Cherche mec pour première expérience. Trouve un couple.

Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Cherche mec pour première expérience. Trouve un couple.
J’étais à la caisse du supermarché, en attente de payer. La caissière et l’emballeuse commentaient les pantalons en cuir que je portais. L’emballeuse disait qu’elle avait acheté une paire pour son copain, mais que ses amis s’étaient moqués de lui. Depuis, il ne les avait pas remis. La caissière haussa les yeux au ciel pour souligner l’incompétence en mode et l’insécurité des hommes.
— Le gars dans la file le porte plutôt bien. Ça fait très masculin, dit-elle sans se soucier de savoir si je l’avais entendu.
— Bien d’accord, rétorqua l’emballeuse.
Je payai et quittai. Arrivé dans ma voiture, je regardai l’heure sur mon téléphone, pris une grande respiration et appelai ma femme.
— Allô ma chérie !
— Allô ! Tu es au supermarché ?
— Oui, je viens de sortir et j’ai reçu un appel de mon équipe. Je dois retourner au bureau. Il y a un truc qui cloche et ils ont besoin de mon aide pour en discuter.
— Je comprends. À plus alors.
— À plus, je ne devrais pas rentrer tard.
— C’est bon. À tantôt. Je t’embrasse.
— Bisou.
Je raccrochai et envoyai un texto à François.
On se voit toujours comme prévu, ce soir.
Oui. Je t’attend., Samuel ne devrait pas tarder.
Alors, on se dit dans une quinzaine de minutes?
Parfait. À tantôt.
Je démarrai la voiture et respirai profondément, avant de quitter le stationnement du supermarché.
J’avais fait connaissance avec François il y a quelques semaines via une appli de rencontre. Je cherchais un mec de mon âge pour d’éventuelles rencontres afin d’explorer un autre côté de ma sexualité.
Bien que marié, je ressentais depuis quelques années un penchant pour les hommes virils, à la masculinité bien affirmée. Je n’y pouvais rien, c’était viscéral. De plus, j’étais en proie à des fantasmes ces dernières semaines, me retrouvant dans les bras de beaux mecs bien musclés, tatoués, arborant de sexy piercings, et j’avais décidé d’assouvir ce désir refoulé depuis trop longtemps.
C’est comme ça que j’ai trouvé François, après être tombé sur son profil et lui avoir envoyé un message. Et de fil en aiguille, patiemment, je lui ai expliqué que j’aimerais le rencontrer.
Au début, on a échangé sur ce qu’on aimerait qui se passe entre nous. Il était un mec actif, portant cheveux et barbe courts, 1m72, 72 kg et allait régulièrement au gym. Il avait eu plusieurs amants ces dernières années, et il était présentement en couple avec un homme de son âge. Le hic est qu’il s’ennuyait sexuellement.
Ne voulant pas jouer les trouble-fêtes, je m’étais mis hors-jeu à l’annonce de son union. Puis, le temps passa et je reçus un texto de François, heureusement lorsque j’étais seul en voiture. Je fus ravi de lire à l’écran qu’il voulait reprendre contact. Alors, je me prêtai au jeu, n’espérant pas grand-chose de la conversation.
Étonnamment, François m’expliqua qu’il avait beaucoup discuté avec Samuel de ses frustrations sexuelles et qu’ils avaient décidé, d’un commun accord, d’épicer leurs futurs ébats en invitant un partenaire à se joindre à eux. François lui avait parlé de moi, et son amant avait décidé d’essayer l’expérience, au risque de briser leur relation pour toujours.
Le couple me voulait comme partenaire sexuel, me dis-je, ce qui m’excitait terriblement. L’idée seule de faire l’amour avec deux hommes me rendait fou de désir. Je n’allais pas laisser passer ma chance. Mais, je demandai à François, ne serait-ce que pour la forme, une description de Samuel, qu’il me transmit avec sa photo. Je n’avais plus de doutes dans mon esprit ; il ne restait plus qu’à trouver la date et l’endroit. François et Samuel alimenteraient mes fantasmes les nuits suivantes.
J’arrêtai la voiture devant la maison de François et Samuel et éteignis les phares. Mon cœur battait la chamade, tandis que mon instinct me poussait à vivre ce moment d’extase, alors que ma raison me rappelait que je mettais en péril mon mariage. Je jetai un coup d’œil en direction de la maison et remarquai une lumière tamisée. J'éteignis le moteur et sortis, sans trop réfléchir, me dirigeant vers une soirée qui resterait gravée dans ma mémoire à tout jamais.
La porte s’ouvrit, révélant un homme d’une virilité saisissante. Il me fit la bise et m’invita à entrer. Ensuite, il me proposa un verre de vin blanc, pendant que je prenais place sur un canapé en cuir. J’étais en mode pilote automatique, submergé par la nervosité, et il le remarqua.
— Ça va ? me demanda-t-il en me passant mon verre.
— Euh… oui… oui… un peu nerveux, lui dis-je.
Il afficha un sourire de compassion sans rien dire et leva son verre. Je l'imitai.
— Samuel ne devrait pas tarder, m’annonça-t-il avant de tremper ses lèvres dans sa coupe de vin.
— D’accord, répondis-je simplement.
— Je te trouve très sexy, me dit-il, pour détendre l’atmosphère tout en souriant.
Je le remerciai en lui rendant son sourire. Assis à mes côtés, il déposa son bras sur le dossier du canapé et toucha ma nuque. Je déposai mon verre sur la table et me tournai vers François. Il s’approcha lentement, étirant légèrement le cou, et ses lèvres touchèrent les miennes. On s'embrassa sensuellement, sans trop se toucher, laissant nos bouches faire connaissance, doucement. Puis, François se retira et me dit : "viens!"
Désormais détendu, je le suivis, bien que je n’en eusse aucune idée de la destination. Nous montâmes à l’étage. Il ouvrit une porte et pénétra dans une chambre à l’éclairage tamisé. Il fit quelques pas en s’éloignant de l’entrée et s’arrêta. Je balayai la pièce du regard et aperçus quelques meubles, dont un canapé, un lit, une table de massage et des miroirs.
François se tourna vers moi. Je plantai mon regard dans ses beaux yeux noyés de désir. Il déboutonna ma chemise lentement, jusqu’à la laisser choir au sol, m’embrassa le cou et, du revers de la main, me frôla un mamelon, le tout avec sensualité, déclenchant une vague de plaisir qui traversa mon corps. Je fermai les yeux afin de bien ressentir la volupté de ses caresses.
Il déboutonna mon pantalon et dézippa la fermeture lentement. Le bruit du curseur sur les dents m’excita. Il s’agenouilla, trouva ma queue enfouie dans le galbe de cuir et la porta à sa bouche chaude et humide. Il me suça le gland, le pressant entre ses lèvres, et entama un vigoureux pompage. La fellation était si torride que j’ai dû l’interrompre pour éviter d’inonder sa gorge de mon nectar.
Il se releva, ravi de sa prestation, il me sourit et m’amena au centre de la pièce. Il m’embrassa, m’enfonçant la langue profondément dans ma bouche comme pour m’indiquer qu’il me possèderait, qu’il était dominant et qu’il ferait de moi sa jolie lope ce soir. Je n’avais qu’à lui obéir.
Il me frappa les pectoraux avec ses poings, défiant ainsi mon degré d’acceptation de sa dominance sur moi. Je lui répondis en le frappant aussi. Il me frappa de nouveau, pour bien me faire comprendre qui dominerait. C’est alors qu’en reculant légèrement pour accuser le coup, je finis dans les bras de Samuel, qui m’accueillit par derrière
Samuel m’enlaça langoureusement et referma son étreinte solidement. Une main déposée sur mes pectoraux et l’autre sur mes abdos me pressaient contre lui. Je m’immobilisai un moment, réalisant que j’étais sous l’asservissement total des deux mecs.
Samuel léchait et palpait avec ses lèvres, telle une ventouse, mon cou, ma nuque et une oreille, baladant ses mains sur mon torse. François se rapprocha de nous. Je sentis ses pectoraux me frôler. Puis ses tétons fermes et pointus effleurer les miens. Ce touché m’enflamma au point de ressentir une pulsion traverser tout mon corps. Ses mains se déposèrent délicatement sur mes hanches et glissèrent doucement derrière elles, jusqu’à mes fesses qu’il agrippa pour se presser contre moi. Il ferma les yeux et déposa ses lèvres sur les miennes avant d’enfoncer sa langue dans ma bouche pour m’embrasser.
Cette délicieuse étreinte, entièrement manigancée par le couple pour m'initier aux joies du triolisme, était voluptueuse à souhait.
Samuel tira sur mon pantalon qui tomba au sol. Le temps de m’en départir, il avait changé de place avec François. Il me saisit par la nuque pour m’embrasser et m’intima de m’agenouiller pour que je m’occupe de son zob. François embrassa son mec et demanda à se faire sucer aussi. Sa bite plus volumineuse m’enfonça la bouche, pendant qu’il tenait Samuel par la hanche, leurs bouches se suçant vigoureusement.
Je continuai la fellation, alternant entre Samuel et François. Tous deux en profitèrent pour tester ma capacité à prendre leur queue bien profondément. Je salivais rare et les mecs adoraient la friction de ma langue bien humide.
François m’invita à me relever. Nos langues valsèrent ensemble langoureusement, pendant un moment. Puis, François demanda à me prendre. Mon sourire comme réponse fut sans équivoque. Samuel m’enlaça et m’embrassa virilement, alors que François s’agenouillait pour m’administrer un juteux anulingus avant de doucement se glisser en moi.
À l'entrée de sa verge, je poussai un jouissif râlement et me cambrai pour faciliter la pénétration. Samuel se désengagea, laissant son mec tout l'espace désiré pour me limer. François exécuta quelques coups bien sentis et proposa de m'allonger sur la table de massage.
Une fois installé, Samuel m'offrit sa belle queue à sucer pendant qu'il se caressait les mamelons. François avait poussé sur ma rondelle de nouveau et s'activait vigoureusement à me démonter. J'entendis la respiration de Samuel et François s’accélérer. Ils gémissaient doucement, prenant leur plaisir. Les pénétrations devinrent plus viriles, les gémissements plus sourds. François m’enfonça une dernière fois bien à fond, maintint sa position, les fesses bien serrées et inonda mon rectum de plusieurs jets de nectar, pendant que Samuel me servait son délicieux nectar à boire.
Je les regardai, les yeux mi-clos, ces deux mecs essayant de reprendre leur souffle. Le cul et la gueule dégoulinant de sperme. Vanné et heureux.
— Le gars dans la file le porte plutôt bien. Ça fait très masculin, dit-elle sans se soucier de savoir si je l’avais entendu.
— Bien d’accord, rétorqua l’emballeuse.
Je payai et quittai. Arrivé dans ma voiture, je regardai l’heure sur mon téléphone, pris une grande respiration et appelai ma femme.
— Allô ma chérie !
— Allô ! Tu es au supermarché ?
— Oui, je viens de sortir et j’ai reçu un appel de mon équipe. Je dois retourner au bureau. Il y a un truc qui cloche et ils ont besoin de mon aide pour en discuter.
— Je comprends. À plus alors.
— À plus, je ne devrais pas rentrer tard.
— C’est bon. À tantôt. Je t’embrasse.
— Bisou.
Je raccrochai et envoyai un texto à François.
On se voit toujours comme prévu, ce soir.
Oui. Je t’attend., Samuel ne devrait pas tarder.
Alors, on se dit dans une quinzaine de minutes?
Parfait. À tantôt.
Je démarrai la voiture et respirai profondément, avant de quitter le stationnement du supermarché.
J’avais fait connaissance avec François il y a quelques semaines via une appli de rencontre. Je cherchais un mec de mon âge pour d’éventuelles rencontres afin d’explorer un autre côté de ma sexualité.
Bien que marié, je ressentais depuis quelques années un penchant pour les hommes virils, à la masculinité bien affirmée. Je n’y pouvais rien, c’était viscéral. De plus, j’étais en proie à des fantasmes ces dernières semaines, me retrouvant dans les bras de beaux mecs bien musclés, tatoués, arborant de sexy piercings, et j’avais décidé d’assouvir ce désir refoulé depuis trop longtemps.
C’est comme ça que j’ai trouvé François, après être tombé sur son profil et lui avoir envoyé un message. Et de fil en aiguille, patiemment, je lui ai expliqué que j’aimerais le rencontrer.
Au début, on a échangé sur ce qu’on aimerait qui se passe entre nous. Il était un mec actif, portant cheveux et barbe courts, 1m72, 72 kg et allait régulièrement au gym. Il avait eu plusieurs amants ces dernières années, et il était présentement en couple avec un homme de son âge. Le hic est qu’il s’ennuyait sexuellement.
Ne voulant pas jouer les trouble-fêtes, je m’étais mis hors-jeu à l’annonce de son union. Puis, le temps passa et je reçus un texto de François, heureusement lorsque j’étais seul en voiture. Je fus ravi de lire à l’écran qu’il voulait reprendre contact. Alors, je me prêtai au jeu, n’espérant pas grand-chose de la conversation.
Étonnamment, François m’expliqua qu’il avait beaucoup discuté avec Samuel de ses frustrations sexuelles et qu’ils avaient décidé, d’un commun accord, d’épicer leurs futurs ébats en invitant un partenaire à se joindre à eux. François lui avait parlé de moi, et son amant avait décidé d’essayer l’expérience, au risque de briser leur relation pour toujours.
Le couple me voulait comme partenaire sexuel, me dis-je, ce qui m’excitait terriblement. L’idée seule de faire l’amour avec deux hommes me rendait fou de désir. Je n’allais pas laisser passer ma chance. Mais, je demandai à François, ne serait-ce que pour la forme, une description de Samuel, qu’il me transmit avec sa photo. Je n’avais plus de doutes dans mon esprit ; il ne restait plus qu’à trouver la date et l’endroit. François et Samuel alimenteraient mes fantasmes les nuits suivantes.
J’arrêtai la voiture devant la maison de François et Samuel et éteignis les phares. Mon cœur battait la chamade, tandis que mon instinct me poussait à vivre ce moment d’extase, alors que ma raison me rappelait que je mettais en péril mon mariage. Je jetai un coup d’œil en direction de la maison et remarquai une lumière tamisée. J'éteignis le moteur et sortis, sans trop réfléchir, me dirigeant vers une soirée qui resterait gravée dans ma mémoire à tout jamais.
La porte s’ouvrit, révélant un homme d’une virilité saisissante. Il me fit la bise et m’invita à entrer. Ensuite, il me proposa un verre de vin blanc, pendant que je prenais place sur un canapé en cuir. J’étais en mode pilote automatique, submergé par la nervosité, et il le remarqua.
— Ça va ? me demanda-t-il en me passant mon verre.
— Euh… oui… oui… un peu nerveux, lui dis-je.
Il afficha un sourire de compassion sans rien dire et leva son verre. Je l'imitai.
— Samuel ne devrait pas tarder, m’annonça-t-il avant de tremper ses lèvres dans sa coupe de vin.
— D’accord, répondis-je simplement.
— Je te trouve très sexy, me dit-il, pour détendre l’atmosphère tout en souriant.
Je le remerciai en lui rendant son sourire. Assis à mes côtés, il déposa son bras sur le dossier du canapé et toucha ma nuque. Je déposai mon verre sur la table et me tournai vers François. Il s’approcha lentement, étirant légèrement le cou, et ses lèvres touchèrent les miennes. On s'embrassa sensuellement, sans trop se toucher, laissant nos bouches faire connaissance, doucement. Puis, François se retira et me dit : "viens!"
Désormais détendu, je le suivis, bien que je n’en eusse aucune idée de la destination. Nous montâmes à l’étage. Il ouvrit une porte et pénétra dans une chambre à l’éclairage tamisé. Il fit quelques pas en s’éloignant de l’entrée et s’arrêta. Je balayai la pièce du regard et aperçus quelques meubles, dont un canapé, un lit, une table de massage et des miroirs.
François se tourna vers moi. Je plantai mon regard dans ses beaux yeux noyés de désir. Il déboutonna ma chemise lentement, jusqu’à la laisser choir au sol, m’embrassa le cou et, du revers de la main, me frôla un mamelon, le tout avec sensualité, déclenchant une vague de plaisir qui traversa mon corps. Je fermai les yeux afin de bien ressentir la volupté de ses caresses.
Il déboutonna mon pantalon et dézippa la fermeture lentement. Le bruit du curseur sur les dents m’excita. Il s’agenouilla, trouva ma queue enfouie dans le galbe de cuir et la porta à sa bouche chaude et humide. Il me suça le gland, le pressant entre ses lèvres, et entama un vigoureux pompage. La fellation était si torride que j’ai dû l’interrompre pour éviter d’inonder sa gorge de mon nectar.
Il se releva, ravi de sa prestation, il me sourit et m’amena au centre de la pièce. Il m’embrassa, m’enfonçant la langue profondément dans ma bouche comme pour m’indiquer qu’il me possèderait, qu’il était dominant et qu’il ferait de moi sa jolie lope ce soir. Je n’avais qu’à lui obéir.
Il me frappa les pectoraux avec ses poings, défiant ainsi mon degré d’acceptation de sa dominance sur moi. Je lui répondis en le frappant aussi. Il me frappa de nouveau, pour bien me faire comprendre qui dominerait. C’est alors qu’en reculant légèrement pour accuser le coup, je finis dans les bras de Samuel, qui m’accueillit par derrière
Samuel m’enlaça langoureusement et referma son étreinte solidement. Une main déposée sur mes pectoraux et l’autre sur mes abdos me pressaient contre lui. Je m’immobilisai un moment, réalisant que j’étais sous l’asservissement total des deux mecs.
Samuel léchait et palpait avec ses lèvres, telle une ventouse, mon cou, ma nuque et une oreille, baladant ses mains sur mon torse. François se rapprocha de nous. Je sentis ses pectoraux me frôler. Puis ses tétons fermes et pointus effleurer les miens. Ce touché m’enflamma au point de ressentir une pulsion traverser tout mon corps. Ses mains se déposèrent délicatement sur mes hanches et glissèrent doucement derrière elles, jusqu’à mes fesses qu’il agrippa pour se presser contre moi. Il ferma les yeux et déposa ses lèvres sur les miennes avant d’enfoncer sa langue dans ma bouche pour m’embrasser.
Cette délicieuse étreinte, entièrement manigancée par le couple pour m'initier aux joies du triolisme, était voluptueuse à souhait.
Samuel tira sur mon pantalon qui tomba au sol. Le temps de m’en départir, il avait changé de place avec François. Il me saisit par la nuque pour m’embrasser et m’intima de m’agenouiller pour que je m’occupe de son zob. François embrassa son mec et demanda à se faire sucer aussi. Sa bite plus volumineuse m’enfonça la bouche, pendant qu’il tenait Samuel par la hanche, leurs bouches se suçant vigoureusement.
Je continuai la fellation, alternant entre Samuel et François. Tous deux en profitèrent pour tester ma capacité à prendre leur queue bien profondément. Je salivais rare et les mecs adoraient la friction de ma langue bien humide.
François m’invita à me relever. Nos langues valsèrent ensemble langoureusement, pendant un moment. Puis, François demanda à me prendre. Mon sourire comme réponse fut sans équivoque. Samuel m’enlaça et m’embrassa virilement, alors que François s’agenouillait pour m’administrer un juteux anulingus avant de doucement se glisser en moi.
À l'entrée de sa verge, je poussai un jouissif râlement et me cambrai pour faciliter la pénétration. Samuel se désengagea, laissant son mec tout l'espace désiré pour me limer. François exécuta quelques coups bien sentis et proposa de m'allonger sur la table de massage.
Une fois installé, Samuel m'offrit sa belle queue à sucer pendant qu'il se caressait les mamelons. François avait poussé sur ma rondelle de nouveau et s'activait vigoureusement à me démonter. J'entendis la respiration de Samuel et François s’accélérer. Ils gémissaient doucement, prenant leur plaisir. Les pénétrations devinrent plus viriles, les gémissements plus sourds. François m’enfonça une dernière fois bien à fond, maintint sa position, les fesses bien serrées et inonda mon rectum de plusieurs jets de nectar, pendant que Samuel me servait son délicieux nectar à boire.
Je les regardai, les yeux mi-clos, ces deux mecs essayant de reprendre leur souffle. Le cul et la gueule dégoulinant de sperme. Vanné et heureux.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire simple et fructueuse. Exécution rapide et peu de caresses .

