûlant, et sans même demander cette fois, il dégrafa l’autre côté de mon soutien-gorge. Mon second sein jaillit, aussi gonflé que le premier, l’aréole sombre, tendue, prête à être vidée.
— Laisse-moi goûter l’autre, grogna-t-il.
Il prit le sein dans sa bouche avec avidité, ses lèvres humides, sa langue chaude. Je gémissais doucement, les jambes légèrement écartées sous le legging qui collait à ma peau. Le lait giclait à chaque succion, et lui le buvait comme si c’était un nectar sacré.
Puis, sans cesser de me fixer, il glissa une main entre mes cuisses et tira le legging vers le bas. Lentement, sans précipitation. Il découvrit ma chatte, encore chaude, encore moite, pas rasée. Les poils légèrement bouclés, sombres, épais, étalés sans honte. Je n’avais rien préparé. Je ne m’étais pas attendue à ça.
— T’es pas rasée… souffla-t-il, un sourire en coin. J’aime ça. Ça fait vrai. Naturel.
Il s’agenouilla entre mes jambes, colla son visage contre mon sexe, inspira profondément.
— Putain… tu sens bon. T’as l’odeur d’une vraie salope. Tu sens le jus, la sueur… un peu la pisse. Pas une pucelle, non. Une vraie femelle. Une qui a porté un môme, une qui sert encore.
Je frissonnais. Ces mots crus me traversaient de part en part. Mon mari, toujours silencieux, s’était décalé sur le canapé, une main désormais posée sur son entrejambe, sans oser aller plus loin. Il observait, fasciné, comme s’il regardait un film tourné pour lui.
Christopher écartait mes lèvres du bout des doigts, explorait, goûtait, me reniflait comme une bête en rut. Sa langue glissait, rapide, chaude, rugueuse sur ma fente, et je sentais déjà mon ventre se contracter, mon lait couler à nouveau tout seul.
— Tu veux que je continue ? grinça-t-il, la bouche luisante. T’as envie qu’on te bouffe la chatte comme ça, devant ton mari ?
Christopher avait le visage plongé entre mes cuisses, sa langue agile dessinant des cercles précis sur mon clitoris, jusqu’à ce que mes jambes tremblent et que mes gémissements deviennent incontrôlables. Il savait exactement comment faire monter la pression, comment jouer de sa bouche comme d’un instrument parfaitement accordé à mon corps.
Je sentais mon lait recommencer à couler, mes seins lourds balancés au rythme de ma respiration. Mon mari, assis à quelques pas, se caressait sans un mot, hypnotisé. Son regard allait de ma bouche entrouverte à mes seins dégoulinants, puis à Christopher, toujours en train de m’engloutir avec une gourmandise animale.
Puis, dans un geste fluide, Christopher se redressa, ouvrit sa braguette, et sortit une capote qu’il avait gardée dans la poche de son jean. Il la déroula sur sa queued’un coup de poignet, sans quitter mes yeux. Son sexe était tendu, lourd, palpitant.
— T’es prête ? souffla-t-il, la voix rauque.
Je n’ai rien dit. J’ai juste bien écarté les cuisses, mes hanches déjà basculées vers lui, le corps tendu vers l’instant, ma chatte totalement offerte.
Il m’a prise là, sur le canapé, avec une vigueur qui ne laissait aucune place au doute. Chaque coup de rein était profond, brutal, précis. Mon corps s’arquait sous lui, mes mains agrippaient le tissu du canapé, et mes cris résonnaient dans la pièce, sans retenue. J’étais prise, remplie, offerte — et je le voulais.
Mon mari s’était levé. Il se tenait à quelques pas, la main en mouvement sur sa verge raide, les yeux rivés sur la scène. Il haletait, fasciné, perdu entre excitation et soumission. Il vivait son fantasme jusqu’au bout.
Je hurlais à chaque poussée, mes seins ballottaient, éclaboussés parfois de quelques gouttes de lait, mes hanches répondaient aux siennes. Je n’étais plus qu’un corps pris entre deux désirs — le mien, enfin libéré, et celui de mon mari, voyeur comblé.
Il se redressa un instant, puis me fit pivoter, posant mes mains et mes genoux sur le canapé. D’un geste sûr, il recommença, cette fois en levrette, ses coups de bassin marqués mais contrôlés. Chaque mouvement était un mélange de force et de précision, et je sentais toute la profondeur de son désir taper dans le fond.
Je laissai échapper un gémissement plus intense, mon corps vibrant à chaque impulsion. La pièce résonnait de nos souffles entrecoupés et de mes cris de plaisir, tandis que mon mari restait debout un peu en retrait, fasciné. Il observait la scène, les yeux mi-clos, caressant lentement son côté en silence.
Sous l’effet de cette nouvelle position, mon plaisir monta encore d’un cran. Je sentis une vague de chaleur m’envahir, mes muscles se nouer : je jouissais, sans retenue, emportée par la cadence de ses mouvements.
Il redoubla d’intensité, comme s’il voulait graver chaque seconde dans ma chair. Ses grosses couilles frappaient mes fesses .Je hurlais son nom:
— Christopher ! Christopher !
À chaque appel, il cognait un peu plus, comme enragé par ma voix, mes mots se perdant dans la fièvre de l’instant, tandis qu’il continuait, inarrêtable et maîtrisé, jusqu’au point où tout mon corps bascula dans un dernier sursaut d’extase, emporté par la puissance de son désir.
Puis, dans un dernier mouvement profond, il éjacula. Il libéra toute son envie mettant encore quelques coups lent et appuyés. Mon corps tressaillit, et je sentis, plus qu’autre chose, la chaleur de son abandon. Il murmura à mon oreille, voix basse : « Ta chatte est irrésistible… »
Lentement, il se redressa et, d’un geste presque possessif retira sa capote, la vida de son sperme tiède sur mes seins, effleurant ma peau dans un frisson délicieux. Je restais accrochée au canapé, le souffle court, tandis que mon mari s’approchait et, sans un mot, posait ses lèvres contre ma poitrine, pour lécher chaque goutte et sceller ce moment à trois.
Le silence après l’orage était presque irréel. Ma respiration ralentissait doucement, mes muscles encore tremblants de ce qui venait de se passer. Christopher se redressa, passa une main dans ses cheveux, puis attrapa son t-shirt posé en boule sur le dossier du canapé. Il me regarda avec ce même sourire un peu moqueur, un peu admiratif.
— T’es incroyable, lâcha-t-il en remontant lentement son pantalon. J’avais oublié à quel point tu pouvais hurler mon nom comme ça.
Je ris doucement, en enfilant mon legging d’une main encore tremblante, puis je refermai mon soutien-gorge d’allaitement sans grande pudeur. Mon mari, lui, s’était assis à côté, encore un peu sonné. Il nous regardait tous les deux comme s’il avait assisté à une scène d’un film trop réel.
Christopher attrapa sa tasse de café laissée tiède sur la table.
— Il est encore chaud, plaisanta-t-il. Pas autant que toi, mais ça ira.
Il but une gorgée, puis leva les yeux vers moi, plus sérieux, presque tendre.
— Franchement… tu rayonnes. T’es encore plus belle qu’avant.
Je baissai les yeux, un peu troublée malgré tout. Ce n’était pas juste du désir dans sa voix, c’était autre chose. Une forme de respect, même si tout chez lui restait brut.
Mon mari brisa le silence :
— Tu repasses quand tu veux. T’as vu, elle n’a pas tant changé que ça… sauf peut-être pour les seins.
Ils échangèrent un regard complice, comme deux hommes qui viennent de partager un secret.
Christopher termina son café, puis se leva en attrapant ses clés. Il s’approcha de moi, déposa un baiser léger sur ma tempe.
— Merci pour tout… Et soigne bien tes seins, hein. Ils méritent de l’attention.
Il se tourna vers mon mari, lui tendit la main. Un geste simple, presque amical.
— Prends soin d’elle. T’as une sacrée femme.
Et puis il sortit, laissant derrière lui une odeur de café et de désir évaporé. La porte se referma dans un souffle. Le calme revint, mais dans mon corps, tout vibrait encore.
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14 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Salut la lectrice, tu es trop mignonne toi dis-donc. Tu viens chasser par ici ? C'est peut-être parce que tu as le trou du cul qui part en cacahuète que t'es excitée comme ça. Tu devrait arrêter la branlette et passer à la pine pour de bon, tu verras, ça va mieux après.
Mon slogan : un bon coup y'a que ça de vrai.
Mon slogan : un bon coup y'a que ça de vrai.
Oh putain sérieux détendez vous du string les mecs.
La femme se fait troncher et elle se plaint. 🤦♀️🤷♀️
La femme se fait troncher et elle se plaint. 🤦♀️🤷♀️
Oh ! C'est trop drôle, la lectrice anonyme qui fait la morale maintenant.
@ l'anonyme : t'a vraiment la haine ou quoi ? Pourquoi tu t'acharne comme ça ? Elle t'a fait quoi Momo ?
Lucien du 93
Lucien du 93
Pauvre petite chérie elle est outrée. 😂🤣
Quand aux mecs les commentaires ne vous conviennent pas ne les lisez pas. 🤷♀️🤦♀️
J’ai écris des histoires !!!!
Quand aux mecs les commentaires ne vous conviennent pas ne les lisez pas. 🤷♀️🤦♀️
J’ai écris des histoires !!!!
Je rejoins Cyrille pour dire ici mon plaisir (en fait mes plaisirs) à lire tes histoires si bien écrites et si excitantes. En plus, la remarque de la lectrice anonyme me fait souvenir d'une amante mature que j'ai eu l'honneur de satisfaire un jour où nous étions en manque de sexe elle et moi : elle était âgée de 84 ans, et je ne sais pas si cela était dû à son expérience, mais elle était totalement libérée sexuellement, sans tabou, pas comme certaine jeunesse qui, soit-dit en passant, voudraient bien s'éclater la chatte un max mais n'osent pas... Je dis ça, j'ai rien dit ! Momonique, tu me donnes envie d'écrire certains de mes souvenirs les plus chauds et très cochons. Bises.
Patrice
Patrice
Merci de faire des commentaires constructifs sur mes récits, plutôt que de critiquer ma tenue ou des éléments de ma vie personnelle. Si vous avez tant à dire, essayez donc d’écrire quelques pages vous-mêmes. C’est facile de se cacher derrière l’anonymat.
C'est quand-même incroyable cette jalousie de certaines femmes sur ce 🤬🤬🤬
J'adore les histoires de Monique, après qu'est-ce qui est vrai ou pas, on s'en fout...
L'histoire est bien racontée et très excitante...
Merci Monique pour tes histoires et je me ré-jouis de la prochaine 😘😘😘
Cyrille
J'adore les histoires de Monique, après qu'est-ce qui est vrai ou pas, on s'en fout...
L'histoire est bien racontée et très excitante...
Merci Monique pour tes histoires et je me ré-jouis de la prochaine 😘😘😘
Cyrille
Quelle robe de vieille. 🤦♀️😂🤣
Monique, votre histoire est bien écrite et agréable à lire. Vous avez raison de ne pas laisser n'importe qui raconter n'importe quoi sans réagir! Sur ce, je vais continuer à lire vos histoires.
Vous publiez sur 1 site public attendez vous a des commentaires positif ou négatif.
Là ça montre le côté négatif !!!!
Si vous n’en voulez pas ne publiez pas sur 1 site public !!! 🤷♀️🤦♀️
La chipie
Là ça montre le côté négatif !!!!
Si vous n’en voulez pas ne publiez pas sur 1 site public !!! 🤷♀️🤦♀️
La chipie
Waou super torride j'ai adoré chaque moment, j'aurai pensé que tu lui aurai permis de te baiser sans capote
De quoi je me mêle
Donc elle tire son lait et elle laisse le mec 1 étranger lui ejaculer dessus comme ça le gamin se prendra des merdes ensuite !!!!

